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nutrition - Page 22

  • Les bons aliments pour le cerveau

    Le vinaigre, un régulateur du taux de sucre?

    Des recherches ont démontré que des aliments acides, particulièrement le vinaigre, peuvent épargner à l'organisme les pics glycémiques, et donc protéger le cerveau. On connaît déjà les nombreuses vertus du vinaigre de cidre, il serait donc opportun de prendre la bonne habitude de consommer l'équivalent d'une c. à soupe de vinaigre de cidre au début du repas, soit dans un verre d'eau comme boisson, ou en assaisonnement dans une salade.

    Les acides gras essentiels jouent un rôle de premier plan dans le cerveau. Pour un fonctionnement optimal du cerveau il est nécessaire de respecter un parfait équilibre entre deux acides gras essentiels, les Oméga-3 et les Oméga-6. Les Oméga-3 devraient provenir préférablement de la chair et de l'huile des poissons gras (saumon, sardines, thon, maquereau, hareng). Tandis que les Oméga-6 sont assez abondants dans les gras d'origine végétale. Les Oméga-3 sont probablement les plus importants pour le fonctionnement du cerveau. Ils se divisent en deux types d'acides gras, les DHA et AEP. Les plus importants pour le cerveau sont ceux de type DHA qui est un des éléments importants de la membrane des cellules cérébrales. Près de la moitié de tous les acides gras situés dans le cerveau sont de type DHA. Le DHA possède une fluidité qui est essentielle à la construction et au maintien de structures cellulaires souples permettant au cerveau de fonctionner adéquatement.

    Pour être heureux, mangez du poisson!

    Le poisson est un excellent aliment pour favoriser la santé de l'organisme en général et du cerveau en particulier. L'huile de poisson, en plus d'apporter de bonnes quantités d'acide gras DHA, semble augmenter le taux de sérotonine dans le cerveau, un neurotransmetteur qui influence de façon positive le comportement et l'humeur.

    Les noix et les graines, particulièrement les amandes, les graines de lin, de citrouille, de tournesol, apporteront d'autres types d'acides gras.

    L'huile d'olive riche en gras monoinsaturés est un autre aliment favorable à la santé. Ce type d'acide contribue notamment à élever le taux de bon cholestérol et réduit le pouvoir destructeur des hydrates de carbone à indice glycémique élevé sur le bon cholestérol (HDL).

    La consommation d'huile d'olive et autres gras monoinsaturés, que l'on retrouve dans les noix et les avocats, aident à prévenir la perte de mémoire et le déclin des fonctions cognitives.

    Mangez des tomates!

    Pour garder un esprit alerte et une bonne acuité mentale, rien de tel que de se gaver jour après jour de délicieuses tomates. C'est ce que révèlent des recherches pratiquées notamment sur des religieuses, dont certaines ont atteint l'âge de 100 ans.

    Le résultat de cette étude permet d'émettre la théorie que le lycopène, un antioxydant abondamment présent dans les tomates, aide à prévenir les dommages des radicaux libres dans le cerveau et dans l'organisme en général. On retrouve plus de lycopène dans les pâtes de tomate, les sauces et les ketchups, que dans la tomate fraîche. Il semble que la cuisson libère et concentre le lycopène.

    Recherchez les aliments les plus riches en anti-oxydants

    Les anti-oxydants sont la meilleure arme pour lutter contre les effets des radicaux libres. Les aliments qui en contiennent le plus, par 100 gr de poids, sont les :

    pruneaux; raisins secs; myrtilles; mûres; chou frisé; canneberges; fraises; épinards crus; framboises; choux de Bruxelles

    La consommation de 200g demi-tasses d'un de ces différents aliments vous apportera une excellente protection anti-oxydante et préservera vos cellules des attaques des radicaux libres.

    Une autre source abondante d'anti-oxydants est le thé vert. De plus cette boisson stimule la fonction cérébrale.

    Assaisonnez vos plats de curcuma. Des études suggèrent que l'utilisation de ce condiment protègerait de la maladie d'Alzheimer. Le curcuma aurait également de fortes propriétés anti-inflammatoires et protégerait du cancer.

     

    curcuma, canneberge, huiles de poisson, etc...

    BIO - TERRIBLEMENT BIO!

     

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  • Vous avez la banane?

    Saviez-vous que c'est un fruit anti-déprime?

    L’expression "avoir la banane" se réfère au sourire mais elle est cohérente aussi avec les vertus de ce fruit. Selon une enquête auprès des personnes sujettes à la dépression, nombreuses sont les personnes interrogées affirmant se sentir mieux après avoir mangé une banane. La dopamine de la banane n’est sans doute pas étrangère à ce phénomène qui s’explique cependant aussi par la présence de tryptophane, une substance que le corps transforme en sérotonine, le messager chimique du cerveau connu pour son effet relaxant et qui provoque un bien-être général.

