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DANGERS - Page 25

  • Qu'est-ce que le saccharose?

    Il faut d'abord et surtout dire qu'il est produit par les plantes et que son extraction, sa purification, par l’industrie du sucre conduit à ... du sucre de table. 

    Car le sucre de table, ce produit blanc cristallisé, c'est effectivement du saccharose à plus de 99 pour cent. C'est un produit inévitable dans l'alimentation, car il est présent dans tous les végétaux que nous consommons.

    Quand la sève brute monte vers les feuilles, elle permet, avec le dioxyde de carbone de l'air et l'énergie lumineuse du soleil, la synthèse du saccharose, parmi d'autres sucres tels que le fructose et le glucose.

    Puis ces sucres, ainsi formés dans ces usines naturelles que sont les feuilles, redescendent dans la plante, où ils servent d'énergie à la fois d'énergie à  cette dernière, comme l'essence pour une voiture, mais aussi de briques pour la constitution des plantes, et de réserves pour les embryons.

    Il y a donc du saccharose dans toutes les plantes, et c'est parce que les sucres, notamment le saccharose, sont dans les tiges, les racines, les tubercules ou les fruits, que  nos aïeux lointains ont consommé des tissus végétaux : le sucre, c'est l'énergie dont ils avaient besoin pour vivre. Et c'est ainsi que les grands singes continuent aujourd'hui de mâcher des tiges, ou que les enfants aiment le sucre, comme les animaux.

    Le sucre dans les plantes? Il suffit de cuire doucement des oignons ou des carottes avec très peu d'eau, pour s'apercevoir que le jus récupéré est très sucre: il contient effectivement tant de sucre que l'on peut même faire des confitures d'oignons.

    Faut-il alors ajouter du sucre aux plats? L'idée un peu bobo de lutter contre les "sucres ajoutés" revient en quelque sorte de faire un bond un siècle en arrière, pour extraire les sucres au lieu d'utiliser celui, très pur, de l'industrie du sucre.

    Donc l'industrie du sucre produit du sucre, et ses efforts consistent à extraire le sucre de végétaux, le plus souvent des betteraves ou des cannes à sucre, par des méthodes qui s'apparentent absolument à la cuisson de carottes ou d'oignons dans un bouillon;  puis il faut concentrer les liquides, évaporer l'eau.

    Lors de cette opération, on obtient des jus très impurs, et l'industrie utilise une technique de cristallisation pour avoir plus de pureté: quand des molécules  d'une sorte s'empilent  régulièrement en cristaux, les autres molécules, qui ne sont pas de la même sorte, ne sont pas acceptées dans l'édifice cristallin. C'est comme quand on empile des petits cubes : l'édifice  ne se forme pas s'il y a des cubes d'une autre taille.

    De fait, quand on cristallise le saccharose, et que l'on obtient des grains de sucre blanc, est rejeté un liquide qui contient tous les composés qui ne sont pas du saccharose... et c'est un fait que le sucre blanc est l'une des matières les plus pures  - moléculairement parlant- que l'on trouve en cuite

    Evidemment,  par les temps qui courent, il y aura toujours les marchands de cauchemars pour dire que quelque chose de très pur peut être dangereux: si l'on en mange trop, on devient obèse et l'on a des caries. Mais, au fait,  qui nous force à en manger trop?

    D'après une lecture sur hervethis.blogspot

  • Les colorants à éviter

    Jaune de quinoléine (E104). Ce colorant jaune se trouve surtout dans les sodas et confiseries mais aussi dans certaines confitures et dans les boissons alcoolisées. Il est interdit aux Etats-Unis et en Australie parce que c’est un agent mutagène, potentiellement cancérogène. Le jaune de quinoléine est aussi susceptible de provoquer des réactions allergiques chez les personnes sensibles.

    Azorubine / carmoisine (E122). Ce colorant synthétique rouge que l’on trouve essentiellement dans les charcuteries est interdit en Australie, en Norvège, en Suède et aux États-Unis.

