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culture

  • Illuminations de Noël

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    Esquirol réenchantée et cône lumineux géant à Toulouse

    Les cercles colorés rues Saint-Antoine-du-T et Boulbonne font partie d'une déambulation illuminée créée par la Ville de Toulouse pour les fêtes. (Photo : Patrice Nin/Ville de Toulouse)

    Les fêtes de fin d’années approchent et, avec elles, la traditionnelle période des illuminations des rues de Toulouse. Le top départ sera donné le samedi 3 décembre 2016, pour une période d’illuminations qui s’étalera jusqu’à mi-janvier 2017.

    La Ville a présenté lundi 21 novembre les nouveautés en la matière, avec des surprises réservées pour les places Esquirol, Saint-Étienne et Arnaud Bernard…

    Esquirol, nouvelle place illuminée cette année

    Comme annoncé au début de la mandature de Jean-Luc Moudenc à la tête du Capitole, une nouvelle place emblématique de Toulouse est illuminée chaque hiver. Cela avait commencé avec la place Wilson et sa fontaine lumineuse en 2014, suivie en 2015 par la place Saint-Georges et son TreeLight.

    Cette année, la marie va donc poursuivre cette stratégie en se concentrant sur la place Esquirol. " L’ambiance générale sera un esprit de grâce et de féerie pour un Noël lié à l’imaginaire ", décrit Émilion Esnault, conseiller municipal en charge de l’éclairage public.

    Si l’élu souhaite pour l’heure " garder un peu de mystère sur cette nouveauté afin de surprendre les Toulousains ", il concède malgré tout quelques détails de mise en scène :

    “Notre volonté est d’utiliser tout l’espace de la place, comme un seul environnement global. Dans la continuité de ce qui avait été fait place Wilson, il y aura aussi un mélange de couleurs modernes et du blanc classique dans les éclairages. ”

    C’est le concepteur et scénographe toulousain Lionel Bessières qui a été chargé de concevoir les illuminations pour la place Esquirol. Les Toulousains auront donc un aperçu de son travail dès lundi 21 novembre, puisqu’il s’est occupé de la nouvelle mise en lumière des Jacobins, inaugurée à 20 h.

     

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    Un cône lumineux de onze mètres place Saint-Étienne

    Entre ces trois places emblématiques – Wilson, Saint-Georges, Esquirol – se dessine donc au fil des années une sorte de " parcours des illuminations de Noël dans la ville ", comme le définit Émilion Esnault. C’est ainsi que des cercles colorés rues Saint-Antoine-du-T et Boulbonne ont ainsi marqué cette déambulation lumineuse, qui va être poursuivie cet hiver.

    Le réenchantement de la place Esquirol, auquel ont été associés les commerçants, ne sera pas la seule surprise cette année. Parmi les investissements prévus, figure également un cône lumineux de onze mètres de haut, sorte de sapin géant stylisé, qui sera installé sur la place Saint-Étienne.

    Les illuminations densifiées dans les faubourgs

     

    Une dizaine d’autres de ces cônes lumineux, plus petits cependant (trois à cinq mètres de haut), seront de plus répartis dans différents quartiers de la ville, tandis que les dix sapins boules utilisés les années précédentes sont aussi maintenus.

    Une façon de poursuivre la densification des illuminations dans les faubourgs toulousains. Avec un accent particulier accordé au quartier Arnaud-Bernard: l’un des deux sapins contemporains TreeLight mis en place à Saint-Georges l’an passé va en effet être transféré place Arnaud-Bernard.

    “Cela fait partie d’un plan plus large mené avec  la maire de quartier Julie Escudier afin de mettre en valeur le secteur. L’éclairage de Noël sera ainsi renforcé à Arnaud Bernard avec ce sapin, mais aussi davantage de motifs sur les candélabres, indique Émilion Esnault, mu par l’objectif de " faire toujours plus avec moins".

