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Officiel - Page 5

  • ALERTE GENERALE!

    Ce n'est pas un poisson d'avril… hélas

    Un nouveau délit qui ne devrait pas faire l’unanimité. En effet, dans le projet de loi de "sécurisation de l’espace numérique" qui pourrait être adopté au début du mois d’avril, un nouvel élément a été intégré à l’article 5 bis. Selon les informations de Mediapart, il s’agit du " délit d’outrage en ligne ", sanctionné par une amende forfaitaire délictuelle. Cette procédure pourrait permettre de sanctionner des faits sans passer par un procès. Sera puni de 3 750 euros d’amende et d’un an d’emprisonnement "le fait […] de diffuser en ligne tout contenu qui soit porte atteinte à la dignité d’une personne ou présente à son égard un caractère injurieux, dégradant ou humiliant, soit créé à son encontre une situation intimidante, hostile ou offensante", explique le texte.

    La portée de ce texte est relativement large, car il semblerait que l’ensemble des outils de communication en ligne soit visé par l’article, c’est-à-dire les réseaux sociaux, les plateformes de partage de vidéos, mais aussi les messageries privées. En cas de partage d’un message offensant, dégradant, haineux sur Twitter par exemple ou dans une boucle privée WhatsApp, la personne qui l’a diffusé pourra être obligée de payer une amende.

    Toutefois, le Conseil constitutionnel pourrait mettre son veto à l’adoption définitive de ce texte en raison du caractère subjectif de la définition du délit. En effet, la plus haute juridiction administrative a déjà rappelé que des amendes forfaitaires délictuelles ne pouvaient s’appliquer qu’à des faits "aisément contestables".

    Le gouvernement craint d’ailleurs que l’article soit censuré. " Bien que nous partagions évidemment les objectifs, nous sommes beaucoup plus dubitatifs sur la sécurité juridique et constitutionnelle de la démarche", a précisé le cabinet de Marina Ferrari, secrétaire d’État chargée du Numérique, auprès de Tech&Co.

    https://www.valeursactuelles.com

  • Attention:  danger  en  France!

    Le point sur l'épidémie multi-états de Salmonella Mbandaka ST413 lié à la consommation de produits à base de viande de poulet dans l'UE/l'EEE et au Royaume-Uni Médecine des voyages

    Un foyer transfrontalier de Salmonella Mbandaka ST413 est en cours dans l'Union européenne/Espace économique européen (UE/EEE) et au Royaume-Uni (RU) depuis septembre 2021. Au 30 novembre 2022, 196 cas avaient été enregistrés et publiés dans une évaluation rapide des épidémies menée conjointement par le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) et l'Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA).

    Au 15 mars 2024, 300 cas (soit une augmentation de 104 cas) avaient été signalés en Estonie (n = 3), en Finlande (n = 98), en France (n = 16), en Allemagne (n = 2), en Irlande (n = 7), aux Pays-Bas (n = 1) et au Royaume-Uni (n = 173), conformément à la définition de cas européenne. Vingt-trois ont été hospitalisés, 6 ont eu une septicémie et 1 est décédé au Royaume-Uni.

    En novembre 2022, lorsque la première évaluation a été publiée, les produits à base de poulet prêts à consommer et/ou la viande de poulet fraîche ont été identifiés comme des vecteurs probables de l'infection sur la base d'entretiens avec des cas en Finlande et au Royaume-Uni. Des enquêtes ultérieures menées par les autorités de sécurité alimentaire en Estonie, en Finlande et aux Pays-Bas, ainsi que le partage d'informations génomiques sur les aliments avec l'EFSA en 2024, ont permis d'identifier les poitrines de poulet cuites à la vapeur et congelées, PRODUITES EN UKRAINE, comme vecteur d'infection. Les lots contaminés avaient été importés par des opérateurs non européens.

    La durée de conservation des produits de viande de poulet surgelés contaminés a expiré en novembre et décembre 2023. Les cas les plus récents ont été détectés en Finlande en octobre 2023 et au Royaume-Uni en février 2024. En supposant que les lots contaminés identifiés ne sont plus sur le marché, et compte tenu des dates de péremption et des mesures de contrôle mises en œuvre, la probabilité que de nouvelles infections se produisent avec la souche de l'épidémie provenant de ces lots est faible.

    Cependant, malgré la mise en œuvre des mesures de contrôle, des cas ont continué à se produire tout au long de l'année 2023 dans l'UE/EEE et au début de l'année 2024 au Royaume-Uni, ce qui suggère des voies d'exposition non détectées qui nécessitent des investigations supplémentaires et posent un risque continu, bien que réduit, de nouvelles infections.

