Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

occitanie - Page 332

  • Deux d'un coup!

    Choux blanc au vin blanc

    Pour 4:

    ½ ou ¾ de choux blanc, 350 g de carottes, 3 gousses ail, ¼ l de vin blanc sec

    50 g de graisse de canard ou 3 cuillers à soupe huile olive, 1 pincée de cannelle (ou deux clous de girofle), 1 feuille de laurier, sel et poivre.

    Coupez le chou, retirez les côtes dures, le laver et le couper en lanières.

    Lavez les carottes, pelez ou grattez-les, coupez les en tronçons de 10 cm partagés en deux.

    Ecrasez les gousses d'ail dans la cocotte et faites-les revenir avec l'huile ou la graisse. Ajoutez le chou et les carottes et laisse cuire en remuant dans les 5 minutes.

    Arrosez un verre d'eau, ajoutez la cannelle et la feuille de laurier. Salez.

    Portez à ébullition et laissez cuire à feu doux une dizaine de minutes puis ajoutez le vin blanc et laissez cuire encore 20 minutes environ à feu doux.

    Lorsque les légumes sont cuits, retirez la feuille de laurier et servez aussitôt.

    Si vous avez un reste de choux de Bruxelles vous pouvez les incorporer dans cette recette, on appelle cela: cuisiner les restes!

    Si vous voulez que la sauce soit plus consistante, vous pouvez rajouter avant de mettre l'eau une cuillère à soupe et demie de farine.

    La même recette mais en plat plus complet

    En plus des ingrédients ci-dessus, ajoutez des “coustellous“ (mais chez moi, on disait “abracadix“) et pour les estrangers d'Occitanie on dit des" travers de porc" et un gros oignon jaune. Pour le coup, pas d'huile d'olive mais obligatoirement de la graisse de canard que diététiquement elle est aussi bonne que l'huile d'olive.

    Rajoutez des petits oignons blancs et des pommes de terre.

    Estouffade à l'abracadix

    Pour 4:

    ½ ou ¾ de choux blanc, 350 g de carottes, 3 gousses ail, ¼ l de vin blanc sec

    50 g de graisse de canard, 1 ou plus de clou de girofle, 1 feuille de laurier et du thym, sel et poivre.

    250 g d'oignons blancs, et 1 gros jaune, 600 g d'abracadix, 1 kg de pommes de terre et trois verres d'eau supplémentaires.

    Faites sauter dans la graisse de canard l'abracadix et pelez et coupez en cubes le gros oignon jaune que vous rajoutez 3 minutes après; faites bien rissoler à bien brun, n'oubliez pas les gousses d'ail écrasées, saupoudrez de farine, ajoutez de l'eau, le chou blanc et les carottes, laurier, thym, clous de girofles, sel et poivre.

    Faites cuire 15 minutes, ajoutez les pommes de terres coupées en cubes, faites cuire encore 15 minutes et versez le vin blanc, laissez mijoter encore 20 minutes en surveillant que cela ne brûle pas par faute de liquide. Rectifiez l'assaisonnement.

    Servez saupoudré de persil haché.

    Après une soupe épaisse, cela tient bien au corps pour pas cher.

     

  • Juste pour dire….

     La météo ne cesse de nous dire que nous battons en ce moment les températures de novembre depuis 1955....

     

    Et après 1955?

     

    Viens février 1956…. je m'en souviens encore!!! je n'avais pourtant que 6 ans.

     

    Diapositive13.JPG

     

     

     

     

     

     

    Diapositive29.JPG

     

     

     

     

     

    Diapositive33.JPG

     

     

     

     

     

    Alors, cramponnez-vous!

     

     

  • 11 Novembre 1918

     

     

    france22.gif

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • A Toulouse, les personnes handicapées mentales font de la musique brésilienne

    Devenus artistes, des personnes handicapées mentales changent le regard du public sur la maladie.

    "Pourquoi pas nous" est un groupe de batucada, un genre de musique basé sur les percussions traditionnelles brésiliennes. Cette formation rassemble 25 enfants, adolescents et adultes handicapés mentaux se produisent aujourd'hui en professionnels. De nombreux instruments sont nécessaires à ce genre de musique. Le groupe est né de la collaboration entre le centre hospitalier Muret (31) et l'association "Samba Résille".

    Le nom de ce projet est directement lié à des personnes handicapés mentales hébergés à l'hôpital. "Samba résille" et l'équipe hospitalière collabore depuis 11 ans à travers différentes activités mais aussi de manière matériel : prêt de locaux etc. Des échanges festifs ont aussi lieu avec les familles et les bénévoles de l'association.

    Le groupe a tout de suite rencontré le succès, la perception du handicap mental a alors changé pour tout le monde, spectateurs, personnel medico-social et musiciens. D'apprentissage, le groupe est passé à la création. Composition de morceaux, costumes… Aujourd'hui leur maturité artistique nécessite un accompagnement approfondie pour qu'il puisse vivre cette aventure en milieu ordinaire et devenir un groupe autonome.

    Ce projet est Laurier 2015 de la catégorie "aide aux personnes vulnérables" de la Fondation de France.

     

    MusicRoom-copy-635x3571.jpg

     

     

     

     

  • Depuis le temps que j'avertis tout le monde!

