Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

toulousain - Page 58

  • Du brocoli: pour vivre plus longtemps

    D’après une étude publiée dans l’American Journal of Clinical Nutrition, les adeptes des légumes crucifères comme le brocoli mais aussi le chou, chou de Bruxelles, chou fleur…vivraient plus longtemps et auraient moins de risques de décéder d’une maladie cardiovasculaire que les personnes qui en consomment peu.

    Les chercheurs de l’Université Vanderbilt (Etats-Unis) et de l’Institut du cancer de Shanghai (Chine) ont analysé les données de 61,436 hommes suivis durant 4,6 ans ainsi que celles de 73,360 femmes suivies durant 10,2 ans. Les participants ont rempli un questionnaire alimentaire évaluant leur consommation de fruits et légumes.

    Chez les personnes qui consomment le plus de légumes crucifères, le risque de décès prématuré (quelle qu’en soit la cause) est réduit de 22% et le risque de décès liés à une maladie cardiovasculaire est réduit de 31%. Il s'agit cependant d'une étude d'observation ne permettant pas de conclure à une relation de cause à effet.

    RECETTES ULTRA-RAPIDE EN 3

    A la cocotte-minute -en inox- et avec des brocolis surgelés

    Brocolis surgelés sans résidus de pesticide ou bio

    30 cl de crème fraîche liquide, sel, poivre, curcuma en poudre et/ou autres épices. Les épices et herbes aromatiques sont le meilleur atour pour votre santé, mettez en partout.

    Coupez pour ouverture votre sachet surgelé, versez directement dans la cocotte minute; ajoutez la crème fraiche liquide et les aromates ou épices.

    Fermez la cocotte et mettre sur feu fort; dès que la soupape tourne, éteignez le feu et ôtez la soupape, tout en laissant la cocotte fermée… ce qu'elle contient continue à cuire durant dix minutes donc, vous retirez ce temps de la recette.

    Mais pour les brocolis, n'attendez pas, en trois minutes, c'est cuit.

    Vous pouvez mettre bien moins de crème fraîche et passer les brocolis au mixer pour obtenir une purée de brocolis à agrémenter de fromage râpé et une lichette d'huile de noix ou noisette au dernier moment (ces huiles ne supportent pas la cuisson).

    Cette purée, vous pouvez la délayer dans un litre d'eau et cela vous fait un potage de brocolis auquel vous pouvez ajouter du fromage râpé et/ou verser sur des croutons de pain pour une soupe épaisse. Plus une lichette d'huile de noix ou noisette au dernier moment (ces huiles ne supportent pas la cuisson).

  • Filet mignon aux abricots secs

    Pour 4 personnes:

    1 gros filet mignon de porc; 12 abricots secs bios de préférence (leur couleur est marron) et ils ne sont pas traités…

    1 oignon jaune, 1 cuillère à café de curcuma

    ½ cuillère à cuillère de coriandre en poudre et la même de cumin

    1 cuillère à soupe d’huile d’olive, Poivre

    Coupez le filet mignon en dés ou en lanières fines et les faire revenir à sec, dans une sauteuse ou un wok à feu vif pendant 5 min en les retournant très souvent avec deux cuillères en bois.

    Ajoutez ensuite l’oignon émincé finement et poivrez. Ajoutez l’huile d’olive et laisser dorer 2 min puis baisser à feu moyen.

    Ajoutez les abricots secs coupés en deux, les épices et remuer pendant 1 à 2 min. Ajouter de l’eau bouillante jusqu’à couvrir la préparation.

    Faites cuire 10 min jusqu’à ce que l’eau soit réduite en sauce peu épaisse.

    Pendant le temps de cuisson, vous pouvez préparer au total du riz long de Camargue

    (et qu'est ce que c'est cette histoire de manger des riz étrangers alors que nos riziculteurs font du bon riz depuis toujours,)

    pour accompagner ce plat.

     

  • Gâteau basque ménagère

    Ce n'est pas parce que l'on habite Toulouse, que l'on snobe nos voisins de pas loin!

