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toulouse - Page 300

  • Jarrets de porc au pois chiches

    Bonne recette à l'ancienne

    Soit vous utilisez des pois-chiches déjà cuits en conserves, soit vous les préparez vous-même après les avoir laissé tremper toute la nuit.

    150 g de pois chiche par personne; un jarret de porc pour deux, 80 g de couenne, de la graisse de canard; deux carottes, branches de romarin et de thym; 1 gros oignon jaune.

    Faites sauter l'oignon coupé en cubes dans de la graisse de canard et réservez.

    Dans la marmite ou le faitout, versez de l'eau et faites blanchir les couennes coupées grossièrement. Après 10 mn de bouillon, videz l'eau et remettre de l'eau environ 1 1itre et demi. Mettre les jarrets, ajoutez les couennes, les pois chiches et la branche de thym. Laissez cuire à feu moyen durant 1 h 50, moins en cocotte minute (1 h 30) ou rajoutez les pois chiches cuits ½ heure avant la fin de la cuisson avec les carottes coupées en rondelles.

    Si vous avez de gros mangeurs, rajoutez des pommes de terre en gros cubes 40 mn avant la fin de la cuisson.

    Si vous voulez “lier“ le bouillon, vous pouvez aussi faire cuire un pied de porc coupé en deux en le rajoutant dès le début de la cuisson des jarrets.

    Certaines personnes qui aiment le goût piquant peuvent mettre du piment d'Espelette, du paprika doux ou un filet de bon vinaigre à rajouter dans l'assiette.

    Laissez tombez le paprika fumé: c'est rajouter du poison dans votre assiette.

     

  • Si vous n'avez pas le temps de fabriquer votre sandwich quotidien...

    Les hamburgés et l'"esprit franchouillard" de Big Fernand débarquent à Toulouse

    Les premiers hamburgés toulousains débarquent bientôt dans le centre-ville. On en sait plus sur l'enseigne française Big Fernand qui investit la Ville rose d'ici la fin de l'année.

    Chez Big Fernand, on déguste des hamburgé dans un "esprit franchouillard" revendiqué. Si vous vous êtes promenés sur les allés Roosevelt, peut-être avez-vous vu disparaître la vitrine du glacier traditionnel Chez Octave, fermé en 2015, et vu afficher à la place une devanture provisoire sur laquelle on peut lire " Big Fernand : ouverture définitive ".

    Alors que l’enseigne française de hamburgers haut de gamme avait annoncé une installation dans le centre-ville de Toulouse dans le courant de l’été 2016 ou à la rentrée de septembre, c’est sans doute un peu plus tard que sera célébrée l’ouverture, les travaux n’ayant finalement commencé que durant la deuxième quinzaine d’août, paperasserie oblige.

    Du côté de l’enseigne toulousaine, on ne veut pas trop s’avancer mais sans donner de date précise, on annonce tout de même une ouverture " avant la fin de l’année 2016 ".

     

    Juste le temps pour les adeptes de burgers et autres aliments légers de se préparer. Car avant d’entrer chez Big Fernand, il va falloir revoir votre vocabulaire. Ici, ne dites pas hamburger mais hamburgé, accent français de rigueur. Oubliez frites et potatoes et commandez des fernandines ou, dans le pire des cas, des "frites fraîches". Et lorsque vous vous adressez aux serveurs, ne dites pas " garçon " mais " Fernand ". Les hamburgés, eux, portent des noms rétro tels que Lucien, Philibert, Victor, ou Alphonse…

    Des produits frais, d’origine française

    Au programme, pas d’ambiance fast-food à l’américaine, mais un pause gourmande au rythme des musiques des années 1980 et un " esprit franchouillard " revendiqué par Pierre de Dufourcq, le patron des lieux. Pour cet Albigeois de 34 ans, installé à Toulouse depuis une quinzaine d’années et juriste de formation, l’aventure Big Fernand est une première dans le monde de la franchise. Animé depuis longtemps par l’envie d’entreprendre et séduit par la philosophie de l’enseigne française, le voilà désormais prêt à franchir le pas.

    “Travailler avec des produits français était un critère essentiel pour moi, explique-t-il. Et chez Big Fernand, tous les produits sont frais et d’origine française. Chez nous, vous ne trouverez pas de congélateur, tout étant transformé et préparé sur place, y compris les fernandines“.

