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Officiel - Page 8

  • Alerte à la shigellose en France

    L’Institut Pasteur lance une alerte à la shigellose, maladie de pays en voie de développement, pour la France

    L’Institut Pasteur a signalé, jeudi 16 mars, la diffusion en hausse d’une souche hautement résistante aux antibiotiques de la bactérie Shigella sonnei . Très contagieux, ce pathogène se transmet entre humains via des matières fécales (beaucoup plus rarement par des aliments contaminés). L’infection qui en résulte, connue sous le nom de shigellose, provoque des diarrhées fébriles parfois sanglantes et des douleurs abdominales. Cette maladie qui touche d’habitude les pays pauvres, provoque chaque année 70 000 décès, d’après l’Organisation mondiale de la santé (OMS). (…)

    Après une pause liée à la pandémie de Covid, elle s’est diffusée en France rapidement. En 2021, 22 % de toutes les souches de Shigella sonnei analysées étaient hautement résistantes ». Ces résultats ont été publiés en janvier dans la revue Nature Communication .

    (…)

    SAVOIR SUR LA SHIGELLOSE :

    La shigellose est une maladie diarrhéique qui sévit surtout dans les régions tropicales. Elle est endémique toute l'année dans les pays en développement, avec des poussées épidémiques à certaines saisons ou lors de désastres humanitaires.

    Elle est provoquée par des bactéries appartenant au genre Shigella. Les espèces les plus fréquentes dans les pays en voie de développement, et responsables des symptômes les plus graves, sont Shigella flexneri, causant la forme endémique de la maladie et Shigella dysenteriae sérotype 1 (ou bacille de Shiga), responsable des épidémies les plus importantes. Une autre espèce, Shigella sonnei, est prévalente dans les pays émergents et industrialisés.

    La shigellose est par excellence une maladie de l'insuffisance d'hygiène. Les shigelles sont transmises par voie féco-orale. L'homme est le seul réservoir et peut éliminer ces bactéries dans ses selles pendant des semaines après un épisode dysentérique. Le plus souvent, la transmission est directe, du malade à son entourage. L'eau et les aliments souillés par des déjections contenant des shigelles peuvent également transmettre la maladie, ainsi que les mouches.

    La forme dysentérique aiguë typique de l'adulte débute brusquement, après une incubation brève. Elle se caractérise par des douleurs abdominales, souvent accompagnées de vomissements, d'épreintes et de l'émission permanente de selles innombrables (jusqu'à 100 par 24h), glairo-sanglantes et purulentes, voire parfois hémorragiques. La fièvre est élevée, avec altération de l'état général. Le malade guérit le plus souvent spontanément en quelques jours et plus rapidement après administration d'antibiotiques.

    Des complications peuvent cependant émailler l'évolution de la maladie, surtout chez le nourrisson et le jeune enfant ; elles en causent les formes graves qui peuvent aboutir à la mort du patient et sont de plusieurs ordres : les complications aiguës dominées par l'hypoglycémie ; des bactériémies ou des septicémies à point de départ intestinal pouvant se compliquer de choc septique ; la déshydratation due à la fièvre et à l'abondance des pertes hydro-électrolytiques de la diarrhée, menant au collapsus et à l'insuffisance rénale aiguë ; le syndrome hémolytique et urémique, une insuffisance rénale aiguë de cause complexe, le plus souvent mortelle en l'absence de possibilités rapides de réanimation.

    A la différence des autres maladies diarrhéiques, la shigellose ne peut être traitée par la seule réhydratation. Les antibiotiques permettent généralement une guérison rapide et sans séquelles.

    Source : Outbreak News Today.

  • Récupérer les eaux usées???

    “La plupart des tomates produites en Espagne et consommées en France sont irriguées au moyen d’eaux usées traitées” souligne le directeur du développement durable de l’entreprise Veolia, Tristan Mathieu.

    Je sais pas vous, mais l’idée que les tomates mangées en été ou celles vendues en boîte, d’origine espagnole, ont été arrosées, nourries, avec les chiottes des Espagnols, même si l’eau a été traitée avant, ça me fait pas envie.

    PERSO: D'ailleurs, cela fait plus de 15 ans que je n'en achète plus!

    Je ne parlerai même pas de la “mémoire de l’eau” utilisée en homéopathie, ne relançons pas le débat. Non, je me contenterai de rappeler que, actuellement, dans les eaux traitées, bien traitées, au point qu’on les prétend potables quand elles sortent du robinet, on trouve des traces de pilule, d’anti-dépresseurs, d’anti-cancéreux, de somnifères et autres antidépresseurs…

     

    https://www.partagedeseaux.info/La-pollution-de-l-eau-par-les-produits-pharmaceutiques

    Ces résidus médicamenteux se retrouvent dans les stations d’épuration (collective ou individuelle), qui ne sont pas conçues pour les traiter. Ils se retrouvent donc également dans l’eau du robinet.

    https://www.culligan.fr/qualite-eau/polluants/residus-medicamenteux/

    D’un côté, le Monde tire la sonnette d’alarme, on manquerait de plus en plus d’eau potable en France, à cause des pesticides (enfin c’est ce qu’ils disent, ils auraient pas envie, en fait, de faire disparaître notre agriculture et surtout nos agriculteurs, histoire de nous faire dépendre des importations venant de pays sans règles ni contraintes? ). La France deviendrait-elle le Sahara depuis que, pour plaire à Veolia, on interdit aux villages d’utiliser leurs sources millénaires?

