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santé - Page 11

  • Vrais zoufo, l'avocat

    Non, l'avocat ne fait pas grossir

    Fini le diktat des faux aliments trop gras. Si vous ne mangez pas d’avocat par crainte de grossir, vous pouvez tout de suite aller en acheter. Selon une étude, l’avocat permet d’être rassasié plus de satiété que les repas sans. De quoi glisser quelques tranches d’avocats dans votre salade du midi.

    C'est bon pour la santé

    Outre les acides gras mono-insaturés, l’avocat cache de nombreux cadeaux pour votre bien-être. Riche en lutéine, ce nutriment agit comme un antioxydant et aide à protéger les yeux. L’avocat est riche en acides gras mono-insaturés, comme l’huile d’olive, et vous aide même à protéger votre cœur. La vitamine K aide même à diminuer les risques de développer du diabète.

    L'avocat aide à protéger votre futur bébé !

    Manger un bol d’avocat contribue à diminuer les risques d’anomalies congénitales chez les nourrissons en apportant le quart de l’apport quotidien recommandé en Vitamine B9 (folate). Une bonne façon d’allier plaisir et santé pour les futures mamans !

    L'avocat vous booste !

    Pas besoin de boissons énergisantes, l’avocat contient des nutriments naturels qui vous donneront un coup d’énergie que ce soit au travail ou avant d’aller au sport ! Riche en caroténoïdes, des pigments présents dans certains végétaux tels que la carotte, il aide également à mieux assimiler le meilleur des aliments.

    L'avocat, c'est délicieux!

    La dernière raison de consommer le plus possible d'avocat, et non des moindres, l’avocat est délicieux! Que ce soit en salade, guacamole ou même en soupe, l’avocat peut se marier à plusieurs autres aliments pour le plaisir de vos papilles!

    Comme j'ai déjà indiqué, n'achetez QUE DES AVOCATS DU PEROU

  • Saison de l'abricot

    ou lezabricots, comme disent les d'jeuns mals éduqués par notre éducation nationale.

    L’abricot représente une source remarquable de provitamine A (ou bêta-carotène), qui se transforme dans l’organisme en vitamine A. Cette vitamine est nécessaire à la croissance, au bon état de la peau et des muqueuses, ainsi qu’à la vision crépusculaire. Elle possède des propriétés détoxicantes et anti-oxydantes reconnues, et joue un rôle efficace dans la protection contre le cancer et le vieillissement cellulaire. Elle augmente également la résistance aux infections. Son action est donc précieuse et diversifiée.

    100 g (2 petits abricots) fournissent 1,5 à 3 mg de bêta-carotène, ce qui correspond pratiquement à 50 % de l’apport conseillé pour l’adulte.

    Mon abricot préféré: le rouge du Gard, dont, hélas, la récolte ne dure pas longtemps car il n'y en a pas pour tout le monde.

    Au fait, il faut savoir que la grossesse, la prise de pilule contraceptive, l’usage du tabac augmentent le besoin de vitamine A et de son précurseur. Dans tous ces cas, la consommation d’abricot s’avère particulièrement utile.

    Sa richesse en caroténoïdes (qui sont anti-inflammatoires, antioxydants) en fait un allié potentiel contre le cancer du sein et pour protéger les yeux de la dégénérescence maculaire liée à l'âge.

    Le bêta-carotène de l'abricot pourrait également être utile pour lutter contre la toxicité hépatique de l'alcool selon une étude indienne de 2012.

    Apport très important de potassium: 259 mg aux 100 g (le besoin minimal est estimé à 500 mg/100 g, et la consommation habituelle moyenne à 2 ou 3 mg). Egalement appréciable, la teneur en fer, cuivre et magnésium.

    Tous ces minéraux sont à privilégier chez ceux qui ont une activité musculaire élevée, en particulier les sportifs. L’abricot (frais ou séché, d’ailleurs) constitue pour eux un fruit très bien adapté à leurs besoins. Il contribue à la recharge minérale avant la compétition (recharge d’autant plus nécessaire que l’effort est intense, prolongé, et qu’il fait chaud) ; il s’intègre utilement à la ration de récupération (qui doit être riche en potassium, pour permettre une bonne élimination des toxines de fatigue).