    Au menu, vous aurez le choix entre bœuf, veau, poulet ou agneau, d’origine française, donc (un hamburgé végétarien figurera également au menu). Fourme d’Ambert, tome de Savoie, fromage à raclette et fromage de chèvre complèteront la recette. Le tout accompagné de sauces faites maison, de légumes directement achetés chez un maraîcher toulousain et d’un pain spécial, dont la recette est tenue secrète, et "réalisé par un artisan-boulanger toulousain". Les plus difficiles pourront composer eux-mêmes leur propre hamburgé.

    Il faudra tout de même compter entre 14 et 15 euros pour une formule hamburgé, fernandines et boisson et 18 euros pour la même formule avec un dessert en supplément. "Le prix de la qualité", soutient Pierre de Dufourcq.

    Et pour accompagner tout cela, l’enseigne proposera des limonades artisanales, en plus des boissons et sodas classiques. Les nostalgiques seront heureux d’y retrouver Canada Dry et autre Liptonic… Du côté des desserts, faits maison eux aussi, vous pourrez notamment compter sur des glaces artisanales.

    L'enseigne prendra place sur les allées Roosevelt, entre le Quick et le cinéma UGC.

    90m2, deux étages et une terrasse

    À l’extérieur du restaurant, pas de changement majeur par rapport à l’ancien glacier Chez octave, si ce n’est le nom de l’enseigne bien sûr. À l’intérieur, l’espace s’ouvrira sur un comptoir derrière lequel vous attendront les Fernands, chemise à carreaux, casquette sur la tête et tablier autour de la taille. Une première salle accueillera les clients au rez-de-chaussée et une seconde sera également accessible à l’étage. Sans oublier la terrasse sur les allées Roosevelt.

    "Du bois, des matières chaudes et une joli déco", attendent les Toulousains, annonce d’ores et déjà le maître des lieux.

    Le restaurant sera ouvert sept jours sur sept, pour le déjeuner et le dîner. Et les clients ne sont pas à l’abri de quelques surprises, Pierre de Durfourcq évoquant déjà la possibilité de créer un hamburgé régional pour mettre en avant les saveurs du Sud-Ouest ainsi que la présence de "chaises personnalisées". Ne nous demandez pas, nous n’en savons pas plus…

    Des évolutions sont également à prévoir du côté du service, qui se fera sur place, à emporter et sans doute bientôt en livraison. Une option Big Traiteur n’est par ailleurs pas à exclure, auprès de particuliers ou d’entreprises.

    Infos pratiques :

    Big Fernand – 11, allées du Président Roosevelt

    Métro Jean-Jaurès

    Établissement accessible aux personnes à mobilité réduite.

     

    NDLR: si a Toulouse, ils ne font pas de Machin au déchiré de confit de canard, de foie gras ou de saucisse toulousaine grillée, ils peuvent repartit d'où ils viennent!

     

  • FRANCAIS: copiez-les!

    Terrorisme. Les Allemands vont devoir stocker des vivres et de l'eau

     Les Allemands vont être appelé à stocker de l'eau pour cinq jours en raison d'un risque d'attaque terroriste.

    Pour la première fois depuis la fin de la Guerre froide, le gouvernement allemand a l'intention d'appeler la population à constituer des stocks de vivres et d'eau en cas d'attentat ou de catastrophe, écrit dimanche le Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung (FAS).

    L'Allemagne a relevé son niveau d'alerte après cinq attentats - dont deux revendiqués par l'organisation État islamique (EI) - et la tuerie commise par un déséquilibré le mois dernier. Le gouvernement a annoncé au début du mois son intention d'augmenter fortement les crédits alloués à la police et aux autres forces de sécurité.

    "La population sera obligée de détenir un approvisionnement alimentaire individuel suffisant pour dix jours", précise le FAS en citant le " projet de défense civile " élaboré par le ministère de l'Intérieur.

    Un porte-parole du ministère a déclaré que le projet serait soumis au conseil des ministres mercredi quelques heures avant d'être dévoilé par le ministre mais il s'est refusé à toute précision sur son contenu.

    De l'eau pour cinq jours

    Chaque foyer devra aussi stocker suffisamment d'eau potable pour cinq jours, selon le document cité par l'article du FAS.

    Le projet de 69 pages ne considère pas comme probable un attentat sur le sol allemand nécessitant une riposte à l'échelon national mais il évoque des mesures de précaution qui conduiraient les ménages à "se préparer de manière appropriée à un événement qui pourrait menacer notre existence et ne peut être catégoriquement exclu à l'avenir", ajoute-t-il.