    Cet effet “bonne humeur“ est renforcée par la présence de bonnes quantités de vitamine B6 (0,5 mg aux 100 g, soit le quart de l’apport quotidien recommandé). Aussi appelée la pyridoxine, cette vitamine est, entre autres, utile à la production de divers neurotransmetteurs associés à l'humeur, dont la sérotonine et la dopamine. Certaines études ont prouvé que, consommée en forte dose, elle allégerait la dépression associée au syndrome prémenstruel.

    Une étude a aussi montré qu’une alimentation riche en tryptophane, associée à un apport suffisant en vitamine B6, favorisait la production de la sérotonine et diminuait les symptômes de la dépression [5].

    Elle est une alliée de la digestion

    La banane possède des effets anti-acides et anti-ulcéreux connus de longue date. Dans des expériences chez le rat, l’ingestion de banane prévient 75% des ulcères induits par un milieu acide. Selon le docteur Ralph Best (université d’Aston, Birmingham, Grande-Bretagne) la banane agit en stimulant la prolifération de cellules et de mucus de l’estomac, protecteur de la muqueuse contre l’inflammation. L’extrait de banane (surtout la banane plantain, mais également la variété dite "douc ") pourrait donc protéger la muqueuse de l’estomac contre les ulcères [6]. Les effets protecteurs de la banane pour l’estomac sont très variables selon les variétés, le degré de maturité et la saison.

    La banane contient de l’amidon résistant (sucre non digestible) qui, dans le côlon, subit une fermentation bactérienne pour ensuite être converti en acides gras à chaînes courtes tel l’acide butyrique. Ces derniers stimulent l’absorption des liquides et du sel dans le côlon, diminuant ainsi la perte d’eau dans les selles. Les acides gras à chaînes courtes amélioreraient aussi indirectement la perméabilité du petit intestin, phénomène qui contribue également à soulager les symptômes de la diarrhée. Les acides gras à chaînes courtes servent de nourriture aux bactéries du côlon et aident ainsi à maintenir une bonne santé intestinale.

    Deux études ont été effectuées au Bangladesh auprès de bébés atteints de diarrhée chronique (garçons âgés de 5 mois à 12 mois). Une amélioration des symptômes de la diarrhée (diminution du nombre et du poids des selles, et de la durée de la diarrhée) a été observée chez les enfants soumis à une diète contenant de la banane.

    La banane plantain contient davantage d’amidon résistant que la banane douce. De plus, à mesure que la banane mûrit, la quantité d’amidon résistant diminue à un point tel que seules les bananes non parvenues à leur stade de maturation optimale contiendraient de l’amidon résistant en quantité significative.

    Une aide contre l’hypertension

    La banane est un fruit riche en potassium avec une teneur d’environ 360 mg pour 100 g. Sachant qu’une banane pèse environ 150 g, en manger une revient à consommer environ 540 mg de potassium.

    De nombreuses études ont établi un lien entre une faible consommation de potassium et une augmentation de la pression artérielle. [8, 9]. Et à l’inverse, un apport suffisant en potassium (entre 4 et 5 g / jours), prévient et lutte contre l’hypertension. Ceci permet de limiter les risques de maladies cardiovasculaires comme l’infarctus de myocarde et l’AVC (accident vasculaire cérébral).

    Une méta-analyse réalisée par des chercheurs de l’OMS [10], confirme les études précédentes: une forte consommation de potassium diminue la pression artérielle chez les personnes souffrant d’hypertension, ce qui permet de diminuer le risque d’infarctus et d’AVC.

     

    Un aliment de l’effort

    Pour les sportifs la banane est particulièrement indiquée, en raison de sa richesse en glucides, en vitamines du groupe B, en potassium et en magnésium (importants pour un bon travail musculaire). Elle contient, en effet, suffisamment de vitamines B pour permettre la bonne utilisation de ses glucides. Ce qui est appréciable pour un aliment à prédominance glucidique.

    L’apport énergétique de la banane (environ 90 kcal aux 100 g, soit 376 kJ) est dû essentiellement à ses glucides qui fournissent plus de 90% de l’énergie globale. Ces glucides sont constitués, avant maturation, d’amidon, qui disparaît progressivement, pour faire place à des sucres solubles rapidement assimilés par les cellules musculaires (diosides, puis fructose et glucose), ainsi qu’à des substances mucilagineuses dans les derniers stades d’évolution du fruit.

    Ainsi, la banane apporte toute l’énergie nécessaire à toute activité physique comme intellectuelle. Elle est ensuite régénératrice, grâce à des sucres assimilables en moins de deux heures par les muscles de l'organisme, accélérant ainsi la récupération après l'effort. Elle représente donc excellente en collation pour les sportifs, les étudiants et les enfants. Elle peut ainsi améliorer le petit déjeuner des écoliers qui manquent d’appétit (une banane fournit, selon la taille, autant d’énergie que 30 à 45 g de pain).