    Lorsqu’il est consommé “mûr à point“, l’abricot est un fruit délicieux et parfaitement digeste. Son assimilation est favorisée par sa consistance tendre et moelleuse, et par sa saveur légèrement acidulée qui stimule les sécrétions gastriques. Ses fibres, très bien tolérées, sont bénéfiques pour le fonctionnement intestinal (les pectines, abondantes, ont des vertus régulatrices sur le transit : elles aident à lutter contre une paresse intestinale, et sont bien supportées même des intestins sensibles).

    L’abricot fait d'ailleurs partie des premiers fruits que l’on peut servir aux bébés: tout d’abord poché et finement passé, puis simplement écrasé (et éventuellement mélangé à un petit suisse ou à du fromage blanc).

    Lorsqu’il atteint son degré optimal de maturité, l’abricot se présente comme un fruit d’une belle couleur orangée, légèrement juteux et bien tendre, une peu duveteux et doux.

    Sa teneur en eau (85%), est comparable à celle des autres fruits frais. Son “moelleux“, très spécifique, dépend de la nature de ses fibres. Celles-ci, sont abondantes, et, en effet, constituées pour moitié par des pectines: ces substances ont la propriété de se gonfler facilement d’eau (et aussi de former un gel, après chauffage, ce qui est mis à profit pour la préparation de confitures). Les autres fibres sont des celluloses et surtout des hémicelluloses tendres.

    La saveur de l’abricot provient de composés caractéristiques de ce fruit (notamment des esters d’alcools aromatiques, et des aldéhydes). Elle est liée aussi au rapport sucres/acides organiques : ce rapport est de l’ordre de 8 (assez bas, proche de celui de l’orange), et qui confère à l’abricot des qualités rafraîchissantes incontestables.

    Les glucides (sucres) se situent à un niveau moyen pour un fruit. Il s’agit pour l’essentiel de saccharose (60 % du total des glucides), le reste se répartissant entre glucose, fructose, ainsi que de petites quantités de sorbitol (un sucre-alcool que l’on ne trouve que dans certains fruits).

    Les acides organiques naturels sont, eux, abondants : ils atteignent 1,4 g aux 100 g, taux intermédiaire entre celui du pomelo et celui de l’orange. L’acide malique représente plus de 70 % du total, et l’acide citrique la quasi-totalité du reste (on ne note que des traces d’acides organiques plus rares, tels les acides succinique, malonique, oxalique, chlorogénique, quinique ou encore salicylique...).

    L’apport énergétique de l’abricot  n'est pas très élevé. Ainsi, un abricot de taille moyenne de 65 g (poids net comestible de 60 g) fournit moins de 30 kcalories ! Cette énergie est apportée essentiellement par les glucides.

    La couleur orange soutenu de l’abricot est due à des pigments caroténoïdes, et notamment au carotène, doté de propriétés vitaminiques (il s’agit de provitamine A). L’abricot figure parmi les fruits «champions» pour la provitamine A, au même rang que la mangue ou le melon.

    Les taux des autres vitamines atteignent leurs valeurs maximales lorsque l’abricot est à parfaite maturité.

    Avec une teneur globale de plus de 600 mg aux 100 g, l’abricot fait partie des fruits riches en minéraux (il se situe juste après la banane, et avant le raisin ou l’orange, pourtant réputés pour leur bon apport minéral). C’est l’un des fruits le mieux pourvu en potassium.

    Certaines variétés d’abricots sont d’une belle teinte orangé vif, piquetée de rouge (ou même, ont une face rouge). La coloration est attractive, mais apparaît avant même la pleine maturité du fruit. Donc, pour juger de celle-ci, il est préférable de se fier à la souplesse de la chair, ou au parfum bien développé, plutôt qu’à la seule couleur! Il est important de ne pas se tromper : un abricot cueilli avant sa maturité ne va pas évoluer, il restera dur et insuffisamment sucré.