    Le document mentionne aussi la nécessité d'un système d'alerte fiable, d'une amélioration de la protection structurelle des bâtiments et d'une augmentation des capacités du système de santé.

    L'appui de la population civile aux forces armées devrait également figurer parmi les priorités, ajoute-t-il, toujours selon le FAS.

    http://www.ouest-france.fr/europe/allemagne/terrorisme-les-allemands-vont-devoir-stocker-des-vivres-et-de-leau-4428522

  • Les blasons de Toulouse

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    La plus ancienne représentation des armes de Toulouse est celle figurant dans le sceau attaché à une lettre des Capitouls au Roi Pierre II d'Aragon, en 1211, pendant la Croisade des Albigeois.

    Au verso du blason, on trouve l'agneau nimbé, portant la Croix de Toulouse en bannière. L'agneau symbolise la force, il serait le signe premier de la ville et remonterait à l'époque romaine

    Selon Nicolas Berey (1663), la symbolique de l'animal s'expliquerait par le culte rendu à Jupiter, révéré sous la figure d'un bélier. Ce bélier païen aurait été par la suite représenté foulé par la Croix des Comtes de Toulouse. Le bélier finira christianisé, en agneau pascal, tête nimbée, portant la Croix en bannière, ou passant devant elle et l'adorant.

    Au recto du sceau, on trouve le Château Narbonnais (à gauche) et la Basilique Saint Sernin (à droite). Les deux monuments n'étaient à l'origine que deux châteaux ou tours anonymes, symbole de force encore, image probable des très célèbres murs d'enceinte romains chantés du poète Ausone, ou, plus spécialement du château Narbonnais.

    A une certaine époque, l'on aurait voulu les identifier à des monuments toulousains : l'un, le tout premier, celui de droite, restera le fameux château Narbonnais, l'autre, celui de gauche sera, un moment, le château du Bazacle couvrant les Moulins (les deux forteresses de Toulouse), puis christianisé à son tour, deviendra la Basilique Saint Sernin, avec les trois tours qu'elle aurait dû avoir.

    La croix du Languedoc

    La croix du Languedoc, également nommée croix occitane ou encore croix de toulouse, semble avoir des origines très anciennes. Cette croix aux douze points semble avoir été l'un des symboles d'un peuple gaulois implanté au IIIe siècle avant Jésus Christ (av. JC).

    La croix du Languedoc s'impose dans le domaine toulousain au début du XIIIe siècle. Elle apparaît sur le sceau de Raymond VI en 1211 et figurera, dès lors, les armes de la ville de Toulouse puis celle du Languedoc, du XIVe au XVIIIe siècle.

    La croix du Languedoc a fait l'objet de nombreuses hypothèses quant à sa signification symbolique. Il faut d'emblée préciser qu'elle n'a rien à voir avec l'iconographie chrétienne. Le symbole de la croix semble être solaire ; les quatre branches représentent les quatre saisons, et chaque point figure un mois de l'année, mais également un des douze signes zodiacal. Ces derniers ont peu à peu disparu afin de connoter la croix d'un symbolisme chrétien.

    Tombée en désuétude de par son particularisme régional marqué, la croix du Languedoc a été réhabilitée par Dominique Baudis qui en a fait l'emblème de la région Midi-Pyrénées et de la mairie de Toulouse.

    L'artiste Raymond Moretti a réalisé au centre de la place du Capitole une immense croix du Languedoc, sur laquelle il n'a pas manqué d'apposer les signes du zodiaque.

     

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  • Sucez la sucette!

    Une étude suggère que les parents qui veulent protéger leurs enfants du risque d’allergies devraient essayer une approche étrange en apparence: mettre une tétine dans leur propre bouche avant de la donner à bébé.

    Cela peut sembler répugnant, voire risqué, mais les chercheurs suédois ont constaté que le transfert des bactéries orales des adultes à des enfants pourrait apprendre au système immunitaire à ignorer les germes qui ne posent pas une menace.

