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Gastronomie - Page 30

  • Boudu! ils nous gavent de saletés…

    Je viens de regarder sur canalsat à la demande un reportage sur le beurre. Mauvaise surprise: les produits laitiers ne sont pas du tout simplement réalisé avec du lait et de la crème fraîche! “Ils“ y rajoutent des tas de trucs immondes. En petites quantités…. mais c'est tellement de la salop…. qu'une contrôleur des services vétérinaires disait: nous ne pouvons contrôler qu'à postériori: c'est-à-dire que dans les usines françaises… pas à l'usine de départ; à l'étranger!

    Car une société vendait du “beurre bien frais“ (sic) aux industriels français qui fabriquent des gâteaux “pur beurre“ en France mais ce beurre ne contenait que 34% de beurre… le reste, c'était des tas de choses innommables!

    Elle disait: vous vous souvenez du scandale de la viande de cheval vendue en tant que bœuf? et bien, quand cela va éclater, ce scandale sanitaire sera plus grand!".

    Les journalistes ont terminé le reportage en disant d'acheter du beurre artisanal, AOP, fait en France à la ferme; plus cher de 35% mais au moins, la mention AOP nous protège.

    Et vous, si vous faisiez votre beurre vous-même?

    Beurre maison

    Préparation: 20 min environ; sans cuisson

    Ingrédients

    50 cl de crème fraiche liquide, à fouetter

    1 cuillère a café de sel (ou plus pour un beurre plus salé)

    Battre la crème au batteur électrique pendant 20 min. ou jusqu'à ce qu'il soit ferme. Ajouter votre sel. Un petit lait surnage.

    Déposez sur une passoire pendant environ 10 min pour dégager le petit lait.

    Versez dans des moules et conservez au réfrigérateur.

    Ne se conserve pas trop longtemps… donc, faites en petites quantités très souvent.

     

  • Pour les idiot-es qui mangent et vivent végan…

    Vous ne voulez pas faire souffrir les animaux en ne consommant rien de ce qu'ils donnent mais, savez-vous que votre salade à hurlé de douleur lorsque on la coupée?… Toutes les plantes de la nature et, par conséquent du potager, ont mal!

    Lorsqu'ils sont agressés par des insectes, certains arbres avertissent leurs congénères situés à proximité par des moyens subtils pas encore tous élucidés. En réaction à ces messages, les arbres contactés secrètent dans leurs feuilles ou dans leurs racines des substances toxiques destinées à mettre hors d'état de nuire leurs agresseurs. Certains émettent même des messages chimiques pour attirer des insectes prédateurs de leurs agresseurs.

    Peut-on dire alors que les plantes ressentent la douleur? OUI!

    Les stupéfiantes capacités des plantes

    Elles détectent des longueurs d'ondes invisibles à nos yeux et d'une intensité imperceptible.  

    Elles ont un sens du toucher très sensible. Elles sont notamment sensibles aux caresses.

    Elles détectent la moindre inclinaison des branches.

    Les racines captent des centaines de signaux chimiques

    Elles modifient constamment leur forme et leur composition chimique.

    Elles émettent des composés depuis le feuillage et des signaux chimiques depuis les racines.

    Elles convoquent les insectes prédateurs de leurs agresseurs.

    Elles ont un comportement social. Elles savent reconnaître les plantes de leur espèce siégeant à proximité.

    C'est la fixité des plantes qui est la cause de l'extrême complexité des végétaux. Ils sont obligés de trouver des réponses métaboliques aux dangers qui les menacent. C'est pourquoi elles ont davantage de gènes que les animaux.

    Les arbres ne poussent pas seulement. ils se meuvent en s'adaptant à leur environnement. Le tronc s'allonge et se ramasse pour corriger sa posture se servant de la pression qui règne en leur sein comme d'un moteur.

    Les arbres possèdent des capteurs de courbure qui leur permettent de pousser droit, et pas seulement des cellules qui contiennent des grains d'amidon qui se déplacent en fonction de la gravité et qui les informent de leur inclinaison (fait découvert en 1990).

    Les feuilles de tabac ingérées par les chenilles émettent des trichromes (sucre), un piège. Après ingestion, les chenilles émettent une odeur attirant la punaise et des fourmis qui remontent la piste odorante laissée par leurs déjections.

    Le tremble mémorise la pression à laquelle il est soumis.

