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DANGERS - Page 57

  • Un peu d'huile d'olive tous les jours...

    Quatre semaines de supplémentation en huile d’olive permettent de contrer les effets néfastes de la pollution et d’atténuer la dysfonction endothéliale, signe avant-coureur d'athérosclérose.

    Une supplémentation alimentaire avec de l’huile d’olive pourrait protéger les vaisseaux sanguins des effets néfastes de la pollution. Telles sont les conclusions d’une étude de l'Agence américaine de protection de l'environnement parue dans la revue Environmental Health Perspectives.

    “Les études épidémiologiques montrent qu’il existe une association entre l’exposition aux particules fines et de nombreux troubles cardiovasculaires“ disent les chercheurs. L’exposition à la pollution de l’air et particulièrement aux particules fines provenant des combustibles dans les voitures peuvent affecter le fonctionnement des cellules qui tapissent les vaisseaux sanguins – l’endothélium – conduisant à une dysfonction endothéliale qui, à son tour, pourrait affecter la santé cardiovasculaire. "La dysfonction endothéliale est une étape précoce critique dans le développement de l’athérosclérose".

    Dans cette nouvelle étude, 42 personnes ont reçu soit aucun supplément, soit un supplément de 3 g par jour d’huile d’olive (73% d’acide oléique et 12% d’acide palmitique) ou d’huile de poisson (1230 mg d’EPA et 822 md de DHA). Les participants ont pris les suppléments d’huile pendant 4 semaines avant une exposition de 2 heures à de l’air contenant des particules fines. La fonction endothéliale a été évaluée avant l’exposition, immédiatement après et 20 heures après par la mesure de la vasodilatation médiée par le flux (FMD flow-mediated dilatation) de l’artère brachiale qui est une méthode à ultrasons non invasive.

    Les résultats montrent que la fonction endothéliale est significativement affectée – réduite d’environ 20% – dans le groupe qui ne prend pas de suppléments, un peu moins (13,7%) dans le groupe qui a pris des suppléments d’huile de poisson et presque pas (seulement de 7,6%, une réduction non significative) dans le groupe qui a reçu des suppléments d’huile d’olive.

    L’exposition à la pollution de l’air augmente de 17% des biomarqueurs de l’inflammation dans le groupe qui n’a pris aucun supplément mais pas dans les groupes supplémentés en huile de poisson ou huile d’olive.

    Pourquoi l'huile de poisson ne semble pas protéger la fonction endothéliale alors qu'elle est riche en oméga-3 protecteurs? Pour les chercheurs, l’huile de poisson a montré des effets bénéfiques sur la santé vasculaire chez des personnes avec des niveaux anormaux de lipides sanguins ou présentant une insuffisance cardiaque ou un diabète. C'est pour les sujets en bonne santé que les résultats sont contradictoires.

    Même si le mécanisme d’action n’a pas été étudié, les scientifiques supposent que l’acide oléique est le composant bioactif clé. "L’acide oléique présent dans l’huile d’olive a des propriétés anti-oxydantes et anti-inflammatoires et des études ont montré qu’une supplémentation en huile d’olive permet d’améliorer la fonction endothéliale et le profil lipidique et diminue ainsi le risque coronarien". D’autres études ont constaté que l’huile d’olive améliore la fonction endothéliale, augmente la vasodilatation médiée par le flux et diminue la pression artérielle chez des sujets sains et légèrement hypertendus.

    "Nos résultats suggèrent que 4 semaines de supplémentation alimentaire en huile d’olive atténuent la réduction de la FMD induite par les particules fines, et ces données suggèrent qu’une supplémentation en huile d’olive devrait être envisagée comme une intervention possible pour contrer les effets néfastes de la pollution de l’air sur la santé vasculaire" concluent les chercheurs.

    Source

    Tong H, Rappold AG, Caughey M, Hinderliter AL, Bassett M, Montilla T, Case MW, Berntsen J, Bromberg PA, Cascio WE, Diaz-Sanchez D, Devlin RB, Samet JM. Dietary Supplementation with Olive Oil or Fish Oil and Vascular Effects of Concentrated Ambient Particulate Matter Exposure in Human Volunteers. Environ Health Perspect. 2015 Nov;123(11):1173-9. doi: 10.1289/ehp.1408988. Epub 2015 May 1.

