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Cuisine Toulousaine et Occitane - Page 237

  • Salade de betterave au fromage de chèvre

    Recette de santé que je fais régulièrement avec mes ingrédients faits maison ou du jardin

     

    Un sachet de betteraves bio (c'est une semi-conserve, inutile de conserver au réfrigérateur en permanence… par contre, à réfrigérer une ou deux heures avant la préparation);

    fromages de chèvre (cabécou) ou une buchette bio

    Sel, poivre, persil haché frais (du jardin), 1 grosse cuillère à soupe de germes de blé (la boîte de germes se conserve au frigo car comme elle dure longtemps, les germes étant huileux, vous risquez de les voir rancir…), autant d'huile de noisette et vinaigre maison, 1 cuillère à café de moutarde maison

    Le goût sucré de la betterave se marie à merveille avec la saveur du chèvre dans cette recette. Transformez-la en repas principal en y ajoutant du quinoa cuit d'avance et refroidi.

    Coupez les betteraves en gros cubes, rajoutez le fromage émietté, la vinaigrette à la moutarde à l'huile de noisettes, parsemez de persil haché frais et de germes de blé.

    Les germes de blé “boivent“ la vinaigrette: rajoutez-là au dernier moment et soyez généreux-ses.

    Vous pouvez remplacer le quinoa par des épinards frais ou surgelés; les laver, les blanchir dans l'eau bouillante, les couper au couteau et rajoutez, quand ils sont froids, à la salade.

     

  • Frites de carottes à l'ail et au râpé

    Des frites différentes mais si bonnes!

    Carottes, Huile d’olive, Ail en poudre

    Sel et Poivre

    Parmesan ou râpé de chèvre ou de comté

    Yaourt grec, Citron

    Mettre à tremper des carottes bio dans de l'eau bicarbonatée durant 15 mn.  Si elles viennent du jardin, lavez-les bien avant.

    Coupez l’extrémité des carottes  et les fanes, puis coupez-les en julienne épaisse, comme des frites.

    Déposez les carottes dans un plat, versez un filet d’huile d’olive, de l’ail en poudre, du sel, du poivre et du fromage râpé. Mélangez bien et enfournez 15 minutes à 200 °C.

    Dans un petit bol, mélangez du yaourt grec avec du sel, du poivre et de l’ail en poudre. Ajoutez un filet de jus de citron.

     

     

  • Blancs de poulet farcis aux brocolis

    4 blancs de poulet; 500 g de bouquets de brocolis

    50 ml d’huile d’olive; Sel et Poivre

    Du curcuma (facultatif) et herbes de Provence

    Laver délicatement les bouquets de brocolis, les blanchir dix minutes à l'eau bouillante, les faire revenir à la poêle 5 min dans 20-30 ml d’huile d’olive et les assaisonner avec le sel et le poivre.

    Fendre les blancs de poulet dans le sens de la longueur. Les garnir avec la poêlée d’épinards. Assaisonner les filets avec le sel, le poivre, le curcuma et les herbes de Provence.

    Faire chauffer la poêle avec le reste de l’huile d’olive, puis faites bien cuire les escalopes farcies en surveillant, sur feu moyen. Selon l'épaisseur des blancs de poulet, vous pouvez couvrir et laisser cuire sous couvert 5-6 m, l'étouffée permet de ne pas avoir une viande sèche. Sinon, ajoutez un demi-verre de crème fraîche liquide et cuisez jusqu'à évaporation.

    Servir aussitôt avec une petite salade ou du riz complet.

    Vous pouvez remplacer les brocolis par des épinards.....

     

  • Combien de calories dans les viennoiseries?

    On nomme viennoiseries les croissants, chocolatines, chaussons aux pommes, brioches. Bien que petites et certainement savoureuses, elles sont toutefois très caloriques.

    Avec leur goût riche et leur texture moelleuse, les viennoiseries se caractérisent par leur richesse
 en glucides (amidon), mais aussi en sucres et en matières grasses. En conséquence, les viennoiseries sont très caloriques sous un volume relativement faible, le tout en procurant peu de protéines et de fibres. Évitez de commettre ces erreurs pour que votre déjeuner soit équilibré.

