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Histoire - Page 39

  • Toulouse: Cinq façons de découvrir le cimetière Terre-Cabade

    aobélisque.jpgLes obélisques à l'entrée du plus grand cimetière toulousain : Terre Cabade. - B. Colin / 20 Minutes

    Insolites, parfois grandiloquentes, les tombes du permettent de plonger dans l'histoire de la Ville rose...

     

     

    Pour se mettre dans le bain de la Toussaint, il est possible de faire une incursion dans le passé lors d'une visite au cimetière de Terre-Cabade.

    Ce site de plus de trente hectares, où les secteurs portent des noms de quartiers toulousains, accueille près de "300.000 inscrits", dont certains ont donné leur patronyme aux rues de la ville.

     Dans les pas d'Isabelle Bâlon, guide conférencière à l'Office de Tourisme, une visite d'outre-tombe.

    La gloire et les illustres

    Vestrepain, Labeda, Ancely, Feuga... ses noms familiers, on les croise au détour des allées du cimetière. La plus ancienne tombe est pourtant celle d'un illustre inconnu : Savanac. Mort en 1840, son corps a été ramené au cimetière en 1844, lors de son ouverture.

    Plus célèbre, le nom de Castelbajac est présent sur un tombeau. Il héberge Léontine de Villeneuve, celle que Chateaubriand appela dans ses mémoires l'Occitanienne.

    Dans la partie plus récente, celle du cimetière Salonique, on trouve en bordure de l'allée principale l'imposant tombe de la famille Baudis.

    Ne cherchez pas celui du plus connu des chanteurs toulousains. Les cendres de Claude Nougaro ont été dispersées dans la Garonne.

    Au cœur de la petite histoire

    Sa plaque passe inaperçue, accrochée à la tombe de ses bienfaiteurs. Pourtant le nom de Cécile Combettes fit la une des journaux pendant plusieurs semaines. Le corps de cette brocheuse de 15 ans fut retrouvé mutilé en 1847 près du couvent de Saint-Aubin. Le frère Léotade fut accusé et envoyé au bagne alors qu'il était innocent. Le vrai coupable était un autre frère.

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     L'histoire de la charcutière Paloubart est aussi émouvante. Cette femme a perdu son fils lors de la première guerre mondiale. Pour lui offrir un mausolée, elle a travaillé jusqu'à son dernier souffle.

    Détour en terre insolite

    A proximité de la longue plate-bande de troènes, qui matérialisent les tombes des noyés de la grande inondation de 1875, il n'est pas rare d'y croiser des chats. Une association a eu la bonne idée de les installer là où personne ne viendra les déranger.

    Un site assez éloigné du tombeau le plus couru : celui d'Hélène Soustade, appelé Saint-Hélèna sans jamais avoir été canonisée. "Cette institutrice est une gloire locale, invoquée pour la réussite aux examens", raconte Isabelle Bâlon. Son tombeau est couvert d'ex-voto et de plaques de remerciements.

    Oui, mais non! Voici un de mes articles

    "Elle a vu le carré de fleurs, l'énorme bric-à-brac de piété chrétienne avec d'innommables feuilles de papiers, de rubans blancs, d'ex-voto accrochés à des poteaux en batailles dont on n'aperçoit pas la rouille ni la couleur, tant ils sont recouverts de ces modestes preuves, bouleversantes lorsque l'on y songe, de demandes de protection adressées à la Sainte de Toulouse (non reconnue par Rome).  Héléna qui attendit en vain le retour de son promis, parti en 1870 à la guerre et jamais revenu pour la marier. Elle erra de longues années dans le cimetière, n'osant voir la tombe de l'homme aimé, espérant que la famille l'avait enterré sans savoir qu'il avait une promise.

    Voyant des tombes abandonnées le plus souvent par la distance des gens et la difficulté à se transporter, elle se mit, bénévolement à nettoyer et entretenir les tombes anciennes et, lorsqu'elle mourut durant un hiver terrible du début du vingtième siècle, noir et glacial, son char noir aux tentures ourlées de fils d'argent, glissant sur les pierres romaines verglacées de l'empierrage des routes, fuit suivi d'un immense cortège de gens reconnaissants de son aimable aide bénévole envers les tombes de leurs proches. Ils priaient beaucoup et chantaient en latin en faisant attention de ne point glisser dans la boue de neige fondue; ils vinrent nombreux, malgré la froidure hivernale, tenant à accompagner cette femme douce et prévenante jusqu'à sa dernière demeure.