     

    Toulouse, toulousain, société, santé, cuisine, recettes, gastronomie, Occitanie

  • Nous voilà bien!!!

    En Chine, des bactéries résistantes aux antibiotiques donnés "en dernier recours"

    Des chercheurs chinois ont identifié, chez le porc et chez l'homme, des populations de bactéries porteuses d'un gène qui rend inefficace certains antibiotiques donnés "en dernier recours". La découverte, publiée ce 19 novembre dans The Lancet Infectious Diseases, alimente de nombreuses craintes.

    Les polymyxines (colistine et polymyxine) sont de puissants antibiotiques principalement utilisés en réanimation et pour enrayer des infections graves, résistantes aux autres traitements. En Chine, l'un des plus gros producteurs de colistine, ces antibiotiques sont surtout utilisés en médecine vétérinaire.

    En effectuant un contrôle de routine sur des porcs, l'équipe du professeur Jian-Hua Liu, de l'Université agricole de Canton, a identifié une souche de E. coli (ou colibacille) résistante à la colistine "chez un cinquième des animaux testés" (804 bêtes, les échantillons étant recueillis entre avril 2011 et novembre 2014).

    Or, la souche bactérienne identifiée (SHP45) peut facilement partager son matériel génétique avec d'autres bactéries, telles que Klebsiella pneumoniae, responsable d'infections pulmonaires.

    Les analyses ont révélé que la résistance à la colistine s'expliquait par une mutation du gène "mcr-1". Des expériences en laboratoire ont confirmé que mcr-1 pouvait bel et bien être se transférer spontanément d'E. coli à Klebsiella pneumoniae.

    Des E. coli porteuses du gène de résistance ont été retrouvées "sur 78 des 523 échantillons de viande crue collectés dans le pays entre 2011 et 2014", alertent les chercheurs.

    Au cours d'une dernière évaluation, réalisée sur 1.322 patients hospitalisés dans le sud de la Chine, 16 patients étaient infectés par des bactéries porteuses de la mutation.

    Un risque de propagation

    Bien que limitée pour l'instant à la Chine, la résistance à la colistine pourrait se développer à l'échelle mondiale, alertent les auteurs de l'étude. Cette mise en garde a été jugée très crédible par de nombreux experts.

    "C'est une étude très inquiétante dans la mesure ou les polymyxines sont des antibiotiques qui sont souvent donnés en dernier ressort pour traiter des infections graves", a déclaré Laura Piddock, un professeur de microbiologie à l'Université de Birmingham (Royaume-Uni).

    Pour le Pr Nigel Brown de la société britannique de microbiologie, "maintenant qu'il a été démontré que [cette] résistance peut se transférer d'une bactérie à une autre, une autre ligne de défense contre l'infection est en passe de tomber".

    Les élevages pointés du doigt

    Cette annonce survient durant la "première semaine mondiale pour un bon usage des antibiotiques" coordonnée par l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Ce 16 novembre à Genève, le Dr Margaret Chan, directrice générale de l'OMS, avait rappelé que la résistance aux antibiotiques atteignait désormais "des niveaux dangereusement élevés dans toutes les parties du monde" et constituait "un immense danger pour la santé mondiale".

    "Les super-bactéries hantent les hôpitaux et les unités de soins intensifs du monde entier", avait-elle ajouté, avant de souligner que ce fléau est lié à la surconsommation et à la mauvaise utilisation des antibiotiques.

    Leur utilisation massive dans les élevages a été dénoncée à de nombreuses reprises ces dernières années, conduisant certains pays à prendre des mesures destinées à en restreindre l'usage.

    Les auteurs de l'étude chinoise notent pour leur part que la résistance à la colistine s'est "probablement" produite d'abord chez l'animal, et réclament en conséquence une "réévaluation rapide" de l'utilisation de cet antibiotique dans les élevages.

     "Une des rares solutions pour éviter ces liens est la réduction ou la cessation de l'utilisation de la colistine dans l'agriculture", relèvent de leur côté David Paterson et Patricia Harris, deux chercheurs australiens dans un commentaire joint à l'étude.

