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Histoire - Page 41

  • Vive l'Armée Française, Vive la France!

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    Le chant du départ

    Un député du Peuple

    La victoire en chantant nous ouvre la barrière5.

    La Liberté guide nos pas.

    Et du nord au midi, la trompette guerrière

    A sonné l'heure des combats.

    Tremblez, ennemis de la France,

    Rois (Tous) ivres de sang et d'orgueil !

    Le Peuple souverain s'avance ;

    Tyrans descendez au cercueil.

    Chant des guerriers (Refrain)

    La République nous appelle

    Sachons vaincre ou sachons périr

    Un Français doit vivre pour elle

    Pour elle un Français doit mourir.

    Une mère de famille

    De nos yeux maternels ne craignez pas les larmes :

    Loin de nous de lâches douleurs !

    Nous devons triompher quand vous prenez les armes :

    C'est aux rois à verser des pleurs.

    Nous vous avons donné la vie,

    Guerriers, elle n'est plus à vous ;

    Tous vos jours sont à la Patrie :

    Elle est votre mère avant nous.

    (Refrain)

    Deux vieillards

    Que le fer paternel arme la main des braves ;

    Songez à nous au champ de Mars ;

    Consacrez dans le sang des rois et des esclaves

    Le fer béni par vos vieillards ;

    Et, rapportant sous la chaumière

    Des blessures et des vertus,

    Venez fermer notre paupière

    Quand les tyrans ne seront plus.

    (Refrain)

    Un enfant

    De Bara, de Viala le sort nous fait envie ;

    Ils sont morts, mais ils ont vaincu.

    Le lâche accablé d'ans n'a point connu la vie :

    Qui meurt pour le peuple a vécu.

    Vous êtes vaillants, nous le sommes :

    Guidez-nous contre les tyrans ;

    Les républicains sont des hommes,

    Les esclaves sont des enfants.

    (Refrain)

    Une épouse

    Partez, vaillants époux ; les combats sont vos fêtes ;

    Partez, modèles des guerriers ;

    Nous cueillerons des fleurs pour en ceindre vos têtes :

    Nos mains tresseront vos lauriers.

    Et, si le temple de mémoire

    S'ouvrait à vos mânes vainqueurs,

    Nos voix chanteront votre gloire,

    Nos flancs porteront vos vengeurs.

    (Refrain)

    Une jeune fille

    Et nous, sœurs des héros, nous qui de l'hyménée

    Ignorons les aimables nœuds ;

    Si, pour s'unir un jour à notre destinée,

    Les citoyens forment des vœux,

    Qu'ils reviennent dans nos murailles

    Beaux de gloire et de liberté,

    Et que leur sang, dans les batailles,

    Ait coulé pour l'égalité.

    (Refrain)

    Trois guerriers

    Sur le fer devant Dieu, nous jurons à nos pères,

    À nos épouses, à nos sœurs,

    À nos représentants, à nos fils, à nos mères,

    D'anéantir les oppresseurs :

    En tous lieux, dans la nuit profonde,

    Plongeant l'infâme royauté,

    Les Français donneront au monde

    Et la paix et la liberté.

    (Refrain)

     

    Ce chant fut appelé le  frère de La Marseillaise" par les soldats républicains. Il est composé par Marie-Joseph Chénier (pour le texte) et Méhul (pour la musique) pour la fête de 14 juillet 1794, il est ensuite présenté par Méhul à Robespierre, sans mentionner Chénier, dont le frère André était déjà dans les prisons révolutionnaires.

    Robespierre le qualifie alors de "poésie grandiose et républicaine qui dépasse tout ce qu'a fait ce girondin de Chénier".

    Le chant est tout d'abord exécuté par l'orchestre et les chœurs de l'Institut national de musique le 14 juillet 1794. Il est immédiatement imprimé à près de 18 000 exemplaires et distribué aux 14 armées de la République. Le titre original est Hymne à la liberté (le nom fut changé par Robespierre.

    C'est un tableau musical: à chacune des sept strophes l'hymne est chanté par un individu ou des groupes d'individus différents.

    Dans le premier couplet il s'agit par exemple d'un député qui parle à des soldats, il les encourage à se battre pour défendre la République.

    Dans le second couplet il s'agit d'une mère de famille qui donne son fils à la patrie.

    Dans le quatrième couplet il s'agit d'un enfant qui chante Joseph Bara et Joseph Agricol Viala, deux jeunes Français (12 ans et 13 ans) qui sont morts pour la République.