    Soudain, quatre colombes blanches se posèrent sur les pointes du catafalque et il y eu un trouée lumineuse qui éclaira d'une immense dorure, étincelante comme l'or fondu, et sembla glorifier le départ de cette femme modeste; des centaines de personnes suivaient le cortège funèbre et tous furent frappés pas cette image qui semblait relever du sacré de Dieu: les femmes se dirent, “c'est une sainte… elle exaucera mes vœux, j'irais souvent sur sa tombe“. Malgré la non-reconnaissance de l'église catholique, c'est la tombe la plus visitée de Toulouse. On continue de nos jours encore à y prier pour la protection de frères, père, mari ou enfants partis à la guerre, ou ailleurs en mer, pour qu'ils reviennent sains et saufs.

     Elle a des progrès à faire, la conférencière!

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     Les résidents mégalos

    Certains n'aiment pas passer inaperçus, même après qu'ils aient quitté le plancher des vaches. Et Terre-Cabade a son lot d'orgueilleux. Sur un obélisque on retrouve le CV d'un notable local. Mais ce n'est rien à côté du monument construit en mémoire de celui que l'on appela "le père de la houille blanche", l'ariégeois Aristide Bergès.

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    Il n'a rien à envier au fastueux mausolée de marbre noir des époux Ducis. Sans héritier, ils ont fait don à la ville de leurs deniers, à condition de ne pas oublier d'édifier leur dernière demeure comme il se doit.

    L'hommage aux Résistants

    Que ce soit le monument aux morts de Philippeville ou celui à la mémoire des deux grandes guerres où figurent plus de 6.900 noms de Toulousains morts au combat, le cimetière plonge le visiteur au cœur de cette partie tragique de l'histoire de la Ville rose.

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    Il permet aussi de rappeler les actes héroïques de certains, notamment ceux des résistants Forain François Verdier, assassiné par la Gestapo dans la forêt de Bouconne, Marcel Langer ou encore de Marie-Louise Dissart, à la tête du réseau Françoise qui permit aux aviateurs anglo-saxons de passer la frontière espagnole.

    Famille Baudis, Maires de Toulouse

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    Visite guidée

    Suivre une guide conférencière dans les allées de Terre Cabade durant 2h. C'est ce que propose l'office de Tourisme le 9 novembre à 15h00. Rendez-vous devant l'entrée principale, avenue du Cimetière. Tarif de 6 à 8 euros.

    Comme indiqué plus haut, n'écoutez pas son histoire de la Sainte Héléna. Je vous certifie que la mienne est seule exacte!

     

     

  • Nouveau Victor Hugo: toujours plus miam!

    Le marché Victor-Hugo doit démarrer un lifting en 2016 les alentours de la halle bougent déjà autour de plusieurs enseignes alimentaires, dédiant résolument cet espace à la gastronomie.

    Comme prévu, les alentours du marché Victor-Hugo seront dédiés à la gastronomie. Cette situation va bien sûr ravir les gourmands qui d'ores et déjà peuvent apercevoir ces nouveaux locaux en travaux. Des enseignes qui viennent remplacer les boutiques de vêtements haut de gamme qui ont fait durant plusieurs décennies la réputation de ce quartier. Les changements de consommation du public, l'arrivée de chaînes comme Zara, la mode et bien sûr la crise ont sonné le glas de ces enseignes, dont seule subsiste pour l'heure l'emblématique boutique de Sonia Fernandez, faute, il faut l'avouer d'avoir trouvé un repreneur au prix demandé.

    Le quartier avait déjà amorcé sa mutation il y a quelque temps avec la disparition de l'enseigne familiale Miceli, spécialisée dans le costume sur-mesure qui avait laissé sa place à la maison de coiffure Seran-Faugère et sa très belle façade signée Deloche.

    L'Espagne au cœur

    Une exception commerciale dans cet ensemble de l'hypercentre de Toulouse dessiné prochainement autour d'un plateau semi-piétonnier par l'urbaniste Joan Busquets.