    Concernant les abricots secs, on évitera ceux à la chair orangée qui contiennent un additif douteux pour maintenir cette belle couleur et on se tournera de préférence vers les abricots secs bio (noircis par le séchage naturel).

    L’abricot renferme plus de pectines que la plupart des fruits. Ces pectines se transforment au cours de la maturation : elles passent du stade de protopectines (fibres fermes liées aux parois cellulaires) à l’état de pectines solubles et tendres. D’où le changement de consistance du fruit. C’est la pectine qui permet la “prise“ des confitures et gelées.

    Si on utilise des abricots insuffisamment mûrs, le taux de pectines ne sera pas suffisant, et la confiture aura du mal à prendre. Mais si les fruits sont trop mûrs, l’acidité risque d’être trop faible pour que la pectine se gélifie. On devra donc ajouter un jus de citron au mélange abricots-sucre.

    Comme pour la “crème“ de pruneau (cherchez la recette dans la boîte à outils: recherche) ont peu obtenir une “crème“ d'abricots secs:

    Utilisez les abricots secs BIO (voir ci-dessus)

    Mettre dans un saladier en verre la quantité nécessaire et versez par-dessus, deux à trois cm recouverts, du lait entier ou demi. Mettre au réfrigérateur durant 4 jours et vous obtenez, grâce à la pectine, une sorte de crème.

    A quelques exceptions près, l'abricot se conserve quelques jours (entre 2 et 6) à température ambiante (18-20°C) et plus longtemps au réfrigérateur (8-10°C), mais vous perdrez de l'arôme et de la saveur; à sortir une heure avant de consommer. Certaines variétés sont plus fragiles que d'autres, donc mieux vaut les manier avec précaution.

    L'abricot se déguste le plus souvent frais et brut. Mais il s'accommode aussi en salades de fruits, en compote et en tarte par exemple. Les fruits très mûrs sont souvent transformés en confitures.

    Parlons des noyaux des fruits:

    En 2018, l’ANSES mettait en garde contre l’amande d’abricot (se trouvant au milieu du noyau), dont la consommation aurait des vertus anti-cancéreuses mais qui en trop grande quantité peut présenter des risques d’intoxication au cyanure provoquant vertiges, malaises, céphalées, troubles digestifs, palpitations cardiaques, ou encore gêne respiratoire.

     Il faut également éviter de croquer ou même de sucer, les noyaux de cerise, pêche ou prune ou les pépins de pomme car ils contiennent également un acide cyanogène toxique.

  • Mince alors!

    Une sauce mayonnaise sans œuf!

    Vite fait, en plus!

    Il vous faut un pied-plongeur

    Ingrédients

    1 verre (20 cl) d'huile végétale; ½ verre à moutarde (10 cl) de lait

    1 cuillère à café de moutarde forte; ½ gousse d’ail dégermée (optionnel)

    1 c. à soupe de vinaigre; 1 cuillère à café de jus de citron fraîchement pressé

    Sel et poivre

    Placez la moutarde, le lait et l'huile dans un pichet en verre très épais, profond, adapté pour pied mélangeur. Plongez le pied mélangeur au fond de la tasse et actionnez pour faire une émulsion.

    Ajoutez l'ail dégermé et le sel et mélangez encore.

    Versez la mayonnaise dans un bol, ajoutez le vinaigre et le jus de citron à la cuillère. Assaisonnez au goût avec du sel et du poivre.

     

  • Celle qui a sauvé des millions de bébés

    Cette semaine, notre héros du Progrès est une héroïne, Virginia Apgar, anesthésiste et chercheur américaine, qui a inventé le test permettant d’évaluer rapidement la santé du nouveau-né et de déterminer si l’enfant a besoin immédiatement de soins médicaux néonataux.

    Ce test, dénommé "score d’Apgar" continue à être utilisé couramment dans le monde entier et il est reconnu pour avoir sauvé la vie de millions de nouveau-nés depuis 1952.

    Virginia Apgar est née à Westfield, dans le New Jersey, le 7 juin 1909. Apgar avait deux frères aînés, dont l’un est mort en bas âge de la tuberculose, tandis que l’autre vivait avec une maladie chronique. En raison des problèmes médicaux de ses deux frères, Apgar choisit de faire carrière dans le domaine médical.

