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DANGERS - Page 59

  • LE MIRACLE DES MIRACLES... si vous souffrez de sclérose en plaques et autres maladies auto-imunes...

    FAIRE CIRCULER SUR TOUTE LA PLANÈTE!

     

    La sclérose en plaques: à la veille du miracle

    L’essai clinique est sur le point de débuter. En juin. Un seul pa­tient. L’enjeu est énorme. Une maladie réputée incurable pourrait être soignée. Et un vaccin serait possible. Le professeur Jean-Marie Saint-Remy, fondateur de la spinoff ImCyse, est à la veille d’une consécration. Il aura bien­tôt vaincu la sclérose en plaques.

    Un premier patient, pour un essai clinique aussi crucial qu’une thérapie qui guérirait définitivement la sclérose en plaques, ça paraît peu. Mais le défi est gigantesque, et ne peut attendre l’arrivée des futurs patients annoncés.

    On imagine la pression. D’abord pour le patient (ou la patiente) en question, qui n’a pas souhaité livrer son témoignage ici. À quoi bon s’exposer mainte­nant dans la presse? Aussi prometteuse que soit l’expérience, il n’y a pas encore à se vanter d’une victoire, avant qu’ait eu lieu le combat. Mieux vaut arriver avec la bonne nouvelle d’une réussite, d’une guérison!

    La première injection du traitement proprement dit aura lieu dans moins d’un mois, en juin. L’heure est à la concentration, aux préparatifs finaux, à la prière…

    Et on imagine aussi la pression pour le corps médical qui l’entoure, le médecin de ce (cette) patient(e), le profes­seur Vincent Van Pesch, neurologue aux cliniques universitaires SaintLuc. Et sur­tout pour un autre professeur, Jean-Marie Saint-Remy, celui par qui tout est devenu possible, l’homme de science qui a mis la thérapie au point, avec son équipe d’une pe­tite quinzaine de cher­cheurs. Nous le retro­uvons au bio-incubateur de la KUL, dans les locaux d’Im­Cyse, la société qu’il a fondée en juillet 2010. Im­Cyse est aussi installé au Giga du Sart Tilman à Liège. Wal­lo­nie, Flandre, Bruxelles, … les trois régions sont im­pli­quées.

    L’enthousiasme et l’intensité du moment, c’est dans les yeux de Jean-Ma­rie Saint-Remy que nous les lisons aujourd’hui. Le professeur se sait à un doigt d’une réussite immense. Sa thérapie est révolutionnaire, au sens où l’approche est différente, un peu à la manière de l’œuf de Colomb. Le doc­teur SaintRemy n’a pas aménagé ou transformé des outils existants, qui font très bien ce qu’ils ont à faire, dans les limites étroites de leur périmètre. Non, il en a inventé d’autres, d’une autre nature, dans une autre dimension stratégique. Et sa trouvaille lui a permis d’envisager de guérir, d’éliminer définitivement le facteur de maladie, là où l’état actuel de la médecine permet seulement de gérer des symptômes, avec le secours de médications dont les effets secondaires finissent par faire plus de mal que de bien. (Vi, suis au courant!)

    Ce que la plate­forme technologique d’Im­Cyse met en œuvre représente un espoir de se débarrasser de la sclérose en plaques, mais aussi d’autres maladies auto-immunitaires. Non seulement d’en guérir, mais aussi de s’en prémunir, car la technique d’Im­Cyse ouvre aussi la voie à des campagnes de vaccination. "Les traitements classiques de la sclérose en plaques, à base de corticostéroïdes, d’an­ticorps monoclonaux, de molécules chimiques, ne sont jamais qu’un mauvais compromis entre la prise d’un maximum de médicaments, pour un effet maximum, et un minimum d’effets secondaires indésirables", explique Jean-Marie Saint-Remy. Dépasser la logique du mauvais compromis rendra possible l’impossible.

    Depuis en 1996, quelques temps après la maladie auto-immune de ma fille et avec les recherches difficiles sur un internet qui ramait comme vous ne pouvez imaginer, sans moteur de recherches (et oui), il y avait si peu de sites (la France était en retard!), j'ai compris que les maladies inflammatoires étaient tellement nombreuses et différentes que le jour où un scientifique trouvait le moyen de supprimer cette réaction auto-immune inflammatoire, j'expliquais autour de moi que, ce jour-là, la sécurité sociale française ne serait plus jamais en faillite!

    Et, nous y voila presque! Croisons les doigts comme m'a dit mon amie médecin, ce serait génial si c'était possible!

  • Il est fou, celui-là ou quoi?

    Je viens à l'instant même de fermer le téléviseur sur une Escapade de Petitrenaud, qui se déroulait à Marseille… En fait, je suis entrée dans l'émission au moment où le toqué de la toque, un certain Ludo, nous démontrait sa bouillabaisse, que d'ailleurs, il intitule, sans se casser la tête: “Ma bouillabaisse“.

    DANGER TOTAL dans chacun de ses moindres gestes!

    Il fait de la cuisine de “pin's“ comme dit ma fille, celle où l'assiette est 3 fois plus grande que ce qui est à l'intérieur; celle où, aussitôt que l'on a réglé la note (qui doit être à la hauteur de son arrogance), on file vite fait vers le Macdo en face pour avoir quelque chose qui vous rempli l'estomac. Ces trucs-gargottes sont ouverts tout le temps et il y en a tous les coins de rue, honte aux Français qui s'en repaissent!