    Ainsi l'enseigne Valentino, bien connue des modeuses, va laisser la place à la boutique Casa Marcos, une épicerie fine spécialisée dans le jambon ibérique.

    Éric Marcos, le gérant doit ouvrir courant novembre cette première boutique sur Toulouse : «Je distribue beaucoup pour les professionnels, explique-t-il. Cette épicerie proposera des produits de petits producteurs. On pourra aussi déguster sur place». Une terrasse prévue sur le trottoir viendra agrémenter l'ensemble.

    Décidément on ne manquera pas de jambon ibérique sur le quartier puisque la boutique Viandas de Salamanca, déjà ouverte depuis un an fait les délices de cette spécialité. «Il faut croire que la demande est importante. N'oublions pas que l'Espagne est la sœur de cœur de Toulouse», affirme un professionnel.

    Foie gras et pâtisserie

    Plus loin, là où se trouvait il y a encore peu, l'enseigne Bacquié, la boutique Valette Foie Gras, spécialisée dans les produits du terroir dont la truffe et le foie gras depuis 1920, s'apprête à ouvrir, après travaux.

    Sur l'autre trottoir, le café le Glou-Glou, qui depuis plus d'un an est allé encanailler la rue Bayard, doit laisser mi novembre, là aussi, après travaux, la place à une pâtisserie. Un commerce il est vrai bien plus tranquille pour le voisinage !

    Cet ensemble homogène viendra donc rejoindre l'épicerie fine et brûlerie de café Bacquié, qu'on ne présente plus ainsi que la chocolaterie Pillon. Sans oublier l'enseigne Cabiron Macaron, chocolatier confiseur. Et bien sûr le marché Victor-Hugo, considéré comme le ventre de Toulouse qui verra dans ces nouvelles enseignes alimentaires un complément gourmand aux produits proposés.

     

  • Variations de pain perdu

    Versez le lait dans une assiette creuse. Ajouter le sucre vanillé et le sucre en poudre. Mélangez pour dissoudre le sucre.

    Battre les œufs et les mettre dans une autre assiette creuse.

    Le pain rassis est coupé en tranches. Trempez les tranches de pain dans le lait afin de les imbiber légèrement puis dans l'œuf battu.

    Faite cuire le pain perdu dans une poêle avec un peu de beurre. Retournez au bout de quelques minutes. Le pain perdu est prêt lorsque les deux faces sont dorées.

    Servir chaud et saupoudré de sucre glace ou de sucre semoule + sucre concassé

    et les tranches sont trempées dans cette préparation. Les tranches sont ensuite cuites, par exemple au four ou à la poêle dans du beurre.

    Accompagné de sucre, ce mets est servi comme une pâtisserie, au petit déjeuner, au goûter ou en dessert.

    Il est aussi possible d'incorporer du fromage dans la préparation, le pain perdu est alors servi comme entrée ou plat au déjeuner ou au dîner, éventuellement accompagné de jambon.

    Le pain perdu à la normande; c'est un pain perdu flambé avec du pommeau de Normandie et servi avec de la confiture de pommes.

    Dans le Nord-Pas-de-Calais, on l'appelle pain crotté, on emploie parfois aussi le terme "pain ferré".

    L'Anjou connaît une variante, le pain perdu au triple sec (Combier ou Cointreau). Je suis persuadée que dans le Gers, c'est l'Armagnac qui est utilisé.

    La Basse-Bretagne connaissait le boued laezh ("nourriture de lait"), c'est-à-dire du lait chauffé avec du pain.

    En Charente, le pain perdu est parfois appelé soupe-rousse probablement à cause de sa couleur une fois cuit.

    Les croûtes au vin (crostini col vino) sont la version traditionnelle italienne du pain perdu. Ce mets rustique et ménager était préparé dans les régions viticoles où le lait faisait défaut et était remplacé par du vin.

    Ce mets nécessite du pain, du vin rouge, des œufs, du sucre et de la cannelle.

    Les tranches de pain sec sont trempées dans du vin rouge puis dans des blancs battus en neige avant d'être mises à cuire à la poêle dans l'huile. Elles sont servies chaudes saupoudrées de sucre et de cannelle.

    Vous pouvez récupérer aussi de gros restes de gâteaux maison, brioches, croissants, etc.