    De l’autre côté le Parisien nous apprend que l’on pourrait encore prendre le luxe de faire des expériences avec l’eau… Et les journaleux de nous inciter à boire l’eau de nos douches… Bon, j’en conviens, j’exagère à peine. En fait ils voudraient recycler l’eau des stations d’épuration, ils voudraient que l’on arrosât nos jardins avec l’eau des toilettes, ce qui est forcément bon pour les jardins, c’est là l’origine du fumier, ou que l’on lavât notre linge avec.

    Mon souci c’est que je les connais trop, ces mondialistes, ces écolos-dingos… Il est évident que, très vite, la tentation de basculer les eaux usées traitées a minima pour aller dans les WC ou le jardin se retrouveront dans le robinet de la cuisine. Et une petite dose de javel, hop! Ni vu ni connu! Ils en sont capables, on a payé pour voir.

    La sécheresse s’installe en France, hiver comme été, obligeant à repenser nos usages. Le gouvernement veut ainsi mettre davantage à profit les eaux dites grises. Celles-ci pourraient servir à l’irrigation, à l’arrosage des espaces verts ou au nettoyage de la voirie. La France a du retard en la matière.

    Quand Nicolas Condom a proposé il y a douze ans à la ville de Cannes (Alpes-Maritimes) une opération pilote de recyclage des eaux de sa station d’épuration pour alimenter les balayeuses de la ville et nettoyer ses bennes à ordures, beaucoup l’ont toisé avec circonspection.

    Les mêmes lui ont fait les gros yeux lorsqu’il a proposé un procédé similaire pour le jardin potager d’une petite commune située au nord de Montpellier. Mais depuis que la France subit de plein fouet des épisodes récurrents de sécheresse, plus personne ne regarde de haut le patron de l’entreprise Ecofilae, spécialisée dans la réutilisation des eaux usées traitées.

    PERSO: vous n'imaginez pas les bactéries et virus que l'on ramasse avec les semelles de ses chaussures et que l'on fait entrer dans la maison!

    À la traîne en la matière, la France veut rattraper son retard. Ce week-end, au Salon de l’agriculture, Emmanuel Macron a annoncé avoir "transmis ces derniers jours au Conseil d’État un décret pour mieux utiliser les eaux usées". La réglementation est en train de changer pour encourager le plus possible ce type de pratique, l’objectif fixé par la commission européenne étant de "multiplier par six les volumes d’eaux usées recyclées ", explique le Centre d’information sur l’eau.

    C’est qu’en raison d’une réglementation sanitaire jugée aujourd’hui trop restrictive par l’exécutif, la France réutilise environ 1% de ses "eaux grises", "c’est très peu". La plupart des tomates produites en Espagne et consommées en France sont irriguées au moyen d’eaux usées traitées souligne le directeur du développement durable de l’entreprise Veolia, Tristan Mathieu. Mais en France, ce procédé est aujourd’hui très marginal car nous avons jusqu’ici été moins exposés que les autres aux effets du réchauffement climatique".

    "ASSOUPLIR LA RÉGLEMENTATION " POUR UTILISER L’EAU DE LA DOUCHE DANS LES TOILETTES

    Tout a changé depuis l’été 2022, marqué par une succession inédite de canicules et une sécheresse historique. Beaucoup de collectivités locales et d’industriels se sont alors tournés vers nous pour se renseigner sur ces solutions de réutilisation des eaux usées qui n’ont pour l’heure été développées que dans 70 stations d’épuration sur les plus de 22 000 que compte l’Hexagone.

    Bien conscient du potentiel, le ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu, espère bien lever certains freins administratifs et sanitaires qui empêchent les communes d’utiliser leurs ressources aquifères comme elles l’entendent.

    "Nous devons assouplir la réglementation afin de pouvoir utiliser l’eau de la douche ou de la machine à laver pour la chasse d’eau alors que c’est aujourd’hui de l’eau potable qui est utilisée, nous explique le ministre depuis le Gabon où il accompagne le chef de l’État. En zones littorales, nous devons aussi innover pour pouvoir réutiliser les eaux traitées dans les stations d’épuration en vue d’arroser les parcs ou d’irriguer des terres, plutôt que de les rejeter à la mer".

    Même si les eaux des égouts qui échouent dans les stations d’épuration ressortent débarrassées de la majeure partie des polluants qui pourraient s’avérer nocifs pour le milieu naturel, l’association France Nature Environnement (FNE) reste prudente quant à certains usages". Les stations d’épuration n’éliminent pas toutes les substances dangereuses présentes dans les eaux usées, souligne le président de FNE, Arnaud Schwartz. Si c’est pour arroser des espaces verts, pourquoi pas? Mais pour irriguer des champs destinés à l’alimentation se pose évidemment la question des risques chimiques et microbiologiques".