    Le tabac génère également plus de 950 composés au rôle inconnu.

    Des plants de maïs ont le sens de l'ouie. Leurs racines s'inclinent vers un son d'une fréquence de 200Hz.

    On peut parler de neurobiologie végétale et de langage végétal.

    Darwin 1880, la puissance du mouvement chez les plantes:

    "C'est à peine une exagération de dire que la pointe de la radicelle ayant le pouvoir de diriger les mouvements des parties adjacentes agit comme le cerveau des animaux inférieurs."

    Six raisons de chercher le cerveau des plantes dans leurs racines:

    1 Les racines sont toutes interconnectées. Elles forment un réseau où circulent sans cesse information et nutriments.

    2 Elles intègrent les nombreux signaux reçus.

    3 Elles ont un pic d'activité électricité aux extrémités.

    4 Elles échangent des signaux électriques et chimiques.

    5 Elles adaptent leur croissance. Si la pointe de la racine est coupée, la croissance est uniforme.

    6 Elles sont très riches en capteurs de toute sorte. Elles distinguent le haut du bas, fuient la lumière et réagissent à certains sons.

    Une réponse nous est donnée par le grand Léonard de Vinci (1452-1519).

    "La nature a ordonné que les êtres vivants doués de mouvements connaissent la douleur pour préserver leurs membres que le mouvement pourrait entamer ou blessé. Les êtres vivants privés de mouvement ne risquent pas de heurter d'objets susceptibles de leur nuire, la douleur n'est donc pas nécessaire aux plantes; et, par conséquent, quand on les coupe elles ne souffrent pas comme les animaux".

    Ce n'est parce que les plantes ne bougent pas, qu'elles ne ressentent pas la douleur.

    Informations issues d'un article de Science et Vie.

    Bon, maintenant, vous pouvez commander un cassoulet toulousain ou un magret de canard, non mais!

    Et faites passer à tous les bobos de pacotille!

     

     

  • Supprimer le porc à la cantine comme le veut Mélenchon est dangereux pour nos enfants

    Pour dégoûter les non musulmans de manger du porc, ils sont capables de priver de viande tous nos enfants et ils sont capables de faire courir les rumeurs les plus absurdes sur nos amis les cochons. Certains écrivent absolument n’importe quoi dans  les commentaires sous notre article consacré à la volonté de Mélenchon de supprimer le porc et même toutes les viandes dans les cantines pour éviter les problèmes avec les musulmans.

    Les contrôles sanitaires font que ces animaux n’en sont pas réduits à manger des cadavres ou des excréments! Ce sont de pures sottises que d’affirmer de telles choses.

    Le porc est une viande bonne et peu chère, ce qui est très appréciable pour les budgets serrés… et donc les cantines scolaires, qui s’efforcent de proposer des menus à un prix accessible. Ce n’est pas au contribuable de supporter le surcoût lié à un renchérissement du prix de revient pour les cantines.

    Quant à imposer des repas sans viande, c’est grave car cela provoque des carences alimentaires de façon générale. De plus, certaines personnes comme moi qui suis malade ne peuvent pas se passer de viande rouge, qui fournit le meilleur fer à l’organisme :

    http://jactiv.ouest-france.fr/vie-pratique/forme-sante/je-ne-mange-plus-viande-cest-risque-2906

    "elle est riche en fer: "Nécessaire toute la vie, ce minéral est indispensable chez les jeunes, car il participe activement à la croissance, explique le Pr Patrick Tounian, responsable de l’unité de nutrition pédiatrique de l’hôpital Armand-Trousseau, à Paris. Leurs besoins en fer sont accrus, surtout chez les filles qui en perdent pendant leurs règles. " En cas de carence, ce qui serait le cas chez environ 25 % des jeunes femmes (2), on observe une anémie (fatigue, pâleur, lassitude…), des troubles neurologiques (difficultés scolaires, manque de concentration…) et une diminution des défenses immunitaires (infections à répétition).

    Mais on peut la remplacer, non?

    "Difficilement, met en garde le nutritionniste. Certes, beaucoup d’aliments sont riches en fer : légumineuses, légumes, poisson. Mais la viande, notamment de bœuf, l’est beaucoup plus : 100 g de steak apportent autant de fer que 1 kg de lentilles ou 2 kg d’épinards ! De plus, le fer de la viande, dit ‘héminique’, est mieux assimilé par l’organisme. "En consommer un peu (100 à 150 g, trois fois par semaine), en alternance avec du poisson et des œufs, reste un des meilleurs moyens d’éviter les carences".