    Préchauffez le four à 150°C

    Ingrédients:

    300 g de farine fine; 1 œuf entier plus 3 jaunes d'œufs

    200 g de beurre; 180 g de sucre en poudre

    Si vous avez supprimé depuis longtemps le sucre, ne pas en mettre plus de 50 g car il vous faut, aussi, un pot de confiture de cerise d’Itxassou

    1 cuillère à café de levure, 1 zeste de citron

    Pour la dorure:

    Une cuillère à café de lait, un jaune d’œuf

    Dans un bol en verre, placez tous les ingrédients cités ci-dessus, mélangez la pâte à l’aide d’un pétrisseur (ou de vos mains) pour obtenir une boule, réservez au frais pendant une demi-heure.

    Chassez les bulles d'airs en retravaillant la pâte puis, divisez la pâte pour former deux pâtons. À l’aide d’un rouleau à pâtisserie en bois, aplatissez vos pâtons en disques. Foncez le plus grand disque dans un moule à manqué que vous aurez préalablement chemisé beurre-sucre fin.

    Par-dessus le premier pâton, étalez la confiture de cerise d’Ixtassou puis recouvrez du second disque. Soudez les deux pâtes avec un peu d'eau ou jaune d’œuf pour éviter que la confiture ne s’échappe.

    Avec un jaune d’œuf et du lait, badigeonnez la surface de la tarte et dessinez des stries avec une fourchette.

    Mettre le gâteau à cuire pendant une heure jusqu’à obtention d’une croûte dorée.

    Démoulez sur un plat à gâteaux (plat plat; ben oui, quoi, il existe des plats à gâteaux un peu creusés…).

    On démoule plus facilement un gâteau en passant une lame de couteau entre le gâteau et le moule. Retournez le moule sur le plat et secouez le moule pour faire tomber le gâteau.

    Pour ne pas que votre gâteau aie un goût de ferraille si vous utilisez un moule en acier bleuie non adhésif, bien sûr!, il faut démouler assez vite.

    Protégez vos mains en plaçant un torchon sous le moule, d'un bord à l'autre: d'ailleurs, on ne sait pas pourquoi (dit la fameuse grand-mère) mais, ce faisant, le gâteau se démoule très bien ou mieux que vous ne le croyez, après avoir passé la lame du couteau….

  • Boire un petit coup, c'est agréable…

    mais, il ne faut pas rouler dessous la table etc.....

    Faut-il boire un peu de vin rouge quand on a des kilos en trop?

    Oui, pensent des chercheurs. L’acide ellagique du raisin (et des châtaignes, des noix, des fraises ...) préviendrait des complications du surpoids.

    Une substance du raisin pourrait limiter l'accumulation de graisses chez les personnes obèses et leur éviter de grossir encore plus, tout en protégeant leur foie d'une infiltration par les graisses. C’est ce que suggèrent des travaux menés par chercheurs des universités de l’Oregon, de Floride et du Nebraska qui publient leurs résultats dans Journal of Nutritional Biochemistry.

    Le foie et le tissu adipeux sont deux organes qui contrôlent le métabolisme des lipides. Chez les personnes obèses, ces deux organes ont tendance à accumuler des lipides en excès; la stéatose hépatique (maladie du foie gras non-alcoolique) accompagne souvent l’obésité puisque 76% des cas de maladie du foie gras non-alcoolique s’observent chez des personnes obèses. Or la stéatose hépatique est un facteur de risque pour l’hyperlipidémie, la résistance à l’insuline et le diabète.

    Dans cette étude, les chercheurs ont exposé des adipocytes et des cellules de foie humaines à des extraits de raisins Muscadine, une variété de raisins noirs du sud-est des Etats-Unis (Vitis rotundifolia). Précédemment, ces chercheurs avaient montré que la consommation d’un extrait de raisin Muscadine réduisait l’accumulation de lipides chez des souris nourries avec un régime riche en lipides. L’objectif de cette étude était donc d’identifier les molécules responsables et les mécanismes sous-jacents.

    Les chercheurs ont ainsi montré que l’acide ellagique, une des molécules présente dans ces extraits de raisin, agit sur l’accumulation de lipides dans les adipocytes humains. L’acide ellagique est un polyphénol présent dans de nombreux fruits: châtaignes, noix, fraises…

    Chez les souris, la complémentation avec l’extrait de raisin réduisait la taille des adipocytes. Dans le modèle d’adipocytes humains, l’acide ellagique limitait l’adipogenèse: il diminuait la conversion d’Acétyl-CoA en acides gras, et donc la synthèse de nouveaux acides gras.

