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recettes - Page 166

  • Sucettes au chèvre et à la cansalade toulousaine

     

    4 tranches de cansalade plate salée;  250 g de fromage de chèvre pas trop humide

    1 cuillère à soupe d’ail en poudre (ou bien découpez en très fine brunoise ou bien écrasez quelques gousses au press-ail

    1 cuillère à café de paprika

    1 cuillère à soupe de fromage râpé… vous pouvez laisser durcir quelques semaines votre fromage préféré et le râper ensuite.

    2 cuillères à soupe de ciboulette; Sel, poivre

    Une dizaine de bâtonnets de Bretzel (gâteaux secs effilés)

    75 g noix de pécan ou de noisettes concassées

    Dans une poêle chaude et sans huile ou graisse, faites revenir les tranches de cansalade toulousaine pendant 8 minutes en les retournant bien sûr. Une fois cuites, coupez les tranches de cansalade en tout petits morceaux. Réservez.

    Dans un saladier, disposez le fromage de chèvre, l’ail en poudre, le paprika, le fromage râpé, et la ciboulette. Salez, poivrez. À l’aide d’une fourchette, émiettez la préparation et formez des boules de fromage. Disposez les boules sur une plaque recouverte de papier sulfurisé.

    Pour la panure

    Dans un saladier, transposez les noix de pécan ou noisettes finement concassées, les morceaux de cansalade grillés et la ciboulette. Mélangez et recouvrez les boules de fromage du mélange de panure. Pour finir, piquez les boules avec les bretzel comme vous le feriez pour obtenir une sucette.

    Si vous n'en trouvez pas, utilisez des piques en bois... ou une branche dure du romarin du jardin, en laissant une toufette en déco.

     

  • Pommes de terre farcies

    (ou patates douces)

    Pour huit personnes

    16 petites patates douces (deux par personnes) ou pommes de terre moyenne; 900 g de bœuf haché ou de saucisse de Toulouse

    100 g de parmesan (facultatif)

    Sel, poivre, cumin, curcuma, Persil plat, thym

    Pour commencer, dans une poêle légèrement graissée à la graisse de canard, faites revenir la viande ou la saucisse de Toulouse, hachée et laissez cuire pendant 10 à 15 minutes à feu moyen. Salez, poivrez, réservez.

    Lavez les pommes de terre ou patates douces, dans de l'eau bicarbonatée en laissant tremper 10 mn et sans enlever la peau. Essorez-les. Préchauffez le four à 190°C. Placez ces légumes sur une plaque de cuisson graissée et faites cuire au four pendant environ 45 minutes. Au bout de 30 minutes, vérifiez la cuisson des patates, en les piquant à l’aide d’une fourchette. Une fois cuite, sortez les patates du four.

    Coupez les patates en deux dans le sens de la longueur. Enlevez une partie de sa chair et faites-la revenir dans une poêle légèrement graissée et introduisez au fur et à mesure, le sel, le parmesan (facultatif), le poivre et les épices.

    Préchauffez à nouveau le four à 190 °C. Dans une plaque allant au four, disposez les patates, transposez une cuillère à soupe de farce et terminez en ajoutant les herbes fraîches.

    Faites cuire pendant 15 minutes. Servez sans plus attendre deux patates par personne, accompagnées de légumes, ou autres accompagnements à votre convenance.

    Vous pouvez avant d'enfourner, saupoudrer de fromage râpé, de chapelure et d'une noisette de beurre pour gratiner le tout.

    Pommes de terre farcies

    (ou patates douces)

    Pour huit personnes

    16 petites patates douces (deux par personnes) ou pommes de terre moyenne; 900 g de bœuf haché ou de saucisse de Toulouse

    100 g de parmesan (facultatif)

    Sel, poivre, cumin, curcuma, Persil plat, thym

    Pour commencer, dans une poêle légèrement graissée à la graisse de canard, faites revenir la viande ou la saucisse de Toulouse, hachée et laissez cuire pendant 10 à 15 minutes à feu moyen. Salez, poivrez, réservez.

    Lavez les pommes de terre ou patates douces, dans de l'eau bicarbonatée en laissant tremper 10 mn et sans enlever la peau. Essorez-les. Préchauffez le four à 190°C. Placez ces légumes sur une plaque de cuisson graissée et faites cuire au four pendant environ 45 minutes. Au bout de 30 minutes, vérifiez la cuisson des patates, en les piquant à l’aide d’une fourchette. Une fois cuite, sortez les patates du four.