    Source : Centre européen de prévention et de contrôle des maladies

    Référence principale : www.ecdc.europa.eu

  • Pourquoi il faut vous séparer de vos poêles abimées

    Cela fait plus de 25 ans que je n'utilise plus de poêle en Teflon®; j'ai cherché qu'elles étaient les meilleures possibilités: j'utilise des poêles en tôle noire (bien culottées, elles n'attachent pratiquement pas) j'ai deux poêles en inox (dont une, uniquement réservée pour rôtir du millas) et une en acier émaillée (pour mes sauces tomates). Il ne faut pas rayer les poêles en émail et les poêles inox sont peu facile d'utilisation.

    Les poêles en pierre sont à éviter TOTALEMENT (la poudre de pierre est collée!) Le PTFE est interdit en France depuis quelques années, veillez à ne pas en acheter dans un magasin de soldes…. Si vous voulez à tout prix acheter les nouvelles poêles anti-adhérentes que l'on vend de nos jours, CHANGER DE POÊLE chaque année.

    En vieillissant, votre poêle anti-adhésive peut libérer des milliers de particules de microplastique dans vos plats.

    Les pollutions des microplastiques et nanoplastiques sont partout autour de nous. Dans la nature comme dans notre vie quotidienne. Et parfois même dans des ustensiles d’usage courant, telles les poêles anti-adhésives.

    DES ACCESSOIRES RECOUVERTS DE TEFLON

    Comme le révèle une nouvelle étude australienne(1), une poêle abîmée peut en fait libérer jusqu’à 9.100 particules de plastique dans notre nourriture. Un revêtement endommagé peut même entraîner la libération de 2,3 millions de particules de microplastique et nano-plastique en quelques dizaines de secondes de cuisson.

    Ces accessoires de cuisine sont en effet recouverts de Teflon® afin de les rendre anti-adhésifs lors de la cuisson. Mais à force d’être chauffé et utilisé, ce composé chimique finit irrémédiablement pas s’user et s’endommager. Une usure qui entraîne la libération invisible de ces particules potentiellement nocives.

    Un revêtement abimé provoque la libération de 2,3 millions de minuscules particules pendant la préparation des repas

    Le système d’imagerie Raman et les algorithmes mis au point par les chercheurs permettent ainsi de scanner les surfaces de ces ustensiles et d’en analyser la structure moléculaire. C’est grâce à cela qu’ils ont pu mettre en lumière le fait qu’une poêle abîmée libère des millions de microparticules plastiques et nano-plastiques en Teflon®.

    Reste désormais pour les auteurs de cette nouvelle étude sur cet ennemi invisible, à mesurer avec précision tant la fréquence que la dangerosité réelle de ces particules sur l’organisme et la santé humaine. Raison de plus en tout cas pour ne pas lésiner sur la qualité au moment de renouveler sa batterie de cuisine.

    LES RISQUES ASSOCIES AUX CASSEROLES EN TEFLON®

    Émissions de gaz toxiques:

    Lorsque ces casseroles sont chauffées à des températures élevées (généralement au-dessus de 260°C), elles peuvent libérer des gaz toxiques, tels que le dioxyde de carbone et des composés de fluorure. Ces émissions peuvent être nocives pour les oiseaux domestiques et peuvent causer le syndrome respiratoire aigu du Téflon® (SRAT) chez eux.

    DÉGRADATION DU REVÊTEMENT:

    Si ces casseroles sont rayées, éraflées ou endommagées, il y a un risque que des particules de PTFE puissent migrer dans les aliments. Bien que les autorités sanitaires estiment généralement que de petites quantités de PTFE ingérées ne posent pas de problème majeur pour la santé humaine, la dégradation du revêtement peut entraîner des émissions de gaz et des particules indésirables.

    CHALEUR EXCESSIVE:

    Chauffer une casserole en Téflon® à des températures excessives peut accélérer le processus de décomposition du revêtement et augmenter le risque d’émissions de gaz toxiques.

    Références : https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S004896972205392X

  • L'agriculture française est en déclin!

    quelles sont les difficultés de production associées à 10 produits de consommation courante ?

    Normes étouffantes, concurrence déloyale, produits phytosanitaires interdits, etc. Quelles difficultés pour quels produits ?

    CERISE

    La filière de la cerise a été frappée de façon particulièrement dure en 2023. La conséquence directe fut une offre limitée et des prix bien au-delà de l’année 2022. Au 1er juin 2023, la production était en baisse de 21% par rapport à la moyenne des cinq dernières années, selon les données statistiques du ministère de l’agriculture (Agreste). En cause, les ravages de la mouche "Drosophila suzukii" ainsi qu’un contexte climatique défavorable. Deux produits phytosanitaires, qui permettaient de lutter contre cette mouche, ont été interdits en France ces dernières années, mais restent légales dans d’autres pays d’Europe.