    En 1929, Apgar obtient un diplôme de zoologie avec des mineures en physiologie et chimie au Mount Holyoke College, et la même année, elle commence sa formation médicale au College of Physicians and Surgeons (P&S) de l’Université de Columbia.

    Apgar obtient son diplôme de médecine en 1933 et commence un internat de deux ans en chirurgie à l’Hôpital presbytérien P&S. Bien qu’elle fasse montre de compétence, le président du P&S, qui s’inquiétait des perspectives économiques pour les femmes chirurgiens pendant la Grande Dépression, lui conseille de faire carrière dans l’anesthésie – un nouveau domaine d’étude qui commençait à prendre forme en tant que spécialité plutôt médicale, que strictement infirmière.

    Apgar suit ce conseil et après la fin de son internat en 1936, elle commence une formation d’anesthésiste d’un an à l’hôpital presbytérien. Après avoir terminé le cursus, elle effectue son résidanat en anesthésiologie à l’université du Wisconsin et à l’hôpital Bellevue de Manhattan, NYC.

    En 1938, elle retourne à l’Hôpital presbytérien et devient directrice du nouveau département d’anesthésie. Apgar est la première femme à occuper un poste de direction à l’Hôpital presbytérien.

    En 1949, Apgar devient également la première femme à occuper un poste de professeur titulaire à la P&S. La chaire d’anesthésiologie la libère de nombreuses tâches administratives, lui permettant ainsi de consacrer davantage de temps à la recherche.

    Apgar constate que la mortalité infantile (c’est-à-dire les bébés âgés de 0 à 1 an) aux États-Unis a diminué rapidement entre les années 1930 et 1950. Mais que le taux de mortalité des bébés dans les 24 heures suivant la naissance est resté le même.

    Perplexe devant cet écart, Apgar commence à étudier les différences entre les nouveau-nés en bonne santé et les nouveau-nés nécessitant des soins médicaux.

    En 1952, Apgar élabore un test appelé "score d’Apgar" que les professionnels de la santé peuvent utiliser pour évaluer la santé des nouveau-nés. Le système de notation Apgar donne à chaque nouveau-né un score de 0, 1 ou 2. Zéro indique la pire condition possible et deux indique la condition idéale dans chacune des cinq catégories suivantes: activité (tonus musculaire), pouls, grimace (irritabilité des réflexes), apparence (couleur de la peau) et respiration. Pour que son évaluation soit facile à retenir, la première lettre de chacune des cinq catégories forme le mot "APGAR".

    Le test est généralement effectué sur les nouveau-nés 1 minute puis 5 minutes après leur naissance. Un score cumulé de 3 ou moins est généralement considéré comme dangereusement bas et justifiant une prise en charge médicale immédiate.

    Le test d’Apgar est rapidement devenu une pratique courante dans le monde entier. Il reste aujourd’hui encore une procédure standard pour évaluer la santé du nouveau-né.

    En 1959, Apgar obtient une maîtrise en santé publique à l’université Johns Hopkins et commence à travailler pour la Fondation March of Dimes – une organisation américaine à but non lucratif qui œuvre à l’amélioration de la santé des mères et des bébés – en dirigeant son programme de recherche axé sur le traitement et la prévention des malformations congénitales.

    Tout en travaillant à la March of Dimes, Apgar devient une fervente partisane de la vaccination universelle pour prévenir la transmission de la rubéole de la mère à l’enfant.

    Virginia Apgar deviendra ensuite maître de conférences, puis professeur clinique de pédiatrie à l’université Cornell. Elle décède le 7 août 1974.

    Tout au long de sa carrière, elle recevra de nombreux doctorats honorifiques, le "Distinguished Service Award" de l’American Society of Anesthesiologists (1966) et le titre de " Femme de l’année en sciences " par le Ladies Home Journal (1973).

    En 1995, elle a été intronisée au National Women’s Hall of Fame des États-Unis.