    Références:

    [1] Kanazawa, K.; Sakakibara, H., 2000, High content of dopamine, a strong antioxidant, in 'Cavendish' bananaIn: Journal of Agricultural and Food Chemistry (USA), 48, (3), p. 844-848

    [2] Rashidkhani B, Lindblad P, Wolk A. Fruits, vegetables and risk of renal cell carcinoma: a prospective study of Swedish women. Int J Cancer 2005 January 20;113(3):451-5.

     [3] Deneo-Pellegrini H, De Stefani E, Ronco A. Vegetables, fruits, and risk of colorectal cancer: a case-control study from Uruguay. Nutr Cancer 1996;25(3):297-304.

     [3’] Farvid MS, Chen WY, Michels KB3, Cho E, Willett WC, Eliassen AH. Fruit and vegetable consumption in adolescence and early adulthood and risk of breast cancer: population based cohort study. BMJ. 2016 May 11;353:i2343. doi: 10.1136/bmj.i2343.

     [4] C.Gilbert et al, 1995 “Optimal physical performance in athlètes: key role of dopamine in a specific neurotransmitter/ hormonal mecanism” Mechanism of ageing and development 84:83-102

     [5] 2. Shabbir F, Patel A, Mattison C, Bose S, Krishnamohan R, Sweeney E, Sandhu S, Nel W, Rais A, Sandhu R, Ngu N, Sharma S. Effect of diet on serotonergic neurotransmission in depression. 2013 Feb;62(3):324-9

     [6] Goel RK, Sairam K, Rao CV. Role of gastric antioxidant and anti-Helicobactor pylori activities in antiulcerogenic activity of plantain banana (Musa sapientum var. paradisiaca). Indian J Exp Biol 2001 July;39(7):719-22.

     

    [6’] Dunjic BS, Svensson I, Axelson J et al. Green banana protection of gastric mucosa against experimentally induced injuries in rats. A multicomponent mechanism? Scand J Gastroenterol 1993 October;28(10):894-8.

     [7] Singh SS, Devi SK, Ng TB.: Banana lectin: a brief review. Molecules. 2014 Nov 17;19(11):18817-27. doi: 10.3390/molecules191118817.

     [8] Barri YM, Wingo CS. The effects of potassium depletion and supplementation on blood pressure: a clinical review; 1997 Jul: 314(1):37-40.

     [9] Houston MC, Harper KJ. Potassium, magnesium, and calcium: their role in both the cause and treatment of hypertension; 2008 Jul:10(7 suppl 2):3-11.

     [10] Aburto NJ, Hanson S, Gutierrez H, Hooper L, Elliott P, Cappuccio FP. Effect of increased potassium intake on cardiovascular risk factors and disease: systematic review and meta-analyses; 2013 Apr 3.

    J'ai déjà mis ma recette sur ce blog; mais, bon, une réplique ne peut pas faire de mal:

    Ma tarte tatin à la banane

    Pour 4: il vous faut une pate feuilleté bio; 4 ou 5 bananes moyennement mûres; du sucre en poudre (facultatif si vous êtes diabétique ou, comme moi, avez supprimé le sucre depuis belle lurette). Une cuillère à soupe de cannelle en poudre; une lichette de muscade.

    Pas la peine de préchauffer le four mais il devra être au moins à 180° pour 30 mn de cuisson (20 minutes si vous laissez votre tarte finir sa cuisson porte fermée dans votre four chaud) ou à 200° pour 20 mn: si vous faites trop chaud pour aller plus vite, cela risque de brûler ou de bien se colorer brun foncé, moins apetissant.

    Perso, je n'utilise jamais de moule anti-adhésif: par de tétrafluomachin dans mon dessert! Un moule en tôle, en verre, en céramique fera l'affaire. Pour ne pas que la tarte adhère, il faut la beurrer largement: prenez le beurre dans son papier et oignez largement le moule puis jetez du sucre en poudre; faire tourner le moule pour que le sucre adhère partout.

    Soi-dit en passant, si vous cuisiez une pizza ou tarte salée, il faut passer de la farine et la coller avec de l'huile d'olive.

    Etalez votre pate feuilletée que vous enleverez du papier au moment adéquat -voir ci- après. Le papier cuisson est recouvert d'une fine couche de silicone… pas de chimique dans mes desserts!

    Dans une poêle en tôle noire bien culottée -lire toutes ces astuces sur mon site:

    www.trai-cuisine.com

    Faites fondre un peu de beurre puis ajoutez les bananes coupées en rondelles sur feu vif, secouez vite et bien, saupoudrez de sucre et de cannelle, vanille, une pointe de muscade; vous agissez vite, il ne s'agit pas de faire du confit de bananes. Déposez et disposez sur le fond du moule en prenant garde de ne pas retirez le sucre qui poudre le fond. Posez votre pate par-dessus et roulez bien le surplus sur les côtés du moule, cela va bien rigidifier votre tarte. Au four et cuire comme prévu plus haut.