    POIRE

    La France ne produit que 50% de ses besoins en poire. Estimée à 125 800 tonnes, la production de poires recule sur l’année 2023, en particulier dans les régions du sud de la France. Les épisodes de fortes chaleurs entraînent une diminution des calibres des fruits. Grêle et canicule sont également responsables d’une moindre production. L’offre restreinte entraîne donc une hausse des prix : 55 % de plus qu’en 2022.

    POMME

    La production de pommes françaises est confrontée à la hausse des coûts des emballages, l’inflation du coût de la main-d’œuvre auxquels s’ajoutent les difficultés de recrutement, la poussée du prix des intrants, sans parler des réglementations françaises qui ont interdit certains produits phytosanitaires qui permettaient de lutter contre les ravageurs. Les vergers sont fragilisés et produisent donc moins.

    POMME DE TERRE

    2022 fut la pire année du XXIe siècle selon l’Union Nationale des Producteurs de pomme de terre. La production de ce tubercule souffre des conditions climatiques, des chaleurs élevées, de la pluviométrie importante, ainsi que des hausses des coûts de production. La hausse des coûts de l’énergie représente la raison principale de cette augmentation du prix au kilo. S’ajoute à cela, le coût du stockage et le coût du transport.

    TOMATE

    La production de tomates françaises s’est effondrée en quelques années, passant de 400 000 tonnes en 1985 pour seulement 150 000 aujourd’hui. Comme les autres fruits et légumes, la tomate souffre des périodes de sécheresse et des pics de chaleur. « Une production en baisse et des surfaces qui plafonnent », décrit l’AOPn (Association d’organisations de producteurs nationale) Tomates et Concombres de France, qui dénonce « le manque d’investissement des pouvoirs publics et la multiplication des contraintes réglementaires conduisant chaque année à l’augmentation de la part des tomates d’importation dans la consommation des Français ».

    BLE

    La production française de blé dur, la céréale des pâtes et de la semoule, est attendue cette année à son plus faible niveau depuis 2003 en raison d’une baisse des surfaces cultivées, rapporte le ministère de l’Agriculture.

    "La baisse de la production est liée à celle des surfaces environ 242.000 hectares, au plus bas depuis 1995", indique l’Agreste. Au premier rang des difficultés actuelles: la concurrence déloyale des producteurs français face aux produits ukrainiens qui affluent depuis que l’UE a levé les droits de douane sur ces importations.

    POULET

    Actuellement, une volaille française sur cinq est élevée en plein air, c’est dix fois plus que la moyenne des pays européens. La production française est une exception, c’est la seule au monde à comprendre autant d’espèces diverses, de labels de qualité, de certificats bio, au point que la volaille “classique” ne représente que 60% des élevages. Ces labels et normes d’excellence amènent avec elles une réduction de la taille des exploitations, et une hausse des coûts. Tant et si bien que la France n’exporte plus que 8% de sa production de poulets contre 25% il y a dix ans. 45% des poulets proviennent actuellement de l’étranger, notamment du Brésil, de la Thaïlande ou de l’Ukraine, où les normes sont plus basses. « Entre un filet de poulet ukrainien à 3,10 euros et son équivalent français à 5,80 euros, le choix est vite fait », regrette l’interprofession Anvol.

    PORC

    En 2023, l’offre de porcs a diminué de 7,7% dans l’Union européenne, mais la France “limite” la casse en ne voyant son offre baisser que de 4,4%. Plusieurs facteurs s’additionnent. La baisse de la demande mondiale a entraîné une chute drastique des prix de ventes. Dans le même temps, la guerre en Ukraine a fait s’envoler les prix des céréales, essentielles à la nourriture des porcs d’élevages. Une image négative rattachée à cette filière quant aux conditions d’abattage et de vie du cochon n’aident pas. La concurrence est rude et les candidats peu nombreux : entre 2012 et 2022, 1,3 millions de porcs de moins étaient élevés en France.

    LAIT

    La France est actuellement le deuxième producteur de lait de l’Union européenne. Pourtant, le secteur est en crise également, au point que l’industrie laitière craint une perte de souveraineté de la France d’ici 2027. En moins de dix ans, le nombre d’exploitations laitières a chuté d’un tiers. Un éleveur sur quatre partira à la retraite ou cessera son activité dans les cinq prochaines années, et la moitié des éleveurs laitiers prendra sa retraite d’ici 2035.