    Le conseiller municipal s’efforce en effet depuis trois ans de serrer les cordons de la bourse, stabilisant cet hiver le budget des illuminations à 700 000 euros, contre 850 000 euros à son arrivée au Capitole.

    Inauguration des animations de Noël le 3 décembre

    L’inauguration des différentes animations aura lieu le samedi 3 décembre 2016, à 18 h au square Charles-de-Gaulle, et sera suivie de l’inauguration des illuminations à 19 h à Esquirol. Celle-ci sera marquée par " une mise en lumière particulière, dynamique ", souligne-t-on du côté de la mairie.

    À cette occasion, les Toulousains pourront voir les membres de la compagnie de théâtre de rue les Plasticiens Volants déambuler en lumière dans les rues de Toulouse tout au long du parcours reliant le square à Esquirol.

    Les illuminations de Toulouse en chiffres

    • 800 mètres : c’est la longueur du plafond lumineux au-dessus de la rue d’Alsace-Lorraine. " Les plus grand de France ", selon Émilion Esnault.
    • 20 kilomètres de guirlandes lumineuses, dont dix en centre-ville
    • 700 motifs lumineux, dont 110 dans le centre-ville
    • 50 Pères Noël colorés dans les écoles
    • 600 heures d’allumage des guirlandes
    • 5 000 euros, c’est le coût en consommation électrique des illuminations, équipée en Led, pour les deux mois
  • Adieu le saucisson, le paté, le jambon, le boudin!

    Le gouvernement a décidé de nationaliser toutes les boucheries-charcuteries de France!

    Émerveillé par le succès de l’Éducation nationale, le gouvernement décide que désormais les boucheries-charcuteries fonctionneront sur le même modèle que l’école monopolisée.

    Émerveillé par le succès de l’Éducation nationale, qui permet à des millions d’enfants d’apprendre à lire et à écrire, qui les épanouit et qui les ouvre à la vie et qui est gratuite, le gouvernement décide que désormais les boucheries-charcuteries de Bordurie fonctionneront sur le même modèle que l’école monopolisée. En effet, si apprendre est essentiel à la vie, manger l’est tout autant. Il est donc absolument indispensable que tous les Bordures puissent avoir accès à de la viande de qualité. Et cela, seul l’État peut s’en charger, car seul l’État est neutre, désintéressé et préoccupé uniquement par le bien commun et l’intérêt général. La boucherie est un service public et celle-ci doit véhiculer les valeurs de la Bordurie. À partir de la rentrée prochaine, il est donc décidé de créer un grand ministère de la Boucherie nationale et d’établir le monopole de l’État sur la boucherie.

    Pour cela, toutes les activités privées de boucherie sont interdites. Tous les bouchers sont interdits de travail sur l’ensemble du territoire bordure. Ils doivent cesser leur activité et quitter la Bordurie. Les boucheries sont nationalisées et deviennent possession de l’État. Désormais, pour être boucher, il faudra avoir réussi un concours administratif et passer deux ans dans une École Supérieure de la Boucherie et des Métiers de Bouche où l’on apprendra aux impétrants bouchers comment transmettre les valeurs de la Bordurie au sein de la boucherie.

    Voilà donc le jeune Barnabé qui a toujours rêvé d’être boucher charcutier. Il consacre deux longues années à préparer son concours d’agrégation boucherie. Les épreuves sont dures. Il faut être incollable sur les origines de la Bordurie, sur les thèses de Gallien au sujet de la consommation de viande, sur la composition exacte de la joue de bœuf et ses composés chimiques. Il y a également une épreuve de culture générale très difficile où sont posées des questions sur la composition des biocarburants et sur les 150 manières d’aiguiser un couteau.