    Lire la suite ici

    https://www.leparisien.fr

    PESTICIDES: DE L’EAU POTABLE NON CONFORME POUR 20 % DES FRANÇAIS

    (environ 12 millions de personnes ont été concernées en 2021 par des dépassements de seuils de qualité pour les pesticides et leurs métabolites).

    Le Monde donne les chiffres ahurissants de la contamination de l’eau par les pesticides et alii mais donne également les lacunes ÉNORMES dans la surveillance de l’eau potable!

    Encore en 2021, on vous parle pas du XIXème siècle, 20 % des Français métropolitains ont utilisé (donc bu pour nombre d’entre eux) de l’eau non potable selon les critères officiels. 5,9 % des Français en 2020. Quel bond en un an! C’est juste terrifiant.

    Les données officielles sont à la Direction Générale de la Santé mais ne sont pas… communicables au public  et la DGS refuse de répondre aux journalistes!! Ben voyons! Et ensuite on s’étonne de voir le nombre de cancers et autres maladies augmenter vitesse grand V

    Et tout ça pourquoi? Parce que l’on pollue plus à présent? Mais non, mais non… c’est juste que jusqu’à maintenant on ne trouvait que ce que l’on cherchait. Et l’on ne cherchait que les traces de certains pesticides et même pas les recompositions de pesticides entre eux…

    Donc l’eau est déclarée potable parce que l’on n’a recherché QUE certains types de produits dedans…

    Christine Tasin

    https://resistancerepublicaine.com/2023/03/06/1-francais-sur-5-na-pas-acces-a-leau-potable-et-ils-veulent-quon-joue-avec-les-eaux-usees/

  • Pour ceux qui aiment les spas

    Champignons, virus, bactéries… Voici ce qu’a trouvé une microbiologiste dans les spas – et ce n’est pas ragoûtant

    Pendant des siècles, les humains se sont baignés dans des eaux publiques. Parfois pour se laver, mais plus souvent pour le plaisir. Dans la Grèce antique, les bains étaient pris dans de l’eau douce, ou dans la mer, perçue comme un lieu sacré dédié aux dieux locaux et s’y baigner était considéré comme un acte de culte.

    Ce sont toutefois les Romains qui ont créé des aqueducs d’État pour permettre la construction de bains publics à grande échelle. Ceux-ci étaient principalement utilisés pour la relaxation, mais aussi pour des plaisirs intimes. Eh oui, c’est souvent dans les bains publics que les Romains s’adonnaient à des actes coquins, parfois avec les esclaves préposés aux bains.

    Deux millénaires plus tard, nous aimons toujours les bains publics, même si beaucoup de gens ont désormais leur propre spa, ou bains à remous, dont les ventes ont connu une forte hausse pendant la pandémie.

    Pour ceux qui n’en ont pas à la maison, il y a la salle de sport ou le spa du coin. Et de nombreux hôpitaux en possèdent un. En effet, les bains à remous sont communément utilisés à des fins thérapeutiques pour soulager et traiter l’inflammation des articulations chez des personnes atteintes de rhumatisme ou d’arthrose. L’usage d’un spa est souvent considéré comme une expérience de luxe, à la fois relaxante et régénératrice.

    La chaleur de l’eau du bain dilate naturellement les vaisseaux sanguins, ce qui aide les muscles à se détendre et soulage les articulations douloureuses. En plus d’être apaisantes physiquement, l’eau chaude bouillonnante et la compagnie de personnes qui partagent l’expérience avec nous peuvent également engendrer un bien-être psychologique.

    BACTERIES, VIRUS ET CHAMPIGNONS

    Il ne faut toutefois pas oublier que quand on entre dans un bain à remous, tout ce qu’on a sur notre peau se dépose dans l’eau chaude qui tourbillonne autour de nous. Cela inclut les quelque 100 mg de matières fécales qui se trouvent généralement entre nos fesses. Ainsi, lorsqu’on se détend dans l’eau chaude, il est fort probable qu’on respire ou avale les bactéries, les virus et les champignons du corps de son compagnon de spas.

    Plus il y a de personnes dans le bain, plus le taux de matières fécales et de sueur (et d’urine si quelqu’un a fait pipi dans l’eau) est élevé. Et ces dépôts servent de nutriments aux bactéries.

    Comme on recommande aux propriétaires de spas de ne changer l’eau que tous les trois mois environ, les bactéries se développent. Pour la sécurité microbiologique, la plupart de bains à remous qui font re-circuler l’eau sont équipés de filtres qui éliminent les microbes et leur eau est traitée avec des microbicides (pour éliminer les germes) tels que le chlore, le brome ou d’autres désinfectants qui contrôlent le nombre de bactéries.

