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recette - Page 18

  • Rillettes de poulet

    Rillettes de poulet possibilité de faire en bocaux

    ingrédients

    6 cuisses de poulet, 4 blancs de poulet, 500 gr de cansalade fraîche

    4 oignons, 2 gousses d'ail, 4 cuillères à soupe de moutarde

    1 verre d'eau, 1 verre de vin blanc; 250gr de saindoux ou de lard gras ou de graisse d'oie

    thym, laurier, 15 gr sel et 3 gr de poivre, muscade

    Préparation

    Mettre un peu de graisse dans une sauteuse et y faire revenir les morceaux de poulet

    Retirez le poulet bien doré et réservez

    Mettre dans la cocote la cansalade coupée en morceau 3 cm sur 3 cm, les oignons coupés en petits morceaux et l’ail, les faire revenir que cela colore un peu

    Mettre le reste de saindoux ou graisse de canard à fondre, la moutarde, les épices, le vin blanc, le verre d'eau. Laissez mijoter pendant 3 heures minimum à feu doux

    Retirez les viandes, enlevez les os et la peau du poulet; Mixez toute la viande: pas trop longtemps, laissez des petits morceaux

    Faire réduire le jus dans la cocote à feu vif; Remettre la viande mixer dans la cocote avec le jus, bien mélanger;

    Mettre en bocaux, et stériliser à 100° pendant 1h30

    En conserve (se garde 1 an)

     

  • Tarte aux pommes sans sucre rajouté

    Choisissez des pommes très sucrées, par exemple des Galas que vous aurez laissées vieillir quelques temps: quand la peau est fripée, elles sont prêtes.

    Pour 6 personnes

    100 g de farine, 1 cuillère à café rase de cannelle en poudre, 3 œufs

    6 g de levure; 3 cuillères à soupe rases de lait écrémé

    75 g de beurre fondu allégé, 1 kg de pommes

    Préchauffez le four à 200° (Th.7).

    Dans un saladier mélangez la farine, la cannelle et la levure.

    Battre en omelette les œufs et le lait.

    Creuser une fontaine au milieu du mélange de farine et mettre les œufs. Travaillez au fouet  et ajoutez le beurre fondu. Epluchez et évidez les pommes.

    Les couper en grosses lamelles. Incorporez les lamelles de pommes à la préparation.

    Mélanger délicatement. Beurrez un moule à manqué avec un noix de beurre et saupoudrez de sucre. Tapotez pour faire tomber le surplus.

    Versez la préparation dans le moule, Mettre au four 40 min.

    Se mange froide ou tiède, avec ou non une boule de glace à la vanille.

     

  • GRAS-DOUBLE AU SAFRAN A L'ALBIGEOISE

    Cuisson au four en cocotte lutée 6 h – préparation 30 mn

    Pour 8 personnes

    1,5 kg de gras double – quelques os de veau – 300 g de carottes – 150 g d'oignons – quelques filaments de safran soit 5 g – 2  clous de girofle – 1 tête d'ail – 2 branchettes de thym frais – 1 feuille de laurier frais – poivre en grain entier - 1 l de vin blanc sec – un peu de farine 250 g de jambon de pays avec le gras – 30 g de graisse saindoux ou de canard – 1 oignon – persil – 5 cl armagnac – 2 cuillère à soupe de câpres

    Nettoyez le gras-double et faites-le blanchir dix minutes à grande eau bouillante vinaigrée. Egouttez et rafraîchissez.

    Coupez le gras double en morceaux de 5 cm et mettre dans une grande terrine allant au four avec quelques os de veau, les carottes coupées en rondelles, les oignons pelés et coupés en quartiers et un avec les clous de girofle, la tête d'ail entière, le thym, le laurier, sel et les grains de poivre.

    Mouillez avec le vin blanc et rajoutez de l'eau pour couvrir largement.

    Luttez la terrine avec un cordon de pâte pour tenir la cocote fermée bien soudée à la jointure; enfournez thermostat 3 ou four doux 120° et laissez cuire 6 heures.