    Si vous avez suivez mes conseils, la tarte se démoule… “les doigts dans le nez“. Prenez un grand plat “plat“ qui dépasse un peu le diamètre du  moule et hop, retournez comme on fait du omelette. Si vous n'avez pas baigné vos bananes de beurre, vous devriez ne pas vous brûlez. Dégustez en pensant positivement à moi qui vous ai donné une recette simple, facile et bien bonne!

  • Il fait trop chaud pour travailler....

    Quand il fait trop chaud dehors, et que la régulation de la température du corps se fait mal, l’organisme peut vite être en danger. Voici les aliments à privilégier en cas de fortes chaleurs pour aider le corps à faire face.

     Après un effort, un repas riche en épices et protéines ou encore lorsque la météo est à la canicule, le corps risque le coup de chaud. Un coup de chaud c’est une température corporelle qui devient supérieure à 37,2°C et qui ne baisse pas facilement (en l’absence de fièvre bien entendu).

    Normalement, pour diminuer sa température, le corps produit de la transpiration, augmente la fréquence cardiaque et redirige le flux sanguin vers la peau (1). Mais chez certaines personnes ces mécanismes de thermorégulation fonctionnent moins bien ; c’est le cas par exemple des personnes âgées, de celles prenant certains médicaments au long cours et des jeunes enfants.

    Conséquences possibles d’un coup de chaud : faiblesse ou perte de conscience, mal de tête, nausées (ou vomissements), pouls rapide, transpiration abondante, peau pâle… La chaleur peut aussi exacerber les symptômes de maladies déjà présentes (respiratoires, cardiovasculaires et rénales notamment).

    Mieux vaut donc prévenir que guérir et l’alimentation est fort utile pour cela. Les aliments riches en eau, en vitamine C par exemple sont de bons alliés contre la chaleur. Voyons cela plus en détail.

    Les aliments riches en eau

    Les études sont plutôt unanimes : boire plus d’eau quand il fait chaud ou que l’on fait du sport par fortes chaleurs permet de ne pas trop faire monter la température du corps (2). Si le corps n’a pas assez d’eau, la transpiration qui permet de le rafraîchir ne peut pas se faire.

    S’il faut boire de l’eau, les aliments riches en eau se révèlent aussi des alliés intéressants pour augmenter la teneur en eau de l’organisme (3). Il s’agit du concombre, de la courgette, de la pastèque, du melon, des radis, du céleri, de la tomate et de la laitue notamment.

    L’eau de noix de coco (pure) permet de bien hydrater le corps aussi en cas de chaleur. Comme les eaux minérales, elle permet de pallier un peu les pertes minérales dues à la transpiration.

    Les aliments riches en vitamine C

    La vitamine C pourrait, selon certaines études, réduire l’impact d’un stress métabolique dû à la chaleur. Une étude a montré que prendre un complément de vitamine C (à raison de 250 ou 500 mg/ jour) permettait de mieux s’acclimater à la chaleur (4). Manger des aliments riches en vitamine C pourrait donc se révéler aussi une bonne stratégie pour aider le corps à mieux réguler sa température.

    Parmi les aliments d’été riches en vitamine C figurent le cassis, le citron, le poivron et la fraise.

    La menthe

    L’effet fraîcheur de la menthe est bien connu. Cet effet est dû au menthol, la principale molécule active de la menthe poivrée (5). C’est d’ailleurs pour cela que le menthol est ajouté aux chewing-gums, aux dentifrices, etc.

     La menthe, consommée sous forme d’herbe aromatique ou tisane, a aussi des propriétés rafraîchissantes. Simplement infusée dans l’eau froide avec un peu de citron, elle fera une eau détox délicieusement hydratante.

    Les aliments à éviter le plus possible

    L’alcool, le café et les épices comme le piment, le gingembre et le poivre, sont connus pour augmenter l’effet thermique des aliments (6). Utile l’hiver mais très peu pratique quand on a déjà trop chaud.

     Les aliments riches en protéines sont connus aussi pour augmenter la température après un repas (7). Les protéines ont ainsi un effet thermique plus élevé que les glucides ou les lipides. Les protéines animales se trouvent dans les viandes, poissons, laitages et œufs, les protéines végétales principalement dans les légumineuses accompagnées de céréales et les oléagineux secs.

    Références

    (1) Sessler DI. Thermoregulatory defense mechanisms. Crit Care Med 2009;37 (7 suppl):S203–10.

     (2) Sawka MN, Latzka WA, Matott RP, Montain SJ. : Hydration effects on temperature regulation. Int J Sports Med. 1998 Jun;19 Suppl 2:S108-10.