    Amarante (E123). Ce colorant rouge est autorisé uniquement dans les vins apéritifs, spiritueux, y compris les boissons spiritueuses de moins de 15 % d'alcool en volume et les œufs de poisson. Il est interdit aux Etats-Unis, en Norvège, en Russie et en Autriche. Des chercheurs japonais ont établi que l’amarante est génotoxique. (modifie l'ADN)

    Rouge Ponceau 4R / rouge cochenille (E124). Ce colorant est utilisé en pâtisserie fraîche ou sèche, entremets, flans, fruits au sirop, confiserie, bonbons, chewing-gum, chorizo. Ce colorant est probablement génotoxique.

    Erythrosine (E127). Ce colorant n’est autorisé que autorisé pour les cerises pour cocktail, cerises confites ou bigarreaux au sirop. Le potentiel cancérogène de l’érythrosine est connu depuis de nombreuses années.

    Rouge “allura” AC (E 129). On le trouve dans les sodas, les apéritifs, les saucisses et les viandes pour hamburger. Ce colorant est probablement génotoxique.

    Noir brillant BN (E151). Ce colorant se trouve dans les harengs fumés. Il est interdit aux Canada, aux État Unis, en Finlande, Japon, en Norvège. C’est un agent mutagène et génotoxique.

    Les additifs au phosphate à proscrire

    Compte tenu des études défavorables qui s’accumulent chaque jour, et qui lient l’excès de phosphore à des risques cardiovasculaires, rénaux et maintenant de cancer, nous conseillons de ne plus consommer d’aliments qui renferment ces additifs, afin d’obliger les industriels à changer leurs pratiques. En voici la liste :

    • Acide orthophosphorique (E338)
    • Orthophosphates de sodium (E 339)
    • Orthophosphates de potassium (E 340)
    • Orthophosphates de calcium (E 341)
    • Orthophosphates de magnésium (E343)
    • Diphosphates (E 450)
    • Triphosphates (E 451)
    • Polyphosphates (E 452)

    Les autres additifs indésirables

    Nitrate de sodium (E251) et nitrite de sodium (E205). Ce sont des conservateurs très présents dans les charcuteries et les viandes traitées façon charcuteries (volailles…). Ils sont classés comme des cancérogènes probables par le Centre international de recherches sur le cancer (Lyon) en présence d’amines ou d’amides apportés par les viandes ou les poissons.

    Remplacer les nitrites est certes compliqué; en plus de la belle couleur qu'ils donnent au jambon, ils sont surtout là pour prévenir le développement de la bactérie à l'origine du botulisme (Clostridium botulinum). Il existe des alternatives : probablement plusieurs substances naturelles devront être mises ensemble à contribution (CCMP, lactates, antioxydants...). Comme cela entraînerait un coût supplémentaire pour les producteurs, et une modification des méthodes de production, rien n'avance du côté de la recherche de solutions plus sûres.

    N'achetez JAMAIS DE JAMAIS des charcuteries sous emballages plastiques!

    SURTOUT et NOTAMMENT, la charcuterie fumée!

    BHA (E320). Cet antioxydant de synthèse est considéré comme un cancérogène potentiel par le National Toxicology Program des Etats-Unis.

    Glutamate monosodique (E621). Cet exhausteur de goût se retrouve dans de nombreux plats cuisinés et soupes. Une partie de la population et certains asthmatiques y est sensible et réagit par des symptômes regroupés sous le nom de "syndrome du restaurant chinoi ". Les acides aminés excitateurs comme l’acide glutamique et l’acide aspartique sont soupçonnés d’être toxique pour les neurones et de favoriser des maladies dégénratives comme Parkinson.

    Hexaméthylènetétramine (E239). Ce conservateur de synthèse utilisé dans certains fromages contient du formaldéhyde, produit chimique toxique. Il n’est pas autorisé en Australie et Nouvelle-Zélande.