    Le cordon est réalisé avec 250 g de farine et deux verres d'eau tiède. Malaxez et roulez en bâton, étirez la pâte est posez la sur la cocote. Pressez bien pour assurer une fermeture hermétique.

    Préparez le hachis avec le jambon que vous faites sauter avec le saindoux, rajouter un oignon, ail et persil haché; poudrez de farine, mélangez et ajouter un bon verre de jus de cuisson des tripes; faites mijoter puis rajoutez le safran dans le jus de cuisson. Ajoutez les tripes en éliminant les os de veau, la tête d'ail dont vous récupérez la pulpe afin de la rajouter à la sauce sur feux doux.

    Pour finir, présentez après avoir arrosé d'un verre d'armagnac, rectifié l'assaisonnement et parsemé des câpres égouttés et hachés.

  • Légumineuses: pourquoi et comment en manger

    Peu coûteux, nourrissants, bons pour la santé, les légumes secs. Les légumineuses sont les plantes de la famille des Leguminosae ou fabacées. Elles sont en général cultivées pour leurs graines.

    En nutrition et en alimentation, les légumineuses sont les fèves et graines de soja, les haricots blancs (lingot, mogette), rouges (azuki), mungo, pinto; les lentilles brunes, vertes, vertes du Puy, blondes ou corail ; le lupin et les pois (cajan, cassés, chiches, secs). En botanique, entrent dans cette famille les flageolets, les petits pois et les haricots verts qui sont souvent considérés à tort comme des légumes.

    Pourquoi consommer des légumineuses

    Elles sont riches en protéines

    Les légumineuses constituent une excellente source de protéines: 100 g de légumineuses apportent autant de protéines que 100 g de viande, de poisson ou d’abats  sans apporter de graisses saturées.

    Mais, ces protéines ne sont pas toujours idéalement équilibrées puisqu’elles manquent souvent d’acides aminés soufrés comme la méthionine. C’est la raison pour laquelle, afin de se procurer des protéines végétales de bonne qualité, les végétariens les associent aux céréales, qui, elles, contiennent ces acides aminés, comme on le fait dans d’autres cultures (haricots et maïs en Amérique centrale et Amérique du Sud, couscous/pois chiches en Afrique du Nord). Malgré tout, le soja renferme 25 % de protéines plutôt bien équilibrées et il faut rappeler que les légumes verts à feuilles apportent des protéines d’excellente qualité.

    Elles regorgent de minéraux et vitamines

    Toutefois, la densité nutritionnelle des légumineuses ne se résume pas seulement à leur forte teneur en protéines puisque par définition, les légumineuses sont des graines dans lesquelles les éléments de réserve de la future plante ont été concentrés. On retrouve donc en quantité appréciable des vitamines du groupe B, des minéraux comme le magnésium (30 à 50 mg pour 100 g) ou encore le fer (2 à 3 mg pour 100 g). Ce dernier est moins absorbé que le fer des aliments d’origine animale, mais il est un peu mieux assimilé que celui des céréales complètes.

    Les légumineuses sont aussi les championnes du potassium. La teneur en potassium des légumes secs est supérieure à celle des fruits et des légumes. Tout comme les fruits secs, 100 g de légumes secs apportent environ 1 g de potassium, un minéral dont presque tout le monde manque.

    Elles aident à faire le plein de fibres

    Les légumineuses sont riches en fibres (jusqu’à 25 % de leur poids), plus ou moins solubles (cellulose, hémicellulose, pectines), intéressantes dans la prévention de la constipation mais également pour la régulation du taux de sucre sanguin.

    Elles ne contiennent pas de gluten

    Si vous présentez une intolérance au gluten (maladie coeliaque) ou une sensibilité au gluten, les légumineuses sont des alliées de choix pour remplacer les céréales, en flocons, en farine ou entières.

    Tout n'est pas bon dans le légume sec

    Les légumes secs contiennent des facteurs antinutritionnels qui font partie de l’arsenal de défense de la plante contre les insectes et les parasites. Ainsi, les légumes secs renferment-ils des inhibiteurs de protéases qui neutralisent les enzymes chargées de dégrader les protéines de l’alimentation.