    Si le candidat maîtrise parfaitement ces sujets, alors il deviendra agrégé boucher. Il pourra donc travailler en boucherie pour découper la viande, la préparer et la servir aux clients. Que les compétences demandées au concours n’aient aucun rapport avec le métier qu’il sera amené à exercer ne pose aucun problème. Cela, il l’apprendra dans son ESBMB. Barnabé, élève brillant, a réussi son concours. Le Ministère de la Boucherie nationale l’envoie dans une ville située à 500 km de la ville dont il est issu. Il pourra revenir travailler dans sa ville uniquement quand il aura acquis suffisamment de boucheries’s. Chaque année, les bouchers cumulent des points boucherie’s et, en fonction du nombre de points obtenus, ils peuvent changer de ville. C’est en effet le Ministère qui décide de l’endroit où les bouchers doivent travailler.

    Voilà donc Barnabé qui débarque à la frontière de la Syldavie. La moitié de la semaine, il la passe dans son ESMBM, pour apprendre la théorie de la boucherie, l’autre moitié de la semaine il est dans sa boucherie. Barnabé aime beaucoup son métier, même si au début il lui faut tout apprendre. En effet, connaître la composition chimique des biocarburants n’aide pas beaucoup pour nouer un gigot, et être incollable sur la compensation carbone des éoliennes ne s’avère pas toujours utile quand il s’agit de préparer des steaks. Heureusement, le patron de Barnabé est patient avec lui.

    Au bout de six mois, il commence à bien se débrouiller. Alors, un Inspecteur du Ministère vient le voir. Horreur. L’Inspecteur constate que Barnabé utilise un couteau à manche bleu. Cette couleur véhicule des stéréotypes de genre. Barnabé devra donc utiliser un couteau à manche rose. De même, les sages du Conseil national de Boucherie se sont dit que ce serait bien mieux si les bouchers droitiers tenaient leur couteau de la main gauche. Le Ministre a donc rédigé une directive en ce sens. À partir de maintenant, il est interdit aux bouchers de faire usage de leur main droite, sauf s’ils sont gauchers. Barnabé n’était pas au courant de cette nouvelle directive. Il est donc sanctionné par l’Inspecteur.

    Depuis que l’État a établi le monopole de la boucherie, les Bordures sont heureux. Mais en interne le Ministère s’affole. En effet, la production de viande a elle aussi été nationalisée, si bien que l’on constate une très forte baisse de la qualité de celle-ci et que certains départements commencent à manquer de viande. La qualité de la viande vendue baisse, et la population se détourne des boucheries, préférant consommer du poisson ou de la volaille. Les boucheries sont désertées et les bouchers s’ennuient.

    C’est là que le gouvernement décide d’œuvrer pour le progrès social et l’égalité. Jamais à court de générosité, il fait voter une loi qui rend obligatoire le passage à la boucherie au moins une fois par semaine. Cette loi est suivie d’une autre loi, la gratuité de la boucherie. Oui, vous avez bien lu : la boucherie, c’est gratuit. Désormais, le peuple pourra se rendre dans la boucherie de son quartier et y prendre autant de steaks, de saucissons, de côtes de bœuf que voulu, il n’aura rien à payer : tout est gratuit. Le bon peuple est émerveillé par tant de générosité sociale et ne cesse de louer le gouvernement qui a tant œuvré pour le progrès social et pour la justice sociale.

    Mais rapidement les réserves s’épuisent. Le gouvernement décide donc, toujours afin d’œuvrer pour plus d’égalité et de justice, de créer des heures produits. Les andouilles ne sont délivrées que le mardi matin de 10h à 11h. Les steaks hachés, le jeudi après-midi, de 15h à 16h et ainsi de suite. Cela est valable dans tout le pays, toutes les boucheries devant s’aligner sur les directives du Ministère. Il n’est pas envisageable de donner une marge d’autonomie aux boucheries dans le choix des produits distribués, ni des horaires où ils sont distribués.

    Mais la viande se frelate. Chaque année, on constate que des centaines de jeunes meurent après avoir consommé de la viande des boucheries d’État. Pour 30% d’entre eux, cette viande avariée provoque des lésions cérébrales qui obèrent fortement leurs capacités mentales. Pour y faire face, le gouvernement décide donc de lancer dans les boucheries un grand plan de défense des valeurs de la Bordurie. Toutes les boucheries devront afficher des panonceaux dans leur magasin vantant la justice, l’égalité et la justice égalitaire. La réponse du gouvernement est à la hauteur du drame que constituent ces enfants morts et ces autres enfants fortement handicapés.

