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nutrition - Page 18

  • Danger des plats cuisinés

    Une nouvelle étude révèle que certains aliments sont bel et bien liés à un taux de mortalité plus élevé

    La nourriture est pleine de produits chimiques et l’a toujours été. Après tout, tout est chimique. Cependant, concernant la nourriture moderne “ultra-transformée“, c’est totalement différent. Aujourd’hui, une nouvelle recherche suggère que ce type d’aliment est encore plus nocif que nous le pensions auparavant.

    Une nouvelle grande étude réalisée par des scientifiques français consistait à analyser l’apport alimentaire de plus de 44’000 français, et a révélé que la consommation d’aliments ultra-transformés (notamment des boissons sucrées et des plats préparés) était associée à un risque de mortalité plus élevé que la normale.

    Les chercheurs, dirigés par l’épidémiologiste nutritionnelle Laure Schnabel, de l’Université Paris-Sorbonne, expliquent dans leur recherche que « les aliments ultra-transformés sont des produits alimentaires contenant de multiples ingrédients et qui sont fabriqués selon une multitude de procédés industriels ».

    Bien qu’ils puissent être tout à fait savoureux, voire très pratiques, la consommation de ces aliments ultra-transformés (comme par exemple le pain hautement transformé, les confiseries, les viandes transformées ou encore les plats complets surgelés prêts à être chauffés et mangés), est connue pour être problématique. En effet, ce type d’aliment est fortement lié à un risque plus élevé d’obésité, d’hypertension et de cancer. Mais jusqu’à présent, personne n’avait encore dit de manière explicite que ces aliments ultra-transformés pouvaient nous “mener à la mort”. Cependant, dans la cohorte étudiée, c’est ce que suggèrent les chercheurs.

    Sur une période de plus de sept ans, une augmentation de la consommation des aliments ultra-transformés de 10% a été liée à un risque plus élevé de mortalité (toutes causes confondues) de 14%. L’équipe de recherche tient tout de même à souligner que l’étude n’est qu’observationnelle, et qu’il est donc impossible de démontrer un effet causal.

    Cependant, une association statistiquement significative a été découverte par ces derniers, et c’est un fait qui ne peut être ignoré. « Nous ne devrions pas être alarmistes, ou dire que manger un repas emballé augmente de 15% vos chances de mourir », explique Mathilde Touvier, co-chercheuse de la cohorte NutriNet-Santé étudiée par l’équipe de recherche. « Il s’agit d’une autre étape dans notre compréhension du lien entre les aliments ultra-transformés et la santé », a-t-elle ajouté.

    Ce qui est absolument certain, c’est que les aliments ultra-transformés contiennent de nombreux éléments qui ne sont pas compris dans les aliments complets : soit toutes sortes d’additifs, y compris des conservateurs, des édulcorants, des exhausteurs, des colorants, des arômes, etc. Ils contiennent également beaucoup d’énergie : dans l’étude cela représentait 14,4% du poids total des aliments ultra-transformés consommés, mais 29,1% de l’apport énergétique total.

    Selon l’épidémiologiste Nita Forouhi de l’Université de Cambridge, qui n’a pas participé à l’étude, “les aliments ultra-transformés sont consommés de manière disproportionnée, davantage par les personnes ayant des revenus ou des niveaux d’éducation moins élevés, ou celles qui vivent seules. Un message essentiel à retenir ici, est que la consommation d’aliments hautement transformés reflète les inégalités sociales. Ces aliments sont hautement attractifs car ils ont tendance à être moins chers“. L’épidémiologiste continue, “Ces aliments sont remplis de sucre, de sel et de graisses saturées, ils sont toujours disponibles, et toujours mis en avant, prêts à être consommés, et leurs dates de péremption sont plus intéressantes; ils durent longtemps“.

