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recettes - Page 209

  • Saucisse de Toulouse et cul de jambon aux lentilles

    Cuisson longue de 1 h40; (sauf si vous avez une cocotte vapeur)

    Pour 6 personnes: 1 kg d'échine, travers, éventuellement palette de porc, (vous pouvez mettre du petit-salé), 1 cul de jambon cru,  600 grammes de lentilles vertes, 150 g x 6 personnes de saucisses de Toulouse, 2 carottes, 2 gros oignon, clous de girofle, 1 bouquet garni, sel, poivre.

    Si vous utilisez du petit-salé, faire dessaler la viande (Trempez-la pendant 2 heures dans l'eau froide, en changeant l'eau de temps en temps). Vous la posez sur une passoire pour que le sel tombe au fond de la cocotte pleine d'eau. Égouttez-la. Mettez-la dans un faitout, couvrez d'eau…

    Si vous utilisez de la viande “normale“, coupez-la en morceaux et faites griller de chaque côté avec de la graisse de canard. Conservez la graisse pour cuire la saucisse de Toulouse.

    Ajoutez le cul du jambon de Bayonne, poivrez. Epluchez les carottes et les oignons. Plantez les clous de girofle dans les oignons et faites cuire à petits bouillons pendant deux heures.

    Si vous avez utilisé du petit-salé, retirez et coupez en morceaux, rajoutez aux lentilles ainsi que les morceaux saucisses préalablement piquées à la fourchette à grillés à part puis rajoutez dans la cocotte contenant déjà les viandes et lentilles. Faites cuire 5 à 8 minutes pour que la saucisse ait le goût de vos lentilles.

     

  • Lapin aux pruneaux d'Agen (bien sûr!)

    Pour 4 à 5 personnes: 1 lapin de 1,5 kg coupé en morceaux, 250 g de pruneaux entiers, 250 g de champignons frais, 200 g de cansalade roulée (une belle tranche épaisse), 3 cuillères à soupe de moutarde maison, 1 gros oignon jaune émincé, 3 gousses d'ail émincées, 2 cuillères à soupe de farine fluide, sel et poivre, 1 cuillère à soupe de beurre, 3 cuillères à soupe d'huile d'olive vierge, 1/4 de vin blanc sec. branchette de thym

    Dans le beurre et l'huile chauds, faites revenir le lapin dans une grande cocotte en fonte avec un couvercle creux, en faisant bien dorer les morceaux.

    Ajoutez l'oignon émincé, les champignons, laissez cuire 3 minutes à feu doux, puis ajoutez la cansalade coupée en lardons et l'ail.

    Dans un bol, mélangez bien le vin blanc sec, la moutarde et la farine. Ajoutez dans la cocotte, remuez-bien le tout.

    En dernier lieu, mettez les pruneaux sans enlever les noyaux (c'est plus goûteux), salez, poivrez. Ajoutez une branchette de thym

    Baissez le feu au minimum, mettez le couvercle, remplissez-le d'eau et faites cuire 50 minutes à 1 heure. Rajoutez un peu de vin blanc si la préparation épaissit trop.

    Servez avec des petites pommes de terre rôties et une salade verte ou endives aux noix à l'huile de noix. Vous pouvez saupoudrer votre salade de germes de blé (ils ont un bon goût de noisettes).

     

     

  • Terrine de Canard à la pistache et champignons

    Canard 300 g; Foie de volaille 100 g; Maigre de porc 150 g (Vous pouvez prendre du filet mignon)

    Poitrine de porc 450 g; Sel fin 18 g; Poivre 2 g; Muscade 1 g

    Echalote 5 g; Cognac ou Armagnac 10 g; Vin Blanc Sec 20 g

    Champignons de paris 40 g; Pistaches torréfiées 15 g; Poudre de lait (Régilait) 15 g (1 cuillère à soupe rase); 1 œuf

    Faire suer l'échalote et les champignons de paris, quand la poêle est très chaude ajoutez les foies de volailles pour juste les saisir, (il ne fut surtout pas qu'ils cuisent complètement sinon ils n'auraient plus leurs pouvoir liants. Quand ils sont juste braisé faire flamber avec le cognac)

    Laissez refroidir la farce a gratin au réfrigérateur

    Passez la poitrine au hachoir grille 3 mm puis la farce a gratin au hachoir, grille 3mm

    Passez le maigre de porc et le canard au hachoir grille 10/12mm

    Mélangez le tout en ajoutant sel/poivre/muscade/vin blanc/pistaches/poudre de lait et œuf

    Bien tasser dans un moule et posez un gros poids sur la viande.