    Ces produits chimiques sont toxiques et peuvent irriter la peau et les yeux. C’est pourquoi il est conseillé de prendre une douche après le bain à remous (avant aussi). La température de l’eau dans un bain à remous (environ 40 °C) peut également causer des problèmes de santé potentiellement graves, comme une surchauffe du corps, qui peut entraîner une sensation de faiblesse ou même une perte de conscience, voire la noyade.

    C’est particulièrement risqué pour les femmes enceintes et les enfants, ainsi que les personnes souffrant de problèmes de santé sous-jacents, qui doivent toujours consulter leur médecin avant d’utiliser un spa. C’est pourquoi l’on conseille de ne pas faire des séances de plus de 15 minutes dans un spa et jamais sans surveillance.

     

    SALE OU DEGOUTANT?

    Si les bains à remous privés sont relativement sûrs d’un point de vue microbiologique, les spas publics (dans des hôtels ou spas) peuvent être contaminés par des bactéries infectieuses (germes), surtout si l’eau est recyclée.

    Le problème provient du fait que les usagers ne respectent pas les consignes d’hygiène personnelle et que le traitement de l’eau est inadéquat. Les bains publics mal entretenus peuvent causer des épidémies d’infections dues à des bactéries associées au corps humain qui survivent dans l’eau.

    Parmi celles-ci figurent E.coli, Staphylococcus aureus, Pseudomonas aeruginosa et Legionella pneumoniae. Ces agents pathogènes du bain à remous peuvent provoquer des infections intestinales, des diarrhées, des septicémies, des infections cutanées, des infections des voies urinaires et respiratoires, telles que la maladie du légionnaire. La bactérie Legionella se retrouve régulièrement dans les gouttelettes d’eau présentes dans la vapeur des spas, et l’inhalation de cette vapeur contaminée peut causer une pneumonie potentiellement fatale.

    IL FAUT EVITER QUE L’EAU ENTRE DANS NOTRE BOUCHE.

    Le risque d’infection lié aux spas est si important que les Centers for Disease Control américains ont publié des recommandations sur la manière de s’en prémunir.

    Si l’on souhaite quand même profiter d’un bain à remous, peut-on vérifier s’il est sans danger pour la santé? Certains signes manifestes nous permettent de savoir qu’un bain à remous est rempli de germes. Lorsque de l’urine et d’autres fluides corporels tels que la sueur se mélangent au chlore utilisé pour désinfecter l’eau des spas, cela crée un irritant, un produit chimique à l’odeur âcre appelé chloramine, qui provoque des douleurs aux yeux quand on se baigne dans une piscine publique.

    Plus il y a de personnes qui laissent leurs fluides corporels dans l’eau, plus l’odeur de la chloramine (semblable à celle de l’eau de Javel) sera forte et plus il y a de risques que le spa ne contienne pas assez de désinfectant et trop de bactéries. Par conséquent, si une forte odeur se dégage d’un bain à remous, il vaut peut-être mieux ne pas y entrer, même si l’eau semble propre et claire, bien que l’eau finit par devenir plus trouble quand elle n’est pas suffisamment traitée.

    auteur: Primrose Freestone, Senior Lecturer in Clinical Microbiology, University of Leicester

    The Conversation France

  • Histoires de riz - 2

    Quel type de riz choisir pour son risotto ?

    Rond et nacré, non parfumé, avec une texture ferme et crémeuse, riche en amidon et de préférence originaire d’Italie pour rendre hommage aux racines siciliennes puis milanaises du risotto : voilà les critères sur lesquels vous devriez vous baser pour sélectionner le riz pour risotto lorsque vous vous apprêtez à réaliser une recette de risotto. Le riz pour risotto se distingue ainsi d’autres types de riz dont les caractéristiques ne permettent pas une réalisation optimale du risotto. Bien que délicieux pour tout un tas d’autres recettes, évitez par exemple le riz parfumé de Camargue IGP pour la préparation de votre risotto.

    Quel est le meilleur riz pour un risotto ?

    Le riz Arborio est considéré comme le meilleur riz pour risotto. Adoré par les Italiens et par les chefs cuisiniers du monde entier, le riz Arborio présente toutes les caractéristiques qui lui permettent de sublimer un risotto. Au-delà de ses qualités de cuisson, le riz Arborio garantit la réalisation d’un risotto à la fois crémeux et croquant, et bien sûr savoureux. Ce sont ces qualités que vous retrouvez dans le riz pour risotto Taureau Ailé.

    Risotto: les bons conseils pour sa préparation

    Le choix du riz pour risotto n’est pas le seul élément qui impacte la qualité, et les saveurs, de votre risotto. La réalisation est elle aussi importante, mieux vaut être attentif à la cuisson du riz, et bien sélectionner l’accompagnement.

    La cuisson du riz pour risotto

    La cuisson du riz pour risotto diffère sensiblement de la cuisson du riz classique. Elle nécessite plus d’attention, et plus de temps. La plupart des chefs cuisiniers recommandent de procéder en quatre étapes avec :

    L’enrobage du riz dans une matière grasse chaude (filet d’huile d’olive et oignons) ;

    L’ajout d’un trait de vin blanc une fois le riz translucide ;

    L’ajout progressif de liquide (eau ou bouillon) avec le ratio 2,5 volumes de liquide pour 1 volume de riz ;

    L’arrêt de la cuisson du riz dès que le riz pour risotto affiche son aspect crémeux.