     

    Orthophénylphénol (E231). Conservateur de synthèse autorisé pour le traitement externe des agrumes, interdit en Australie et Nouvelle-Zélande. Il peut être à l’origine de réactions cutanées et d’inflammation des muqueuses.

    Parabènes (E214-E219). Ces conservateurs pour cosmétiques sont également utilisés comme additifs alimentaires. Certains peuvent se comporter comme des hormones femelles. Plusieurs parabènes alimentaires sont interdits en Australie. A éviter chez les enfants et pendant grossesse et allaitement.

  • Je suis envahie de mites alimentaires, parce que:

    Depuis que j'ai déménagé dans le Nord de Toulouse, je vais faire mes courses dans un hypermarché. J'achète, comme vous le savez, pas mal de produits bio de la marque de cet hypermarché, tout en vérifiant que les produits sont fabriqués en France, uniquement; on est patriote ou on ne l'est pas! Entre parenthèse, des produits bio mis sous cellophane, cela me hérisse beaucoup -à cause des bisphénols, divers, utilisés. Il n'y a pas de bisphénol heureux (la chimie pétrolière, c'est de la chimie pétrolière et ce n'est pas bon pour notre longévité en bonne santé….

    Cela fait 7 ans que je suis dans ma nouvelle maison. Cela fait 7 ans que je suis envahie de mites alimentaires. J'ai dû coller des anti-mites dans tous mes placards et je dois les changer souvent.

    Les premières fois où je me suis rendue compte de l'infestation, j'ai fais ce que tout le monde fait: j'ai jeté tous mes paquets entamés ou non, renouvelé les paquets

    (toujours avoir de l'avance alimentaire, on ne sait jamais, vieux réflexe de soixante-huit-tôt-de (les soixante-huitards, sont ceux qui étaient à l'université alors que perso, j'étais à l'usine à 14 ans et je me levais très tôt!!!!),

    mis dans des bocaux de verre, j'en ai pas mal puisque je n'achète plus des conserves laquées au vernis chimique, acheté des anti-mites, lavé tout à la javel, etc…

    Une année, puis une seconde et une troisième. Malgré toutes mes précautions et lessivages, les mites alimentaires sont toujours renaissantes.

    Depuis, j'ai renoncé à tout nettoyage complet et à tout jeter: avant de cuisiner, je regarde  le paquet et s'il me parait un peu “brouillon“, je jette car j'ai toujours un paquet entier qui attend.

    Ben oui, ce n'est pas économique.

    Mais, ce mercredi, comme de nouveaux des objets volants identifiés se remettent à voleter dans la cuisine-salle-à manger, je décide de regarder tous mes paquets. Certains étaient très infectés. Je jette, bien sûr…

    Mais, voilà ce qui motive cette note: je me suis aperçue que ce sont des paquets de pâtes bio et complètes de la marque -non évoquée pour ne pas me retrouver au tribunal, on ne sait jamais- étaient les responsables de mes problèmes domestiques: en effet, c'est dans le bio que se trouvaient le maximum de bébêtes. Certains parquets étant tout récents, plus de doutes.

    J'avais vu voler une de ces bestioles dans le magasin, mais je n'avais pas fait le rapprochement: donc, voilà; méfiez-vous des produits bio… c'est ce que je vais faire à partir d'aujourd'hui, chaque fois que je vais en acheter.

    Vous fatiguez pas à laver à grandes eaux vos placards, avec la canicule, ces mites seront toujours-là… ou alors, vous n'aurez jamais un ravitaillement d'avance. Et si les produits sont infestés dans le supermarché, cela ne sert à rien de mettre dans des bocaux… un moment ou l'autre, ils seront truffés de “cuçous“ ou "cussous", nom toulousain des bestioles…

    Dans ce magasin, je trouve du pain réalisé avec des farines faites avec des grains qui n'ont pas subis d'épandage insecticide dans les silos. C'est très bien, il faut vérifier les étiquettes, c'est bon pour la santé…

    Mais, ce pain, il est consommé rapidement ou bien coupé en tranches, mises au congélo pour le petit-déjeuner, une fois passé dans le grille-pain. On obtient un pain très croustillant, presque aussi parfait que celui que l'on sort, tout chaud, de la boulangerie classique. J'ai dit: presque! faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages, quand même!