    Coupez les patates en deux dans le sens de la longueur. Enlevez une partie de sa chair et faites-la revenir dans une poêle légèrement graissée et introduisez au fur et à mesure, le sel, le parmesan (facultatif), le poivre et les épices.

    Préchauffez à nouveau le four à 190 °C. Dans une plaque allant au four, disposez les patates, transposez une cuillère à soupe de farce et terminez en ajoutant les herbes fraîches.

    Faites cuire pendant 15 minutes. Servez sans plus attendre deux patates par personne, accompagnées de légumes, ou autres accompagnements à votre convenance.

    Vous pouvez avant d'enfourner, saupoudrer de fromage râpé, de chapelure et d'une noisette de beurre pour gratiner le tout.

     

  • Poêlée toulousaine

    Je l'appelle “toulousaine“ parce que c'est un mélange à moi avec de la bonne et vraie saucisse de Toulouse!

    Par personne: 120 g de saucisse de Toulouse ou 2 à 3 chipolatas; deux ou trois grosses pommes de terre; 1 demi oignon jaune; 1 cuillère café; de moutarde maison; herbes de Provence; thym frais, sel, poivre; graisse de canard; 15 cl de crème fraîche liquide

    Pelez si nécessaire les pommes de terre (ou non, si elles sont bio mais lavez-les bien tout de même en les faisant tremper dans une cuillère à soupe de bicarbonate de soude durant dix minutes -ce trempage doit être utilisé pour TOUS VOS LÉGUMES ET FRUITS).

    Coupez en très gros cubes les pommes de terre, faites les cuire dans de l'eau bouillante salée, environ 20 mn (ou moins en cocotte-vapeur); réservez au chaud.

    Dans un sautoir, versez la graisse de canard et faites cuire les oignons coupés en gros dés; laissez-les bien brunir. Ajoutez la saucisse coupée en tronçon de deux ou trois cm et faire bien cuire.

    Pendant ce temps, mélangez la crème fraîche et la moutarde avec des épices

    Ajoutez les pommes de terre précuites et faites rissoler le tout. Versez la sauce moutarde épicée et laissez mijoter dix minutes à feu doux. Remuez bien.

    Vous pouvez rajouter des haricots verts en bocaux de verre coupés en morceaux si vous trouvez que vous n'en avez pas assez dans l'assiette ou des champignons sauvages.

    Pas mal aussi avec des choux de Bruxelles ou des marrons -déjà cuits, en conserve de verre.

     

  • Truffes maison

    15 cl Crème liquide entière; 50 g Beurre doux

    5 cl alcool fort: armagnac pour rester entre nous chers payses!

    300 g Chocolat noir, Cacao en poudre non sucré

    Faites chauffer la crème liquide, l'alcool et le beurre. Incorporez délicatement la crème obtenue, légèrement tiédie, au chocolat à l'aide d'une spatule (la crème ne doit pas être trop chaude pour ne pas trancher).

    Réserver au réfrigérateur. Lorsque la ganache commence à durcir, versez-la dans une poche à douille et réalisez des boules sur des feuilles de papier sulfurisé. Vous pouvez aussi rouler avec un cuillère pour faire des billes…

    Réservez ensuite au frais jusqu'à complet refroidissement. Roulez chaque truffe dans du cacao en poudre.

     

  • Riez, gens d'Occitanie!

    Être végétarien: c'est mauvais pour la santé

    Une étude scientifique montre qu’être végétarien rend plus souvent malade. À l’inverse les gros mangeurs de viande ont une vie plus saine.

    Par Pierre Gosselin. Contrepoints.org

    Ce n’est un secret pour personne: la plupart des végétariens sont souvent des écologistes radicaux et des alarmistes du climat particulièrement hystériques. Il est possible que l’université de Graz en Autriche ait découvert une raison à cela: leur régime alimentaire malsain.

    Une nouvelle étude de l’université de Graz conclut que les végétariens sont plus souvent malades et ont une qualité de vie moindre que celle des personnes mangeant de la viande. Selon le communiqué de la presse allemande, les végétariens sont " plus souvent sujets aux cancers et aux problèmes cardiaques". L’article déclare également qu’ils sont plus souvent atteints de troubles d’ordre psychologique. En conséquence, écrit le rapport, ils représentent une plus grande charge dans le système de sécurité sociale.