    Alors qu’on les achetait autrefois surtout en boulangerie, on les trouve aujourd’hui couramment proposées dans les grandes surfaces et les cafés.

    Ainsi, une chocolatine, qui pèse en moyenne 70 g, apporte 280 calories et près de 15 g de graisses.

    Un croissant, fournit de 170 à 190 calories, on trouve 7 à 8 g de graisses.

    Il est à noter que les viennoiseries que l’on retrouve dans les dépanneurs, cafés et autres supermarchés peuvent être vendues en format géant, ou encore compter beaucoup plus de matières grasses et de calories.

    Les corps gras utilisés pour leur fabrication sont soit du beurre, soit des matières grasses solides à température ambiante et pas recommandable. Dans les deux cas, il s’agit de graisses en majorité saturées.

    Leur consommation a beaucoup augmenté depuis une quinzaine d’années: certaines personnes en mangent chaque matin, tandis des adultes en font leur repas de midi.

    Consommées occasionnellement, les viennoiseries restent des aliments de plaisir, utiles d’ailleurs quand l’appétit fait défaut ou lorsque des problèmes de mastication existent. Toutefois, prises quotidiennement et en remplacement du pain, elles apportent des graisses cachées dont 
on ne maîtrise pas la nature ni la quantité, et qui peuvent nuire au bon équilibre alimentaire.

    Préférez plutôt les déjeuners simples -à la française- pain, beurre, confiture, qui donnent l’énergie nécessaire pour commencer la journée.

     

  • Le melon

    Fruit de l’été par excellence, le melon est à son meilleur de juin à septembre.

    Consommé en hors-d'œuvre, il possède des vertus apéritives, et en dessert, il constitue une fin de repas légère et digeste. On évitera de le consommer glacé, ou accompagné de grandes quantités de boisson, plus ou moins froide, pour une meilleure tolérance intestinale.

    L'huile tirées des des graines de melon est comestible: les propriétés seraient pectorales et calmantes.

    Un melon est d’autant plus apprécié qu’il est mûr à point, et que son taux de sucre est optimal (aux alentours de 12%). Quand ce taux est inférieur à 8 ou 9%, il est jugé de qualité gustative médiocre. Un melon cueilli trop tôt ne s’enrichit plus en sucre, et ne sera jamais "à point".

    Pas facile, le choix d’un melon! Et surtout en fin de saison, il arrive que le meilleur côtoie le... moins bon. Certains melons possèdent une petite étiquette "teneur en sucre contrôlée" (ou l’équivalent).

    Dans tous les cas, un bon melon est lourd, avec une consistance encore un peu ferme (surtout jamais molle), et son arôme est bien développé.

    Personnellement, je me fie au “sexe“ du melon: vous regardez à l'opposé du pédoncule… pour un melon “femelle“, l'aréole est très large -et c'est celui qu'il faut choisir pour qu'il soit assez sucré-; si l'aréole est petite, c'est un melon “mâle“ et donc, il est, en général, moins sucré et donc moins bon. (le mot “sexe“, “femelle“ et “mâle“ sont des mots que j'utilise parce que je n'en connais pas les autres termes).

    Sachez qu'il existe un label Rouge. Ce label français désigne des produits qui, par leurs conditions de production ou de fabrication, ont un niveau de qualité supérieure par rapport aux autres produits similaires.

    Les melons du Haut-Poitou, du Quercy et de la Guadeloupe bénéficient quant à eux d’une Indication Géographique Protégée (IGP). Mais, vous allez avoir autant de difficultés à bien choisir que pour d'autres.

    Le melon se conserve au frais (cave, cellier) entre 8 et 12°C. Il peut aussi être mis dans le bac à légumes du réfrigérateur (ne pas dépasser 6 jours). Dans ce cas, emballez-le de manière hermétique afin que son parfum ne se propage pas aux autres aliments.

    On le mange?