    Actuellement, et malgré l’importance et la durée de cette recherche en particulier, il y a encore beaucoup de travail à effectuer pour confirmer les effets très nocifs des aliments ultra-transformés sur le corps humain, ainsi que pour réussir à faire prendre conscience aux populations à quel point ces aliments sont dangereux pour la santé.

    Ce type de recherche est extrêmement compliquée à effectuer, notamment en raison de la multitude de produits alimentaires différents inclus dans les aliments ultra-transformés que nous consommons. Sans oublier les nombreux ingrédients (artificiels, et autres) qu’ils contiennent. « Certains facteurs peuvent être plus nocifs que d’autres. C’est vraiment très complexe », a déclaré le nutritionniste Nurgul Fitzgerald, de l’Université Rutgers, qui n’était pas impliqué dans l’étude.

    Dans tous les cas, nous vous conseillons de revenir aux sources. Si vous êtes inquiets face aux aliments ultra-transformés, la meilleure chose que vous puissiez faire, c’est de consulter la liste des ingrédients lorsque vous faites vos courses. “Connaissez-vous tous les ingrédients qui sont listés"? Ceux que les aliments que vous achetez contiennent? Achetez ceux qui ont les plus petites listes d’ingrédients, et surtout, des ingrédients que vous connaissez“, a expliqué Fitzgerald.

    Sources: JAMA Internal Medicine, Science Media Centre

  • Pourquoi?.....

    Pourquoi aimons-nous le café, la bière et/ou le vin? Quelle est l’origine de nos préférences en matière de boissons?

    Les goûts de chacun, amer ou sucré, en matière de boissons diffèrent, et il est important pour les scientifiques de comprendre ce qui détermine ces goûts afin d’offrir des solutions thérapeutiques plus efficaces dans la gestion des régimes alimentaires. Selon une récente étude génétique, les préférences concernant les boissons seraient moins une question de goût que d’effets provoqués par ces boissons.

    La généticienne Marilyn Cornelis a recherché des variations dans nos gènes du goût qui pourraient expliquer nos préférences en matière de boisson, car la compréhension de ces préférences pourrait indiquer des moyens d’intervenir dans le régime alimentaire des personnes.

    À la surprise de Cornelis, sa nouvelle étude a montré que les préférences gustatives pour les boissons amères ou sucrées ne sont pas basées sur des variations de nos gènes gustatifs, mais plutôt sur des gènes liés aux propriétés psychoactives de ces boissons.

    "La génétique qui sous-tend nos préférences est liée aux composants psychoactifs de ces boissons" déclare Cornelis, généticienne moléculaire à la Feinberg School of Medicine de la Northwestern University. "Les gens aiment ce que le café et l’alcool leur font ressentir. C’est pourquoi ils en boivent. Ce n’est pas leur goût".

    L’étude, publiée dans la revue Human Molecular Genetics, met en évidence des composantes comportementales basées sur la récompense qui sont importantes dans le choix des boissons et améliore la compréhension du lien entre la génétique et la consommation de boissons, ainsi que des obstacles potentiels à une intervention dans le régime alimentaire des personnes, selon Cornelis.

    Le gène FTO ("Fat mass and obesity-associated protein") est un gène situé sur le chromosome 16 humain. Certaines variations génétiques de FTO sont liées à l’obésité.

    Les boissons sucrées sont liées à de nombreuses maladies et problèmes de santé. La consommation d’alcool est liée à plus de 200 maladies et représente environ 6% des décès dans le monde. Cornelis a découvert une variante d’un gène, appelé FTO, liée à la consommation de boissons sucrées.

    Les personnes qui montraient une variation du gène FTO --la même variante liée auparavant à un risque moins élevé d’obésité- ont étonnamment préféré les boissons sucrées.

    "C’est contre-intuitif. Le gène FTO est un gène mystérieux et nous ne savons pas exactement comment il est lié à l’obésité. Il joue probablement un rôle dans le comportement, ce qui serait lié à la gestion du poids" explique Cornelis.