     

  • Prévention Alzheimer

    Le cerveau est mieux irrigué quand il a plus d'oméga-3

    Le cerveau reçoit plus de sang et est plus performant quand on consomme assez d'oméga-3. Ce mécanisme pourrait aider à prévenir les démences.

    Plus de sang, plus de mémoire

    Selon une nouvelle étude, les acides gras oméga-3 joueraient un rôle important dans la santé du cerveau en augmentant le flux de sang vers des zones spécifiques, notamment celles qui contrôlent la mémoire et l’apprentissage.

    Pour les mettre en évidence, les chercheurs ont utilisé une technique d’imagerie appelée SPECT (single photon emission computed tomography)- qui mesure le débit sanguin contrairement à l’IRM qui ne montre que la structure du cerveau. Les cerveaux des 166 participants ont été scannés pendant qu’ils réalisaient différentes tâches cognitives.

    Les résultats montrent que les participants qui avaient les flux sanguins les plus élevés au niveau du cerveau avaient également les concentrations sanguines en oméga-3 (EPA et DHA) les plus élevées.

    Les oméga-3 sont des graisses polyinsaturées, qui prennent leur origine dans l'acide alpha-linolénique, un acide gras des noix, des graines de lin, du colza... Une fois ingéré, une partie est transformée en oméga-3 à longues chaînes (EPA et DHA). On trouve aussi EPA et DHA directement dans le jaune d'oeufs de poules nourries au lin, les coquillages, crustacés et poissons gras.

    Ces acides gras favoriseraient également les performances cognitives puisque les participants avec les concentrations les plus élevées en oméga-3 ont mieux réussi les tests de compétences cognitives, notamment celles impliquant les régions du cerveau liées à la mémoire et l’apprentissage, des fonctions qui sont particulièrement affectées lors du vieillissement ou en cas de démence.

    Des implications pour la prévention des démences

    Dans une méta-analyse regroupant 6 études et 22 402 participants au total, des chercheurs montrent que ceux qui consomment le plus de poisson ont un risque de maladie d’Alzheimer diminué de 36% par rapport à ceux qui consomment le moins de poisson. L’effet protecteur rapporté dans les études est d’autant plus important que la période de suivi est longue - le risque diminue même de 47% pour un suivi supérieur à 5 ans (38% pour les études avec un suivi inférieur à 5 ans)- et que la quantité de poisson consommé par semaine atteint au moins 500 g.

    Chaque portion supplémentaire de 100 g de poisson par semaine est associée à une diminution du risque de maladie d’Alzheimer de 11%.

    L’effet protecteur du poisson, est essentiellement attribué à sa teneur en acides gras oméga-3 à longue chaine, notamment le DHA (acide docosahexaénoique). Chez les adultes, un niveau élevé d’oméga-3 est associé à un cerveau plus performant et les personnes âgées qui ont le plus d'acides gras oméga-3 dans le sang raisonnent et analysent mieux.

    Les résultats sont publiés dans le Journal of Alzheimer’s Disease.

  • Dégueulasse!...