    (Alors qu'il était entouré de Vendéens qui lui demandaient de crier "Vive le Roi", Joseph Bara aurait alors refusé et lancé: "Vive la République!", cri pour lequel il fut exécuté sur le champ. Quant à Joseph Viala il mourut frappé par une balle en essayant de couper les cordes d'un ponton de l'ennemi. Ses derniers mots furent: "Je meurs, mais c'est pour la Liberté!").

     

  • Vite, vite, c'est urgent: ne manquez pas, ce soir à 19 h

    Marché Victor Hugo : Arte raconte le "ventre de Toulouse"

    Le marché Victor Hugo propose un large panel de produits du terroir.

    Situé en plein cœur du centre-ville, le marché couvert de Victor Hugo jouit d'une réputation qui dépasse les frontières toulousaines. La chaîne Arte lui a consacré une émission entière dans sa série de reportages sur les plus célèbres marchés d'Europe. Intitulé "Le ventre de Toulouse", le reportage de 44 minutes sera diffusé le 14 juillet prochain à 19 heures sur les antennes de la chaîne franco-allemande.

    Le reportage est le résultat du travail de la société de production italienne Stefilm, en collaboration avec la société toulousaine Prodigima. Nicolas Baby, co-réalisateur français, explique que "la société française a davantage joué un rôle dans la réalisation, tandis que le montage final et les voix off sont le résultat d'une forte collaboration avec Stefano, l'autre co-réalisateur". Le tournage du documentaire s'est étalé sur l'ensemble de l'année 2014, de manière à ce que le marché soit décrit en fonction des produits saisonniers. Plusieurs allers retours entre l'Italie et Toulouse ont donc été nécessaires pour une partie de l'équipe de tournage.

    L'office de tourisme de la Ville rose est également impliqué dans le projet. "Nous avons apporté notre aide pour tout ce qui concerne les autorisations, les mises en relation et la découverte du patrimoine. Les rendez-vous avec les prestataires ne se prennent pas du jour au lendemain", explique Mélissa Butelli, porte-parole de So Toulouse. Le documentaire s'attarde avant tout sur le savoir-faire local et les produits de terroir. Jambon de porc noir de Bigorre, saucisse de Toulouse, confit de canard, truffes noires fraîches ou encore fromage de Rocamadour, ce sont autant de produits qui sont décortiqués. Les producteurs locaux, vignerons, éleveurs, affineurs de fromages et autres commerçants se chargent d'expliquer la spécificité de chaque produit, ainsi que la provenance.

    À travers le marché Victor Hugo, c'est le sud-ouest de la France qui est mis en vitrine. "Le marché Victor Hugo est l'un des meilleurs marchés de France, notamment grâce à la qualité des produits que l'on y trouve", explique Nicolas Baby. "Le ventre de Toulouse" s'intéresse également à tout ce qui entoure le marché et participe au charme du quartier. Le restaurant du chef étoilé Michel Sarran est, entre autres, mis à l'honneur. Représentatif de la culture du Sud-Ouest, le marché couvert de Victor-Hugo n'est pas le premier de France à faire l'objet d'un tel reportage. La société de production Stefilm avait déjà réalisé un documentaire sur le marché de la Croix-Rousse à Lyon en 2013.

    Le ventre de Toulouse,

    mardi 14 juillet à 19 heures sur Arte

     

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  • Adieu le cinéma de nos vingt ans!

    Après Los-Angeles, Paris et Istanbul, la Ville rose aura d’ici deux ans et demi son Mama Shelter, un bar-restaurant-hôtel très tendance dans les centres urbains.

    Ce projet a été retenu par le maire de Toulouse pour s’implanter en lieu et place de l’ex-cinéma des Nouveautés, dont il ne reste aujourd’hui sur le boulevard Carnot que la façade.

    La vente rapport 4,5 millions d’euros à la ville

    Adieu l’idée émise par le précédent maire, Pierre Cohen, d’y installer une maison de l’urbanisme.

    "Elle aurait coûté onze millions d’euros d’investissement à la commune, qui aurait dû financer dix à douze emplois sur les deniers publics. Là, la ville va encaisser 4,5 millions d’euros et 64 emplois vont être créés. Mais au-delà de la valorisation du patrimoine foncier, ce concept va permettre d’en faire un lieu de vie", assure Jean-Luc Moudenc, le maire (LR) de Toulouse.