    • En soupe glacée : mixer la chair avec le jus d'un citron. Déguster bien frais.
    • En sorbet à partir d’une purée et d’un sirop de sucre parfumé. C'est une manière idéale de le déguster hors saison.
    • En salade de fruits : avec des bananes, des fraises, des pêches, des abricots… et des herbes fraîches (menthe, basilic, verveine...)
    • En entrée ou en apéritif, en petites brochettes décoratives composées aussi de tomates cerises, de dés de fromage, de jambon… Son alliance avec le jambon sec en fait l’une des entrées les plus appréciées en été.
    • Dans des salades salées, il s’accompagnera de légumes frais: concombre, laitue, carottes râpées, etc.

     

  • Faux steaks:

     bienvenue au pays de l’irresponsabilité organisée

    Il semblerait que les vérifications de conformité entre ce qui est commandé et ce qui est livré n’aient pas été conduites avec toute la diligence non seulement nécessaire, mais requise par Bruxelles.

    Par Nathalie MP.

    Vendredi 7 juin dernier, RTL nous révélait le scandale des 780 tonnes de faux steaks hachés livrés depuis juillet 2018 à quatre associations humanitaires qui avaient commencé à les distribuer à des familles très démunies. En cause, une entreprise française qui a fraudé sur la composition de ses produits pour baisser ses coûts et augmenter ses marges. Pour le dire comme RTL: " Pour se faire de l’argent sur le dos des plus démunis". Une preuve de plus qu’on ne peut décidément pas " laisser faire " les entrepreneurs! Si ce n’est que le choix du fournisseur avait été validé par une agence de l’État…

    Dans le cas qui nous occupe, l’entreprise bretonne Voldis SAS qui devait fournir aux Restos du Cœur, à la Croix-Rouge, au Secours populaire et à la Fédération française des banques alimentaires des steaks hachés surgelés composés de viande de bœuf à 15% de matière grasse pour un total de 5,2 millions d’euros a en fait livré une sorte de pâté à base de peau et de graisse mélangées à de l’amidon et du soja.

    Selon le secrétaire national du Secours populaire, c’est seulement début 2019, lorsque la distribution effective des steaks a démarré, que les bénévoles ont commencé à avoir des doutes. Ils ont en effet repéré des traces de moisissure sur le produit:

    Il n’y en avait pas sur tous les lots et sur un plan gustatif, la différence n’était pas assez forte. Mais c’est ce qui a déclenché une alerte au niveau des pouvoirs publics et qui a permis de vérifier la composition des steaks.

    La santé des consommateurs n’est pas affectée, mais il est clair que la qualité nutritionnelle n’y est pas et qu’il y a tromperie sur la marchandise.

    Des fraudeurs, des incapables et des enfoirés, il y a en a partout et le monde de l’entreprise ne fait certainement pas exception. En plus de Voldis SAS, une autre entreprise intermédiaire et un fournisseur polonais seraient également de la partie. Tous encourent deux ans de prison et 1,5 million d’euros d’amende pour tromperie et fraude en bande organisée.

    Agnès Pannier-Runacher qui officie comme secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie Bruno Le Maire l’a martelé sur RTL (vidéo ci-dessous, six premières minutes):

    “Il est hors de question que ce type d’attitude se reproduise. C’est un message envoyé aux entreprises: c’est du pénal […] On va transmettre au procureur“.

    Et, ajoute-t-elle:

    “ Aujourd’hui, notre rôle, c’est la protection des consommateurs, c’est la lutte contre la fraude et c’est le fait de poursuivre toutes les entreprises qui ne jouent pas le jeu“…

    Comme il est rassurant de savoir que l’État a à cœur de défendre nos intérêts et que les profiteurs et les méchants seront punis!

    Mais l’histoire telle que je viens de la raconter et telle qu’elle a été rapportée d’abord par RTL n’est que la partie émergée d’un iceberg beaucoup plus complexe et beaucoup moins à l’honneur de la vigilance de l’État français que Mme Pannier-Runacher veut bien le dire.