    En Europe, la colistine est surtout vendue dans trois pays, l'Espagne, l'Allemagne et l'Italie, note pour sa part le Dr David Burch, un chirurgien vétérinaire britannique membre de l'Alliance Ruma (qui défend une utilisation responsables des médicaments dans l'agriculture). Il estime "[qu'il] faudrait surveiller les données de ces pays pour voir si la situation a changé de façon spectaculaire ces dernières années, avant de prendre des mesures radicales pour restreindre son usage en médecine vétérinaire".

    Source : Emergence of plasmid-mediated colistin resistance mechanism MCR-1 in animals and human beings in China: a microbiological and molecular biological study. Yi-Yun Liu et al. Lancet Infectious Diseases, 19 nov. 2015. doi:10.1016/S1473-3099(15)00424-7

  • Juste pour dire….

     La météo ne cesse de nous dire que nous battons en ce moment les températures de novembre depuis 1955....

     

    Et après 1955?

     

    Viens février 1956…. je m'en souviens encore!!! je n'avais pourtant que 6 ans.

     

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    Alors, cramponnez-vous!

     

     

  • Depuis le temps que j'avertis tout le monde!

     Une ONG alerte sur la contamination chimique d'aliments via des emballages

    L'ONG Foodwatch a alerté, mardi 27 octobre, sur la contamination chimique de produits alimentaires courants comme les pâtes ou le riz par les emballages cartonnés, et demande aux pouvoirs publics de rendre obligatoires de nouvelles règles.

    "Des huiles dérivées d'hydrocarbures sont retrouvées dans les aliments de grande consommation comme les pâtes, les lentilles, les céréales, les biscuits ou le riz", a affirmé lors d'une conférence de presse Ingrid Kragl, directrice de l'information de Foodwatch en France. "Ces huiles renferment des substances toxiques et l'industrie alimentaire doit agir pour mettre des barrières entre les emballages cartonnés et les contenus alimentaires", a demandé la responsable en présentant une enquête sur 42 produits de très grande consommation en France achetés dans différents hypermarchés.

    Selon Foodwatch, la contamination par ces "huiles minérales" de la nourriture emballée a plusieurs origines: le carton recyclé, des cartons non recyclés mais contaminés par l'environnement extérieur et les résidus des produits lubrifiants des machines lors de la fabrication. " Les emballages recyclés restent néanmoins l'une des sources principales de contamination ", affirme l'ONG. Cela s'explique par l'accumulation d'encres et d'autres substances comme des solvants.

    "Une préoccupation potentielle" (Efsa)

    Deux catégories d'huiles sont mises en cause : les MOAH (mineral oil aromatic hydrocarbons), suspectées d'être cancérigènes et mutagènes, et les MOSH (mineral oil saturated hydrocarbons). Aucune réglementation n'existe actuellement sur les quantités acceptables de ces huiles minérales dans les produits alimentaires. Mais l'agence sanitaire européenne (Efsa), dans un avis de 2012, indiquait que l'exposition à ces substances via la nourriture était " une préoccupation potentielle ". L'ONG demande que des seuils limite par substance soient fixés, et même qu'une tolérance zéro soit appliquée sur les MOAH (hydrocarbures aromatiques d'huile minérale).

    L'ONG, qui lance une pétition, exige aussi que "des barrières efficaces" soient mises en place par les industriels pour éviter ce phénomène de "migration" du carton vers les denrées alimentaires. " Il existe des solutions", a affirmé Ingrid Kragl, citant en exemple des sachets intérieurs empêchant cette "migration" de substances, une couche protectrice appliquée sur le carton ou un matériau absorbant permettant de piéger ces huiles dans l'emballage. Pour preuve qu'il est possible d'agir, Foodwatch a mis en avant les résultats de tests en laboratoires effectués sur 120 produits en Allemagne, Pays-Bas et France.

    Pour un même type de produit (pâtes, biscuits, couscous, etc.), les teneurs en huiles minérales sont très variables d'une marque à une autre. Pour le riz par exemple, sept marques ont été testées en France : la quantité d'huiles MOSH peut varier de 0 à 5 mg/kg, celle de MOAH de 0 à 1,1 mg/kg.