    On attribue à l’utilisation du score d’Apgar la réduction du taux de mortalité infantile car il a considérablement augmenté la probabilité de survie des bébés dans les 24 heures suivant la naissance. L’invention et l’utilisation du score d’Apgar ont permis de sauver des millions de vies et continuent à en sauver des milliers d’autres chaque jour. C’est pourquoi Virginia Apgar est notre vingt-deuxième héros du progrès.

    Les Héros du progrès, c’est aussi:

     

  • La preuve des mensonges du gouvernement

     

    http://demaincestaujourdhui.hautetfort.com/archive/2020/06/18/la-preuve-des-mensonges-du-gouvernement-6246606.html

     

     

  • Le café glacé

    Enfant, je passais des heures devant la cafetière pour faire le café de toute la famille: mon papa en buvait pas loin d'un litre par jour…

    Lui, il le voulait fort, pas ma mère qui, au contraire voulait y mettre de la chicorée. Nous avions une cafetière émail de deux litres… Il me fallait, dès l'âge de 8 ans,moudre les grains avec un petit moulin mécanique, ce qui fait que je devais le remplir au moins trois fois pour qu'il soit suffisamment en quantité pour un café un peu fort. J'étais un shadock déjà!

    Je déteste le café bouillant. Je le préfère tiède et en été, je le bois froid. Pas glacé, froid. Et  il me tarde qu'il fasse suffisamment chaud pour m'éviter de salir une casserole!

    Je vous ai déjà indiqué que je n'utilise plus, depuis 8 ans, de machine électrique. Depuis que j'ai appris que la chaleur fait relarguer des trucs improbables dans le café. Déjà que l'eau du robinet est pleine de molécules pharmaceutiques diverses et avariées!

    Donc, je fais désormais, bouillir de l'eau en bouteille et je passe l'eau (à 88°) sur mon café, disposé dans deux filtres à café.

    Pourquoi deux? parce que certains matins, je suis trop pressée, je verse un peu trop fort mon eau et, devinez quoi? le filtre n'y résiste pas. Avec deux, au moins, pas de soucis! Je ne veux pas lire l'avenir dans le marc de café… Non mais, quelqu'un comme moi!

    Pour réaliser un café glacé il y a plusieurs méthodes:

    Infusion à froid (très long)

    Pour ce café glacé il faut mettre entre 2 et 4 cuillères à soupe de café dans le fond d’une carafe, selon la force désirée. Ensuite, ajouter l’eau froide dans la carafe et laisser infuser environ 12 h.

    Quand l'eau est froide, le café à du mal à macérer… c'est pourquoi, votre café ne passera pas très vite sur le filtre, si l'eau est un peu froide.

    Mélanger la boisson puis filtrer à l’aide d’un tamis et d’un filtre posé à l’intérieur. Vous pouvez ajouter des glaçons si vous le souhaitez.

    Café brassé (plus rapide)

    Réaliser un café comme d’habitude, puis le verser dans un mixeur avec ¼ ou ½ verre de lait, et de la glace pilée. Mixer le tout jusqu’à l’obtention d’une boisson onctueuse.

    Ce café peut être aromatisé avec de la cannelle, du miel ou d’autres épices.

    Liqueur de café

    J'ai déjà mis la recette déjà mais bon, je suis brave; bis-répétitas

    En premier, vous faites un café épais; vous utilisez la moitié d'un paquet de café en poudre et vous le faites passer avec très peau d'eau. (chaude bien sûr)

    Vous faites une cafetière normale et versez à travers le filtre déjà utilisé précédemment. Si vous voulez que votre café soit fort, pour une petite cafetière, on rajoute une cuillère de poudre en sus, et bien plus si la cafetière est plus... "litrée"...

    A conserver au frigo pas loin de 3 à 4 semaines. A verser dans des pâtes à gâteaux, des yaourts, des crèmes, glaces, etc.

    Pour la vraie liqueur, dans le café normal, avant de rajouter au café épais, faites fondre du sucre en poudre, plus ou moins selon votre désir. Vous conservez dans les même conditions au frigo mais vous le garderez quelques semaines de mieux.