    Au départ était le Fonds européen d’aide aux plus démunis ou FEAD. Si les dotations nationales sont décidées par la Commission européenne, il revient à chaque pays de gérer son enveloppe:

    Les pays de l’UE sont libres de choisir, en fonction de leur situation, le type d’aide qu’ils souhaitent apporter (aide alimentaire ou aide matérielle de base, ou une combinaison des deux), et comment ils se procurent et distribuent les produits.

    Et c’est là que tout a commencé à déraper.

    En France, c’est l’agence FranceAgriMer, un établissement public rattaché au ministère de l’Agriculture, qui a la charge de dépenser les fonds selon la procédure des appels d’offres puis de faire parvenir les produits aux associations caritatives. Ces dernières assurent le stockage puis la distribution finale en direction des populations concernées auprès desquelles elles agissent au quotidien.

    Le site Marianne qui a eu l’occasion de jeter un œil sur les appels d’offres a repéré plusieurs choses étonnantes. Tout d’abord, seul le prix semble avoir joué dans la sélection de l’entreprise Voldis SAS, alors que le FEAD exige en principe que des critères de qualité nutritionnelle soient respectés. Et de fait, le prix obtenu défiait toute concurrence pour ne pas dire tout bon sens: 3,46 euros HT par kg quand les produits similaires les moins chers atteignent presque le double de ce prix.

    Ensuite, Voldis SAS fait figure d’entreprise connue dans le milieu de l’attribution des fonds FEAD puisqu’elle avait déjà été sélectionnée de cette façon deux fois auparavant.

    Enfin, il semblerait que les vérifications de conformité entre ce qui est commandé et ce qui est livré n’aient pas été conduites avec toute la diligence non seulement nécessaire, mais requise par Bruxelles.

    Il se trouve qu’un audit réalisé en 2017 par la Direction générale de la cohésion sociale sur la gestion des fonds FEAD pointait une jolie palanquée d’à-peu-près dans les activités de FranceAgriMer. En 2016, la Commission européenne avait d’ailleurs placé la France en interruption de paiement tant les irrégularités étaient nombreuses. En cause, l’absence de transparence dans l’attribution des marchés publics, l’absence de lignes directrices relatives à l’éligibilité des bénéficiaires finaux et l’absence de procédures de contrôle interne et de prévention des risques. Entre autres.

    Résumons sans nous abriter derrière la relative opacité lénifiante des tournures de phrases technocratiques: FranceAgriMer fait un peu n’importe quoi, au petit bonheur la chance, dans un invraisemblable méli-mélo de connivences par-ci et d’approximations par-là.

    Et regardons les choses en face. D’après les premiers éléments de l’enquête, la fraude de Voldis SAS semble avérée et les poursuites que cette société encourt sont dès lors parfaitement justifiées. Mais ce serait survoler le problème que de ne pas voir combien l’ensemble du système des subventions dispatchées via une cascade d’autorités étatiques et d’intermédiaires qui ne prennent aucun risque personnel dans l’affaire est facteur d’irresponsabilité d’un bout à l’autre de la chaîne humanitaire en question.

    Car qui est le payeur, finalement? C’est le contribuable européen. Une partie de ses impôts arrive dans la grande lessiveuse indistincte des fonds européens, lesquels repartent vers les pays en fonction des politiques publiques européennes. Dans cette affaire, comme dans trop d’affaires où l’État sert de redistributeur, l’agence FranceAgriMer a pour seule finalité de distribuer de l’argent qu’elle n’a évidemment jamais eu le souci de gagner.

    Quant aux associations humanitaires, elles se contentent aussi de recevoir des produits alimentaires qu’elles n’ont nul besoin de financer par la recherche de dons ou le mécénat (sauf éventuellement le coût du stockage).

    Tout ceci contribue inéluctablement à diluer les responsabilités et émousser les exigences de qualité. Quand une personne a la charge de dépenser de l’argent qui ne lui appartient pas pour des bénéficiaires autres qu’elle-même, elle tend systématiquement à faire peu de cas du rapport qualité-prix. Or c’est exactement la position dans laquelle se retrouvent toutes les administrations publiques et c’est également la position des associations humanitaires dans ce cas précis.