     (3) Guelinckx I, Tavoularis G, König J, Morin C, Gharbi H, Gandy J. : Contribution of Water from Food and Fluids to Total Water Intake: Analysis of a French and UK Population Surveys. Nutrients. 2016 Oct 14;8(10). pii: E630.

     (4) Strydom NB, Kotze HF, van der Walt WH, Rogers GG. : Effect of ascorbic acid on rate of heat acclimatization. J Appl Physiol. 1976 Aug;41(2):202-5.

     (5) Kamatou GP, Vermaak I, Viljoen AM, Lawrence BM. : Menthol: a simple monoterpene with remarkable biological properties. Phytochemistry. 2013 Dec;96:15-25. doi: 10.1016/j.phytochem.2013.08.005.

     (6) Westerterp-Plantenga M et al. Metabolic effects of spices, teas, and caffeine. Physiol Behav 2006; 89: 85–91.

     (7) Binns A, Gray M, Di Brezzo R. : Thermic effect of food, exercise, and total energy expenditure in active females. J Sci Med Sport. 2015 Mar;18(2):204-8. doi: 10.1016/j.jsams.2014.01.008.

    Limonade vite faite

    Perso, en été, quoi de mieux qu'un grand verre d'eau gazeuse citronnée? ma boisson de table c'est La Salvetat. Je me sert un grand verre de cette eau à laquelle je rajoute une bonne cuillère à soupe de citron bio liquide (bouteille de verre, of course).

    Si vous avez besoin de limonade pour les enfants, la même chose: de La Salvetat, du citron liquide bio et un peu de sucre en poudre.

    Point trop de sucre, SVP... ce n'est pas bon de donner le goût du sucré à vos enfants.

    De même, on ne boit pas d'eau directement sortie du frigo: je la laisse sur le comptoir mais mon citron liquide est au frigo; une cuillère à soupe de ce citron froid et suffisante pour bien rafraîchir votre eau.

    L'eau bue glacée: choc thermique pour les dents dont l'émail fini par se carier...

    choc thermique dans l'estomac et les intestins: douleurs intestinales!

    Heu... les bouteilles plastiques, on les jette: ne pas les ré-utiliser indéfiniment... le bisphénol passe dans vos liquides.

    Certains tuto sur internet vous indiquent comment récupérer des bouteilles... surtout, pas de récupération pour des liquides ou autres à consommer... danger, toujours, de bisphénol!

    On peut couper le haut de la bouteille pour en faire un entonnoir: d'accord... uniquement pour transvaser des produits chimiques, OK?

     

     

  • Zaï, zaï, zai….

    Quelles sont les différentes variétés d’ail?

    Il y a longtemps, l’ail était classé par la teinte de son enveloppe (blanche ou rose), aujourd’hui on distingue les différents types d’ail par leur période de plantation:

    • Les variétés automnales

    Ce type d’ail a une enveloppe blanche et parfois une sous-enveloppe blanc nacré. Il est planté à l’automne puis récolté en été. Il peut être conservé jusqu’en décembre.

    On retrouve principalement la Messidrôme, la Thermidrôme et la Germidour. Ce sont des ails avec de gros bulbes mais peu abondants.

    • Les variétés alternatives

    Ces variétés peuvent être plantées en automne comme au printemps. Elles ont une enveloppe rosée qui protège de petites gousses brillantes de couleur ivoire.

    Il s’agit principalement la Fructidor et la Printanor. Elles sont le plus souvent récoltées en été et peuvent se garder jusqu’en avril.

    Les Gaulois passent pour avoir été de grands consommateurs d’ail, et au Moyen Age, on peut lire dans le "Livre des Métiers" que règnent en France "aulx, oignons, et toute autre manière d’aigrum" (ainsi désignait-on cresson et raifort).

    L’ail a toujours figuré parmi les légumes-condiments les plus populaires en France: il fait partie des "provisions condimentaires" de base pour la cuisine, non seulement dans le Midi, son terroir de prédilection, mais aussi dans toutes les autres régions de notre pays.

    La production de l’ail est surtout localisée dans le Sud-Ouest (Gers, Tarn, Tarn-et-Garonne) et le Sud-Est (Vaucluse et Bouches-du-Rhône).

    La récolte se fait en juin et juillet.

    La commercialisation s’effectue de juin à décembre pour les variétés plantées en automne (ail "blanc" et ail "violet"), et d’août en avril pour les variétés dites "roses", qui se conservent plus longtemps.

    Comment choisir l’ail, le conserver et le cuisiner pour conserver ou optimiser ses vertus?

    Pour choisir un bon ail, il faut le saisir par la tête!

    Cette dernière doit être bien bombée, et ses gousses doivent être fermes sous la pression des doigts.

    Si vous remarquez des petits germes vert dépassant des gousses, l’ail n’est plus frais.

    Comment le conserver?