    Au total, il vous faudra compter une demi-heure environ pour la préparation et la cuisson. Sachez par ailleurs que le risotto se prépare traditionnellement au dernier moment, juste avant le service. Pensez donc à organiser votre temps en cuisine pour vous conformer à cette injonction.

    L’accompagnement

    Au-delà de la cuisson et du type de riz pour risotto, le secret d’un bon risotto réside aussi dans le choix de l’accompagnement. Il existe, sur le Web, tout un tas de recettes pour risotto avec des ingrédients plus ou moins traditionnels. Selon vos aspirations et/ou selon les convives invités à partager le repas, libre à vous d’oser l’originalité ou de rester dans les recettes de risotto classiques. Chez Taureau Ailé, la recette du risotto aux crevettes et petits pois récolte le suffrage des deux camps.

    Comment conserver un riz risotto ?

    La meilleure façon de conserver un riz risotto consiste à le placer dans une boîte hermétique au réfrigérateur. Il est, en amont, conseillé de laisser refroidir le risotto avant de le placer au réfrigérateur. Ainsi conservé, le risotto crémeux peut être dégusté jusqu’à 48 heures après sa réalisation. Au-delà, mieux vaut éviter de le consommer. Pour éviter le gaspillage alimentaire et si vous pensez ne pas pouvoir le consommer dans les 48 heures, vous pouvez opter pour une congélation. Le seul inconvénient est que vous risquez de perdre, un peu, en texture crémeuse lors de la dégustation suivante.

    Infos sur le site Taureau Ailé

     

  • HONTE  AUX  TENARDIER  DE  L'ELYSEE!

    Volaille française : la fin à venir des labels qualité comme le Label Rouge qui font de l’ombre aux lobbys industriels. La Commission Européenne va changer les règles avec l’aval de l’Élysée

    Par Périco Légasse - Marianne

    En torpillant la réglementation de l’élevage en plein air pour favoriser le lobby industriel allemand avec l’accord de l’Élysée, Bruxelles sonne le glas des labels de qualité dont dépend l’excellence de la volaille française.

    Absorbés que nous étions par le conflit poutino-zélenskien, par la crise énergétique, l’inflation menaçante, la guerre des retraites, le péril chinois, nous en avions un peu oublié les méfaits de ce fléau qu’est la Commission européenne. Qu’a-t-elle fait cette fois-ci?

    Rien de moins que de planifier l’éradication de la volaille française de qualité, notre bon vieux poulet dominical, en poignardant dans le dos les labels qualitatifs dont le consommateur se prévaut pour être sûr de son choix. La méthode est particulièrement sournoise et révèle, une fois de plus, le véritable objectif des instances européennes : éliminer toute entrave à l’enrichissement des marchés. Au nom de la libre concurrence, on détricote la loi pour permettre aux marchands de malbouffe d’éliminer ceux qui leur font de l’ombre. […]

    Cette filière obéit à des normes de production drastiques […]. Un niveau d’exigence spécifique à la France obtenu au terme d’un combat mené durant des décennies par des éleveurs soucieux de se distinguer de la filière industrielle et de ses horreurs. Comme pour certains autres aliments, comme le pain, on peut parler de conquête sociale au profit du consommateur […] […] présenté à Bruxelles en décembre 2022, un projet de nouvelles normes prévoit d’annuler le caractère obligatoire de la réglementation actuelle en rendant facultatives les contraintes liées à l’élevage en plein air et en liberté. Ainsi, à partir de février 2023, si la Commission ne revient pas sur sa décision, tout opérateur européen pourra user de mentions non réglementées pour étiqueter sa production.

    Ainsi trouvera-t-on sur le marché du "poulet des champs", de la "volaille de plein vent" ou du "poulet à l’air libre", dont l’intitulé ne correspondra à rien de vérifiable et de vérifié. De quoi désorienter le consommateur soudain exposé à un étiquetage quasi sauvage qui ne lui permettra plus de distinguer au premier coup d’œil un poulet label Rouge certifié "élevé en liberté", qui, lui, conservera son éthique de production, vendue aux alentours de 10 € le kg, et une volaille industrielle roumaine ou bulgare, nourrie avec des détritus, entassée dans des cages et vendue sous la mention "poulet libre" à moins de 5 € le kg…

    Si les initiés un peu vigilants pourront vérifier leurs achats, la grande masse des consommateurs, elle, se laissera abuser. Cette concurrence déloyale et trompeuse portera fatalement préjudice à la filière française de qualité, qui représente aujourd’hui 17% du marché de la volaille. Déjà que près de 90% de la volaille servie en restauration collective, cantines scolaires, Ehpad et hôpitaux est importée, c’est au tour de ce trésor alimentaire de faire les frais du néolibéralisme financier.