    De plus, l’extrait de raisin diminuait de manière significative les triglycérides du foie: l’acide ellagique augmentait la consommation d’oxygène et l’expression de gènes liés à la β-oxydation, c'est-à-dire la voie de dégradation des acides gras dans la mitochondrie. Par conséquent, l’acide ellagique augmente l’oxydation des acides gras dans le foie.

    Les chercheurs insistent sur le fait que l'acide ellagique ne serait probablement pas efficace pour perdre du poids, mais il pourrait donc stimuler le métabolisme des graisses dans le foie et améliorer la fonction hépatique des personnes en surpoids. Mais il ne s'agit pour l'instant que d'études expérimentales.

    Source

    Okla M1, Kang I1, Kim da M2, Gourineni V2, Shay N3, Gu L2, Chung S4. Ellagic acid modulates lipid accumulation in primary human adipocytes and human hepatoma Huh7 cells via discrete mechanisms. J Nutr Biochem. 2015 Jan;26(1):82-90. doi: 10.1016/j.jnutbio.2014.09.010.

  • Miel et cannelle pour les frimas hivernaux

    Quand les remèdes naturels surpassent les produits pharmaceutiques

    Le miel est utilisé comme remède depuis des milliers d’années; il peut se montrer très efficace pour soigner le rhume, la toux en particulier, sans provoquer le moindre effet indésirable (seules quelques légères nausées ont parfois été signalées dans les études considérées). Il est notamment recommandé pour soulager la toux aiguë chez les enfants, pour qui les sirops antitussifs sont finalement peu efficaces, voire contre-indiqués chez les nourrissons. Le miel est bien souvent cité comme " remède de grand-mère" à l’approche de l’hiver. Consommé seul ou pour sucrer une infusion, il soulage efficacement les gorges irritées. Dans le cadre d’une étude clinique sur les infections des voies respiratoires supérieures, des chercheurs ont pu confirmer ces propriétés bienfaisantes. Mieux: pour soigner ces maladies, le miel s’avère être plus efficace que les traitements médicamenteux traditionnels.

    Facilement accessible et bon marché, notamment par rapport aux antibiotiques, le miel pourrait ainsi être un excellent moyen de contribuer aux efforts visant à ralentir l’antibio-résistance. Les auteurs de l’étude soulignent néanmoins que d’autres essais contrôlés par placebo sont nécessaires avant de l’envisager. En outre, il existe plusieurs types de miels, il pourrait donc être intéressant de comparer leur action respective face à l’infection.

    L’antibio-résistance est un problème majeur, mondial, tant pour la santé humaine que la santé animale. Préserver l’efficacité des antibiotiques est aujourd’hui un réel défi. Si l’on ne réduit pas la consommation de ces médicaments, l’antibio-résistance pourrait devenir d’ici 2050 l’une des principales causes de mortalité dans le monde. Aujourd’hui, elle serait déjà responsable de près de 700’000 décès par an à l’échelle mondiale ; en France, elle est à l’origine de plus de 5500 décès par an.

    Les résultats de cette étude viennent d’être publiés dans la revue BMJ Evidence-based Medicine. Ses auteurs, trois chercheurs de l’Université d’Oxford, dressent le bilan de 14 essais cliniques, dont l’objectif était de tester l’efficacité de différents traitements pour soigner les infections des voies respiratoires supérieures (IVRS). Leur conclusion est assez surprenante.

    Une solution potentielle à l’antibio-résistance

    Le sujet de leur étude a été motivé par un constat inquiétant: aujourd’hui, les bactéries responsables d’infections chez l’Homme sont de plus en plus robustes. En effet, la prescription et la consommation abusive d’antibiotiques, que l’on observe depuis plusieurs années, leur a permis de développer au fil du temps une résistance à chacun de ces produits. Des bactéries " hautement résistantes " sont ainsi apparues dans les années 2000 et ne cessent de proliférer. Le phénomène est classé parmi les dix principaux risques auxquels la Grande-Bretagne est confrontée.

    Un comble lorsque l’on sait que dans bien des cas, ces antibiotiques sont tout bonnement inutiles. En effet, si l’infection est d’origine virale et non bactérienne, ces médicaments n’ont aucun effet. Dans le cas des IVRS, ce comportement inapproprié est très répandu. Pourtant, on sait que la grande majorité de ces infections sont causées par des virus. Mais, face aux demandes insistantes, certains médecins soucieux de préserver les relations avec leurs patients finissent par céder malgré les recommandations.