    "À notre connaissance, il s’agit de la première étude d’association pangénomique de la consommation de boissons basée sur la perspective du goût" indique Victor Zhong, premier auteur de l’étude. "Il s’agit également de l’association la plus complète jamais réalisée à l’échelle du génome sur la consommation de boissons".

    Les boissons ont été classées dans un groupe de goût amer et un groupe de goût sucré. Amer inclus café, thé, jus de pamplemousse, bière, vin rouge et liqueur. Parmi les produits sucrés figuraient les boissons sucrées, les boissons édulcorées et les jus sans pamplemousse. Cette classification de goût a été préalablement validée.

    Les données sur la consommation de boissons ont été recueillies au moyen de rappels ou de questionnaires alimentaires sur 24 heures. Les scientifiques ont compté le nombre de portions de ces boissons amères et sucrées consommées par environ 336’000 personnes dans la biobanque britannique.

    Ils ont ensuite réalisé une étude d’association pangénomique de la consommation de boissons amères et de boissons sucrées. Enfin, ils ont cherché à reproduire leurs principales conclusions dans trois groupes américains.

    Source : Human Molecular Genetics

     

    Buvez rouge ou ambré, mais toujours avec modération!

  • Fabriquez un film alimentaire lavable

    Ingrédients:

    Trois rectangles de tissu (propre et sec) de la taille de votre plaque de four

    Pépites de cire d’abeille (à acheter en boutique biologique ou en magasin de bricolage)

    Sur votre plaque de four, appliquez trois rectangles de tissu empilés – les deux premiers protègent la plaque de la cire.

    Sur le tissu du dessus, saupoudrez des pépites de cire d’abeille.

    Appliquez-en suffisamment pour qu’une fois fondue la cire recouvre toute la surface du tissu.

    Passez la plaque au four à 85 °C, puis retirez-la lorsque vous observez que toutes les pépites ont fondu. Laissez sécher le tissu à plat quelques minutes pour que la cire durcisse.

    Utilisez ce film alimentaire pour emballer vos sandwichs ou vos denrées achetées au rayon frais à la découpe ou au marché.

    Lavez votre film alimentaire à l’éponge savonneuse.

    Vous enveloppez vos produits côté tissu, bien sûr...

    D'autres infos          http://www.tradi-cuisine.com/dossiers

  • Ménopause: prendre soin de ses cheveux et éviter la chute

    A la ménopause, certaines femmes assistent, souvent impuissantes, à la chute de leurs cheveux... Plus sensibles aux régulations hormonales qui régulent le cycle de vie du cheveu, ces femmes subissent de plein fouet les déséquilibres hormonaux qui s'opèrent au cours de la ménopause.

    Secs, poreux, ternes... Vos cheveux aussi sont victimes de votre ménopause. Pas de panique, des solutions existent.

    Chaque jour, nous perdons entre 50 et 80 cheveux. Rien d'anormal à cela. Ces cheveux sont ensuite remplacés par de nouveaux. La durée de vie d'un cheveu est d'environ 5 ans, et chaque follicule peut donner naissance à une trentaine de pousses.

    Comment la ménopause agit sur les cheveux? Les bouleversements hormonaux qui caractérisent cette étape de la vie des femmes peuvent entraîner de multiples troubles, appelés troubles climatériques, dont les plus connus sont les bouffées de chaleur, la sudation nocturne et la sécheresse vaginale.

    Les cheveux, sensibles aux hormones, ne sont pas épargnés. La chute des estrogènes, dont l'un des effets est d'accroître la phase anagène et d'épargner le "stock" de cheveux, n'assure plus aussi efficacement leur renouvellement. Parallèlement, le taux d'androgènes, les hormones masculines, ne baisse pas aussi brutalement ; ces dernières deviennent hyperactives, accélérant la phase de croissance du follicule pileux, sans laisser le temps à celui-ci de fabriquer une kératine de qualité. Les cycles pilaires s'enchaînent trop rapidement, produisant un cheveu moins robuste que le précédent.