    111 chambres, un resto sur le toit terrasse

    Au total, 20 millions d’euros seront investis par des privés dans cet établissement dont l’idée a germé il y a quelques années dans la tête de l’ancien patron du Club Med, Serge Trigano. En plus des 111 chambres et d’un restaurant sur le toit, " il y aura une salle de cinéma d’une quarantaine de sièges ouverts aux Toulousains ", explique le fondateur, qui s’est allié au groupe Eiffage dans ce projet et au cabinet d'architectes toulousains PPA.

    Le nouveau lieu, dont les travaux devraient débuter mi-2016, proposera des chambres design de 25 m2 au tarif de 79 à 110 euros la nuit. Elles donneront sur un patio interne arboré.

     

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  • Hé, hé, hé: Toulouse, ville préférée des Français.... et des patrons!

    La piétonisation du centre-ville a séduit les Français. 12 % d'entre eux souhaitent vivre à Toulouse.

    Toulouse se place à la troisième place des villes les plus attirantes de l'Hexagone selon une étude menée par l'Observatoire du bonheur. Écoquartiers, climat, centre-ville…, les atouts de la Ville rose sont nombreux.

    Les Toulousains ont le bonheur à portée de mains, et ne le savent pas forcément. Selon l'enquête de l'Observatoire du bonheur menée par l'institut CSA, Toulouse se place à la troisième position (ex æquo avec Nantes) des villes dans lesquelles les Français aimeraient vivre dans l'idéal. "Ils ont tous une préférence pour le sud-ouest. Lorsque l'on regarde ce palmarès, Bordeaux est première (19 %), devant Montpellier (15 %) Nantes et Toulouse troisièmes (avec 12 % des voix chacune). Je crois que nous avons peur des trop grandes villes comme Paris, Lyon ou Marseille", analyse Marek Kubista, un des spécialistes en charge de l'étude.

    80 % des personnes qui vivent en métropole se déclarent heureuses, deux Français sur trois affirment pourtant qu'ils préféreraient vivre à la campagne. En effet, "l'écologie et la nature arrivent en tête des priorités pour penser l'avenir des zones urbaines, de manière à réintégrer un peu de campagne dans les quartiers du futur". La Ville rose excelle dans ces domaines depuis plusieurs années. Cela peut expliquer l'engouement qu'elle suscite. Les bords de Garonne sont synonymes de dynamisme écologique. Les travaux terminés rue Alsace-Lorraine et rue Pargaminières en témoignent: les piétons sont désormais rois en centre-ville. Un gros avantage, tandis que plusieurs écoquartiers voient le jour. 19 % des cadres et 16 % des jeunes entre 18 et 25 ans espèrent pouvoir s'installer à proximité du Capitole. C'est donc la vie rêvée pour petits et grands. "Le climat joue également un rôle important. Toulouse est souvent ensoleillée… . L'autre avantage, c'est qu'elle possède beaucoup d'espaces verts", souligne encore ce spécialiste. Un atout considérable, lorsque l'on sait que 57 % des sondés voudraient "mettre la campagne dans la ville".

    Inquiétude sur le devenir de la ville

    Si l'on s'intéresse aux quatre premières du classement, on note que trois d'entre elles ont un accès direct sur la mer ou l'océan atlantique. Ce n'est pas le cas de la capitale de la future région Midi-Pyrénées/ Languedoc. "Je ne crois pas que cela soit un désavantage. Ici, les gens peuvent respirer. L'environnement est agréable. Le patrimoine culturel est riche. Cela attire les cadres et leurs familles", estime une nouvelle fois Marek Kubista. Attention tout de même, la Haute-Garonne doit continuer à fournir des efforts si elle veut s'installer durablement dans ce top 3. L'étude du CSA montre un certain pessimisme concernant l'avenir. Notamment sur ce que risque de devenir la ville à l'avenir: 60 % l'imaginent plus polluée, 62 % plus saturée, et 54 % plus verticale….

    Repères; Le chiffre: 1 011 personnes >interrogées. L'enquête CSA — Observatoire du Bonheur, a été réalisée auprès d'un échantillon représentatif de 1 011 personnes selon la méthode des quotas. Seulement 10 % se disent attirés par Paris

     " La ville manque encore de bourgeoisie industrielle. Des familles capables d'investir dans des projets, comme les Michelin à Clermont ".