     Une ONG alerte sur la contamination chimique d'aliments via des emballages

    L'ONG Foodwatch a alerté, mardi 27 octobre, sur la contamination chimique de produits alimentaires courants comme les pâtes ou le riz par les emballages cartonnés, et demande aux pouvoirs publics de rendre obligatoires de nouvelles règles.

    "Des huiles dérivées d'hydrocarbures sont retrouvées dans les aliments de grande consommation comme les pâtes, les lentilles, les céréales, les biscuits ou le riz", a affirmé lors d'une conférence de presse Ingrid Kragl, directrice de l'information de Foodwatch en France. "Ces huiles renferment des substances toxiques et l'industrie alimentaire doit agir pour mettre des barrières entre les emballages cartonnés et les contenus alimentaires", a demandé la responsable en présentant une enquête sur 42 produits de très grande consommation en France achetés dans différents hypermarchés.

    Selon Foodwatch, la contamination par ces "huiles minérales" de la nourriture emballée a plusieurs origines: le carton recyclé, des cartons non recyclés mais contaminés par l'environnement extérieur et les résidus des produits lubrifiants des machines lors de la fabrication. " Les emballages recyclés restent néanmoins l'une des sources principales de contamination ", affirme l'ONG. Cela s'explique par l'accumulation d'encres et d'autres substances comme des solvants.

    "Une préoccupation potentielle" (Efsa)

    Deux catégories d'huiles sont mises en cause : les MOAH (mineral oil aromatic hydrocarbons), suspectées d'être cancérigènes et mutagènes, et les MOSH (mineral oil saturated hydrocarbons). Aucune réglementation n'existe actuellement sur les quantités acceptables de ces huiles minérales dans les produits alimentaires. Mais l'agence sanitaire européenne (Efsa), dans un avis de 2012, indiquait que l'exposition à ces substances via la nourriture était " une préoccupation potentielle ". L'ONG demande que des seuils limite par substance soient fixés, et même qu'une tolérance zéro soit appliquée sur les MOAH (hydrocarbures aromatiques d'huile minérale).

    L'ONG, qui lance une pétition, exige aussi que "des barrières efficaces" soient mises en place par les industriels pour éviter ce phénomène de "migration" du carton vers les denrées alimentaires. " Il existe des solutions", a affirmé Ingrid Kragl, citant en exemple des sachets intérieurs empêchant cette "migration" de substances, une couche protectrice appliquée sur le carton ou un matériau absorbant permettant de piéger ces huiles dans l'emballage. Pour preuve qu'il est possible d'agir, Foodwatch a mis en avant les résultats de tests en laboratoires effectués sur 120 produits en Allemagne, Pays-Bas et France.

    Pour un même type de produit (pâtes, biscuits, couscous, etc.), les teneurs en huiles minérales sont très variables d'une marque à une autre. Pour le riz par exemple, sept marques ont été testées en France : la quantité d'huiles MOSH peut varier de 0 à 5 mg/kg, celle de MOAH de 0 à 1,1 mg/kg.

    Raison garder

    L'Association nationale des industries alimentaires (Ania) a pour sa part indiqué que " la détection de traces d'une substance comme les huiles minérales n'induit pas nécessairement un risque pour la santé". "Avant de générer volontairement des peurs infondées visant à jeter le discrédit sur toute une profession, il est indispensable de faire appel aux agences de sécurité en charge d'évaluer les risques liés à la sécurité des aliments dont c'est la mission et l'expertise. Il est nécessaire d'agir avec responsabilité et discernement", a déclaré le président de l'Ania, Jean-Philippe Girard, cité dans un communiqué.

    Pour cette campagne, Foodwatch a reçu le soutien du Réseau environnement santé (RES), présidé par le toxicologue André Cicolella et qui regroupe des associations impliquées dans les problèmes de santé liés à l'environnement. Le réseau a notamment contribué à la prise de conscience du rôle des perturbateurs endocriniens, comme le Bisphénol A, dans de nombreuses maladies.

     

    AUTANT QUE FAIRE CE PEUT

    Comme indiqué dans mon site qui vous avertit des poisons en cuisine:

    www.tradi-cuisine.com

    Lisez tous les dossiers et le blog!

     

    Utilisez des produits mis en pots de verre

    Achetez des produits surgelés: les aliments sont surgelés AVANT d'être emballés. Pour les cuisiner ou les consommer, sortez-les du paquet et posez sur une assiette pour décongeler. Bannissez, je vous prie les plats mélamines: utilisez uniquement le verre ou la céramique pour votre service de table. Bannissez le silicone, utilisez des mouvettes de bois ou ustensiles inox.

    Ne faites jamais cuire dans des barquettes alu, n'utilisez pas de papier cuisson

    Utilisez uniquement des poêles en fer sans antiadhérant, des récipients en céramique, inox ou en verre. Une poêle en fer bien culottée (c'est expliqué sur mon site) n'attache pas! Si vous ne pouvez pas faire moins, utilisez des récipients en céramique, c'est moins pollué que les autres type silicone, pierre etc.

    Achetez des produits en boîtes carton que si vous savez que l'objet de vos désirs est dans un sachet sans impression, style weetabix original. Et encore, l'emballage me fait crisser les dents.

    C'est comme le lait en boîte, ça m'agace mais, impossible de faire autrement!

    Ce qui me met en colère c'est que DE TRES NOMBREUX produits bio sont dans des boites et emballages plastiques!!!! rrr!!!!

     

    Perso, j'ai travaillé 15 ans les imprimeries, alors les polluants d'encre, je connais!