    Montpellier: cinquième razzia dans les Jardins familiaux, les Roms pointés du doigt

    […]

    " Mercredi matin, j’ai vu des retraités pleurer, ils ont craqué en découvrant une nouvelle fois ces scènes de vols, de pillages et d’actes de vandalisme commis dans la nuit. La cinquième intrusion dans leurs Jardins familiaux depuis le début de l’année"

     […]

    " Nous pensons que les visiteurs nocturnes ont chargé ce butin dans les brouettes, ça veut donc dire qu’ils ne sont pas allés bien loin, c’est une évidence ", analyse une des victimes, qui en est à la cinquième intrusion depuis janvier dernier. Qui n’hésite pas à montrer du doigt le campement de Roms de la Marbrerie, située à quelques centaines de mètres à peine…

     […]

    Metropolitain via Actu.fr

  • Comment on vous manipule dans les commerces

    Les 3 façons dont la musique influence les consommateurs

    La communication visuelle de la marque est assez mature - voire standardisée. En revanche, le marketing sonore reste encore trop peu structuré. Pourtant les neurosciences et la psychologie ont largement étudiées l’influence de la musique sur le comportement du consommateur.

    La musique, un véritable enjeu pour les entreprises

    Publicité en radio, en TV, sonorisation du magasin, attentes téléphoniques, etc. La marque dépose aujourd’hui de très nombreuses empreintes sonores. Une bonne idée puisque l’absence de musique entraîne par exemple une diminution de 28% de chiffre d’affaires dans un magasin. A contrario, la mise en place d’un concept de radio instauré efficace génère en moyenne une hausse de chiffre d’affaires de 17%. Mais ces traces sonores sont trop souvent peu compréhensibles et peu cohérentes.

    Grâce aux neurosciences, nous appréhendons de mieux en mieux le lien entre la musique et l’individu et il est possible d’éclairer précisément ces chiffres. Aujourd’hui, il y a principalement trois plans d’action du design sonore: physiologique, émotionnel et cognitif.

    Stimuler la dopamine grâce à la musique

    D’un point de vue purement physiologique, la dimension sonore peut venir modifier le rythme cardiaque,

    https://youtu.be/ByhMA05o5oE

    changer le niveau de stimulation de différentes zones cérébrales ou encore modifier le rythme respiratoire. Les études en neuro-imagerie montrent que la musique peut changer en profondeur l’état de vastes zones neuronales dans le cerveau. Et pas uniquement celles liées au traitement auditif ou moteur. Ainsi cortex insulaire, cortex cingulaire antérieur, striatum, amygdale, hippocampe ou encore cortex préfrontal ventromédian sont stimulables par la simple écoute musicale. L’écoute de musique plaisante augmente de 7.5% en moyenne l’émission de dopamine, ce neurotransmetteur que le cerveau libère lors d’une expérience positive. Associer sa marque à l’hormone du plaisir est ainsi la quête ultime des neuro-marketeurs qui conseillent par exemple McDonald’s ou Coca-Cola.

    D’autres études se sont penchées sur le lien entre la musique et le cortisol - baptisée l’hormone du stress (il s’agit en fait d’une hormone fondamentale dans le métabolisme du glucose, la suppression de l’inflammation et l’adaptation au stress). En effet, l’écoute de musique plaisante diminue le taux de cortisol. Inversement un son strident l'augmente, et va donc provoquer du stress. Ce n’est pas pour rien que le son d’une portière de voiture haut de gamme est "lourd" et "rond" plutôt que "strident" et "aigu"… Ça rassure.

    Faire passer les bonnes émotions en musique

    Pour Kant, "la musique est la langue des émotions". Un son, une voix ou une musique peut déclencher une émotion de surprise, de peur ou de joie. Ainsi, le claquement inattendu d’une porte va nous surprendre - négativement -… tout comme le morceau qui ne suivrait pas l’harmonie diatonique usuelle (en tout cas en occident) attendue par notre cerveau. Mozart a utilisé cet effet dans son "Ein musikalischer Spass" (K.522) où il conclut le morceau par une surprise sonore de manière volontaire avec cette première utilisation de la polytonalité.

    La marque doit être consciente de ce phénomène pour que son discours soit en phase avec sa musique. Par exemple, il va être difficile de tenir un positionnement optimiste sur une musique en mode mineur qui sera perçue comme plus "triste". L'identité sonore de la marque doit avant tout être cohérente.

