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  • Mangeons vrai!

    Manger Vrai c’est une nouvelle manière de manger sain et équilibré en respectant l’animal, les ressources de la planète et les traditions culinaires. 

    Qu’est-ce que Manger Vrai ? C’est avant tout manger peu de faux aliments, ou très peu, c’est-à-dire d’aliments ultra-transformés (voir plus loin). " Vous avez déjà vu des élevages de barres chocolatées à la campagne ? " demande Anthony Fardet, l’auteur de Halte aux aliments ultra transformés ! Mangeons vrai. Eh bien non, et pour cause, c’est un faux aliment, bourré d’ingrédients qu’on ne trouve pas dans sa cuisine.
    Mais qu’est-ce qui différencie le manger vrai du
    régime méditerranéen, du régime DASH ou du régime végétarien, tous bons pour la santé ? Des principes simples, adaptables à toutes les régions du globe ou presque, et qui respectent le bien-être animal et l’environnement.

    Manger vrai, c’est facile

    Manger vrai consiste à manger essentiellement des aliments bruts, peu transformés ou transformés qu’on assemble ou cuisine soi-même. C’est à la portée de tous, que l’on cuisine ou pas (même si c’est plus facile quand on cuisine). Parmi ces aliments peu ou pas transformés, il faut privilégier les végétaux qui doivent représenter 85% des apports caloriques (contre 15% des calories sous forme d’aliments d’origine animale). 

     

    Manger vrai, c’est éviter au maximum les aliments ultra-transformés

    Fini de compter les calories, de regarder la teneur en graisses ou en sucre ! Ce qui compte c’est le degré de transformation d’un aliment. Et pour le connaître c’est assez simple : il suffit de regarder la liste des ingrédients. Plus de 5 ingrédients dont sucre, sel, graisses, additifs, caséine, lactose, gluten, isolats de protéines ? Oust ! Des additifs ou un emballage très coloré, au marketing outrancier ? Passez votre chemin, vous êtes probablement en présence d’un aliment ultra-transformé.

    Exemple : pomme de terre et maïs, selon leur degré de transformation

    Mais en s’accordant de la souplesse

    On peut manger un peu d’aliments ultra-transformés : moins de 15% des calories, lors des occasions festives par exemple, sans risque de surpoids ou obésité. Au-delà, le risque d’obésité augmente et avec lui, celui des maladies chroniques qui y sont associées (diabète, maladies cardiovasculaires…).

    Ainsi un adulte de 70 kg ne devrait pas consommer plus de 330 kcal sous forme d’aliments ultra-transformés. Cela correspond à 2 tranches de pain de mie avec 30 g de mousse de canard, ou à 33 cl de soda + 50 g de chips, ou encore à 1 cordon-bleu + 250 g de purée de légumes verts cuisinés.

    Manger vrai c’est respecter les animaux et l’environnement

    Manger vrai c’est manger de préférence bio, local et de saison. L’agriculture biologique est durable car elle n’a pas recours à des produits phytosanitaires chimiques, elle préserve l’intégrité des sols et la diversité naturelle des paysages agricoles. 
    Manger local et de saison permet d’éviter des transports coûteux sur le plan environnemental. En ne consommant pas plus de 15% d’aliments d’origine animale, on respecte le bien-être animal, surtout lorsque ces produits sont issus d’animaux élevés en plein air et nourris à l’herbe ou avec des aliments bio. 
    Certes, comme le souligne Anthony Fardet dans son livre, " tout le monde ne pourra probablement pas consommer 100 % local. En revanche tout le monde peut acheter majoritairement des produits de saison. Consommer bio demande parfois un petit effort financier mais c’est un effort qui nous fait du " bien " car on sait que l’on contribue ainsi à préserver l’environnement tout en soutenant des agriculteurs engagés et en leur permettant de gagner décemment leur vie. "

    Manger vrai, c’est possible partout sur Terre

    Chaque région de la planète possède ses propres traditions culinaires, souvent issues de l’alimentation de ses peuples premiers. Dire à des Masaïs qu’ils doivent manger comme un Lillois serait à la fois irréalisable, contreproductif et peu durable sur le plan écologique. 
    Mais, bonne nouvelle, manger de la vraie nourriture, locale et de saison est un principe qui peut s’appliquer à peu près partout, sauf peut-être dans des régions spécifiques où l’alimentation est très carnée comme chez les Inuits. 
    En reprenant les principes et en les adaptant aux spécificités de chaque région (on mangera plus de riz en Asie, plus de légumes et légumes secs dans le pourtour méditerranéen, etc.), il est possible de manger vrai tout en restant respectueux des différences et de la planète.

    Pourquoi manger vrai ?Pour gagner environ 10 ans d’espérance de vie en bonne santé

    Parce que c’est la seule alimentation équilibrée dont les règles peuvent être suivies partout, dans toutes les traditions culinaires

    Pour respecter l’environnement et le bien-être animal

    Pour se faire plaisir, sans sacrifier à la convivialité

    Pour diminuer son risque de maladie chronique

    Parce qu’être consommacteur peut vraiment faire changer les pratiques des industriels

    Pour en savoir plus sur pourquoi manger vrai, lire Halte aux aliments ultra transformés ! Mangeons vrai

     

  • De Rocamadour, faisons le tour!...