    Raison garder

    L'Association nationale des industries alimentaires (Ania) a pour sa part indiqué que " la détection de traces d'une substance comme les huiles minérales n'induit pas nécessairement un risque pour la santé". "Avant de générer volontairement des peurs infondées visant à jeter le discrédit sur toute une profession, il est indispensable de faire appel aux agences de sécurité en charge d'évaluer les risques liés à la sécurité des aliments dont c'est la mission et l'expertise. Il est nécessaire d'agir avec responsabilité et discernement", a déclaré le président de l'Ania, Jean-Philippe Girard, cité dans un communiqué.

    Pour cette campagne, Foodwatch a reçu le soutien du Réseau environnement santé (RES), présidé par le toxicologue André Cicolella et qui regroupe des associations impliquées dans les problèmes de santé liés à l'environnement. Le réseau a notamment contribué à la prise de conscience du rôle des perturbateurs endocriniens, comme le Bisphénol A, dans de nombreuses maladies.

     

    AUTANT QUE FAIRE CE PEUT

    Comme indiqué dans mon site qui vous avertit des poisons en cuisine:

    www.tradi-cuisine.com

    Lisez tous les dossiers et le blog!

     

    Utilisez des produits mis en pots de verre

    Achetez des produits surgelés: les aliments sont surgelés AVANT d'être emballés. Pour les cuisiner ou les consommer, sortez-les du paquet et posez sur une assiette pour décongeler. Bannissez, je vous prie les plats mélamines: utilisez uniquement le verre ou la céramique pour votre service de table. Bannissez le silicone, utilisez des mouvettes de bois ou ustensiles inox.

    Ne faites jamais cuire dans des barquettes alu, n'utilisez pas de papier cuisson

    Utilisez uniquement des poêles en fer sans antiadhérant, des récipients en céramique, inox ou en verre. Une poêle en fer bien culottée (c'est expliqué sur mon site) n'attache pas! Si vous ne pouvez pas faire moins, utilisez des récipients en céramique, c'est moins pollué que les autres type silicone, pierre etc.

    Achetez des produits en boîtes carton que si vous savez que l'objet de vos désirs est dans un sachet sans impression, style weetabix original. Et encore, l'emballage me fait crisser les dents.

    C'est comme le lait en boîte, ça m'agace mais, impossible de faire autrement!

    Ce qui me met en colère c'est que DE TRES NOMBREUX produits bio sont dans des boites et emballages plastiques!!!! rrr!!!!

     

    Perso, j'ai travaillé 15 ans les imprimeries, alors les polluants d'encre, je connais!

     

  • Piqûre de rappel

    Barbecues 

    Le bon usage d'un barbecue impose le respect de certaines règles.

    Les risques

    Les brûlures : elles surviennent principalement en allumant ou en réactivant le feu avec de l'essence (retour de flamme) mais aussi en cas de contact direct avec un élément chaud (grille, cuve, basculement du barbecue...). Choisissez du charbon de bonne qualité pour éviter de devoir recharger l'appareil en cours de route (opération entraînant l'enlèvement de la grille).

    Les intoxications : elles sont dues au monoxyde de carbone en cas d'utilisation dans un lieu confiné (garage, véranda). Les notices précisent désormais que les barbecues à gaz et à charbon sont conçus pour un usage en plein air. L'ingestion de produits allume-feu (produits nocifs à tenir hors de portée des enfants) et l'inhalation ou l'ingestion de composés chimiques cancérogènes (HAP) en sont aussi les causes.

    L'incendie : il se produit en cas d'installation près de matières combustibles (parasol, haies, arbustes...) ou de grand vent.

    Les précautions à prendre

    Installation. Placer l'appareil sur un sol stable (pour éviter le basculement en cas de coup de vent brusque, de choc par un animal ou un ballon...) et à une distance raisonnable d'arbres, de haies, etc. Tenir toujours les enfants éloignés (et les chiens). Par mesure de précaution, garder à portée de main un seau d'eau ou de sable, voire un extincteur.

    Préparation. Préférer le charbon de bois de marque NF, ne jamais utiliser d'alcool à brûler, d'essence ou d'allume-feu liquide pour allumer ou raviver les braises (risque de retour de flamme important) ; employer des boules de papier froissé, des allume-feu en briquettes ou cubes ; éviter de recourir aux cageots de récupération (ils contiennent des pesticides), aux bois vernis ou peints. Le pouvoir calorifique du charbon de bois est deux fois plus élevé que celui du bois.