    Imposée par l’Allemagne, où le lobby industriel contrôle le réseau des élevages intensifs, dont les filiales s’étendent en Pologne, où l’on abat plus de 1 milliard de poulets par an, mais aussi en Roumanie et en Bulgarie, où sévissent des centaines d’usines, dont certaines comptent plus de 120 000 volailles, cette dérégulation brutale, allant dans le sens contraire de l’histoire et de la demande des consommateurs, est un coup dur pour l’agriculture française.

    Nous voudrions bien savoir ce qui a conduit l’Élysée et Matignon à consentir une telle REGRESSION aux lobbys bruxellois et au commissaire polonais à l’Agriculture, Janusz Wojciechowski. Il est vrai que, pour fabriquer un cordon-bleu, il n’est pas besoin de poulet tricolore. […]

    SOYEZ VIGILENT ET NE VOUS LAISSEZ PAS AVOIR PAR CES ESCROCS!

    Cherchez le prix au kilo LE PLUS CHER et la provenance POULET JAUNE DU SUD-OUEST…

  • Comment faire dissoudre les associations qui combattent la France

    Les associations qui défendent soi-disant la laïcité ne cessent de combattre la France et les symboles chrétiens et veulent faire supprimer du paysage tout symbole religieux chrétien.

    Par contre, chacun peut constater qu’elles ne s’opposent jamais à l’expansion de l’Islam en France, que ce soit par la création de mosquées, ou par la demande d’avantages de plus en plus nombreux (nourriture halal dans les écoles, piscines réservées, port du voile en entreprise et dans les universités, etc.).

    Il convient donc de savoir comment il serait possible d’agir contre ces associations politiques et comment demander en justice leur dissolution.

    Il y aurait en fait deux axes principaux:

        La question de leur objet social, beaucoup trop vague, alors qu’elles s’octroient un pouvoir qu’aucune loi ne leur confère ;

        La question de leur représentativité, et de la nocivité de leur action politique.

        Attaquer les association laïques par " l’atteinte aux bonnes mœurs, et l’incitation à la haine ".

    En préalable, rappelons que selon l’article 3 de la loi du 1er juillet 1901:

    "Toute association fondée sur une cause ou en vue d’un objet illicite, contraire aux lois, aux bonnes mœurs, ou qui aurait pour but de porter atteinte à l’intégrité du territoire national et à la forme républicaine du gouvernement, est nulle et de nul effet".

    Une association peut être dissoute par décret en Conseil des ministres, dans les cas suivants:

        Provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence envers une personne ou un groupe de personnes en raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ou propagent des idées ou théories tendant à justifier ou encouragent cette discrimination, cette haine ou cette violence ;

        Agissements, sur le territoire français ou à partir de ce territoire, en vue de provoquer des actes de terrorisme en France ou à l’étranger ;

        Provocation à des manifestations armées dans la rue ;

        Association présentant, par leur forme et leur organisation militaires, le caractère de groupes de combat ou de milices privées ;

        Association ayant pour but de porter atteinte à l’intégrité du territoire national ou d’attenter par la force à la forme républicaine du gouvernement

    La notion d’atteinte aux bonnes mœurs serait une voie d’attaque de ces associations:

    – Elles provoquent à la discrimination, la haine et la violence envers les catholiques ;

    – Leur façon de se manifester peut les faire assimiler à des milices privées, puisqu’elles n’hésitent pas parfois à recourir à la violence, notamment en saccageant de plus en plus d’églises.

    Leur action porte gravement atteinte à de nombreux chrétiens et Français tout simplement.

    Or, le prolongement de la liberté de conscience est le droit pour chacun d’être protégé contre les atteintes à ses convictions religieuses ou philosophiques, et les musulmans ne se privent jamais d’invoquer " ce droit " à leur profit unique.

    Ce droit est consacré par les grands textes (article 10 de la Déclaration des droits de l’homme: "Nul ne doit être inquiété pour ses opinions mêmes religieuses " ; l’article 1er de la Constitution du 4 octobre 1958 a surtout élevé le respect des croyances au rang de principe constitutionnel en énonçant: " La France assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances'.). Ce droit à la protection du sentiment religieux est aussi affirmé par les textes internationaux, notamment l’article 9 de la Convention européenne des droits de l’homme.

    Sur le fondement de ces textes, le juge a consacré le droit au respect des croyances.

    Le Conseil constitutionnel considère que, si l’État " n’a pas à reconnaître officiellement ce droit, il doit au moins le constater, et en tolérer l’usage dans la mesure où ses propres lois n’en sont pas lésées " (Cons. const., 19 nov. 2004, n° 2004-505 DC: Rec. Cons. const. année, p. 173, note Sudre F. ; RFDA 2005, p. 34, note Chelini-Pont B. et Tawil E. ; Annuaire Droit et Religions, 2005, PU Aix-Marseille, p. 473.)

    Si, selon les penseurs de gauche, le principe de laïcité postule le pluralisme des valeurs, cela vaut donc également des valeurs chrétiennes.