    Jean Viard: "Le bonheur n'a rien à voir avec l'argent"

     "80 % des Français se disent heureux lorsqu'on les interroge. Je trouve cette étude intéressante. On dit toujours que nous sommes malheureux. Voici la preuve que non", s'enthousiasme le sociologue Jean Viard. Selon lui, si Bordeaux est en tête, c'est avant tout parce que son maire (Alain Juppé) est une personnalité ultra-médiatisée. "Toulouse est moins au-devant de la scène politique depuis le départ de la famille Baudis. Sans ça, la ville serait encore mieux placée. En Haute-Garonne, on a su se moderniser, se connecter, tout en restant proche des traditions. Avec la nouvelle région, le fief de Jean-Luc Moudenc va devenir un acteur maritime important. Ce phénomène est parti pour durer", estime encore le sociologue. Cela séduit la population, qu'elle soit modeste où plus aisée. "Le bonheur n'a rien à voir avec l'argent. On peut être heureux sans être riche. Les gens modestes sont contents à titre privé. Mais, le niveau des revenus aide à se déplacer ou l'on veut. Donc à Toulouse, Bordeaux, Nantes ou Montpellier. Attention tout de même, le problème des quartiers périurbains pourrait freiner les ardeurs des arrivants", conclut Jean Viard.

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    Challenges (j'y suis abonnée) disait la semaine passée que Toulouse est la ville la plus active de France!

    Mande pardon, j'avais oublié de vous l'indiquer…. avec cette chaleur, j'ai les touches du clavier qui se collent à mes bouts de doigts.:-)!

     

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  • Massacre à la tronçonneuse place Saint-Etienne

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    La ville de Toulouse a procédé hier à un élagage brutal de l'arbre tricentenaire, invoquant "des raisons de sécurité"

    C'est peut-être l'arbre le plus connu de Toulouse, l'un des plus vieux en tout cas. Planté en 1735, il aurait donc l'âge vénérable de 280 ans. Il se dressait devant la majestueuse cathédrale Saint-Étienne, un édifice millénaire qui vaut vraiment le coup d’œil, plusieurs époques donc beaucoup de mélanges architecturaux, et il y a même un orgue monumental accroché à une des parois.

    C'était un très bel arbre avec un enracinement imposant, une ombre fraîche et généreuse dont profitait une bande de jeunes collégiens. Une circonférence de 4,30 mètres à 1,40m de haut, mais la mesure est quelque peu faussée car la place a été réaménagée dans les années 90, et il semble que le niveau du sol ne soit plus le même qu’avant.

    Une cicatrice béante était ouverte sur un de ses flancs (souvenir douloureux des travaux de voirie?), il était, de plus, attaqué en maints endroits par un vilain champignon, mais même s’il avait perdu de sa superbe, il demeurait digne dans l’adversité, et offrant aux regards des toulousains un très beau départ de branches comme l'indique la photo.

    Hier après-midi, l'émotion était palpable au pied de la cathédrale Saint-Etienne, alors que les jardiniers de la Ville s'attaquaient à l'arbre tricentenaire, grand pourvoyeur d'ombre. "C'est un scandale, il ne va rien en rester, ce sont les Racines du Ciel qu'on abat", lance Guillaume, jeune Toulousain lyrique et furieux. De nombreux passants semblent dévastés par la vision du puissant tronc quasiment décapité, dont deux grosses branches, survivantes au massacre, s'élèvent désormais vers l'azur comme les bras sectionnés d'un supplicié.

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    La mairie de Toulouse a expliqué hier qu'elle devait procéder "de toute urgence à cet "important élagage (…) les branches charpentières de ce micocoulier, déjà fragile d'un point de vue sanitaire, s'étant rompues dans la nuit de lundi 8 juin à mardi 9 juin à cause du vent.

    Les branches représentaient un risque majeur pour la sécurité du public".

    Marie-Pierre Chaumette, adjointe aux espaces verts, évoquait un rapport d'expertise exigeant l'abattage de l'arbre et le danger pour l'entrée du parking. Après l'abattage du micocoulier de Saint-Sernin, et celui du jardin du musée St Raymond, l'espèce serait-elle maudite à Toulouse?

     

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    Un autre très vieux micocoulier était planté dans les jardins de la Préfecture. Ce vieil arbre, infesté par un champignon a été abattu il y a maintenant plus de cinq ans (remplacé depuis par un jeune olivier).

    Adieux, donc, à nos frères arbres, nos micocouliers plus que centenaires qui, disparaissent un à un dans les flots de l'urbanisme moderne qui nous enlève notre urbanité.

    Si vous êtes en quête de vieux arbres dans Toulouse, visitez le Jardin Royal et le Jardin des Plantes, il y a de beaux spécimens, même si peu d’entre eux dépassent le siècle d’existence.

     

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    Tout ce qu'il en reste... mais, pour combien de temps?

     

     

     

     

  • Journées nationales de l’archéologie, programme à Toulouse

    Journées nationales de l’archéologie 2015 au Musée Saint-Raymond de Toulouse : le programme.