    Selon le communiqué de presse, les scientifiques ont étudié des données de l’Austrian Health Interview Survey (AT-HIS), qui fait également partie d’une des enquêtes les plus importantes et reconnues de l’UE (European Health Interview Survey).

    Les scientifiques ont utilisé un panel d’un total de 1320 personnes qui étaient divisées en 4 groupes de 330 personnes chacun. Tous les groupes étaient comparables en termes de sexe, d’âge et de statut socio-économique. Cette étude prenait également en compte le tabagisme ainsi que l’activité physique. L’IMC (Indice de Masse Corporelle) se trouvait également dans la moyenne (22,9 – 24,9) pour les quatre groupes. La seule chose vraiment différente parmi ceux-ci était le régime alimentaire. Les quatre groupes étaient:

    végétariens

    mangeurs de viande avec beaucoup de fruits et de légumes

    mangeant très peu de viande

    mangeant beaucoup de viande

    plus de trois quarts des participants étaient des femmes (76,4%)

    Les végétariens considérablement plus victimes de maladies chroniques

    Le communiqué de presse indique que les résultats contredisent les clichés communs sur le fait que les régimes sans viande sont plus sains. Les végétariens ont deux fois plus d’allergies que le groupe mangeant beaucoup de viande (30,6% contre 16,7%) et ils sont soumis à un taux supérieur de 166ù de risque de cancer (4,8% contre 1,8%). De plus, les scientifiques ont découvert que les végétaliens avaient un taux de risque de problème cardiaque supérieur de 150% (1,% contre 0,6%). Au total, ils ont étudié près de 18 maladies chroniques différentes. Comparé aux mangeurs de viande, les végétariens étaient plus touchés pour 14 d’entre elles (78%) y compris l’asthme, le diabète, les migraines et l’ostéoporose.

    L’université de médecine de Graz confirme les découvertes faites par l’université d’Hildesheim: les troubles psychologiques sont plus fréquents chez les végétariens, déclare le communiqué de presse.

    Aux racines de l’anxiété et de la dépression?

    Dans cette analyse, l’université de Graz remarque que les végétariens étaient deux fois plus sujets à l’anxiété et à la dépression que les gros mangeurs de viande (9,4% contre 4,5%). Ce résultat a été confirmé par l’université d’Hildesheim qui avait noté que les végétariens souffraient de façon plus significative de dépression, d’anxiété, de maux psychosomatiques et de troubles alimentaires. Les scientifiques de Graz révèlent également que les végétariens tombent plus souvent malades et se rendent plus souvent chez le médecin.

    Les mangeurs de viande apparaissent également comme ayant une "qualité de vie bien meilleure toutes catégories confondues" comme le démontre l’étude. Les quatre catégories étudiées étaient: santé physique et psychologique, relations sociales et qualité de vie liée à l’environnement.

    Une science qui doute

    Une fois de plus, il ne s’agit pas de la première étude qui a récemment contredit les idées que les végétariens vivaient plus sainement. L’étude la plus importante au monde concernant la nutrition (EPIC) indique que les végétariens ont, au contraire, tendance à mourir plus jeunes.

    Récemment, des experts ont démontré que les bénéfices sanitaires présumés liés à un régime végétarien tiennent plus du mythe et des légendes. Par exemple, selon le Professeur Ulrich Voderholzer, Directeur et Chef Médecin de la Schön Klinik Roseneck et expert en troubles alimentaires, les promesses faites par les associations végétariennes "ne sont pas scientifiquement prouvées“.

    Le communiqué de presse de l’université de Graz déclare: "Il s’agit plus d’un message idéologique qui suggère de fausses promesses“.

    Avant d’ajouter: "Concernant la prévention des cancers grâce aux fruits et légumes, le Prof. Rudolf Kaaks du Centre de Recherche Allemand sur le Cancer DKFZ indiquait: " Il n’y a pas de relation; 0,0% ". "

    Les écolos ne sont pas seulement crédules en matière de science climatique, mais nombreux sont ceux qui le sont aussi à propos des sciences nutritionnelles. Les mangeurs de barres de céréales et câlineurs d’arbres bisounours semblent donc être les plus mal informés de la planète.