    Faites cuire en terrine à 150° et vérifiez que le pâté aie 70° à cœur. Graissez le moule avant de mettre votre appareil (mélange).

    Pour de meilleurs résultats je vous conseille de saler et poivrez les viande 24 h avant la fabrication.

     

  • Jarrets de porc au pois chiches

    Bonne recette à l'ancienne

    Soit vous utilisez des pois-chiches déjà cuits en conserves, soit vous les préparez vous-même après les avoir laissé tremper toute la nuit.

    150 g de pois chiche par personne; un jarret de porc pour deux, 80 g de couenne, de la graisse de canard; deux carottes, branches de romarin et de thym; 1 gros oignon jaune.

    Faites sauter l'oignon coupé en cubes dans de la graisse de canard et réservez.

    Dans la marmite ou le faitout, versez de l'eau et faites blanchir les couennes coupées grossièrement. Après 10 mn de bouillon, videz l'eau et remettre de l'eau environ 1 1itre et demi. Mettre les jarrets, ajoutez les couennes, les pois chiches et la branche de thym. Laissez cuire à feu moyen durant 1 h 50, moins en cocotte minute (1 h 30) ou rajoutez les pois chiches cuits ½ heure avant la fin de la cuisson avec les carottes coupées en rondelles.

    Si vous avez de gros mangeurs, rajoutez des pommes de terre en gros cubes 40 mn avant la fin de la cuisson.

    Si vous voulez “lier“ le bouillon, vous pouvez aussi faire cuire un pied de porc coupé en deux en le rajoutant dès le début de la cuisson des jarrets.

    Certaines personnes qui aiment le goût piquant peuvent mettre du piment d'Espelette, du paprika doux ou un filet de bon vinaigre à rajouter dans l'assiette.

    Laissez tombez le paprika fumé: c'est rajouter du poison dans votre assiette.

     

  • Si vous n'avez pas le temps de fabriquer votre sandwich quotidien...

    Les hamburgés et l'"esprit franchouillard" de Big Fernand débarquent à Toulouse

    Les premiers hamburgés toulousains débarquent bientôt dans le centre-ville. On en sait plus sur l'enseigne française Big Fernand qui investit la Ville rose d'ici la fin de l'année.

    Chez Big Fernand, on déguste des hamburgé dans un "esprit franchouillard" revendiqué. Si vous vous êtes promenés sur les allés Roosevelt, peut-être avez-vous vu disparaître la vitrine du glacier traditionnel Chez Octave, fermé en 2015, et vu afficher à la place une devanture provisoire sur laquelle on peut lire " Big Fernand : ouverture définitive ".

    Alors que l’enseigne française de hamburgers haut de gamme avait annoncé une installation dans le centre-ville de Toulouse dans le courant de l’été 2016 ou à la rentrée de septembre, c’est sans doute un peu plus tard que sera célébrée l’ouverture, les travaux n’ayant finalement commencé que durant la deuxième quinzaine d’août, paperasserie oblige.

    Du côté de l’enseigne toulousaine, on ne veut pas trop s’avancer mais sans donner de date précise, on annonce tout de même une ouverture " avant la fin de l’année 2016 ".

     

    Juste le temps pour les adeptes de burgers et autres aliments légers de se préparer. Car avant d’entrer chez Big Fernand, il va falloir revoir votre vocabulaire. Ici, ne dites pas hamburger mais hamburgé, accent français de rigueur. Oubliez frites et potatoes et commandez des fernandines ou, dans le pire des cas, des "frites fraîches". Et lorsque vous vous adressez aux serveurs, ne dites pas " garçon " mais " Fernand ". Les hamburgés, eux, portent des noms rétro tels que Lucien, Philibert, Victor, ou Alphonse…

    Des produits frais, d’origine française

    Au programme, pas d’ambiance fast-food à l’américaine, mais un pause gourmande au rythme des musiques des années 1980 et un " esprit franchouillard " revendiqué par Pierre de Dufourcq, le patron des lieux. Pour cet Albigeois de 34 ans, installé à Toulouse depuis une quinzaine d’années et juriste de formation, l’aventure Big Fernand est une première dans le monde de la franchise. Animé depuis longtemps par l’envie d’entreprendre et séduit par la philosophie de l’enseigne française, le voilà désormais prêt à franchir le pas.