  • Les bons fruits rouges pour la santé

    Les cerises sont utiles dans la goutte

    VRAI

    Ce remède de bonne femme est en passe d’être vérifié. C’est en tous cas la conclusion d’une étude très récente au cours de laquelle des volontaires ont consommé environ 300 g de cerises. Le niveau d’acide urique du plasma a baissé 5 heures après, tandis que l’élimination urinaire augmentait logiquement. Par ailleurs, plusieurs indices inflammatoires (dont la protéine C-réactive) étaient eux aussi à la baisse.

    Les myrtilles améliorent la vision nocturne

    FAUX

    Les myrtilles, lit-on un peu partout, étaient consommées au cours de la seconde guerre mondiale par les pilotes de la Royal Air Force (RAF) pour améliorer l’acuité visuelle par faible visibilité. Hélas pour la légende, le Centre de médecine aéronautique de la RAF, interrogé par votre serviteur, dément que les pilotes aient reçu des myrtilles, de la confiture de myrtille voire des extraits.

    Et les 30 études scientifiques conduites depuis sur le sujet ne soutiennent guère cette belle histoire : les quatre dernières, qui sont aussi les plus rigoureuses, concluent que les myrtilles sont sans effet sur la vision nocturne.

    ALORS, LA, C'EST FAUX!

    Après 5 opérations sur mon œil gauche, le moindre tout petit, petit, rai de lumière était une affreuse stridence lumineuse, quand je conduisais le jour où la nuit!

    Aux grand maux, les grands remèdes: j'ai avalé 9 gélules d'huile de carottes et autant de gélules de baies de myrtilles par jour et, en 8 semaines, j'ai pu conduire SANS LUNETTES de soleil alors que, justement, je mettais une pare de lunettes 4 PLUS une sur-lunettes de puissance 3 et j'étais pourtant, aveuglée par le soleil!

    J'ai recommencé une cure tous les ans, au printemps et ma vue était meilleure qu'elle n'avait jamais été!

    Bon, d'accord, depuis, après 40 années de myopie, je suis devenue hypermétrope... et je suis obligée de porter des lunettes.

    vive la vieillesse!

     

    Les fraises sont anti-cancer

    VRAI

    Comme tous les fruits, les fraises apportent des antioxydants qui réduisent les dommages infligés par les radicaux libres à l’ADN. Mais les fraises font plus : elles inhibent fortement la formation de composés cancérogènes appelés nitrosamines qui peuvent se former dans le tube digestif lorsqu’on ingère des nitrites ou nitrates et des protéines (amines). Les nitrosamines, apportées en particulier par les charcuteries, sont accusées de provoquer des cancers digestifs. Les fraises inhibent jusqu’à 70% la formation de ces agents cancérogènes. Une bonne raison, cet été, de faire suivre une assiette de merguez d’un bol de fraises.

    Myrtilles, mûres et framboises sont les meilleurs fruits anti-âge

    VRAI

    Kiwi et orange sont souvent cités comme les meilleures sources d’antioxydants, mais des recherches conduites à l’université Tufts (Boston, Massachusetts) par l’équipe de Ronald Prior, montrent la supériorité des myrtilles, mûres, framboises et fraises pour renforcer nos défenses contre les radicaux libres, responsables du vieillissement. Les chercheurs américains ont mis au point un test baptisé ORAC (Oxygen Radical Absorbance Capacity) qui mesure le pouvoir antioxydant des fruits et d’autres aliments (voir tableau) dans le plasma. Les fruits dont les scores sont les plus élevés augmentent de 10 à 25% le pouvoir antioxydant du sang.

    En plus, ils préviennent les pertes de mémoire chez le rat âgé et protègent les capillaires de ces animaux contre les attaques de l’oxygène.

    “Sur la base de ces résultats, dit le Dr Prior, j’estime qu’il faudrait se procurer 3 000 à 5 000 unités ORAC par jour pour espérer avoir un impact significatif sur la capacité antioxydante du plasma et des tissus. Mais les valeurs ORAC varient tellement d’un fruit ou d’un légume à l’autre, que vous pouvez manger 7 fruits et légumes par jour et ne recevoir que 1 300 unités ou consommer un seul bol de myrtilles et avoir plus de 3 000 unités“.