    La proposition islamophile de supprimer la viande à la cantine scolaire est donc particulièrement dangereuse et malvenue.

    Il faut que chaque petit(e) Français(e) puisse se voir offrir la chance de manger du porc à la cantine.

    1) s’agissant de l’importance de la consommation de viande pour la santé et son caractère difficilement substituable (sauf à manger des kilos de légumes et grossir ou se faire éclater l’estomac) : l’article de Ouest France, avec un entretien avec un professeur de médecine.

    2) pour le prix du porc, c’est très simple, une belle pièce de filet mignon tourne autour de 7 euros en supermarché. Les autres viandes sont notablement plus cher.

    Un site qui propose à la vente différentes viandes établit ainsi un tarif de 7 euros le kilo pour une cote de porc contre presque 20 euros pour une cote de boeuf ! http://www.viandes-fermieres.fr/tarif-general/boeuf,1.html

    Il est beaucoup plus intéressant donc pour les cantines d’acheter du porc que d’autres viandes.

    Comme ce fut dit aussi, ce n’est pas au contribuable de nourrir tous les enfants vivant en France, il y a déjà beaucoup d’aides pour cela (qui ne se justifient d’ailleurs guère si l’on ne mène pas de politiques identitaires, mais c’est une autre question…), augmenter le prix de revient des menus pour les cantines impliquerait d’alourdir les impôts locaux de tous injustement.

    Il est indispensable que les enfants et adolescents mangent de la viande pour être vigoureux et en bonne santé.

     De plus, vouloir interdire la viande dans les cantines, c’est accélérer le trépas de la profession d’agriculteur français.

    Nous sommes en pleine bataille électorale. JLM prône un discours du vivre ensemble ce que la plupart d’entre nous rejetons. Il est très adroit dans ses discours et manière de pensée. Le fait de vouloir proposer des menus végétariens comme alternative n’est que le début de la destruction de notre cycle alimentaire. Cela permet de jouer sur tous les tableaux. C’est écologique, cela conforte l’islam, cela réduit les coûts financiers etc… mais ce n’est pas ce que nous voulons. La gauche dans son ensemble à tellement besoin de voix pour se maintenir au pouvoir, qu’elle est prête à dire et faire tout et n’importe quoi. A ce rythme, le plat national en France recommandé sera le couscous, tajine et autres plats dans le genre. On s’attaque à tout ce qui est traditionnel rappelant notre manière de vivre depuis des siècles afin de satisfaire un peuple qui ne partage en rien nos coutumes. Non, désolé pour certains qui préfèrent la soumission au combat de nos valeurs, nos ancêtres mangeaient bien plus que nous lorsqu’ils étaient jeune, avec de la viande régulièrement, ne se posaient pas la question de l’utilité ou pas de savoir son intérêt alimentaire. Avec l’immigration extra européenne qui s’impose de plus en plus dans notre pays, nos enfants font les frais de cette politique dévastatrice au profit d’élus politiques qui ne savent plus quoi inventer pour se faire remarquer.

    La France restera la France dans son jus, avec toutes ses traditions qui cela plaise ou non, ceux qui ne sont pas d’accord peuvent partir et aller voir ailleurs si l’air est meilleur. Les compromissions ça suffit, nous devons plus reculer. L’histoire du porc est un symbole pour nos ennemis qui veulent le supprimer définitivement et nous les patriotes c’est aussi notre symbole car il doit vivre avec nous, c’est un plaisir de la déguster sous toutes ses formes autour d’un bon vin bien de chez nous.