    “Travailler avec des produits français était un critère essentiel pour moi, explique-t-il. Et chez Big Fernand, tous les produits sont frais et d’origine française. Chez nous, vous ne trouverez pas de congélateur, tout étant transformé et préparé sur place, y compris les fernandines“.

    Au menu, vous aurez le choix entre bœuf, veau, poulet ou agneau, d’origine française, donc (un hamburgé végétarien figurera également au menu). Fourme d’Ambert, tome de Savoie, fromage à raclette et fromage de chèvre complèteront la recette. Le tout accompagné de sauces faites maison, de légumes directement achetés chez un maraîcher toulousain et d’un pain spécial, dont la recette est tenue secrète, et "réalisé par un artisan-boulanger toulousain". Les plus difficiles pourront composer eux-mêmes leur propre hamburgé.

    Il faudra tout de même compter entre 14 et 15 euros pour une formule hamburgé, fernandines et boisson et 18 euros pour la même formule avec un dessert en supplément. "Le prix de la qualité", soutient Pierre de Dufourcq.

    Et pour accompagner tout cela, l’enseigne proposera des limonades artisanales, en plus des boissons et sodas classiques. Les nostalgiques seront heureux d’y retrouver Canada Dry et autre Liptonic… Du côté des desserts, faits maison eux aussi, vous pourrez notamment compter sur des glaces artisanales.

    L'enseigne prendra place sur les allées Roosevelt, entre le Quick et le cinéma UGC.

    90m2, deux étages et une terrasse

    À l’extérieur du restaurant, pas de changement majeur par rapport à l’ancien glacier Chez octave, si ce n’est le nom de l’enseigne bien sûr. À l’intérieur, l’espace s’ouvrira sur un comptoir derrière lequel vous attendront les Fernands, chemise à carreaux, casquette sur la tête et tablier autour de la taille. Une première salle accueillera les clients au rez-de-chaussée et une seconde sera également accessible à l’étage. Sans oublier la terrasse sur les allées Roosevelt.

    "Du bois, des matières chaudes et une joli déco", attendent les Toulousains, annonce d’ores et déjà le maître des lieux.

    Le restaurant sera ouvert sept jours sur sept, pour le déjeuner et le dîner. Et les clients ne sont pas à l’abri de quelques surprises, Pierre de Durfourcq évoquant déjà la possibilité de créer un hamburgé régional pour mettre en avant les saveurs du Sud-Ouest ainsi que la présence de "chaises personnalisées". Ne nous demandez pas, nous n’en savons pas plus…

    Des évolutions sont également à prévoir du côté du service, qui se fera sur place, à emporter et sans doute bientôt en livraison. Une option Big Traiteur n’est par ailleurs pas à exclure, auprès de particuliers ou d’entreprises.

    Infos pratiques :

    Big Fernand – 11, allées du Président Roosevelt

    Métro Jean-Jaurès

    Établissement accessible aux personnes à mobilité réduite.

     

    NDLR: si a Toulouse, ils ne font pas de Machin au déchiré de confit de canard, de foie gras ou de saucisse toulousaine grillée, ils peuvent repartit d'où ils viennent!

     

  • Les marchés sont dans le vent d'autan

    Avec 46 marchés de plein-vent, Toulouse privilégie ce mode de consommation. Trois nouveaux sites sont d'ailleurs prévus à la rentrée: à Saint-Michel, Borderouge et rue de la Concorde.

    À 35 ans, Marine fait son marché chaque jour au Cristal, sur les boulevards. Malgré des horaires contraignants, la jeune femme tient à acheter des produits frais et locaux : "Le marché c'est une madeleine de Proust. Les odeurs, les couleurs, le choix. Je n'hésite pas à me lever une heure plus tôt pour m'y rendre. Pour la santé de ma famille bien sûr mais aussi pour le côté sympa, vivant. Je connais les exposants. Au fil du temps, des liens se tissent".

    À Toulouse, les marchés de plein-vent se portent bien. Ils sont même en pleine expansion avec 46 marchés recensés (toutes catégories confondues). En juin deux nouveaux marchés ont été créés, à Saint-Martin du Touch et aux Pradettes le samedi. Trois nouveaux venus sont prévus à la rentrée. Le 3 septembre, un marché de produits régionaux doit ouvrir à Saint-Michel face à l'ancienne maison d'arrêt. Ce type de marché est prisé du public. Il apporte la campagne sur un plateau, en milieu urbain. A venir aussi un marché de pépiniéristes dans le jardin du Muséum de Borderouge et enfin un autre de cartes anciennes en centre-ville .