    Les 19, 20 et 21 juin s’ouvre la 6ème édition des Journées Nationales de l’Archéologie. L’événement, relayé à Toulouse et partout en France, a pour but de familiariser le grand public avec les multiples aspects de l’archéologie.

     Le musée Saint-Raymond, musée des Antiques de Toulouse, y participe en proposant non seulement la gratuité sur ses collections permanentes et l’exposition temporaire Dans l’œil du viseur, La photo révèle l’archéo , mais également une conférence L’archéologie en photographie à Toulouse et un circuit découverte original Sur les traces du rempart romain de Toulouse.

    Focus sur la documentation ancienne

     Cette conférence gratuite du samedi 20 juin à 14 h 30, en lien direct avec l’exposition temporaire sera animée par une de ses commissaires d’exposition, Émilie Trébuchet, .

    Circuit découverte Sur les traces du rempart romain de Toulouse

    Le musée Saint-Raymond vous propose de découvrir le rempart de Toulouse dans un cadre privilégié le dimanche 21 juin de 14 h à 16 h 30 (réservation obligatoire ; 3 €).

    La visite commencera au musée afin de mettre les explorateurs d’un jour dans le contexte historique de ces remparts, notamment grâce à diverses maquettes.

    Image: amphithéâtre romain

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    Ensuite il s’agit d’aller découvrir deux vestiges du rempart qui normalement ne sont pas accessible au public. Le parcours sera animé par Lydia Mouysset, responsable du service des publics au musée Saint-Raymond, et exceptionnellement par Pierre Pisani, responsable du service archéologique de Toulouse métropole, qui enrichira la visite des découvertes les plus récentes faites sur le rempart. La visite sera aussi l’occasion d’aborder la question de la conservation du patrimoine archéologique et de ses enjeux.

     

  • Place du Salin

    salinCujas_-_Palais_de_Justice_de_Toulouse.jpgElle doit son nom au salin royal, lieu de perception du droit sur le sel. (comme on pouvait s'y attendre).

    La place du Salin fut le lieu de nombreuses exécutions, comme celle de Jean de Caturce en 1532, ou de Giulio Cesare Vanini en 1619.

    Le place du Salin est un quadrilatère arboré dont le N°1 se situ à la jonction des rue du Languedoc et de de la grande rue Nazareth au Nord-est de la place. Elle reçoit sur son flanc Est la rue de Azes, et donne naissance au Sud -est à la rue des fleurs. Le flanc sud est occupé par le Palais de justice.

    À son extrémité sud -ouest elle se prolonge par la place du parlement et donne naissance à ce niveau à la rue de la fonderie. Son coin nord-ouest donne naissance à la rue Pharaon. Le flanc nord est occupé par le temple du Salin bordé par l'impasse de la trésorerie.

    La place est bordée par l'ancien parlement, installé dans l'antique Château Narbonnais, actuel palais de justice, le temple du Salin, aussi appelée église Saint-Matthieu et l'ancien atelier d'Eugène Trutat.

    Une sculpture représentant Jacques Cujas et réalisée en 1837 et érigée en 1850 par Achille Valois se trouve au centre de la place.

     

    salin foireail 1899.jpgMarché à l'ail 24 août 1899. Photographie d'Eugène Trutat, archives de Toulouse

    Un marché à l'ail s'y déroule tous les 24 août, jour du massacre de la Saint-Barthélemy, depuis 18961. Des marchés de petits producteurs s'y déroulent aussi, les mardis, vendredis et samedis, ainsi qu'un marché aux livres les vendredis.

     

    Marché aux livres Salin

    Place du Salin

    Le vendredi de 7h00 à 18h00

    Métro ligne A Saint-Cyprien République

    Un autre marché aux livres:

    Marché aux livres Arnaud Bernard

    Place Arnaud Bernard

    Le jeudi de 7h00 à 18h00

    Métro ligne B Compans-Caffarelli

    Marché aux livres Saint-Cyprien: Place Roguet

    Papiers de collections et jouets anciens

    Le lundi de 8h00 à 19h00

    Métro ligne A Saint-Cyprien République

    Marché bouquinistes et artistes plasticiens Saint-Etienne

    Livres - Place Saint-Etienne

    Le samedi de 9h30 à 18h00

    Métro ligne B François Verdier

    J'ai souvent baguenaudé dans ces marchés: je dis toujours, quand je suis née, j'avais un stylo dans la main droite et un livre dans la main gauche!

     

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    Statue de Cujas