    C’est la raison pour laquelle les scientifiques cherchent aujourd’hui des remèdes alternatifs pour soulager les voies respiratoires. Dans ce contexte, les chercheurs britanniques ont analysé les résultats de plusieurs essais cliniques destinés à tester l’efficacité de divers traitements contre les IVRS. Quatorze essais cliniques, incluant plus de 1700 patients, ont été passés au crible.

    Les malades souffraient d’infections aiguës telles que la toux, le rhume et d’autres maladies de type grippal ; en revanche, bronchites et autres infections des voies inférieures étaient exclues du protocole. La plupart des remèdes conventionnels ont été testés: divers médicaments en vente libre (sans ordonnance) contre le rhume et la congestion nasale, des antibiotiques, mais aussi du miel.

    Plus précisément, parmi les 14 études, neuf utilisaient du miel pur, deux utilisaient du sirop Grintuss (un sirop antitussif contenant du miel et des complexes végétaux) et une utilisait du sirop Honitus (un autre sirop à base de miel et de plantes). Les deux autres études ont testé l’efficacité du miel combiné avec du café et du lait. Par ailleurs, neuf des études concernées étaient exclusivement pédiatriques.

    Résultat: la précieuse substance produite par les abeilles s’est avérée 36% plus efficace pour réduire le nombre de quintes de toux et aussi 44% plus efficace pour en diminuer la gravité. En outre, les patients traités avec du miel ont été rétablis plus rapidement: l’infection a duré en moyenne deux jours de moins qu’avec les autres traitements.

    Le miel semble donc doté de propriétés médicinales impressionnantes. Les chercheurs expliquent que ce pouvoir est dû au peroxyde d’hydrogène qu’il contient. Ce composé est en effet un très bon agent antibactérien; il est d’ailleurs couramment utilisé pour désinfecter les plaies cutanées superficielles. En outre, la consistance épaisse et visqueuse du miel est idéale pour tapisser le palais et la gorge, ce qui soulage rapidement les zones irritées.

    Source: BMJ Journals, Abuelgasim et al.

    Les STEC non O157 et la cannelle

    " Prévenir naturellement des maladies d’origine alimentaire avec la cannelle ", source communiqué de la Washington State University du 16 juillet 2014.

    En cherchant des moyens de prévenir certaines des maladies d’origine alimentaire les plus graves causées par des bactéries pathogènes, deux scientifiques de l’université d’État de Washington ont trouvé quelque chose de prometteur dans une épice commune en cuisine, la cannelle.

    Les résultats récents ont été publiés dans la revue Food Control suggèrent que l’huile de Cinnamomum cassia peut agir efficacement en tant qu’antibactérien naturel dans l’industrie alimentaire. Les résultats de l’étude s’ajoutent à un ensemble de connaissances qui aideront à améliorer la sécurité des aliments et à réduire ou d’éliminer les cas d’intoxication alimentaire et des décès connexes.

    Dans l’étude, l’huile essentielle a détruit plusieurs souches de Escherichia coli (E. coli) producteurs de shigatoxines connus par le Centers for Disease Control and Prevention étant des STEC non O157. L’étude portait sur six souches principales de STEC non O157, a déclaré la co-auteure, Lina Sheng, étudiante en troisième cycle à l’école en science des aliments.

    L’huile de Cinnamomum cassia est efficace à faibles concentrations, dit-elle, environ 10 gouttes diluées dans un litre d’eau ont détruit les bactéries en 24 heures.

    La hausse des préoccupations des additifs chimiques sur la santé a renforcé la demande pour les additifs alimentaires naturels, a déclaré la co-auteure Meijun Zhu, professeure à l’École en science des aliments.

    "Notre objectif est d’explorer les composés bioactifs naturels dérivés des plantes comme antimicrobien pour maîtriser les pathogènes d’origine alimentaire, afin d’assurer la sécurité des produits réfrigérés", a-t-elle dit.

    "L’huile peut être incorporée dans des films et des revêtements pour emballage de la viande et des produits réfrigérés ", a dit Sheng. " Elle peut également être ajoutée lors de l’étape de lavage de la viande, des fruits ou des légumes pour éliminer les micro-organismes".

    Cinnamon cassia est produite principalement en Indonésie et a une odeur plus forte que l’autre variété de cannelle commune de Ceylan.