    Marquer les esprits

    D’un point de vue cognitif, les éléments sonores sont de véritables indices mnésiques, facilitant le rappel d’une marque. À ce titre, les quelques notes de Lalo Schifrin, créées pour le film The Fox, et ré-arrangées par Pierre Montanna, sont immanquablement associées à la marque Dim. La marque reçoit le meilleur score d’attribution au baromètre des identités musicales de marque d’AtooMedia. La plupart des (bons) jingles procurent un effet mémoriel.

    Grâce aux inférences cognitives, la musique constitue également un véritable langage. Par exemple, tempo et timbre influence l’image de marque évoquée : la marque va avoir un caractère majestueux, calme et aérien avec un tempo lent et un thème joué au violon ; elle aura un côté aquatique pour un tempo lent et un thème joué au piano et une dimension santé et dynamisme très nette dans le cas d’un tempo rapide et d’un vent comme instrument principal.

    Pour piloter finement son capital sonore de marque, il est important d’avoir en tête ces trois modes d’influence de la musique sur le comportement de l’individu. Un bon jingle qui rappellera la marque quasiment à coup sûr pourrait -en même temps- générer des inférences négatives dommageables pour l’image de marque… cela s’analyse proprement, en étant en premier lieu conscient des empreintes sonores de sa marque.

    Médiavéa

    Pfff'; j'ai dû corriger une dizaine de fautes d'orthographe dans ce texte (sans parler de la ponctuation)… vive l’Éducation nationale Française!

  • Dangers de certains végétaux

    On a vu que la peau des fruits et des légumes qui pouvait véhiculer de nombreux agents pathogènes mais il existe d’autres risques à prendre en considération.

    Tomates:

    les feuilles et branches sont très toxiques

    Les champignons:

    Attention, si vous les connaissez pas : DANGER ! Car de nombreux champignons toxiques ressemblent à leur voisin comestible.

    Comme par exemple, dans les champignons blancs à pied (amanite phalloïde ou amanite vireuse), la gyromitre (fausse morille), Galerina marginata qui est confondue avec la Pholiote qui pousse également sur le bois, plusieurs lépiotes sont toxiques voir mortelles, comme la lépiote brune alors que d’autres lépiotes comme la coulemelle sont parfaitement comestibles...

    Ramassez ceux que vous connaissez parfaitement mais dès que vous avez un doute, nous vous conseillons de les mettre dans des sacs séparés et d’aller à la pharmacie afin qu’un expert vous fasse le tri entre les comestibles, les mangeables mais pas très bons, ceux susceptibles de vous rendre malade et les MORTELS !

    Les baies ou petits fruits des arbres:

     Ils ont l’air d’être très appétissants mais ils ne sont pas tous comestibles. En effet certains fruits sont toxiques. Il est difficile de tous les nommer tellement la liste est longue. Il s’agit par exemple des baies de Laurier, Houx, Arum, Lierre, Chèvrefeuille, Fusain, Muguet de mai, Corroyère (mûres sauvages en forme d’étoile à 5 parties), Aucuba, Cornouiller, Tamier commun, Ginkgo biloba, Parisette, Cotonéaster, Belladone, Vigne vierge...

     Et de très nombreuses autres baies rouges ou noires. Si vous n’êtes pas certains que cela soit des mûres, myrtilles, cassis ou groseilles, abstenez-vous de les toucher ! Et si vous l’avez fait, lavez-vous bien les mains.

    Parallèlement, certaines baies comme celles d’épine-vinette ou vinetier sont toxiques (troubles digestifs) lorsqu'elles sont vertes mais parfaitement comestibles une fois mûres, elles sont alors rouge vif.

     De même, il faut se méfier du Sureau car ses baies sont délicieuses en jus ou en sirop mais ses branches, ses graines et ses racines contiennent du cyanure, tandis que ses fleurs et ses fruits, quand ils ne sont pas assez mûrs, peuvent contenir un alcaloïde toxique.