    Pour pouvoir conserver le plus longtemps possible l’ail (entre 6 mois et 1 an), il faut le mettre au sec, à l’abri de la lumière et à température ambiante.

    Si vous optez pour de l’ail nouveau, il est préférable de le conserver dans le bac à légumes de votre réfrigérateur pendant quelques jours.

    Cru, cuit ou confit, l’ail est un condiment qui peut se manger à toutes les sauces!

    Avant de le cuisiner, il est préférable de retirer sa peau. Mais comment faire pour ne pas que cela colle aux doigts et que l’odeur persiste sur les mains ensuite?

    Quelques astuces pour faciliter cette étape:

    • 1ère astuce: prendre la gousse, puis à l’aide du poing, donner un léger coup sur la gousse. La peau sera plus facile à retirer par la suite.
    • 2ème astuce: mettre la gousse d’ail dans un pot vide (confiture, moutarde …) ou un shaker, puis secouer jusqu’au moment où la peau est partie! Le temps varie en fonction de la grosseur de la gousse et du nombre de gousses.
    • 3ème astuce: prendre un saladier d’eau froide, et laisser tremper les gousses dedans pendant 5 min environ. La peau sera plus souple et donc plus facile à retirer.

    Plus rapidement, passez les gousses sous le robinet: une fois vos doigts mouillés, la peau est plus facile à retirer

    Pour retirer l’odeur de l’ail sur les doigts, il suffit de frotter les doigts sur de l’inox mouillé.

    Il y a différentes manières de cuisiner l’ail, en fonction des préparations:

    • En chemise: c’est la cuisson la plus simple, elle se marie très bien avec tous les plats au four (rôtis, poulets grillés …), on conserve la tunique des gousses et on met dans le plat! L’ail sera fondant avec un goût plus doux.
    • A la poêle: il suffit de couper l’ail en petits morceaux ou de le hacher, puis de le faire revenir à feu vif jusqu’à obtenir une légère coloration. Ce type de cuisson est parfait pour les poêlées de légumes, les pâtes, les ragoûts…

    Vous pouvez également frotter l’ail sur du pain, dans le fond d’un plat pour parfumer légèrement vos préparations (comme dans la tartiflette ou un gratin de pomme de terre, par exemple). L’ail est également parfait pour rajouter un arôme aux vinaigrettes, sauces, soupes ou encore salades. Avec le persil et l’huile d’olive il permet de faire une persillade qui donnera un accent méditerranéen à vos fruits de mer cuits.

    Les vertus santé de l'ail

    Antibactérien, antifongique, anti-rhume, anti-cancer, l'ail a tout bon.

    Vertus antibactériennes

    L’ail est traditionnellement utilisé depuis l’Antiquité pour lutter contre les infections. En 1858, Louis Pasteur démontre expérimentalement cette action antibactérienne sur les bactéries gram positives, les salmonelles et la bactérie Escherichia coli. Cette propriété est due à la présence dans l’ail d’un composé nommé allicine.

     

     

     

     

     

  • Soignez-vous très bien avec des H.E.

    Maladie de Lyme, H.E. anti-infectieuses

    Trois huiles essentielles auraient une activité remarquable contre la bactérie Borrelia burgdorferi  responsable de la maladie de Lyme.

    Et si des huiles essentielles pouvaient aider à traiter la maladie de Lyme? Dans un article paru dans Frontiers in Medicine, des chercheurs de l’université Johns Hopkins (Baltimore) ont obtenu des résultats très encourageants avec certaines huiles essentielles.

    La maladie de Lyme

    La maladie de Lyme, ou borréliose de Lyme, est la maladie à transmission vectorielle la plus courante en France avec environ 29000 cas par an, selon l’agence Santé publique France. C’est une morsure de tique qui transmet la bactérie Borrelia burgdorferi. Alors que la majorité des patients peuvent être soignés avec un traitement antibiotique lors de la phase aiguë de Lyme, 10 à 20% d’entre eux continuent à souffrir de symptômes chroniques comme: fatigue, douleurs musculaires et articulaires. Une fois la maladie installée, elle peut se propager à différents organes: cœur, articulations, système nerveux. Il est plus facile de guérir de la maladie aux stades précoces que lorsqu’elle a commencé à progresser en phase chronique : les antibiotiques sont alors souvent en échec.

    Dans cet article, les chercheurs ont évalué l’activité de 34 huiles essentielles contre B. burgdorferi en phase stationnaire de culture. Les huiles essentielles sont des liquides volatiles et concentrés extraits de plantes. Des études ont montré que certaines avaient des propriétés antimicrobiennes.