    "Le public aime les marchés de plein-vent, assure Jean-Jacques Bolzan, adjoint au maire en charge du commerce. À la fois pour la convivialité et le lien social mais aussi pour la fraîcheur des produits, favorisée par les circuits courts".

    Hier fréquenté surtout par des seniors, le marché de plein-vent a pris un coup de jeune ces dernières années. "Le public s'est fait plus familial, glisse Patrick Divoux, délégué sur le marché nocturne de Belfort. On voit aussi beaucoup d'étudiants désireux de manger sain qui achètent en petite quantité. Plus pratique quand le budget est serré. Il est aussi fréquent de voir des clients en vélo ou des jeunes avec des cabas déambuler entre les étals".

    Le marché évolue avec la ville et répond aux besoins du consommateur. "Les associations de quartier servent souvent de relais dans l'installation d'un marché, assure Claude, primeur depuis vingt ans au Cristal, plus ancien marché de plein-vent de Toulouse. Elles peuvent par exemple revoir avec les commerçants des horaires plus appropriés à l'exemple du marché de Saint-Georges qui se tient désormais aussi certains soirs en semaine. En occupant l'espace, l'implantation d'un marché peut aussi contribuer à l'apaisement d'un quartier.

    Ces dernières années, le marché est aussi devenu un acteur économique qui se démène pour capter le client des grandes surfaces. Ce retour à la proximité, de changement d'habitude de consommation, est dans l'air du temps. Fraîcheur, qualité, prix... les marchés sont dans le vent.

    * les horaires sont susceptibles de changer durant la saison estivale.

    ... A venir pépiniéristes et vieux papiers

    Face à l'engouement du public, Toulouse dope ses marchés. Dans les cartons, la Ville devrait prochainement mettre en place un marché de pépiniéristes dédié aux plantes, près du Jardin du Muséum de Borderouge. Un marché pédagogique en lien avec les ateliers du Muséum. Sous l'impulsion de l'association des commerçants et artisans de la Concorde, un marché de cartes postales anciennes, de timbres et de vieux papiers doit voir le jour les 2e et 4e samedis de chaque mois de 9 heures à 15 heures, autour de la fontaine Clémence Isaure. Un marché ouvert aux commerçants et collectionneurs dans l'esprit du Carré Marigny à Paris. Le Club des cartophiles de Midi-Pyrénées a été sollicité.

    Enfin, petit changement : la brocante, une autre sorte de marché de plein-vent, installée le samedi matin, depuis des décennies sur le parvis de la cathédrale Saint-Sernin déménage en janvier 2017 sur l'esplanade de Saint-Aubin. Un déménagement lié au réaménagement du parvis de Saint-Sernin. Enfin, le marché Saint-Aubin va s'étendre devant l'église, en proposant des exposants non alimentaires et compléter ainsi l'offre artisanale déjà présente.

    Ce n'est pas un petit changement: c'est une révolution!! ndlr

     

  • Riz aux seiches

    500g de petites seiches nettoyées (éventuellement congelées), 4 verres de riz rond (75 g environ par personne), 6 grosses gousses d'ail, un bouquet de persil, 1 cuillère à soupe de piment d'Espelette, 2 cuillères café de paprika (piment doux), sel, huile d'olive, 4 poivrons couleur que vous voulez

    Facultatif: rondelles de chorizo (à faire sauter avec les seiches)

    Faites calciner la peau des poivrons jusqu'à ce que la peau se détache facile. Découpez-les en lanières, éliminez les graines et le pédoncule.

    Faites chauffer 1 bon litre d'eau salée et avec un cube. Coupez les gousses d'ail en deux et dégermez-les le cas échéant.

    Faites revenir l'ail, les lanières de poivrons avec de l'huile d'olive dans une sauteuse. Quand l'ail commence à dorer par endroits, ôtez le tout à la passoire, en laissant l'huile dans la sauteuse. Faites revenir les seiches dans l'huile jusqu'à ce qu'elles dégagent de l'eau, et que cette eau soit évaporée.

    Ajoutez ensuite le riz à feu pas trop fort et en remuant constamment avec une palette en bois (ajoutez un peu d'huile au besoin). Les grains doivent devenir translucides.

    Ajoutez alors l'eau chaude au fur et à mesure que nécessaire, puis le mélange: ail, piment d’Espelette, salez, couvrez et laissez cuire une vingtaine de minutes en surveillant régulièrement.

    Servez très largement saupoudré de persil frais.