    Ils peuvent aussi contenir des lectines qui réduisent les capacités digestives et entraînent des troubles gastro-intestinaux (diarrhées, nausées), voire selon des chercheurs, inflammation et auto-immunité (lire plus loin). Leurs tanins réduisent la disponibilité des protéines et inhibent certains systèmes enzymatiques. Les phytates limitent l’absorption de fer, calcium, manganèse, cuivre et zinc. Inhibiteurs de protéases et lectines sont en grande partie éliminés à la chaleur.

    Malgré tout, ces facteurs antinutritionnels pourraient posséder des propriétés bénéfiques. Les inhibiteurs de protéases et les phytates pourraient protéger de certains cancers, tandis que les tanins font partie d’une classe d’antioxydants qui s’opposent aux radicaux libres.

    Elles ont un index glycémique (IG) bas

    Contrairement à une idée reçue, les légumes secs n’augmentent pas sensiblement le taux de sucre sanguin. Dans les légumes secs, l’amidon est le principal responsable de l’élévation du taux de sucre dans le sang. Mais, l’amidon des légumineuses est surtout présent sous forme d’amylose, une forme que le corps digère lentement. Les légumineuses ont donc un index glycémique bas.

    De plus, une part non négligeable de l’amidon (20 %) n’est pas du tout digestible. Ainsi, les glucides des légumes secs sont absorbés lentement: la montée de la glycémie est lente, étalée dans le temps, d’autant que les fibres solubles freinent l’augmentation du taux de glucose dans le sang.

    Comment les consommer ?

    Conseils et astuces

    Ajoutez-les à vos salades (pois chiches, haricots verts, haricots rouges), à vos soupes. Utilisez-les en accompagnement des plats principaux.

    Vous pouvez les mixer comme on le fait des pois chiches en Orient pour obtenir du houmos, ou simplement des purées de haricots verts ou de lentilles.

    N’hésitez pas à avoir recours aux légumineuses en boîte, en bocal ou en Doypack. Elles vous permettront de varier les plaisirs sans passer des heures devant vos fourneaux.

    Si vous consommez pas, ou peu, de viande, accompagnez-les de céréales (pâtes, riz) pour avoir un apport en protéines végétales équilibré. En ce qui concerne les cassoulets et les petits salés en boîte, attention, ils sont très salés et contiennent souvent de la viande de mauvaise qualité.

    C'est pour cela qu'on doit se cuire soi-même son cassoulet! En boîte? mais quelle profonde horreur!

    L'idéal est d'en consommer une à deux fois par semaine minimum.

    Précautions

    Certains chercheurs comme le Pr Loren Cordain (université du Colorado), un pionnier du régime paléo, mettent en garde contre le rôle que pourraient jouer les lectines dans le déclenchement ou le développement de maladies auto-immunes telles la polyarthrite rhumatoïde et la sclérose en plaques. Selon eux, les lectines de certains aliments (légumineuses: soja, cacahuètes - mais aussi blé ou tomates) favorisent le passage de fragments de protéines à travers la barrière intestinale, en s'attachant à un récepteur particulier (EGF) à la manière d'un cheval de Troie. Ces fragments de protéines (de lait, de céréales) peuvent ensuite déclencher ou exacerber de l'auto-immunité. Cette mise en garde est surtout basée sur des travaux expérimentaux. Les études d'observation n'ont jusqu'ici pas trouvé que les personnes qui consomment beaucoup de soja, pour prendre cet exemple, ont un risque plus élevé de maladie auto-immune. Néanmoins, en Amérique du Nord, certaines associations de malades atteints de sclérose en plaques déconseillent par prudence légumes secs, blé et tomates.

    Astuces pour améliorer leur digestibilité

    Les faire tremper une nuit pour ramollir la coque et amorcer la germination. Les faire cuire ensuite à petit feu, à l’étouffée ou à la vapeur douce (la cuisson est plus rapide).

    Pour diminuer les gaz (fermentation liée aux sucres prisonniers dans l’enveloppe), vous pouvez les broyer (soupe), les faire tremper et, mieux, les faire germer.

    Le mieux est de faire cuire avec de la sauge ou du romarin.