    (NDLR – ce n'est pas répugnant sauf si la tétine est tombée dans le caniveau! ou les déjections animales…. à évitez cependant si vous souffrez d'une grave maladie à virus, genre poliomyélite, tout de même..... Cela a toujours été ainsi, de tous temps, par les mamans…

    Dans les années soixante-dix, quand ma fille est née, on le faisait encore… Mais, tout un tas de crétins qui se croient malins ont décidés que c'était horrible, dégoûtant et ont fait peur à toutes les mamans pour les empêcher de faire cela… ainsi, c'est démontré, les hygiénistes nous poussent à faire des choses contre la nature humaine… mais, ils sont payés pas les sociétés qui vous vendent des lingettes et autres bêtises, genre couches-culottes qui coûtent horriblement chers et qui polluent la terre entière!". Si vous ne voulez pas être "empoisonné" par l'odeur des selles de vos enfants, et si cela vous répugne de laver ses culottes, fallait pas faire un gosse. CQFD)

     "Le but du système immunitaire est de différencier entre les éléments inoffensifs et ceux qui sont dangereux", dit le Dr Ron Ferdman, un allergologue de l'Hôpital pour enfants de Los Angeles. "Si le système immunitaire ne rencontre pas suffisamment de microbes, il va par défaut se retourner contre des choses qui ne sont pas nuisibles, comme des aliments, des acariens, ou de la poussière".

    Les chercheurs suédois ont voulu savoir si l'exposition à des bactéries pendant les premiers mois de vie influe sur le développement de l'allergie. Ils ont constaté que les enfants dont les parents ont sucé les tétines pour les nettoyer étaient moins susceptibles d'avoir de l'asthme, de l'eczéma et d’être sensible aux allergènes que les enfants dont les parents n'ont pas nettoyé les tétines ainsi.

    Les auteurs concluent que sucer les tétines de son bébé peut aider à diminuer le risque d'allergie grâce au transfert de microbes via la salive.

    Pour l'étude, publiée en ligne le 6 mai dans la revue Pediatrics, 206 femmes enceintes en Suède ont été initialement recrutées en tant que participants, et 187 de leurs enfants ont été inclus dans l'étude. Les scientifiques ont enrôlé des familles dont au moins un des parents était allergique pour voir s'ils pouvaient identifier une réponse immunitaire différente chez les enfants.

    Les chercheurs ont étudié le transfert des microbes de la salive des parents grâce à des empreintes d’ADN bactérien.

    Au total, 187 bébés ont été suivis jusqu'à l’âge de 18 mois, et 174 ont été suivis jusqu'à l'âge de 36 mois. Les chercheurs ont choisi d'évaluer les enfants à ces moments précis car certaines maladies, comme l'eczéma, se développent tôt dans la vie. A 36 mois, le risque d'eczéma est divisé par deux chez les enfants dont les parents ont sucé les tétines. La naissance par les voies naturelles est également protectrice (par rapport aux césariennes).

    L’introduction des aliments solides dans l'alimentation du nourrisson ne semble pas affecter les résultats de l'étude.

    Il s’agit d’une petite étude, qui devra être confirmée, mais qui apporte du crédit à l’hypothèse hygiéniste de l’allergie selon laquelle l’excès d’hygiène, mais aussi les vaccinations multiples seraient à l’origine des allergies dont la fréquence n’a cessé de croître ces cinquante dernières années.

     

  • Les marchés sont dans le vent d'autan

    Avec 46 marchés de plein-vent, Toulouse privilégie ce mode de consommation. Trois nouveaux sites sont d'ailleurs prévus à la rentrée: à Saint-Michel, Borderouge et rue de la Concorde.

    À 35 ans, Marine fait son marché chaque jour au Cristal, sur les boulevards. Malgré des horaires contraignants, la jeune femme tient à acheter des produits frais et locaux : "Le marché c'est une madeleine de Proust. Les odeurs, les couleurs, le choix. Je n'hésite pas à me lever une heure plus tôt pour m'y rendre. Pour la santé de ma famille bien sûr mais aussi pour le côté sympa, vivant. Je connais les exposants. Au fil du temps, des liens se tissent".

    À Toulouse, les marchés de plein-vent se portent bien. Ils sont même en pleine expansion avec 46 marchés recensés (toutes catégories confondues). En juin deux nouveaux marchés ont été créés, à Saint-Martin du Touch et aux Pradettes le samedi. Trois nouveaux venus sont prévus à la rentrée. Le 3 septembre, un marché de produits régionaux doit ouvrir à Saint-Michel face à l'ancienne maison d'arrêt. Ce type de marché est prisé du public. Il apporte la campagne sur un plateau, en milieu urbain. A venir aussi un marché de pépiniéristes dans le jardin du Muséum de Borderouge et enfin un autre de cartes anciennes en centre-ville .