    Cuisson. À la braise, pas à la flamme ! La grille doit être au moins à 10 cm de la source de chaleur. S'équiper de gants et d'accessoires à longs manches (fourchettes, pinces...). Certains modèles permettent de régler l'intensité du feu grâce au contrôle d'arrivée d'air. Ne jamais déplacer le barbecue pendant son fonctionnement. Après usage, éteindre le feu avec de l'eau ou du sable. Même si les cendres semblent froides, il peut subsister des braises chaudes plus de 24 h après l'utilisation du barbecue. Pour le gaz, fermer d'abord la bouteille puis les commandes (pour vider le gaz restant dans les tuyaux).

    Entretien. Vider les cendres et les bacs de récupération des graisses, nettoyer les grilles (de préférence quand elles sont tièdes, pour éviter que les déchets de nourriture ne s'y fixent) avec une brosse métallique (certains prennent du papier journal) et y passer ensuite un essuie-tout imbibé d'huile. Les cendres froides peuvent servir d'engrais, de compost, voire... être gardées pour l'hiver et versées sur les trottoirs verglacés.

    Bon à savoir

    Si vous avez entreposé votre appareil à gaz dehors sous une housse ou dans un cabanon, le « nettoyage de printemps » s'impose. Il peut avoir subi des dommages (tuyau de gaz abîmé par des rongeurs ; insectes ayant trouvé refuge à l'intérieur des brûleurs, y ayant fait leur nid...). Un seul mot d'ordre : nettoyer et réviser avant de faire fonctionner. Pour vérifier l'étanchéité du tuyau, faites-le tremper dans une bassine d'eau avec du savon: en cas de fuite, des bulles se formeront à la surface.

    En cas d'accident

    Voici les bons gestes à adopter pour limiter les lésions et séquelles si, malgré les précautions prises, un accident survenait.

    Les vêtements se sont enflammés : enroulez la personne dans une couverture (en fibres naturelles) pour étouffer les flammes. Ne pas la déshabiller, la mettre sous la douche ou l'arroser au jet tout habillée quelques minutes, en attendant l'arrivée des secours.

    Une partie du corps est brûlée (mains, visage, torse...) : arrosez-la dix minutes au moins sous un jet d'eau froide continu. Si la brûlure est importante ou profonde appelez le Samu (15) ou rendez-vous directement aux urgences.

    http://www.quechoisir.org/equipement-de-la-maison/electromenager/petit-electromenager-ustensile/conseils-barbecues-conseils

  • Galettes de pois chiches

    Hyper facile, pas cher du tout et rapide à faire.

    Si vous les cuisez vous-même, 1 petit truc à faire avant qui est très diététique.

    Faites germer vos pois chiches. Versez la quantité souhaitée dans un saladier de verre; Arrosez d'eau (ou comme moi, d'eau en bouteille car je n'ai guère envie de me polluer aux molécules pharmaceutiques contenues dans l'eau du robinet puisqu'il n'existe aucun moyen de les voir et de les faire partir… j'en ai déjà parlé).

    Vous laissez tremper une nuit et journée, sur le comptoir, après avoir couvert d'un torchon propre. Le comptoir? il s'agit d'un coin de votre cuisine où vous laisserez le saladier en paix… température ambiante, donc.

    Passez les pois chiches à travers une passoire; ils ont bien gonflés avec de la bonne eau…. vous allez désormais passer les pois chiches dans la passoire, sous l'eau courante du robinet et remettez dans le saladier, pas trop essorés tout de même mais sans laisser de l'eau… oui, ce n'est pas facile. Mais, là, attention, vous ne mettez pas le saladier à plat. Posez-le sur un objet qui va maintenir le saladier “de trabiole“. Recouvrez à nouveau du torchon et attendez le lendemain matin.

    Vous recommencez à passer sous l'eau et vous le remettez de traviole sous son torchon.

    Vous allez commencer à voir de petits de germination. Recommencez le soir et durant deux jours. Plus les germes sont gros mieux c'est.

    Au moment où vous vous dites que les germes sont assez gros, vous pouvez goûter pour savoir s'ils sont comestibles (tendres). Là, vous pouvez les préparer en salade, c'est en fait le mieux: les graines germées, il vaut mieux les consommer crues.