    Le trempage (jeter l’eau ensuite) et mieux encore la germination améliorent aussi l’absorption du calcium et magnésium ainsi que le taux de vitamines

     

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    Mon cassoulet!

     

  • Fèves au carré frais

    Ingrédients (pour 4 personnes):

    1 sachet de fèves surgelées épluchées (ou 450 g de fèves fraîches épluchées)

    150 g de cansalade roulée coupée en dés (de poitrine nature)

    1 cuillère d'huile d'olive, 2 Carrés Frais, 1/2 verre de vin blanc, 1 jaune d'œuf

    1 branche de thym frais, sel et poivre

    Malgré ce que l'on croit généralement, les fèves fraîches cuisent très vite. Plongez-les encore surgelées ou une fois débarrassées de leur peaux dans une casserole d'eau bouillante salée. Laissez le feu très fort. Quand l'eau revient à ébullition, compter 1 min, puis sortir et  égouttez les fèves, et les plonger dans un bain d'eau glacée ce qui conservera leur belle couleur et leur croquant.

    Faire revenir les dés de cansalade (lardons) dans très peu d'huile et dans une marmite à fond épais. Quand ils sont blonds, ajoutez les fèves et le thym. Laissez cuire 5 min à feu moyens. Oui, pour une fois, il faut que la cansalade ne soit pas trop brune afin que les lardons ne fassent pas trop contraste. Vous pouvez bien sûr, vouloir le contraire et les laisser devenir bruns.

    Ajouter les Carrés Frais émiettés à la fourchette et le vin blanc, puis laissez cuire à feu moyen environ 5 min, en remuant pour faire une sauce onctueuse. Salez et poivrez à votre convenance. Rajoutez un verre de bouillon si trop épais et ajoutez le jaune d'œuf battu hors du feu, puis bien mélanger. Servir aussitôt car se mange chaud.

    Idée: vous pouvez préparer ainsi une fondue de poireaux.

    Vous pouvez également saupoudrer de cacahouètes concassées (sans sel bien sûr) pour encore plus de croquant;

     

  • Porc aux fèves

    Le genre de plat qui fait que le vent d'autan ne vous emporte pas!

    Bis-répétitas: en région toulousaine, jamais de jamais ont a utilisé de la charcuterie fumée.

    De plus, les industriels n'ayant pas le temps de faire fumer la viande au feu de bois comme on faisait autrefois, badigeonnent les pièces de viandes avec de la fumée liquide faite avec des produits chimiques. A vous les bons cancers de l'œsophage, de l'estomac, des intestins… etc.

    Initialement, faire tremper les fèves au moins 12 heures; attention, cuisson très longue en marmite normale 2h 45 à 3 H, un peu moins de 2 h a la cocotte minute.

    Par personne:

    Un petit ou un gros jarret de porc pour 2; 1 carotte, ½ oignon jaune; 1 andouillette, 1 tranche de cansalade plate, 1 petite côte de céleri branche; Sel, poivre, branche de thym, romarin et/ou sauge

    50 g de couenne, 2 grosses pommes de terre, 1 verre de fèves sèches; 1 l et demi d'eau ou de bouillon de volaille.

    Faites blanchir les couennes 8 mn à l'eau bouillante. Jetez l'eau et réservez sur une assiette.

    Faite rissoler dans de la graisse de canard ou du saindoux les oignons coupés en gros cubes. A mi-cuisson, ajoutez les tranches de cansalade; faites rôtir de tous les côtés avec les jarrets de porc.

    Rajoutez l'eau, les cotes de céleri, les fèves, les carottes en tronçons ou rondelles, branche de thym, romarin et/ou sauge, les couennes réservées.

    Faire cuire à feu moyen à couvert (laissez échapper la vapeur) pendant une heure et quart. Ajoutez les andouillettes et des pommes de terre coupées en gros cubes et faites cuire trois-quarts d'heure de plus. Goûtez et rectifiez l'assaisonnement: Sel, poivre, etc.

    C'est encore meilleur réchauffé.

     

  • Prenez-en de la graine!



    http://positivr.fr/pascal-poot-legumes-sans-eau/