    Résultat: les cheveux deviennent de plus en plus fins et tombent. La ménopause ne fait qu'accentuer et accélérer un phénomène naturel. À terme, le capital des cycles pilaires étant épuisé, le follicule, précocement vieilli, devient totalement improductif.

    Rassurez-vous cependant, comme pour les autres symptômes de la ménopause, seule une partie des femmes sont touchées, environ 30 % en ce qui concerne les cheveux. Et pour les autres, il existe des solutions.

    Une alimentation équilibrée est nécessaire.

    Certaines vitamines sont connues pour leur effet bénéfique sur le cheveu. C'est particulièrement le cas de la vitamine B, contenue dans la levure de bière, qui favorise la croissance et la vigueur des cheveux.

    Vous trouverez des gélules de levure de bière revivifiable ici: www.biotine-sep, dans l'onglet “Catalogue“ et Gélules

    Revivifiable veut dire que la levure est vivante… j'en ai utilisé un jour pour faire gonfler un gâteau.

    Les vitamines C et E, le fer, certains oligoéléments comme le zinc ou encore les acides aminés soufrés favorisent, quant à eux, la synthèse de la kératine, constituant essentiel du cheveu. Une alimentation variée et équilibrée permet normalement d'assurer des apports suffisants; si ce n'est pas le cas, des compléments alimentaires peuvent pallier les éventuelles carences. Deux cures par an, au printemps et à l'automne, sont généralement conseillées.

    Conseils: vous devez désormais prendre tout particulièrement soin de votre chevelure et suivre ces recommandations :

    Pas de shampooings trop fréquents: ils affaiblissent le bulbe en supprimant les sécrétions de sébum qui nourrissent le cheveu (et les pointes lors du brossage). Et choisissez un shampooing doux.

    Limitez les produits agressifs, notamment les colorations, et préférez des produits naturels à base de plantes. Shampooing nature sur mon site: www.biotine-sep.com dans l'onglet “Catalogue“ et “Beauté“

    Ajoutez quelques gouttes d'H.E. d'ylang-ylang, que vous trouverez sur mon site. www.biotine-sep dans l'onglet “Catalogue“ et “H.E."

    Après le shampooing, rincez abondamment et appliquez sur votre chevelure un masque hydratant. Voir mes huiles de beauté sur mon site: www.biotine-sep.com, dans l'onglet “Catalogue“ et “Huiles de beauté“.

    Protégez les pointes en y étalant une ou deux gouttes d'un gel de vitamines.

    Utilisez le sèche-cheveux avec modération et limitez les brushings à un par semaine après avoir protégé les pointes par un gel de vitamines ou un cataplasme avec de l'AMLA que vous trouvez dans la catégorie Superaliment de mon site www.biotine-sep.com

    En vacances, avant toute exposition solaire, enduisez votre chevelure d'une crème protectrice spécifique que vous rincerez le soir.

    Evitez les brosses en métal qui arrachent les cheveux, les élastiques, les matériels chauffants...

     

  • Camomille: tisane? oui, mais pas que...

    La tisane à la camomille est connue pour ses effets calmants et pour aider à bien dormir. Cet usage traditionnel a été confirmé par des études de petite ampleur (80 femmes pour la première et 34 personnes, hommes et femmes confondus pour la seconde). Ces essais ont montré que la camomille pouvait améliorer la qualité du sommeil, le temps d’endormissement, limiter les réveils nocturnes et réduire les symptômes de dépression (1, 2).

     Mais la camomille aurait également des effets antibactériens, anti-inflammatoires, anti-diarrhée et elle protégerait le foie (3).

     D’autres études ont également indiqué des effets bénéfiques de la camomille chez des personnes atteintes de diabète de type 2 qui ont vu leur glycémie s’améliorer ainsi que leur résistance à l’insuline et leurs taux de lipides sanguins (4).