    BOEUF

    En 2022, la production de bœuf française a baissé de 4%, et de 3% supplémentaires en 2023. Soit 110 000 vaches allaitantes en un an. Résultat : en ce début d’année 2024, l’approvisionnement en viande tricolore n’est plus assuré et de plus en plus de restaurateurs doivent se tourner vers l’étranger.

    Exemple frappant: McDonald’s n’arrive plus qu’à avoir 80% de steaks hachés d’origine française au lieu des 100% habituels. En cause, le vieillissement des agriculteurs. Actuellement, seul un éleveur sur deux est remplacé après son départ à la retraite, et les jeunes préfèrent la culture de céréales, plus rémunératrice et moins contraignante.

  • Sur mon autre blog:

     

    http://demaincestaujourdhui.hautetfort.com/archive/2024/02/03/le-chiffre-du-jour-6483536.html

     

  • NON… MAIS….. QUOI?  QUOI?

    Un couple convoqué devant la justice pour avoir prénommé leur fils Fañch avec un " ~ " (diminutif de Frañsez, équivalent breton de François)

    Le prénom de leur fils avait déjà posé problème à d’autres parents. Mais à chaque fois la justice avait validé l’utilisation du tilde et les petits garçons avaient pu garder leurs prénoms.

    Un couple du Maine-et-Loire est convoqué en février devant un juge des affaires familiales pour avoir prénommé, l’été dernier, leur fils Fañch avec un tilde (~), un signe qui reste officiellement interdit à l’état-civil en France, selon un courrier consulté ce dimanche.

    Le Code civil prévoit que "les prénoms de l’enfant sont choisis librement par ses père et mère" mais cette liberté a pour limite l’intérêt de l’enfant, rappelle le parquet d’Angers dans sa décision.

    "On nous dit que nous ne prenons pas en compte l’intérêt de notre enfant. C’est violent. On sous-entend qu’on est de mauvais parents, juste pour un tilde", a déclaré la maman au Courrier de l’Ouest, qui a révélé l’existence de ces poursuites.

    Le couple avait été prévenu à la maternité par l’officier d’état-civil que l’orthographe de ce prénom pouvait poser problème aux termes de la loi mais "nous avons fait le choix de le garder et de nous battre si nécessaire", a expliqué la mère au journal. (…) Le Parisien

    Sur Wikipédia

    François: Frañsez en breton (diminutifs Fañch, Fañchig, Saig, Soaig).

  • NOEL!, NOEL!  GRANDE  ESPERANCE!

    … et mer… aux laïcards!!!
    Au fait, déboulonneurs compulsifs et décadents de statues: du fait que Chéri-Bibi a fêté Hanouka, la fête juive des lumières, (contraire à la laïcité, selon la loi républicaine: vous devriez dire selon vos directives mentales de malades débiles et islamo-collabos)

    JE VOUS ORDONNE DE DEBOULONNER  L'ELYSEE!!!!!
    Pas deux poids, deux mesures! C'est la loi de 1905!

    Ceci dit, je n'ai absolument rien contre la religion juive ni Israël… si je n'avais été enrôlée, par ma mère, dans la catholique, si j'avais eu le choix, j'aurais préféré la religion juive, cela est sûr et certain… mais, bon, c'est trop tard maintenant. Je garde tout de même le sens du sacré, de la beauté des cathédrales et du travail de nos ancêtres qui ont mis toute leur âme dans la construction de ces magnifiques et extraordinaires vaisseaux de pierre en l'honneur du petit enfant de la crèche. Josyane JOYCE

    Si la France peut revendiquer 2000 ans d’histoire depuis Vercingétorix luttant contre l’envahisseur romain, elle peut aussi s’enorgueillir de ses 1500 ans de chrétienté depuis Clovis, premier roi barbare baptisé chrétien autour de l’an 498.

    Une chrétienté naturelle qui ne posait aucun problème à la Fille aînée de l’Église jusqu’à ce qu’une immigration musulmane de masse ne vienne contester nos racines chrétiennes au nom de la laïcité.

    “Interdire aux cloches de sonner, détruire ensuite les églises, briser les calvaires, cacher les statues, travailler le dimanche, et à Noël, et Pâques, et ne plus prononcer le nom de ces fêtes, ne plus dire "battre sa coulpe" ni "avoir voix au chapitre"… Débaptiser villes et villages portant un nom de saint…, c’est le rêve de nos laïcards intégristes.

    Notre héritage chrétien appartient au patrimoine culturel et à l’histoire de France. Ceux qui veulent effacer nos racines chrétiennes au nom de la laïcité, sont en réalité les fossoyeurs de notre civilisation millénaire.

    A tous et toutes, JOYEUX NOËL!

    J. JOYCE et Jacques Guillemain