    Sinon, écrasez les pois chiches pratiquement en purée, salez, poivrez, vous pouvez rajouter persil, ail et/ou ciboulette. Rajoutez de l'huile d'olive éventuellement pour délayer mais pas trop, il vaut mieux une purée épaisse.

    Découpez la purée en portions ou en faisant rouler dans des cuillères à soupe pour avoir des sortes de croquettes, et faites rissoler dans de l'huile sans trop la secouer pour qu'elle ne s'émiette pas. Retirez, posez sur un papier absorbant. Vous vous en servez pour accompagner les viandes grillées ou mieux encore, des légumes genre piperade.

    Sachez que graines germée cuites ont perdu les propriétés de santé de la graine…. Mais, il en reste encore un peu si vous n'avez pas trop cuit ces graines.

    Je me sers de ce système pour les haricots blancs et les lentilles.

    Prière de ne jamais acheter des graines germées qui ne sont pas faites en France: nos pauvres agriculteurs sont terrassés par les innombrables normes sanitaires, inventées par les débiles de la Commission européenne et donc, votre choix délibérés d'acheter français vous assure d'une petite certitude que vous consommez du bon et du sain. D'ailleurs, je n'ai jamais compris comment SEULE la France respecte au pied de la lettre toutes les con… des technocrates de Bruxelles, alors que les autres pays s'en lavent la chemise… et font mourir nos paysans français.

    Il y a eu énormément d'intoxication partout au monde avec des graines germées par des professionnels. Il arrive très souvent que les graines germées de ces gens là, empoisonnent et tuent beaucoup de gens. Je ne sais pas comment ils s'y prennent. Mais, ceux qui ont la patience de les faire eux-mêmes non pas de problèmes.

     

  • Adieu à la gastronomie française!

    La phrase du jour

    “Nous appliquons strictement des sanctions [contre la Russie], sous la pression de certains de nos alliés et notamment des Américains, alors même que les autres pays se gardent bien de les appliquer, les Américains les premiers ! Résultat : les sanctions, c’est pour nous et les contrats pour les autres. On le voit bien avec la signature d’un accord entre Moscou et le groupe américain Bell Helicopter concernant une usine d’assemblage en Russie. Ou avec le contrat de 490 millions de dollars que la Nasa a signé avec l’Agence spatiale russe, le jour même où la France renonçait aux contrats du Mistral. Sans compter que l’embargo russe décrété en réplique sur nos produits touche de plein fouet nos agriculteurs."

    Thierry Mariani, député républicain, dans "le Figaro".

    Après les débordements musclés de juillet, les agriculteurs ne désarment pas, les mesures en faveur du relèvement des prix du lait et de la viande ne donnant pas les résultats escomptés. Lundi encore, deux industriels - Cooperl et Bigard/Socopa - n'ont ainsi pas participé au Marché du porc breton, estimant la viande trop chère.

    Alors que le premier ministre Manuel Valls rencontre des agriculteurs dans le Gard ce mardi, les actions ciblées et sporadiques se poursuivent. Vendredi, à Rodez, dans l'Aveyron, une vive altercation a opposé une cinquantaine d'éleveurs à un fournisseur de viande pour la restauration, le magasin Promocash, soupçonné d'importer de la viande. Le même jour dans la Loire ainsi que dans d'autres départements, le géant de la distribution Casino a été la cible d'agriculteurs l'accusant de se fournir en viande et lait étrangers. Et de ne pas appliquer les engagements pris au ministère de l'Agriculture pour améliorer leurs prix de vente.

    La FNSEA prépare une mobilisation plus large pour début septembre, en région pour commencer, avant de s'attaquer à Paris. Ces manifestations doivent culminer le 7 septembre à Bruxelles, où se tiendra une réunion des ministres européens de l'Agriculture. Ils doivent plancher sur les mesures à prendre pour soutenir les prix. Les agriculteurs français ne sont pas les seuls à faire face à une chute des cours de leurs produits.

    Retrouvez l'intégralité de ce dossier dans Le Figaro à paraître mardi 11 août, et sur le Web, les mobiles et les tablettes pour les abonnés Figaro Premium.