    Petits Rocamadour au four

    Pour 4 personnes

    4 fromages de Rocamadour, 1 aubergine, 2 tomates, Huile d’olive, Herbes du jardin

    Tranchez les aubergines et les tomates en 8 mm d’épaisseur, les faire dégorger au sel 5mn, les rincer, les éponger sur papier absorbant.

    Poêlez les tranches à feu vif avec un peu d’huile d’olive.

    Dans un plat en verre épais, allant au four, procéder au montage: une tranche d’aubergine bien dorée, une tranche de tomate, un Rocamadour, une tranche de tomate et une tranche d’aubergine. Enfournez environ 8 mn à 200°.

     Décorez avec les herbes du jardin et servez tiède ou chaud, avec une petite salade.

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     Comment conserver mon fromage dans les meilleures conditions ?

    Le fromage est un aliment délicat, vivant, qui nécessite un soin particulier pour être conservé dans de bonnes conditions. Notez toutefois que les différents types de fromages appellent différents modes de conservation :

    Les fromages frais sont à placer dans le réfrigérateur.

    Les fromages à pâte dure peuvent être conservés dans le bac à légumes du réfrigérateur, dans leur emballage d’origine, ou dans un endroit frais, sous cloche.

    Les fromages à pâte molle et croûte fleurie (Camembert, Neufchâtel...) tout comme les fromages à croûte lavée (Epoisses, Munster...) seront de préférence conservés plusieurs jours dans un endroit frais, dans leur emballage d’origine ou sous une cloche.

    Pour une bonne conservation de 7 jours en moyenne, nous vous conseillons d’opter pour le placement de tous vos fromages dans le bac à légumes du réfrigérateur. Sa fraîcheur modérée et son humidité leurs permettront de ne point trop sécher.

    Quelles sont les erreurs à éviter ?

    N’exposez pas le fromage au froid ou à une chaleur intenses, ni à d’importantes variations de températures.

    Emballez les fromages individuellement, afin qu’il conservent leur saveur propre.

    Les emballages plastiques empêchent le fromage de respirer et risquent fort de le détériorer, tout comme les contenants hermétiques (sauf dans le cas du fromage frais). Préférez-leur donc l’emballage fourni par votre fromager.

    La plupart des fromages se conservent mieux entiers, aussi évitez de les entamer si vous pensez ne plus y toucher pendant plusieurs jours.

    Si je conserve mon fromage au réfrigérateur, combien de temps dois-je l’en sortir avant la dégustation?

    Un fromage froid n’exhalera pas tous ses arômes et sera trop ferme pour être dégusté dans de bonnes conditions. Aussi nous vous recommandons de le sortir au moins une heure avant, de manière à ce qu’il soit servi à vos convives à température ambiante.

    Dois-je absolument utiliser une cloche à fromage si je conserve ceux-ci à l’extérieur ?

    Vous pouvez tout à fait vous en passer, cependant la cloche est un instrument présentant de nombreux avantages : elle empêche la vermine de venir corrompre le fromage, conserve l’humidité pour éviter qu’il s’assèche et contient les odeurs.

    Placez toujours des branchettes de thym frais pour atténuer les odeurs dans les boîtes au réfrigérateur ou en dehors.

    Personnellement, je mets mes fromages sur la fenêtre en hiver. C'est rare qu'il gèle à Toulouse l'hiver.

  • Un peu de magie... magique!... dans ce monde de brutes épaisses, incultes et immondes...


  • Hier soir, je nous ai préparé cette salade consistante

    Salade de pois chiches à ma mode

    Pour deux: 200 g de pois chiches cuits, une courgette (bien fraîche du jardin), trois petits oignons blancs, 80 g de chorizo coupé en brunoise (ou de jambon cru ou de dés de poulet, de dinde ou de rôti cuit de porc), quelques tomates grelot coupées en deux (jaune et rouge) 1 cuillère à soupe de romarin frais (du jardin) un branchette de thym frais (du jardin), poivre du moulin, vinaigre de Modène (le vrai), deux cuillères d'huile de noisette. Pas de sel, cela fait des années que je l'ai supprimé et celui du chorizo est suffisant à notre goût.

    N'oubliez pas de rincer abondamment vos pois chiches (cuits dans de l'eau salé et d'ailleurs, même bien rincés, il en reste assez pour se passer de rajouter du sel; ... finalement, je ne sale que les pommes de terre, les pâtes, le riz et les légumes secs que je cuits moi-même. Même dans le cassoulet, bien sûr, pas de sel).

    Pour une fois, j'ai utilisé des pois chiches cuisinée en pot de VERRE. Depuis que je sais que les boîtes de conserves sont recouvertes d'un vernis qui les empêche de rouiller, j'ai stoppé l'achat des boîtes. Sauf, hélas pour les sardines à l'huile.

    www.tradi-cuisine.com

    pour tous les poisons qu'on nous fait avaler en cuisine.

    Oui, je sais, c'est un de mes sites.

    Avec un pot de lait gélifié maison à la vanille liquide Bourbon. Ben, le vent d'hier ne nous a pas emportées.