    Toutes les huiles essentielles n’étaient pas efficaces mais cinq d’entre elles se distinguaient car elles étaient plus efficaces que la daptomycine, un médicament pourtant connu pour son activité contre B. burgdorferi.: l’origan, la cannelle, le clou de girofle, la citronnelle et la menthe. Les huiles d’origan et de cannelle éradiquaient complètement B. burgdorferi en phase stationnaire de croissance avec seulement 0,05 %de concentration. Les chercheurs ont travaillé avec des bactéries en phase stationnaire pour modéliser les bactéries persistantes dans l’organisme.

    3 huiles essentielles prometteuses

    Les trois huiles les plus actives (origan, cannelle et clou de girofle) avaient une activité remarquable contre B. burgdorferi même à faible concentration (0,125%). Le carvacrol était la molécule qui semblait la plus active dans l’huile d’origan; il était efficace contre les bactéries en phase stationnaire de croissance. Le carvacrol pourrait détruire les membranes microbiennes. L’huile d’origan réduisait la taille des colonies de micro-organismes agrégées en biofilms. Les symptômes chroniques pourraient s'expliquer par le fait que des bactéries ne sont pas détruites par les antibiotiques et persistent dans l’organisme. De manière générale, les antibiotiques sont peu actifs contre les bactéries lorsqu'elles forment des biofilms, des écosystèmes microbiens organisés qui peuvent adhérer aux tissus. Or ici certaines huiles essentielles avaient une très bonne activité contre les biofilms.

    Des essais in vivo et cliniques chez l'homme sont nécessaires pour confirmer ces résultats. Mais de nombreux patients utilisent déjà les huiles essentielles de manière empirique. Dans son livre Lyme les solutions naturelles, Judith Albertat explique ainsi qu'elle a pu améliorer son état général avec plusieurs huiles essentielles "dynamisées, dispersées, diluées". Le Dr Richard Horowitz, auteur de Soigner Lyme et les maladies chroniques inexpliquées, fait lui aussi appel, pour soigner ses patients, à des huiles essentielles, en plus des traitements classiques. Il existe des contre-indications et des précautions d'emploi avec les huiles essentielles.

    Dès que je me sens un peu enrhumée ou fiévreuse voici mon ordonnance

    Pour le rhume: deux ampoules toutes les deux heures de granions de zinc et l'huile ci-après

    Pour syndrome grippal: dans 30 cc d'huile d'olive: une quinzaine de gouttes des H.E. suivante:

    origan, cannelle, clou de girofle, thym rouge. Parce que le mélange est un peu difficile au goût, je double l'HE de cannelle ou bien je rajoute HE de citron qui est aussi antibactérienne.

    Vous trouverez des H.E. excellentes et BIO sur mon site

     

     

  • Santé

    Les 2 huiles essentielles qui tiennent les moustiques à distance

    Elles sont efficaces et sans danger: les huiles essentielles pourraient présenter une alternative aux répulsifs chimiques pour se protéger des piqûres de moustiques. C’est ce que montrent deux chercheuses thaïlandaises dans la revue Acta Tropica.

    Pour éviter les piqûres de moustiques et surtout les maladies qu’ils transmettent (dengue, paludisme, filariose), il est important de se protéger par des répulsifs, vêtements, moustiquaires. Actuellement, le DEET (N,N-diéthyl-3-méthylbenzamide) semble le plus efficace. On le trouve dans des aérosols, prays, lotions, crèmes. Mais les effets toxiques des produits chimiques pour la peau et le système nerveux soulèvent des interrogations, notamment pour leur utilisation chez les enfants. C'est pourquoi il serait intéressant de disposer d'alternatives naturelles. Des études ont déjà été conduites sur les huiles essentielles.

    L’objectif de cette nouvelle étude était de tester l’activité répulsive des huiles essentielles d’ylang ylang et de citronnelle pour lutter contre deux espèces de moustiques: Aedes aegypti (vecteur de la dengue) et Culex quinquefasciatus (vecteur de la filariose). L'huile essentielle de citronnelle est déjà très utilisée.

    L’activité répulsive des deux huiles essentielles a été comparée à celle de deux répulsifs chimiques. Trois huiles végétales (huile de coco, huile de soja et huile d’olive) ont été utilisées pour diluer les huiles essentielles, qui ont ensuite été appliquées sur l’avant-bras de volontaires.

    L’huile de coco est un ingrédient utilisé en cosmétique et dans la cuisine. Elle est aussi utilisée dans la médecine traditionnelle pour traiter différents problèmes de santé comme des allergies, de l’asthme, des infections de la peau.

    Toutes les préparations végétales montraient une meilleure activité répulsive que le répulsif chimique IR3535 (éthyl butylacétylaminoprpionate à 12,5 %) mais elles étaient moins efficaces que le DEET à 20 %. Les répulsifs végétaux étaient moins efficaces contre A. aegypti que C. quinquefasciatus.

    L’ylang ylang dans l’huile de coco avait une activité répulsive excellente avec 98,9 % de protection contre les piqûres de A. aegypti pendant 88,7 min en moyenne. La citronnelle dans l’huile d’olive montrait aussi une excellente activité avec 98,8 % de protection contre C. Quinquefasciatus pendant environ 170 min.