    La filière porcine doit se maintenir dans la tradition Française, Christine à dit une chose importante récemment dans un article sur RR, nous sommes arrivés à une situation devenu incontrôlable, le pays est réellement divisé en deux blocs et quelque soit l’élu le 7 mai, les affrontements sont malheureusement inévitable. La semaine prochaine sera un avant goût de ce qui nous attend. En attendant défendons avec courage le fait de manger de la viande car cela reste un plaisir immense et continuons le combat pour le porc !!!!!

    http://resistancerepublicaine.eu/2017/04/18/supprimer-le-porc-a-la-cantine-comme-le-veut-melenchon-est-dangereux-pour-nos-enfants/

     

  • Confiture Toulousaine

    Si vous voulez que vos aliments soient parfaitement sains, utilisez des ustensile en verre, inox, céramique. Jamais d'anti-adhérant, jamais d'aluminium, jamais de mélamine, jamais de silicone, jamais de boîtes plastiques, jamais de papier cuisson, jamais de film polypropylène, jamais de micro-ondes: c'est toxique, cela dénature le bon goût de la cuisine à l'ancienne.

    Plus d'infos sur mon site: Les poisons de la cuisine

    Confiture de violettes

    Il y a un temps de macération: 24 heures

    Environ 1 l de fleurs de violettes (celles qui sont odorantes), pour savoir combien font 1 litre: mettez vos violettes dans une tasse genre café-crème d'un bar

    le jus d'un citron; eau (juste ce qu'il faut pour couvrir le mélange, environ 250 Ml;

    675 g de sucre

    Cueillir les fleurs et les débarrasser de leurs calices, c'est-à-dire ce qui est à la base de la fleur. On ne garde que ce qui est violet, soit les pétales.

    Mélangez le jus de citron et l'eau. Placez les fleurs dans un plat de verre et écrasez légèrement les fleurs avec les doigts. Couvrir du mélange eau et jus de citron.

    Placez ensuite une assiette sur le plat de verre et laisser macérer toute une nuit.

    Le lendemain, égouttez et faites passer délicatement le liquide eau et citron au tamis. Réservez les violettes.

    Lorsque le liquide est passé au tamis, placez-le dans une marmite inox ou cuivre.

    Ajoutez le sucre et préparez un sirop léger en faisant fondre le sucre dans le liquide et en laissant mijoter à feu doux en remuant légèrement quelques minutes.

    Ajoutez les fleurs puis laisse cuire doucement pendant 30 minutes.

    Portez votre attention: il ne faut pas dépasser le temps de cuisson sinon la confiture pourrait se cristalliser. Mettre la confiture dans des pots stérilisés et sceller aussitôt d'un couvercle à vis. Rangez les pots la tête en bas.

     

  • Etiquetage à couleurs: méfiance!

    L'étiquetage nutritionnel à 5 couleurs du PNNS est fiable pour deux produits sur trois. Pour les autres...

    La guerre de l'étiquetage

    L’étiquetage 5C a été concocté par le Dr Serge Hercberg et son équipe du Programme national nutrition santé (PNNS) à partir d’un système de notation mis au point par l’Agence britannique des aliments. Mais voilà, l’industrie agroalimentaire, alliée à la grande distribution n’en veut pas. Elle propose son propre code couleurs!

    Jusqu’en janvier, l’étiquetage 5C et ses promoteurs tenaient la corde, mais début février, Marisol Touraine, la ministre de la santé a décidé de faire évaluer "en conditions réelles d'achat" divers systèmes d'étiquetages, "pour déterminer celui qui apparaîtra comme le mieux adapté à l'information des consommateurs".

    L'évaluation est menée par un "comité de pilotage", qui suivra un protocole mis en place par un "comité scientifique interdisciplinaire". Lequel comité scientifique se distingue par des conflits d’intérêt puisque 6 de ses 14 membres sont liés à l’industrie agroalimentaire.

    Mais, que vaut réellement l’étiquetage nutritionnel 5C du PNNS: dirige-t-il au moins vers les bons produits?

    Pour faire court, l’étiquetage 5C signale correctement bons et mauvais produits dans deux cas sur trois, ce qui n’est pas mal du tout. Le problème, c’est que dans un cas sur trois, il se trompe, et que c’est parfois la catastrophe: des produits minables bien notés, ou des produits intéressants pour la santé très mal notés. Inquiétant pour le consommateur censé confier sa santé aux pastilles de couleur. Cela tient aux critères retenus par les Anglais et adaptés par l’équipe Hercberg. Ces critères sont incomplets, et plusieurs sont dépassés, ne reflétant pas les connaissances récentes.