    En droit international

    Au plan du droit international, "pour quelque sujet que l’on ravage un pays, on doit épargner les édifices qui font honneur à l’humanité" (De Vattel E., Le Droit des Gens ou principes de la loi naturelle appliqués à la conduite et aux affaires des Nations et des Souverains, vol. II, livre III, chapitre IX, 1983, Genève, Institut Henry Dunant, p. 139).

    C’est ainsi que, posant un principe d’immunité des biens culturels, diverses conventions internationales prévoient que, même en cas de siège ou de bombardement, " toutes les mesures nécessaires doivent être prises pour épargner (…) les édifices consacrés aux cultes, aux arts, aux sciences et à la bienfaisance, les monuments historiques " Convention (IV) de La Haye concernant les lois et coutumes de la guerre sur terre du 18 octobre 1907. Adde: convention de La Haye pour la protection des biens culturels en cas de conflit armé du 14 mai 1954 ; statut de la Cour pénale internationale, adopté à Rome le 17 juillet 1998, articles 8 (2) (b) et 8 (2) (e), qui qualifie de crime de guerre "le fait de lancer des attaques délibérées contre des bâtiments consacrés à la religion, à l’enseignement, à l’art, à la science ou à l’action caritative ou contre des monuments historiques".

    Or, pourquoi ces mesures de protection qui prévalent en cas de conflit armé ne prévaudraient pas, également en temps de paix, dès lors que l’objectif de destruction est identique?

    Les droits religieux existent. L’on ne peut pas le nier.

    Ce ne sont toutefois pas tous les édifices cultuels qui bénéficient d’une protection renforcée mais seulement ceux qui appartiennent au "patrimoine culturel ou spirituel des peuples" (Protocole additionnel I aux conventions de Genève de 1949, Genève, 8 juin 1977, art. 53), ce qui montre bien que les lieux de culte sont alors moins protégés en eux-mêmes, dans leur dimension sacrée, qu’en tant que biens culturels appartenant au patrimoine commun de l’humanité.

    Cette protection renforcée se justifie par la dimension symbolique de ces biens qui représentent la culture et la civilisation des peuples. Car à travers la destruction des lieux de culte et autres monuments historiques, c’est parfois l’identité même d’une civilisation que l’on cherche à anéantir, afin d’effacer toute trace de sa présence ou de son existence (Casier F., " Les régimes de protection en droit international humanitaire ", in La protection des biens culturels, ses aspects militaires et opérationnels et l’application aux situations hors conflits armés, Centre d’étude de droit militaire et de droit de la guerre, 22 mai 2014, www.ismllw-be.org/session/2014-05-22-CASIER%20F-Texte%20final.pdf ;Bugnion F., " La genèse de la protection juridique des biens culturels en cas de conflit armé dans le cadre du droit international humanitaire " – (www.icrc.org/fre/assets/files/other/irrc.pdf.).

    Par ailleurs, les statues de la Vierge présentent un caractère sacré, mais également un intérêt artistique et historique et la sécurisation et la protection du patrimoine est encouragée par l’UNESCO.

    Pour l’UNESCO le patrimoine immatériel religieux, du moins celui des grandes religions, apparaît comme la composante d’un ordre juridique transnational destiné à transcender les frontières étatiques nationales pour gouverner les relations internationales privées des personnes, indépendamment ou presque des souverainetés nationales.

    Le patrimoine religieux est ainsi porteur d’un ordre juridique transnational caractérisé par:

        une communauté de personnes suffisamment stable, identifiée et organisée pour asseoir le développement de normes adaptées ;

        une complétude et une autarcie assurées par l’existence d’un législateur, prenant la forme d’un pouvoir de commandement et d’une charte fondatrice et d’un juge ou, plus largement, d’une instance d’apaisement des conflits, selon les expressions employées par Rémy Libchaber dans son bel ouvrage L’ordre juridique et le discours du droit ;

        enfin, une relative autonomie par rapport aux ordres nationaux, ce qui renvoie aux règles de "relevance" étudiées notamment par Santi Romano.

    Le patrimoine immatériel religieux , dans sa dimension temporelle et transgénérationnelle, constitue un fonds commun ayant vocation à se transmettre de génération en génération et à se perpétuer en se renouvelant.

    Par ailleurs, si l’article 28 de la loi de 1905 interdit, pour l’avenir, d’élever ou d’apposer un signe ou emblème religieux sur les monuments publics ou en quelque emplacement public que ce soit, à l’exception des édifices servant au culte, des terrains de sépulture dans les cimetières, des monuments funéraires, ainsi que des musées ou expositions, les édifices antérieurs sont protégés.

    Afin de se prémunir contre le risque de dissipation, la loi de 1905 pose non seulement des règles d’inaliénabilité et d’imprescriptibilité des édifices cultuels du moins lorsqu’ils sont classés au titre de la législation relative à la  protection des monuments historiques mais accorde encore un droit de préemption au profit des associations cultuelles, des communes, des départements, des musées et sociétés d’art et d’archéologie et de l’État ( L. 9 déc. 1905, art. 17).

    Cette dimension symbolique du lieu de culte justifie une protection renforcée des édifices cultuels envisagés en leur qualité de lieu de rassemblement.