     

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  • Lu sur un site internet, qui se mélange les pédales, cagaïre* va!

     j'ai du refaire:

    Dans le désordre, le lexique des mots toulousains que l’on parle à l’Inquet, le marché aux puces de Saint-Sernin.

    "Boulègue toi, il nous faut aller faire les commissions pour le manger",

    Expli: Boulèguer: bouger, remuer.

    "On se boulègue là, sinon on va se faire rouspéter“.

    Dépêche, nous devons aller faire les courses au supermarché pour le repas (de midi ou du soir).

    "Allez, mets les poches dans la malle, on y va".

    Expli: Ils sortent du supermarché, les bras remplis de sacs de course (“les poches“;

    La malle: le coffre.)

    Si vous ne comprenez rien à cette phrase, c’est que vous êtes un franchimand (un français d’au-dessus de la Loire).

    Franchimand: terme moqueur et péjoratif pour se moquer du Français du nord.

    Expression nouvelle, je peux vous dire, que je ne connaissais pas!

    Et même que, “au-dessus de Montauban, on comprend rien à ce qu'y disent! Y parlent trop “pointu“ té!

    Ah cette manie de rajouter des " te " partout, té !

    “Il te faut faire attention“

    S’il faut: veut dire “peut-être. "S’il faut, il est déjà arrivé. Appelle-le“.

    Le manger: la nourriture. "Je ne vais pas à la cantine, j’ai amené mon manger".

    On dit plutôt: emmmené mon mangéé

    Bon peu: beaucoup. "Mettez- moi un bon peu d’aligot mais passss tropp".

    En réalité, l'aligot, on le trouve en Auvergne. Nous, c'est le confit, le foie gras, le cassoulet, ignare!

    Plusssss ou moinssssss: avec le nombre de "s" qu’il faut

    Cette ennée: cette année.

    Il faut savoir que, le Toulousain s’étonne, ou s’espante beaucoup.

    “Putain: ça mespante ce que tu me raconte, té!"

    Boudu con!: Est ce vraiment nécessaire de traduire? eux, il n'ont pas mis cong avec un g; cé des pointus ou quoi?

    Botch!: C’est absolument incroyable ce que tu racontes

    (perso, jamais entendu cette expression!"

    Il y a tchi: il y a rien ou que dalle!

    C’est le pompon sur la Garonne: C’est le cerise sur le gâteau

    (doit être nouvelle expression, j'ai jamais entendue!)

    Cagne: la flemme.

    Au taquet: à fond. Prononcez “Au taquééééé"

    Bof, y a pas tant que cela de éé! on n'est pas des chèvres!

    Tchaper: manger beaucoup (trop).

    Non: tchaper, c'est manger – pas plus que cela. On va tchaper, on va à la graille!

    Ou aussi: parler beaucoup – non  tchaper ne veut pas dire “parler beaucoup“

    Les cluques: les lunettes – ben, je ne savais pas que l'on n'utilisait pas ce mot ailleurs? Grosse surprise! on apprends à tout âge!

    Cagade: échec. " Le Stade Toulousain s’est pris une cagade ce week end".

    Dans cette expression, il faut dire “Le Stade, il s'est prit une sacré cagade, dimanche!" Y'a que les geek qui disent week end, nous, c'est plutôt: weeekendgeu

    Se perdre entre Gaillac et Rabastens: être saoûl.

    On dit plutôt: il ou elle est entre Gaillac et Rabastens (deux villes du Tarn, département proche de notre Haute-Garonne où, autrefois, j'ai dis autrefois, le vin était une piquette qui tournait vite la tête, comme disait l'autre.

    Carrer: s’en foutre. "J’en ai rien à carrer, (j’irai pas au boulot demain)“.

     Empapaouter: arnaquer. De l’occitan empapautar. " Papouter, outer, empapouter, outer"

    Veut dire aussi: s'est fait embobiner au point de ne plus bouger, ou est totalement englué.

    Ratchàs, ratchou: radin.

    Peïzou: paysan. Art de désigner le plus souvent les Ariégeois. Menteur! on insulte pas les Ariégeois !et puis d'abord on dit peïzousss

    Pitchou: tout petit. De l’occitan pichon, petit. S'utilise pour parler d'un enfant, garçon; la fille c'est la pitchoune

    Raï: pas grave; "La vaisselle? Raï, on s’en carre“. De l’occitan rai, même sens.