    Un autre effet bénéfique, mais cette fois pour les femmes : la camomille permettrait de limiter les symptômes du syndrome prémenstruel (5).

    2 - Suzanna M Zick, Benjamin D Wright, Ananda Sen, and J Todd Arnedt. Preliminary examination of the efficacy and safety of a standardized chamomile extract for chronic primary insomnia: A randomized placebo-controlled pilot study. BMC Complement Altern Med. 2011; 11: 78. Published online 2011 Sep 22.

     3 - Miraj S, Alesaeidi S. A systematic review study of therapeutic effects of Matricaria recuitta chamomile (chamomile). Electron Physician. 2016 Sep 20;8(9):3024-3031. eCollection 2016 Sep. Review.

     4 - Rafraf M, Zemestani M, Asghari-Jafarabadi M. Effectiveness of chamomile tea on glycemic control and serum lipid profile in patients with type 2 diabetes. J Endocrinol Invest. 2015 Feb;38(2):163-70.

     5- Sharifi F, Simbar M, Mojab F, Majd HA. Comparison of the effects of Matricaria chamomila (Chamomile) extract and mefenamic acid on the intensity of premenstrual syndrome. Complement Ther Clin Pract. 2014 Feb;20(1)

    La tisane de camomille, c'est ici:

     

     

     

  • Ordonnance anti-chute de cheveux

    Il faut du souffre et du zinc en ampoules

    Une carence en soufre provoque un ralentissement de la pousse des cheveux et des ongles. Un manque de soufre augmente aussi la vulnérabilité aux infections car les échanges entre cellules sont moins bien assurés. Les personnes ayant choisi un régime végétarien sont souvent à risque de carence en soufre.

    Surdose

    Le soufre est éliminé par les urines, mais au-delà de 200 mg/L il peut provoquer des diarrhées chez les nourrissons.

    Eaux riches en sulfate : Hépar 1530 mg/L, Courmayeur 1420 mg/L, Contrex 1187 mg/L , San Pellegrino 476 mg/L, Vittel 336 mg/L.

    Eaux pauvres en sulfate : Volvic : 8,1 mg/L ; Evian 10mg/L ; Thonon 13 mg/L.

    Le zinc est principalement présent dans la viande et les huitres.

    Les besoins sont fonction des facteurs pouvant perturber l’absorption du zinc. Les apports nécessaire chez :

    L’homme adulte : les apports varient entre 14 mg/jour.

    La femme adulte : les apports varient entre 12 mg/jour.

    Les femmes enceintes et allaitantes ainsi que chez les personnes âgées: les apports doivent être majorés.

    Le zinc est présent dans la viande et les fruits de mer (huîtres) ainsi que dans les germes de blé et de seigle, les légumes secs, les noix et le thé.

    Vous trouverez plus facilement ces sels minéraux dans les “Granions de souffre“ ou Granions de Zinc

    Pendant des années, ma fille a dû subir d'énormes pertes de cheveux à cause d'une dermatite séborrhéique et une maladie auto-immune gravissime. Personnellement, j'ai avalé des médicaments de chimiothérapie destinés à lutter contre une maladie auto-immune agressive et incurable.

    Pour lutter contre la perte des cheveux, voici l'ordonnance beauté que nous avons suivis durant cette période; nous continuons un ou deux trimestres par an.

    Ceux qui ont des problèmes de chute de cheveux à cause d'une vie stressante (et pas une chute hormonale ou génétique -tous les hommes de la famille sont chauves);

    Les femmes ménopausées qui ont vu leurs cheveux s'amincir peuvent faire cette cure:

    Ampoules de zinc et de souffre Granions

    Pendant les trois premières semaines: cure intensive: deux ampoules de chaque Granion et là c'est impératif de respecter l'heure, tous les soirs à 19 heures (chronobiologie), diluées dans un peu d'eau.