    Cassoulet aux additifs

    Pour prendre un seul exemple, revenons au 24 février dernier, quand Marisol Touraine louait l’étiquetage nutritionnel à 5 couleurs par un tweet demeuré célèbre, qui a fait se gausser les réseaux sociaux :

    "Le cassoulet parfois plus équilibré que le poisson cuisiné? Contre-intuitif mais vrai. Avec la loi de santé, enfin des repères clairs!" tweete-t-elle alors.

    La ministre faisait référence à un document de Que Choisir, qui a appliqué l’étiquetage nutritionnel français à plusieurs plats en conserves, dont le « cassoulet mitonné » de William Saurin. En utilisant ces critères, Que Choisir a décerné un feu vert (la meilleure note possible) à ce plat.

    Mais le cassoulet mitonné de William Saurin mérite-t-il vraiment un feu vert ?

    Bien sûr je n'ai rien contre le cassoulet Saurin, je me contente de…. m'en passer depuis toujours, préférant le vrai au galvaudé…. mais voici la composition de celui-ci :

    - Sauce: eau, saindoux, concentré de tomate, farine de blé, sel, sucre, arômes.

    - Haricots blancs précuits (33%).

    - Charcuterie et viande (22%): saucisses fumées et saucisson (viande de porc, eau, viande de dinde, couenne de porc, maigre de tête de porc, farine de blé, gras de porc, fibres de pois, sel, protéines de soja, gélifiant: E407a, stabilisants: E450, E452, conservateurs: E250, E316, protéines de lait, épaule de porc préparée en salaison (eau, sel, stabilisants: E451, E452, conservateur: E250).

    Vous l'avez bien compris, dans mon cassoulet maison, pas de tous ces embellisseurs toxiques!

    Dans mon cassoulet, figurez-vous que l'on trouve des haricots, parfois, sous la viande!

    Le Bon choix au supermarché, au contraire, attribue une mauvaise note au cassoulet William Saurin, dont la composition est encombrée d’additifs en tous genres.

    En conclusion, l’étiquetage nutritionnel 5C ne se trompe pas dans les deux tiers des cas, ce qui n'est pas mal, mais il ne peut pas prétendre renseigner correctement le consommateur sur les qualités d’un produit. Ce système mériterait d’être amélioré. Dans l’incertitude, chers consommateurs, il faudra continuer de lire les étiquettes. Plutôt que de consommer des plats cuits par des chimistes, régalez-vous d'une grillade et d'une salade!

     

    Toulouse, toulousain, cuisine, recettes, gastronomie, santé, diététique, société, Occitanie

     

     

     

     

     

     

     

     

    La seule fois où vous verrez MON cassoulet!

     

     

     

  • Gastronomie: Bœuf Rossini

    Grande cuisine à l'ancienne!

    4 personnes

    4 tranches de filet de bœuf, 200 g de foie gras de canard cru, 3 dl de fond de veau

    1 dl de porto, 4 tranches de pain de mie sans croûte

    50 g de beurre, sel, poivre du moulin

    En option: une truffe de 40 g

    Sortez du réfrigérateur les tournedos 1 h à l’avance. Dans une sauteuse à fond épais, faites revenir 20 g de beurre jusqu’à l’obtention d’une jolie couleur. Saisissez les tournedos 2 min de chaque côté. Couvrez-les pour les conserver au chaud.

    Gardez le gras de cuisson et remettez la sauteuse sur le feu. Ajoutez le porto, puis le fond de veau, détachez les sucs de cuisson et laissez réduire 3 à 5 min, en fouettant. Passez la sauce au chinois.

    Détaillez le foie gras en 4 tranches de 1 cm d’épaisseur. Dans une poêle chaude, colorez-les de chaque côté (1 min aller/retour: il faut que le foie gras reste rosé). Ajoutez la fleur de sel, le poivre puis déposez-les sur un papier absorbant.

    Préchauffez votre four à 200°. Faites réchauffer la sauce au bain marie, rajoutez un peu de beurre et la truffe en lamelles (garder 4 jolies lamelles pour la décoration).

    Dans une sauteuse, remettez les tournedos à dorer légèrement. Arrosez-les de la sauce et réservez à feu doux. Eteignez le four.

    Déposez les tranches de foie gras pour qu’elles soient bien chaudes. Toastez légèrement le pain de mie sans bord coupé à l’emporte-pièce.

    Dressez aussitôt en commençant par le tournedos puis le foie gras. Ajoutez un toast, nappez de sauce et terminez, si besoin, par la truffe.