    Mais, on ne dit pas toujours on s'en carre. On dit “raï“ pas grave (raï, tout court est utilisé pour dire bof), pas grave, passons à autre chose.

    Gnac: énergie, force. "J’ai la gnac, je suis au taquet". De l’occitan nhac.

    Même si utilisé partout en France, cela s'écrit et se prononce: gnaque;

    Craques: bobards. "Le collègue, il raconte des craques". De l’occitan craca.

    Poutou: bisou. De l’occitan poton, baiser.

    Et son bébé, on l'appelle “poutougne“ Coucou, ma poutougne! t'a bien dormi? demandez à ma fille!.....

    Quéquette: sexe du petit garçon. De l’occitan quiqueta.

    Tcharer: parler, discuter

    Tchatcher: tcharer sans s’arrêter.

    Pompette: un peu ivre.  De l’occitan pompar: s’imprégner d’un liquide

    Même que quand on est pompette, on est toujours entre Gaillac et Rabastens.

    La langue d’oc est  reconnue comme "patrimoine de la nation" par la Constitution Française depuis 2008.

    Ha oui? ben, c'est pas trop tôt et c'est assez normal, non?

     

    *Cagaïre: quand le bébé a fait caca! quand on change les couches pleines, on dit: ha, petit(e) cagaïre!

     

    Toulouse, toulousain, cuisine, recettes, Occitanie, gastronomie, société

     

     

     

     

    Statue de GOUDOULI, notre poète Occitan

    Square Lafayette, centre ville de Toulouse

     

  • Mâchouille

    23 septembre 1848.

    Production du premier chewing-gum commercial, dans le Maine aux États-Unis, par John B. Curtis, à partir de résine d’épicéa.

  • Petite info perso....

    Je suis en train d"écrire un roman d'amour qui se passe à Toulouse.

    Il sera à télécharger gratuitement sur un de mes sites... JE SUIS EN TRAIN DE L’ÉCRIRE..... donc, vous ne pourrez avoir les chapitres qu'au fur et à mesure que j'aurais le temps!... J'ai écris les balbutiements de cette histoire quand j'avais douze ans, en 1962... donc, nous avons le temps!

     

    J'ai terminé les premières pages... j'indiquerai, ici, où le télécharger...

    Pour l'instant, il n'y a pas de titre, vous voudrez bien m'en proposer un. Celui qui aura le plus de vote sera choisi. En principe, dans mes boutiques, il y a un système de vote... depuis deux mois, il ne fonctionne pas... les créateurs du logiciel me disent que c'est la faute à mon hébergeur....

    et , bien sûr, mon hébergeur dit que c'est la faute au créateur du logiciel....

    Ben, comme je n'y connais rien... cela ne risque pas de s'arranger... cela me pénalise...

    Laissez en commentaire le titre que vous souhaitez pour mon livre.

    Je répète, une histoire d'amour entre deux jeunes gens, à Toulouse, en 1962... oui, j'y étais, en ce temps-là à Toulouse, j'avais 12 ans!

     

  • Rétropédalage internet

    15 septembre 1997. Larry Page et Sergey Brin déposent le nom de domaine de "google.com". Le nom "Google" est un jeu de mots venant du terme mathématique "googol" qui désigne le nombre 1 suivi de cent 0 (10100 ).

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    J'avais internet depuis octobre 1996… on avait deux navigateurs… ils trouvaient pratiquement rien.

    Il n'y avait qu'environ 20 000 internautes (et encore, je suis large) en France, surtout des banques et grosses entreprises; je relevais des adresses de sites sur O1 informatique que j'inscrivais dans un cahier.

    Mon premier site visité? un site belge qui parlait d'Astérix.

    Avec 25 minutes d'attente pour que la page s'affiche bien. Modem 26800

    Mon premier site de voyante: en octobre 1966, sur ODA.

    2 ans plus tard, il faisait dans les 5000 visites par mois. En ce temps-là on disait qu'un site était bien visité s'il faisait 400 visites par mois!

    Mes sites furent réalisés par d'autres jusqu'à l'an 2000 où j'ai pu les réaliser moi-même avec le logiciel Front Page.