    On découvre que certains parents contournent le système. Ils vont chercher de la viande pour leurs enfants, mais ils ne la leur font pas manger, de peur que ceux-ci en meurent ou deviennent handicapés. Une fois chez eux, ils la jettent et leur servent du poisson. Face à cette atteinte inacceptable aux valeurs de la Bordurie, le gouvernement décide que les enfants mangeront leur viande sur place. Il n’est pas question que des parents puissent se substituer à l’action bienveillante de l’État.

    L’Inspecteur revient voir Barnabé et découvre, horrifié, que celui-ci tient son couteau de la main gauche. Il n’a pas lu la dernière directive du Ministère qui rend obligatoire de tenir le couteau de la main droite. Pour cette lourde faute, Barnabé est sanctionné.

    Mais Barnabé a déjà eu deux clients qui sont morts à cause de la viande qu’il a été obligé de leur servir. Trois autres sont lourdement handicapés, souffrant de lésions cérébrales importantes. Un ne sait pas lire, un autre n’arrive pas à déchiffrer un programme de télévision, et le troisième ne peut pas écrire sans faire d’importantes fautes d’orthographe. Barnabé décide donc de quitter ce métier et de faire autre chose. Après dix années passées au service de l’État et des valeurs de la Bordurie, il quitte le Ministère. Il découvre d’ailleurs qu’il n’est pas le seul. Des milliers d’autres personnes sont parties et l’État n’arrive pas à recruter des bouchers pour les remplacer.

    Au Ministère, on s’inquiète des échecs de cette nationalisation. Le système coûte cher, plusieurs dizaines de milliards de bordure’s par an. Les enquêtes internationales montrent que la qualité de la viande ne cesse de baisser, notamment par rapport au voisin Syldave qui a décidé la privatisation de toutes ses boucheries d’État. Surtout, plus personne ne veut être boucher. Le Général a eu beau annoncer le recrutement de 60 000 bouchers supplémentaires, il y a moins de candidats que de postes à pourvoir. Cela menace gravement la transmission des valeurs de la Bordurie, but ultime des boucheries bordures. Le gouvernement a donc pris sa décision : il forcera les Bordures à être boucher. Désormais, tous les Bordures entre 23 et 26 ans devront obligatoirement travailler 3 ans dans les boucheries de Bordurie. Si la mesure peut paraître coercitive et contraignante, c’est pour sauver le système de boucherie que le monde entier nous envie, et pour œuvrer à l’épanouissement de la solidarité, de la justice et de l’égalité.

    Une fable politique de Jean-Baptiste Noé.

    Contrepoint.org

     

     

  • Jorge Pardo au musée des Augustins

    Toulouse est un foyer mondial de l'art roman. L'œuvre de Jorge Pardo parvient à sublimer la richesse de ce style, qui dominait les édifices de la ville rose dès le XIe siècle.

    L'artiste cubain a su par son travail supprimer les frontières culturelles et temporelles.

    Pour l'occasion, il exploite les chapiteaux romans de l'église de Notre Dame de la Daurade, de la basilique Saint-Sernin et de la cathédrale Saint-Étienne.

    Originaire de Cuba, Jorge Pardo est à la fois peintre, designer, architecte ou scénographe. Ses compétences sont aussi chatoyantes que la tonalité de ses productions. Une palette artistique qui se retrouve dans ses œuvres colorées. Après avoir travaillé pour les prestigieuses Fondations Dia Art Foundation à New York et la Caixa à Madrid Jorge Prado s'attaque aux Augustins. Un projet proche de celui sur les arts précolombiens qu'il réalisa à Los Angeles. Le résultat fut un subtil mariage d'art, de design, d'architecture et d'histoire.