    Ajoutons que l’administration française n’en est pas à son coup d’essai dans le je-m’en-foutisme le plus absolu qui règne dans sa gestion des fonds européens. Récemment, on apprenait par exemple que les fonds Leader attribués à la France et censés être distribués dans le monde rural dormaient depuis des années dans les ministères et autres organismes étatiques parisiens pour de scandaleuses mais récurrentes questions de nullité informatique et d’organisation foireuse des services de l’État.

    Idéalement, ces fonds et subventions ne devraient pas exister et les impôts qui les couvrent actuellement devraient disparaître, de même que les administrations qui s’occupent si mal de les gérer. Les associations humanitaires telles que les Restos du Cœur ou le Secours populaire ne devraient compter que sur leur capacité à intéresser des donateurs et des mécènes, qui seraient dès lors moins ponctionnés fiscalement et se retrouveraient donc avec une plus grande capacité de don. Elles devraient ensuite avoir le choix direct et le contrôle direct de leurs fournisseurs, afin d’utiliser leurs ressources au mieux et dans le meilleur intérêt des personnes qu’elles aident, condition indispensable pour maintenir l’intérêt de leurs donateurs.

    Bref, il faudrait remettre de la responsabilité dans le système. Mais comme je le disais au début, l’esprit puissamment étatique qui prévaut en France juge hautement impensable de " laisser faire " quiconque à sa guise. Nous sommes tous des fraudeurs potentiels et il convient que l’État se place systématiquement entre nous et toutes nos actions pour assurer justice, bonheur, égalité et lendemains qui chantent.

    Qu’il en résulte gaspillages et échecs retentissants avec une régularité d’horloge n’entre jamais en ligne de compte, car c’est toujours l’intention – forcément belle et généreuse – qui compte, jamais le résultat – même s’il laisse beaucoup à désirer. Ça promet.

    Si seulement il n'y avait que cela de gaspillage à la Commission Européenne!

  • Macaronis au saumon frais au gratin

    600 ml de lait; 350 g de filets de saumon

    350 g de macaronis (ou de coquillettes); 50 g de beurre (+ pour beurrer le plat)

    1 cuillère soupe de farine; 250 ml de crème liquide

    125 g de petits pois (décongelés si surgelés)

    180 g de fromage râpé, 1 cuillère à soupe de persil plat haché; 125 g de chapelure

    2 cuillères à soupe d’huile d’olive; Sel et Poivre

    Dans une casserole, portez le lait à ébullition. Plongez le saumon et laissez cuire à feu doux pendant 6 à 8 minutes jusqu’à ce que la chair du poisson se défasse facilement. Retirez le saumon à l’aide d’une écumoire. Ôtez la peau et effeuillez les filets. Filtrez le lait dans un bol.

    Faites cuire les pâtes dans une casserole d’eau bouillante salée jusqu’à ce qu’elles soient al dente. Astuce: dès que la reprise du bouillon est faite, éteindre le gaz, couvrez la casserole et, de temps en temps, vérifiez pour votre consistance gustative.

    Pendant ce temps, faites fondre le beurre dans une casserole à feu doux. Ajoutez la farine, laissez cuire 2 minutes en remuant. Retirez du feu et versez le lait réservé auparavant, en fouettant. Remettez sur le feu et laissez frémir 2 à 3 minutes en remuant. Ajoutez la crème, les petits pois, le râpé et la moitié du parmesan. Salez et poivrez

    Égouttez les pâtes et remettez-les dans la casserole. Versez-y la sauce et le saumon, puis transvasez le mélange dans un plat beurré pour aller au four. Mélangez le persil, le fromage restant et la chapelure puis saupoudrez le plat de pâtes. Arrosez d’un filet d’huile d’olive et placez dans un four préchauffé à 220 °C pendant 10 minutes.

    Pour un craquant, parsemez de chapelure et parsemez le fromage à la fin.