    Puis et au minimum trois mois, 1 ampoule de zinc ou de souffre un jour deux

    une ampoule de zinc, deux de souffre un soir à 19 h

    le lendemain, deux ampoules de zinc et une de souffre

    En général, la repousse ou la ré-paisseur ne se produisent qu'AU BOUT DE 1 mois et demi à 2 mois…

    Donc, patience et longueur de temps…

    Il est conseillé de faire une cure trimestrielle chaque année, au printemps c'est mieux.

  • Un petit kwoua?

    Une vaste étude a trouvé que les gros consommateurs de café souffrent moins de diabète, maladies cardiovasculaires, et de certains cancers, ce qui réduit leur risque de mortalité. Une autre confirme.

    Le petit café que l’on prend pour se réveiller le matin, se stimuler la journée ou pour partager un moment de convivialité pourrait-il nous permettre de vivre plus longtemps? C'est ce que suggèrent des études.  Les molécules du café qui peuvent influencer la santé sont la caféine, l’acide chlorogénique, et les diterpènes, cafestol et kahwéol.

    Moins de maladies avec 3-4 tasses par jour

    D’après une vaste étude parue dans BMJ, les personnes qui boivent trois à quatre tasses de café par jour en tireraient plus de bénéfices que d’effets nocifs pour leur santé.  Robin Poole et son équipe de l’université de Southampton ont mené une étude "parapluie" à partir de 201 études. Une étude "parapluie" consiste à synthétiser des analyses pour résumer une recherche sur un thème. Les chercheurs ont trouvé que la consommation de café était sans danger dans des fourchettes de consommation "habituelles".

    Les personnes qui consommaient du café avaient moins de risque de souffrir de certains cancers: prostate, endomètre, peau et foie. Ils avaient aussi moins de diabète de type 2 et de cirrhoses. Le maximum de bénéfices s’observait pour une consommation de trois à quatre tasses par jour, sauf pour les femmes enceintes ou celles qui risquent de souffrir de fractures.

    Pour ceux qui consommaient trois à quatre tasses de café par jour, le risque de mortalité était réduit de 17%, la mortalité cardiovasculaire de 19%, le risque cardiovasculaire de 15%. Ces résultats proviennent globalement d’études d’observation donc qui ne permettent pas d’établir formellement un lien de cause à effet. Mais ils vont dans le même sens que d’autres travaux.

    Un risque de mortalité réduit avec 2-3 tasses

    Dans une autre étude de grande ampleur, parue en 2014 dans British Journal of Nutrition, les auteurs de l'université Kyung Hee (Séoul) et de la Harvard School of Public Health (Boston) ont étudié l’association entre la consommation de café et la mortalité. Ils ont sélectionné 20 études incluant 129 538 décès parmi 973 904 participants.

    Dans l’ensemble des études, le risque de décès de ceux qui consommaient le plus de café par rapport à ceux qui en consommaient le moins était diminué de 14%. Les chercheurs ont différencié les études pour lesquelles les plus gros consommateurs buvaient au moins 2 à 4 tasses par jour et celles où ils en buvaient au moins 5 à 9 tasses par jour; les diminutions de risque de mortalité étaient similaires.

    Concernant les différences géographiques, l’association semblait plus forte dans les 8 études conduites en Europe, où la diminution du risque atteignait 22%, et dans les 3 études japonaises, avec un risque réduit de 18% ; dans les 9 études conduites aux Etats-Unis, le risque de décès ne diminuait que de 8%. Il n’y avait pas de différence notable entre les sexes.

    De plus, une association faible mais significative a été trouvée avec une consommation modérée de café : le risque de mortalité diminuait de 8% avec une consommation de 1 à 2 tasses par jour.

    Enfin, une forte consommation de café décaféiné était aussi associée à une réduction du risque de décès, mais les données étaient limitées. Le café décaféiné ne contient pas de caféine, la molécule qui stimule le système nerveux et favorise l’état d’éveil.