    Je le vois faire cuire 1 poisson (rouget je crois, mais bon, j'ai déjà dit: je ne suis pas spécialiste en poisson, surtout qu'il s'agit là de filets) à la vapeur: simple comme bonjour; le petit bout de poisson est posé sur une assiette, il le filme bien serré et le pose sur une casserole d'eau bouillante, le bain marie que l'on connait tous.

    Vous me direz: et alors? le film étirable, c'est des composés chimiques en veux-tu en voilà… surtout quand on y dépose un aliment chaud.

    Puis, il prend l'autre poisson, il le met également dans un film et le pose sur une plancha qui est mouillée d'huile….

    Et alors? le film étirable, c'est des composés chimiques en veux-tu en voilà… et c'est bien pire si on le met à cuire avec l'aliment! par la plancha, le bain-marie ou autre!

    Et comme le toqué vous concocte la bouillabaisse à sa façon, il y a deux pommes de terre creusées d'un côté, dans lequel il verse la rouille, fait maison comme il se doit.

    Pour la rouille, je n'ai pas vu la préparation mais je suppose qu'il doit la fabriquer à sa manière désastreuse.

    Mais, là où j'avais envie de vomir, c'est qu'il a posé un morceau de pomme de terre pour le colorer, sur un grand plat de pain noir qu'il disait. Ce pain est brûlé à noir et réduit en poudre….. Réduit à noir: bonjour le cancer!

    Si vous n'avez pas le cœur sensible, visitez mon site

    www.tradi-cuisine.com

    et lisez les dossiers; dans le blog, vous trouverez toutes les aberrations de la cuisine actuelle, des matériaux utilisés.  

    Et à la fin de l'émission, j'apprends que sa maman lui dirait, en le voyant faire: c'est pas comme ça qu'on fait (humour, il parait)

    Il vient d'avoir une étoile Michelin et il n'a que 26 ans nous commente joyeusement Petitrenaud!

    Je ne dis rien pour l'âge… bien sûr, tout le monde n'est pas parfait.

    Mais, je finis cette note par la morale de l'histoire pré-citée: surtout, n'allez JAMAIS PLUS dans ces restaurants étoilés, quel qu'en soit le nombre, car les préparations et la cuisine des produits mis dans leurs belles assiettes, c'est le plus court chemin pour aller à l'hôpital!

    Contentez-vous d'apprendre à cuisiner vous-même, faites les recettes comme autrefois, dans de bons articles de cuisine d'autrefois: du verre, de l'émail, de l'inox ou, au moins pire, de céramique.

    Contentez-vous d'apprendre à choisir les bon produits, même s'ils sont surgelés: les aliments sont D’ABORD surgelés avant d'être mis dans les sachets plastiques, donc, pour les décongeler sortez-les du sachet et laissez la tiédeur de votre cuisine faire.

    Contentez-vous de faire appel à votre bon sens…. votre intuition vous indiquera si vous agissez mal… d'ailleurs, votre corps vous le fera vite savoir si vous lui donnez n'importe quels mauvais aliments.

     

     

     

  • additifs alimentaires: DANGER

    Liste complète

    Voici la liste qui se veut exhaustive (mais qui ne l'est pas) de tous les colorants, conservateurs, antioxydants, émulsifiants et additifs que l'on peut trouver sur le marché alimentaire Français et Européen. Ils sont au nombre de 150.

    E100

     Type: Colorant.

     Nom: Curcumine.

     Couleur: Jaune.

     Remarque: Produit naturel (curcuma) ou produit chimique. Innocuité toxicologique.

    E101

     Type: Colorant.

     Nom: Lactoflavine (Riboflavine).

     Couleur: Jaune.

     Remarque: Produit naturel (lait, foie, jaune d'œuf) ou produit chimique. Innocuité toxicologique.

    E102

     Type: Colorant.

     Nom: Tartrazine.

     Couleur: Jaune.

     Remarque: Produit chimique dangereux pour la santé. Risque important  d'allergie.

    E103

     Type: Colorant.

     Nom: Chrysoïne S.

     Couleur: Jaune.

     Remarque: Produit chimique  dangereux pour les enfants. Interdit en France . Supprimé dans les pays de la CEE depuis le 1er janvier 1977.

    E104

     Type: Colorant.

     Nom: Jaune de quinoléine.

     Couleur: Jaune.

     Remarque: Produit chimique. Innocuité discutable. Suspect. Dans le doute, s'abstenir.

    E105

     Type: Colorant.

     Nom: Jaune solide.

     Couleur: Jaune.

     Remarque: Produit chimique dangereux. Risque d'allergie grave. Interdit en France.  Supprimé dans les pays de la CEE depuis le 1er janvier 1977

    E110

     Type: Colorant.

     Nom: Jaune orangé.

     Couleur: Orange.

     Remarque: Produit chimique dangereux . Risque d'allergie grave . A éviter absolument.

    E111

     Type: Colorant.

     Nom: Orangé GGN.

     Couleur: Orange.

     Remarque: Produit chimique dangereux . A ne pas consommer . Interdit en France.  Supprimé dans les pays de la CEE depuis le 1er janvier 1977.

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