     

  • Le lendemain midi…

    Voici mes victuailles du réveillon de Noël: du foie gras, bien sûr pour commencer. Je l'achète en terrine de verre… lorsqu'il est en promotion. Je fais bien attention à ne choisir que le foie gras qui n'a pas coulé sa graisse. Il vaut mieux payer du foie que de la graisse, bien sûr.

    Cependant, même si à travers le pot de verre vous avez choisi le moins gras, il y a toujours de la graisse dans le bocal. Chose que j'ôte soigneusement et met de côté sur une assiette en verre, au réfrigérateur. Ne jetez jamais cet or goûteux! D'ailleurs, on ne doit jamais rien jeter en cuisine, il existe toujours un moyen de récupérer un fond de plat ou de légumes.

     

    La preuve? c'est ici: www.tradi-cuisine.com

     

    Après le foie gras, nous avions des crevettes: rien à dire, on les mange nature, sans fioritures. Puis, le saumon sauvage, fumé au bois de hêtre. Consommé nature, avec du pain de seigle. Il est toujours parfait. On m'a dit que le saumon sauvage est plus “pesticidé“ que le saumon d'élevage. Peut-être… mais, tant que je n'ai pas lu ou regardé un reportage de mon moi-même…

    Puis j'ai fait du confit de canard avec pommes de terre et giroles à la graisse de canard, bien sûr.

    Les pommes de terre bio sont assez petites. Donc, marre de peler ces minuscules légumes… Je les lave soigneusement dans une première eau, je les laisse tremper dix minutes dans une eau bicarbonée. Je les récupère une à une pour retirer les germes, retirer les taches diverses pas très jolies. Pour ma recette, même si elles sont petites, je les coupe en deux. Je les passe à la cocotte vapeur durant 5 minutes.

    Puis, dans la sauteuse où j'ai fais fondre la graisse des cuisses confites, je jette mes girolles pour les faire suer (je sais très bien faire suer les autres!) et mes gros morceaux de pommes de terre déjà précuits puisqu'ils sont passés à la vapeur. Je fais sauter longuement le tout dans la graisse récupérée, sans oublier de rajouter sel, poivre, pincée d'herbes de Provence que vous achetez ici sur mon site.

    Après le confit et sa poêlée (parait qu'on dit sarladaise mais on a toujours fait cela chez moi, à Toulouse, quand j'étais môme, j'ai jamais demandé le nom du plat, je me contente de savoir la recette et... de le manger!…. vient le fromage (nous, c'est chèvre fermier et Roquefort Papillon) et la bûche glacée.

    Le lendemain midi, on a fini le foie gras. Il ne restait rien du saumon et des crevettes; par contre, il y avait bien assez de la poêlée de pommes de terre aux champignons. Ni une, ni deux, j'ai récupéré le peu de graisse de foie gras posé sur l'assiette, il était durci au frigo. Il n'y en avait que la valeur d'une grosse cuillère à soupe. Je l'ai ajouté sur le restant de pommes de terre, j'ai battu trois œufs dans un saladier et j'ai versé dans le sautoir. Très bon croyez-moi!

    Chez nous, ce qui compte, c'est le soir du réveillon; le repas du lendemain ne sert qu'à finir les restes (s'il y en a). Quand on a eu une bonne “ventrée“ la veille, le midi suivant on mange peu. Enfin, chez moi c'est ainsi. Et d'ailleurs, pour le petit déjeuner, on n'en fait pas; par contre, de grands lampées d'eau en bouteille (n'en déplaise aux ingénieurs de l'assainissement de l'eau, qui nous coûte un max, l'eau du robinet contient les molécules médicamenteuses et, non, merci).

    Concernant le confit, dernière info très importante: le confit acheté dans des boîtes alu (appert) est -hyper- cuit… il ne demande pratiquement que du réchauffage.

    Le confit du boucher par contre, il faut le cuire 35 à 40 minutes, après l'avoir dégraissé (et conservé la graisse pour cuire une poêlée de légumes, une omelette, etc.).

    Attention à l'arnaque: le confit doit être entouré de graisse de canard; trop souvent, on l'entoure de graisse de porc (saindoux); vous la différenciez à l'odeur et la couleur (graisse trop blanche du porc).