    Le café protégerait l’ADN

    Mais comment expliquer cet effet bénéfique du café? La réponse se trouve peut-être en partie dans cette nouvelle étude parue en novembre 2018 dans la revue European Journal of Nutrition.

    Les chercheurs ont recruté 50 hommes et 50 femmes en bonne santé en Europe centrale. L’étude s’est déroulée en deux périodes de quatre semaines chacune. Les participants ont été répartis au hasard en deux groupes : certains ont bu du café et les autres de l’eau. Pour chaque période, le déroulement était similaire : d’abord, pendant un certain temps, les participants devaient boire au moins 500 ml d’eau par jour, et aucun produit contenant de la caféine (ni café, ni thé). Ensuite, certains ont bu chaque jour 500 ml de café noir fraîchement préparé, et les autres ont continué avec l’eau. Un prélèvement sanguin a été réalisé le dernier jour de chaque période de test.

    A la fin de la période d’intervention, il y avait moins de cassures dans l’ADN chez ceux qui avaient bu du café que chez les témoins. L’effet du café était similaire chez les hommes et chez les femmes. Au cours de l’expérience, aucun groupe n’a eu de changement significatif dans ses apports caloriques ou son poids. Par conséquent, on peut penser que la consommation de café a un effet protecteur sur l’ADN.

    Il faut redire que ces études sont des études d'observation, qui ne permettent pas de conclure à une relation de cause à effet. De plus, les réductions de risque sont faibles: 10 à 20% en moyenne. Ces résultats doivent donc être pris avec prudence. Si on est convaincu(e), on peut boire 1 à 3 tasses de café chaque jour.

    Il existe cependant des contre-indications qui sont celles de la caféine. En période de grossesse et d'allaitement, il est préférable de ne pas boire plus de 2 tasses par jour, soit l'équivalent de 200 mg de caféine. Le café est déconseillé chez un enfant, dans les troubles anxieux, le glaucome. Prudence aussi dans l'hypertension et l'ostéoporose

    Le café apporte globalement des substances naturelles intéressantes pour la santé Cependant, il a des précautions à prendre en cas de cholestérol élevé et de stress chronique

    Le café soluble = à éviter

    Créé par Nestlé en 1938, le Nescafé a été le premier café soluble commercialisé. Depuis, il a fait des émules. Le café soluble dit instantané est un café concentré qui a été lyophilisé. Cette déshydratation produit les petits granulés bruns typiques du café soluble. Très pratique, le café instantané a un inconvénient: il contient davantage de composés de Maillard que le café moulu ou en grains (source Anses). Or ces composés peuvent accélérer le vieillissement.

    Le café et votre santé

    Vous trouvez désormais dans votre supermarché du café décaféiné moulu en paquet ou boîte, en dosettes et aussi soluble. Comment le débarrasse-t-on de sa caféine? Il y a plusieurs façons.

    La méthode chimique, la plus utilisée, fait appel à un solvant pour extraire la caféine des grains de café encore non torréfiés. Les grains sont ensuite lavés à la vapeur afin d’éliminer les résidus de solvant puis ils sont séchés et torréfiés. Le solvant n’est présent qu’à l’état de trace dans le produit fini. Oui, et si on en boit plus de quarante ans, cela donne quoi? un bon petit cancer des familles?

    La décaféination dite naturelle utilise de l’eau et du charbon actif qui fixe préférentiellement la caféine mais ce procédé est plus délicat à mettre en œuvre. Les cafés Malongo sont décaféinés de cette façon.

    À noter que la décaféination n’est jamais totale. La législation impose une teneur en caféine inférieure ou égale à 0,1% pour le café moulu soit 3 mg par tasse.

    Diététique?