    Les huiles essentielles diluées dans les huiles végétales sont donc efficaces mais nécessitent des applications régulières, au bout de quelques heures. De plus, ces traitements naturels présentent l’avantage de ne pas provoquer d’irritation ou de dermatite.

    Soonwera M, Phasomkusolsil S. Efficacy of Thai herbal essential oils as green repellent against mosquito vectors. Acta Trop. 2014 Nov 28. pii: S0001-706X(14)00379-9. doi: 10.1016/j.actatropica.2014.11.010.

     

    Où trouver des huiles essentielles bio? ici

     

     

     

  • Des produits de base à ne jamais acheter au supermarché

    Ci-dessus: tout pour faire la béchamel

    Voici 5 catégories de produits à ne jamais acheter au supermarché car ils sont trop souvent sources d'épaississants, d'émulsifiants, d'arômes, et autres agents cosmétiques et économiques (ACE).

    Les vinaigrettes prêtes à l'emploi

    La mode de l’allégé a eu raison de la totalité des vinaigrettes vendues dans le commerce : une partie de l’huile a ainsi été remplacée par de l’eau. Problème: cela laisse la place à pléthore d’additifs et d’épaississants afin qu'elles conservent leur consistance. Vous avez donc tout intérêt à préparer vous-même vos vinaigrettes d'autant que c’est très rapide et demande peu d’ingrédients (huile d’olive et/ou colza, vinaigre et moutarde pour une vinaigrette classique).

    Les crèmes allégées

    On pourrait penser que la crème fraîche est un produit simple, que l'on peut acheter les yeux fermés. Erreur! Même dans la crème, on trouve des additifs. La seule crème fraîche que l'on peut acheter sans se poser de questions est la crème entière épaisse. En revanche, c'est du côté des crèmes allégées (ou légères) que l'on retrouve le plus d'ACE, destinés à stabiliser, homogénéiser et donner de la texture.

    En pratique

    Pour les crèmes liquides ouvrez l'œil et lisez les étiquettes.

    Pour la crème fouettée, il n’existe aucune marque correcte au supermarché : elles renferment trop de sucre et d’ACE,  mais des recettes simples de chantilly maison existent.

    Les crèmes végétales

    Avec le développement du végétalisme, de nouveaux produits ont fait leur apparition : les crèmes végétales. Présentées comme saines (végétal oblige), elles entrent pourtant presque toutes dans la catégorie des aliments ultra-transformés avec leur longue liste d’ACE (additifs, matière grasse et sucre ajoutés, épaississants, émulsifiants, arômes). À éviter donc.

    En pratique

    Dirigez-vous vers des alternatives réellement saines : les crèmes à base de coco (non allégées), les yaourts Sojade (magasin bio), les purées d’oléagineux (mélangées avec du lait de soja et de l’huile), le tofu soyeux ou encore la crème épaisse de soja lacto-fermentée de la marque Sojami.

    Les béchamels

    Une autre sauce pose problème au supermarché: la béchamel. On trouve des ACE dans les béchamels toutes faites alors que c'est une recette simple qui ne vaut pas la peine de s'encombrer d'additifs et qui, réalisée à la maison vous reviendra moins cher.

    En pratique

    Faire une béchamel, c’est tout simple : du beurre, de la farine et du lait.

    Le bouillon cube

    Très utilisé pour donner du goût aux soupes, sauces, risottos et ragoût, le bouillon est un incontournable de la cuisine. Mais qui aujourd'hui prend encore le temps de faire son propre bouillon, alors qu’existe la "magie" des bouillons cube du supermarché. Une "magie" qui doit tout aux additifs: un agglomérat de sel, glutamate (un exhausteur de goût potentiellement toxique), sucres, arômes, graisses transformées… la liste est longue. Au total, moins de 10% des ingrédients contenus dans les bouillons cubes sont peu transformés. Et les bouillons bio sont également concernés. Il est conseillé donc de les rayer définitivement de votre liste de courses.

    Quelques astuces:

    • Récupérez le bouillon du pot-au-feu, celui des légumes du couscous, de la ratatouille, du poulet rôti ou encore des lentilles au lard pour le verser dans des bacs à glaçons et les congeler. Vous n'aurez plus qu'à utiliser un ou deux glaçons ensuite dans vos préparations.
    • Hachez des herbes (persil, coriandre, menthe, ciboulette…), de l'ail, de l'oignon et ajoutez-y de l'huile et/ou des épices. Versez ces préparations dans des bacs à glaçons pour vous en servir plus tard pour cuire du riz, ou de la viande par exemple.

    Manger sainement, c'est manger des aliments vrais, peu transformés, principalement des végétaux, et les plus variés possible. Faites appel pour cela à des aliments bruts.