    "Le public aime les marchés de plein-vent, assure Jean-Jacques Bolzan, adjoint au maire en charge du commerce. À la fois pour la convivialité et le lien social mais aussi pour la fraîcheur des produits, favorisée par les circuits courts".

    Hier fréquenté surtout par des seniors, le marché de plein-vent a pris un coup de jeune ces dernières années. "Le public s'est fait plus familial, glisse Patrick Divoux, délégué sur le marché nocturne de Belfort. On voit aussi beaucoup d'étudiants désireux de manger sain qui achètent en petite quantité. Plus pratique quand le budget est serré. Il est aussi fréquent de voir des clients en vélo ou des jeunes avec des cabas déambuler entre les étals".

    Le marché évolue avec la ville et répond aux besoins du consommateur. "Les associations de quartier servent souvent de relais dans l'installation d'un marché, assure Claude, primeur depuis vingt ans au Cristal, plus ancien marché de plein-vent de Toulouse. Elles peuvent par exemple revoir avec les commerçants des horaires plus appropriés à l'exemple du marché de Saint-Georges qui se tient désormais aussi certains soirs en semaine. En occupant l'espace, l'implantation d'un marché peut aussi contribuer à l'apaisement d'un quartier.

    Ces dernières années, le marché est aussi devenu un acteur économique qui se démène pour capter le client des grandes surfaces. Ce retour à la proximité, de changement d'habitude de consommation, est dans l'air du temps. Fraîcheur, qualité, prix... les marchés sont dans le vent.

    * les horaires sont susceptibles de changer durant la saison estivale.

    ... A venir pépiniéristes et vieux papiers

    Face à l'engouement du public, Toulouse dope ses marchés. Dans les cartons, la Ville devrait prochainement mettre en place un marché de pépiniéristes dédié aux plantes, près du Jardin du Muséum de Borderouge. Un marché pédagogique en lien avec les ateliers du Muséum. Sous l'impulsion de l'association des commerçants et artisans de la Concorde, un marché de cartes postales anciennes, de timbres et de vieux papiers doit voir le jour les 2e et 4e samedis de chaque mois de 9 heures à 15 heures, autour de la fontaine Clémence Isaure. Un marché ouvert aux commerçants et collectionneurs dans l'esprit du Carré Marigny à Paris. Le Club des cartophiles de Midi-Pyrénées a été sollicité.

    Enfin, petit changement : la brocante, une autre sorte de marché de plein-vent, installée le samedi matin, depuis des décennies sur le parvis de la cathédrale Saint-Sernin déménage en janvier 2017 sur l'esplanade de Saint-Aubin. Un déménagement lié au réaménagement du parvis de Saint-Sernin. Enfin, le marché Saint-Aubin va s'étendre devant l'église, en proposant des exposants non alimentaires et compléter ainsi l'offre artisanale déjà présente.

    Ce n'est pas un petit changement: c'est une révolution!! ndlr

     

  • Riz aux seiches

    500g de petites seiches nettoyées (éventuellement congelées), 4 verres de riz rond (75 g environ par personne), 6 grosses gousses d'ail, un bouquet de persil, 1 cuillère à soupe de piment d'Espelette, 2 cuillères café de paprika (piment doux), sel, huile d'olive, 4 poivrons couleur que vous voulez

    Facultatif: rondelles de chorizo (à faire sauter avec les seiches)

    Faites calciner la peau des poivrons jusqu'à ce que la peau se détache facile. Découpez-les en lanières, éliminez les graines et le pédoncule.

    Faites chauffer 1 bon litre d'eau salée et avec un cube. Coupez les gousses d'ail en deux et dégermez-les le cas échéant.

    Faites revenir l'ail, les lanières de poivrons avec de l'huile d'olive dans une sauteuse. Quand l'ail commence à dorer par endroits, ôtez le tout à la passoire, en laissant l'huile dans la sauteuse. Faites revenir les seiches dans l'huile jusqu'à ce qu'elles dégagent de l'eau, et que cette eau soit évaporée.

    Ajoutez ensuite le riz à feu pas trop fort et en remuant constamment avec une palette en bois (ajoutez un peu d'huile au besoin). Les grains doivent devenir translucides.

    Ajoutez alors l'eau chaude au fur et à mesure que nécessaire, puis le mélange: ail, piment d’Espelette, salez, couvrez et laissez cuire une vingtaine de minutes en surveillant régulièrement.

    Servez très largement saupoudré de persil frais.