    En plus de l’huile de Cinnamomum cassia, Sheng prévoit d’étudier une autre source naturelle pour détruire les bactéries. Elle et ses collègues étudieront le potentiel du pissenlit pour inhiber les bactéries liées à la mammite bovine, une infection des glandes mammaires des vaches laitières.

    Votre boisson vitalité pour l'hiver

    Même quantité d'eau en bouteille, de miel, de cannelle en poudre

    Mélangez le tout SANS FAIRE BOUILLIR

    Boire la valeur de deux à trois cuillères à soupe matin et soir (pendant les épidémies hivernales et… la covid) ou le matin uniquement les autres périodes de l'année.

    La cannelle fait baisser le taux de sucre dans le sang (je l'ai expérimenté moi-même, ayant subi 5  années et demi de perf. mensuelle de 500 mg de cortisone, mon taux de sucre était limite alors que depuis plus de 50 ans, j'évite le sucre au maximum).

    La cannelle contient du chrome qui donc, réduit le sucre dans le sang… en même temps, aide à lutter contre le surpoids.

    Assertions vérifiées sur moi. Comme la plupart des infos de ce blog.

  • Que penser des produits boostés?

    Le mieux est de consommer UNIQUEMENT ce que vous préparez. C'est ce que je fait depuis toujours, même quand je n'avais pas le temps parce que ouvrière des l'âge de 14 ans, puis indépendante, j'ai travaillé... énormément.

    Cela ne m'a pas empêchée d'être attrapée par une sale et merdique maladie mais, c'était inscrit dans mes gènes, je ne pouvais y échapper... tout de même, si je n'avais pas fait autant de sport et de nourriture non chimique, il y a belle lurette que je serais en fauteuil roulant, à l'instant de pas mal de malchanceuses qui  ont vu cette satanée maladie s'accrocher à leur dos!

    Mais, comme depuis... 1964 je m'intéresse à la nourriture, nutrition, etc... j'ai récupéré au fil du temps- pas mal d'infos que je peux vous indiquer ici afin de vous aider à y voir plus clair... la modernité n'est pas très souvent signe de meilleure santé... la preuve avec cette foutue covid!

    L’ajout de vitamines ou de minéraux est aberrant quand le produit est visiblement mauvais pour la santé, par exemple trop sucré. Attention donc aux précisions qui détournent l’attention des mauvaises qualités d’un produit, ou qui, pour consommer du magnésium, vous font avaler plus de calories.

    Même chose pour les produits ultra-transformés qui mettent en avant le fait qu'ils sont bio, comme par exemple des nuggets de poulet. Bio ou pas, ils doivent être considérés comme des aliments à ne consommer qu'occasionnellement.

    Vitamines et minéraux: oui, mais…

    Certains aliments enrichis en vitamines et ou minéraux peuvent être intéressants. Mais attention: très souvent, la présence de vitamines et minéraux ajoutés est le signe d'un produit médiocre, que l'industriel essaie de présenter sous un meilleur jour. Par ailleurs, il faut être vigilant avec les micronutriments qui sont ajoutés:

    -    vitamine D: les aliments enrichis en vitamine D en apportent des quantités infimes, qui ont peu d'intérêt pour la santé;

    -    fer: de nombreux aliments (notamment céréales du petit déjeuner) sont enrichis en fer. Ce fer est susceptible de réagir avec d’autres nutriments et d’endommager cellules et tissus. Mieux vaut donner à un enfant un aliment qui contient naturellement du fer comme la viande ou le poisson. Quant aux hommes mais aussi aux femmes ménopausées, le fer des aliments enrichis est inutile car les besoins sont faibles et couverts par l’alimentation normale.

    A éviter?

    Il y en a beaucoup. Certains colorants, comme le caramel de sulfite d’ammonium (E 150d) que l’on retrouve dans les sodas, les bières ou des plats préparés sont suspectés de favoriser des cancers.

    Il y a aussi les phosphates (antioxydant, acidifiant), utilisés dans les produits laitiers, les soupes, les sodas mais aussi en tant qu’agent de texture dans les produits fromagers, les pizzas, les charcuteries, les nuggets de poulet…

    Un excès de phosphore serait associé à un risque plus élevé de maladies cardiovasculaires, osseuses et rénales.

    En revanche, certains ne présentent a priori aucun risque à l’instar de substances naturelles comme de l’acide ascorbique - vitamine C (antioxydant), ou l’acide lactique (conservateur).