    Le café contient des quantités non négligeables de potassium (66 mg/100 ml) et de vitamine B3 (200 ml couvre 30% des apports conseillés en cette vitamine). Mais le café est intéressant pour la santé surtout en raison de sa richesse en antioxydants. Une tasse de café renfermerait autant d’antioxydants que trois oranges. Environ 300 sortes d’antioxydants nageraient dans le fond de la tasse ou flotteraient dans les vapeurs de café. Ainsi 150 ml de café en contiendraient 200 à 550 mg (contre 150 à 200 mg pour la même quantité de thé). Une alimentation riche en antioxydants protège contre les maladies chroniques (maladies cardiovasculaires, diabète, cancer) et les maladies liées au vieillissement.

    L’autre composé majeur du café est la caféine. Cette substance naturelle est un stimulant du système nerveux : elle permet de lutter contre la fatigue et de donner un coup de fouet. À court terme elle induit aussi une élévation de la tension artérielle, a un effet diurétique et "brûle-graisse". La teneur en caféine d’une tasse de café peut varier de façon considérable selon l'origine et la composition du mélange, la méthode de préparation et la dose de mouture.

    Lutte contre le cholestérol?

    L’huile de café contient du cafestol et du kahweol, deux diterpènes qui entraînent une augmentation du taux de cholestérol. Toutefois, selon la méthode de préparation utilisée, ces substances se retrouvent ou pas dans le café.

    • Dans le café filtre ou le café en dosettes, le cafestol et le kahweol restent dans le filtre; ces deux types de café n’élèvent pas le cholestérol.
    • Le café soluble et le café en distributeur automatique à base de concentré liquide ne contiennent quasiment pas de diterpènes.
    • Une consommation modérée de café espresso, soit 2 à 3 tasses par jour, n’aura quasiment pas d’effet sur le taux de cholestérol.
    • En revanche, les personnes qui ont un taux de cholestérol élevé devraient éviter de consommer de grandes quantités de café bouilli, de café " cafetière " ou de café grec ou turc.

    Trop de pression artérielle?

    Les études montrent que le café n’augmente que légèrement la pression artérielle, et encore ne s’agit-il que d’une élévation à très court terme. Sur le long terme, on ne voit pas d’effet de la consommation de café sur la pression artérielle. Dans l’étude des Infirmières conduite auprès de 155 000 femmes ayant une tension normale, la consommation de plus de 6 tasses de café par jour semblait même protéger de l’hypertension.

    Trop de stress?

    Le café (2 à 3 tasses) élève pendant quelques heures les hormones du stress. A éviter donc si l'on est déjà soumis à un stress chronique important.

    Diabète ou pré-diabète?

    Les études montrent que la consommation régulière de café diminue modérément le risque de diabète. Il semble que le café classique soit plus intéressant que le café décaféiné pour améliorer la sensibilité à l’insuline (et donc diminuer sa production par le pancréas).

    Pour les dosettes des nouvelles machines: l'eau chaude entraîne des substances chimiques….

    Pour les machines à café: l l'eau chaude entraîne des substances chimiques….

    DONC

    Faites comme moi: une casserole inox et eau à chauffer.

    Un filtre papier nature et pas blanchi et une cafetière émail!

    MON CAFÉ IRLANDAIS

    que je bois uniquement aux fêtes de fin d'année

    Je me fait un café très fort (dans ma cafetière filtre émail: toujours rajouter une cuillère "pour la cafetière" mais, là, pour mon irlandais, j'en rajoute deux)

    Je le fais très chauffer (en général, je bois le café tiède en hiver et froid en été);

    Je verse dans ma tasse (en céramique blanche, sans la peinture en plomb) puis je glisse une très, très grosse cuillère à soupe de crème fraîche épaisse et une grosse rasade de Balantines, mon whisky préféré! Hé oui, ce n'est pas Noël tous les jours!

    Bien sûr, comme je reste chez moi à me cuisiner moi-même mes repas de réveillon, je bois ce que je veux... les autres, vous le savez, un verre ça va....