        Quelle est la représentativité des associations dites " Laïques "?

    Dés lors que ces associations introduisent des actions visant à toucher la vie de tous, elles se doivent d’avoir une certaine représentativité.

    En effet, à quel titre subissent-elles un préjudice? D’où leur vient la prérogative de définir ce qu’est la laïcité pour la façonner judiciairement à leur seule volonté  alors que ce droit devrait plutôt revenir au parlement?

    Force est de constater, que sans en être expressément autorisées par la loi, elle se comportent comme les associations anti-racistes, qui peuvent agir sans avoir subi de préjudice propre.

    Un objet social général de " respect de la laïcité " est beaucoup trop vague, et de plus, le respect de la laïcité ne relève pas de leur compétence. Si la laïcité est garantie par la Constitution, aucun texte ne dit que ce sont " ces associations " qui sont chargées de la faire respecter, agissant ainsi comme une police des mœurs.

    Ces associations font de la "laïcité" un enjeu politique global qui motive leur engagement, mais le sectarisme, l’intolérance et la surenchère verbale qui les caractérisent masquent difficilement la faiblesse de leurs effectifs et de leurs moyens.

    Ces associations ne sont souvent que les émanations de loges maçonniques selon lesquelles  le cléricalisme obstiné et reconquérant de la hiérarchie vaticane doit être combattu: il ne faut manquer aucune occasion de le dénoncer et de s’y opposer. L’esprit de croisade survit encore, toujours aussi malfaisant. La laïcité constitue l’antidote le plus efficace contre les entreprises de recléricalisation, en France et en Europe " [[" Humanisme " n°223, septembre 1995.]].

    Ce ne sont la que quelques pistes juridiques, qu’il faudrait approfondir et peaufiner.

    Mais il faut surtout passer à l’action et bloquer l’action de ces associations devant les tribunaux ; tant que les accusations dont elles peuvent faire l’objet n’ont pas été traitées, il faut leur dénier ce pouvoir d’agir.

    https://www.ichtus.fr/la-laicite-dans-le-droit-francais

    Albert Nollet

  • La fin du ticket de caisse au 1er janvier

    .... est une atteinte supplémentaire à la vie privée 

    Ils nous refont le coup de la protection des données personnelles, mais ils veulent désormais savoir précisément ce que vous avez acheté et où vous l’avez acheté.

    La fin du ticket de caisse papier au profit de la note virtuelle d’achats est la dernière grosse ficelle en date pour pister le consommateur. 

    Les cartes de fidélité et les coupons de remises promotionnelles inhérentes étaient déjà de parfaits mouchards pour le marketing. 

    Mais avec la suppression du ticket de caisse automatique au 1er janvier prochain, soi-disant bonne pour l’écologie, c’est une nouvelle étape dans l’intrusion de la vie des clients captifs qui se profile.

    Alain Escada, président de Civitas, avertit :

    "Ce que nous pensons, à travers ce que nous achetons, tel est le but de la fin des tickets de caisse. S’il vous plaît, dépensez de l’argent réel, sauvez l’argent réel !"

    Dans un contexte de passe énergétique et de restrictions sans précédent des libertés individuelles, pas besoin d’être Jérémie pour comprendre que les détails de tous les achats seront connus, examinés, utilisés et stockés, même si le RGPD se veut rassurant. Ce qui relève de l’arnaque à la lecture de presse qui relate régulièrement des cas d’usage abusif et de « fuite » de données confidentielles.

    Sont concernés:

        les tickets de carte bancaire produits dans les surfaces de vente et dans les établissements recevant du public ;

        les tickets émis par des automates ;

        les tickets de carte bancaire ;

        les bons d’achat et tickets promotionnels ou de réduction.

     

    POUR OBTENIR UN TICKET DE CAISSE IMPRIME, LE CONSOMMATEUR DEVRA DESORMAIS LE DEMANDER EXPRESSEMENT AU COMMERÇANT.

    Mais, indique Service public:

    "Ne sont pas concernés par ce changement les tickets de caisse relatifs à l’achat de biens dits "durables" tels que les appareils électroménagers, les équipements informatiques ou appareils de téléphonie par exemple. 

    La liste complète des biens concernés se trouve à l’article D211-6 du code de la consommation. Les tickets de carte bancaire relatifs à des opérations annulées ou faisant l’objet d’un crédit feront, eux aussi, toujours l’objet d’une impression systématique 

    https://entreprendre.service-public.fr

     

    Ce qui change avec la fin du ticket de caisse obligatoire.

    https://youtu.be/0Lxi0fzBMQ4

     

    Pour refuser l’envoi par e-mail, les principales enseignes indiquent qu’en tant que client de la carte de fidélité vous recevrez automatiquement vos tickets de caisse par e-mail. 

    Sinon, le désabonnement à ce service est possible par retour d’e-mail ou à la borne du magasin. 

    ATTENTION 

    En cas d’absence de consentement du consommateur et de non-impression du ticket de caisse, la seule trace de l’achat sera l’affichage en caisse du montant de la transaction.