    Trois caractéristiques de cette œuvre exposée au musée des Augustins, que l'on peut découvrir jusqu'à l'édition 2016 du FIAT (Festival international d'art de Toulouse). Une collection qui marie la signature inimitable de l'artiste, joyeuse et exubérante, à la puissance de l'art des sculpteurs romans.

    1 L'œuvre. Lire le passé avec un regard moderne. Un pari fou qui effrayerait bon nombre d'historiens. Un pari qu'a réussi Jorge Pardo. Si l'on est troublé à première vue de voir de si beaux vestiges romans surplomber des colonnes aux teintes vives, on réalise rapidement qu'elles ne font que les sublimer. On ressent la patte des influences cubaines aux travers des couleurs et des tonalités bigarrées de l'œuvre, mais on n'oublie pas l'essentiel, ces morceaux d'histoire extraient des plus beaux monuments religieux Toulousains.

    2 La technique. Jorge Pardo fait vivre le Moyen-Âge en couleur. Il effectue un minutieux travail sur la profondeur et la lumière. Il n'hésite pas à agrémenter des colonnes segmentées de lignes horizontales avec de grands lustres colorés.Une forêt lumineuse de pylônes et de chapiteaux médiévaux s'offre au visiteur qui l'espace d'un instant devient explorateur. Peinture et sculpture s'unissent et qu'importe le point ou l'on regarde, la perspective marque toujours l'œil.

    3 Le glorieux passé Roman.

    Au-delà le visuel explosif de l'œuvre, c'est l'héritage architectural qui ressort. Les chapiteaux dépeignent la Passion du Christ, des scènes de vies animales ou incarnent des Saints. Une diversité de représentations qui montre l'évolution de l'art roman à Toulouse. Tantôt inspirées du célèbre cloître de Moissac, parfois façonnées par l'imagination des sculpteurs toulousains d'autrefois. Une exposition qui prend d'autant plus son sens avec la découverte récente des fondations de l'ancien cloître de Saint-Sernin. Des pièces uniques qui serviront probablement au travail de reconstitution physique des lieux prévu pour septembre.

     

  • waooh! mélodie extra-dansantes!

    Concert Rossini de l'orchestre Mozart, de Toulouse

    L'orchestre Mozart, de Toulouse, sous la direction de Claude Roubichou, de l'orchestre national de Toulouse, donnera un concert au château de Fontanas, samedi 18 juillet à 21h 30, organisé par le comité d'animation.

    Gioacchino Rossini sera au programme de la première partie. Les musiques de Rossini sont des musiques connues, des airs célèbres et entraînants. Gaîté et rythme seront de circonstance. Il y aura les ouvertures et airs d'opéras célèbres, notamment "Le Barbier de Séville", "Guillaume Tell", "La Pie voleuse", etc. Deux chanteurs du théâtre du Capitole, Isabelle Antoine, soprano, et Jean-Luc Antoine, baryton, interpréteront les airs de "Figaro", "Rosine", etc.

    En seconde partie, soirée opérette sur la terrasse du château avec l'orgue mécanique Le Ludion qui diffusera des airs d'opérettes, un répertoire classique, tel "Le Beau Danube bleu" (Strauss), "Les Contes d'Hoffmann", "La Vie parisienne" (Offenbach), "Heure exquise", "Valse de l'empereur", "Les Cloches de Corneville", etc., et pour clore, un répertoire reprenant des mélodies chantées par Luis Mariano, "La Belle de Cadix", "C'est magnifique", "Granada", "Mexico", "Rossignol", etc.

    Un dessert soigné et une boisson seront offerts au public installé autour des tables.

    Entrée: 17 €; enfants de moins de 13 ans, gratuit.

    Réservations avec règlement auprès de Jean-Claude Terrieux, tél. 05 63 67 30 72, ou d'Aline Gasquet, tél. 05 63 67 32 34.

    En cas de pluie, le concert sera transféré à l'espace socioculturel.

     

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