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  • Histoires de riz - 3

    Comment réussir la cuisson du riz à la poêle ?

    Si l’on a tendance à faire cuire le riz dans une casserole ou au cuiseur vapeur, la cuisson à la poêle est idéale pour découvrir de nouvelles saveurs. Pour une préparation en version pilaf ou pour une paëlla, voici des idées de recettes rapides et savoureuses.

    Cuisson à la méthode "pilaf"

    Qu’est-ce que le mode de cuisson dit "pilaf" ? Originaire de Perse et d’Asie centrale, cette technique consiste à faire revenir le riz dans une matière grasse avant de le couvrir d’eau ou de bouillon.

    Pour réussir votre riz pilaf, versez du beurre, de l’huile ou de l’huile d’olive dans la poêle. Ajoutez ensuite des oignons ciselés : la quantité dépend de vos goûts. Attention à ne pas les laisser colorer, ce qui pourrait ternir le goût. Versez ensuite le riz et remuez jusqu’à ce que les grains deviennent translucides. Vient l’étape du bouillon : en amont, vous aurez dilué un cube de bouillon dans de l’eau chaude. Il ne vous restera qu’à verser ce liquide dans la poêle et à porter le tout à ébullition. Comptez environ 35 minutes de cuisson à feu doux à couvert pour du riz complet et 20 minutes pour du riz blanc. Remuez deux à trois fois.

    Cuisson riz soufflé : spéciale riz rond

    Oui, vous pouvez cuisiner vous-même du riz soufflé et réaliser de savoureuses recettes telles que les barres de céréales au chocolat ou encore les galettes croustillantes ! Pour ce faire, prenez une poêle que vous allez faire chauffer à feu vif et sans matière grasse. Versez le riz à sec et en une seule couche. Veillez à remuer régulièrement pour éviter que le riz ne brûle.

    Quel temps de cuisson ? Dès que les grains de riz arrêtent de crépiter et sont bien gonflés, votre riz soufflé est prêt à être dégusté !

    Quels types de riz pour une cuisson à la poêle ?

    Idéalement, c’est le basmati qui convient le mieux pour cuisiner du riz pilaf. Il s’agit d’un riz à grains longs originaire d’Inde et du Pakistan. Fin et subtil, ce riz parfumé est apprécié pour sa texture ferme et légère. Il est tout à fait possible d’utiliser du riz complet pour cuisiner un pilaf.

    Si vous préférez préparer une paella, privilégiez le riz rond de Camargue, caractérisé par sa texture moelleuse et fondante. Il rend une grande quantité d’amidon à la cuisson et se révèle parfait pour un plat comme la paella. Ce riz est idéal pour absorber le bouillon, les épices et autres aromates.

    Quelles sont les erreurs à éviter ?

    Envie de réussir la cuisson du riz à la poêle ? Si cette méthode paraît simple, voici les erreurs à ne pas commettre :

    Oublier la matière grasse : les grains de riz risqueraient de brûler, ce qui les rendrait immangeables.

    Ne pas mettre de couvercle en cas de préparation d’un riz pilaf : cette méthode implique une cuisson à l’étouffée. Pensez donc à couvrir et à laisser cuire !

    Ne pas assaisonner : que vous cuisiniez du riz pilaf ou une paella, la cuisson permet de libérer les arômes des épices, de l’ail, des agrumes ou encore des herbes.

    Des idées de recettes de riz à la poêle

    Voici deux idées de plats faciles et savoureux, qui raviront vos invités !

    MAGRET DE CANARD AU MIEL, poêlée de champignons et riz

    commencez par faire cuire le riz façon pilaf. Comptez environ 11 minutes de cuisson si vous choisissez le riz parfumé Kamâlis. Dans le même temps, faites griller les magrets (environ 5 minutes de chaque côté) et faites cuire les champignons. Servez en nappant de sauce au miel.

    RIZ PILAF A L’INDIENNE

    faites dorer des oignons préalablement ciselés dans de l’huile d’olive. Ajoutez l’ail, trois gousses de cardamome, un bâton de cannelle, un clou de girofle, du sel et du poivre. Versez l’eau et laissez cuire à feu doux environ 12 minutes.

    Mon conseil

    Quelle quantité de riz par personne ? Si vous faites partie de ceux qui préparent trop de riz ou qui n’en prévoient pas assez, voici notre astuce ! De façon générale, prévoyez un volume de riz pour un volume et demi d’eau : comptez 100 g de riz pour 15 cl d’eau.

    Infos sur le site Taureau Ailé

  • Histoires de riz - 2

    Quel type de riz choisir pour son risotto ?

    Rond et nacré, non parfumé, avec une texture ferme et crémeuse, riche en amidon et de préférence originaire d’Italie pour rendre hommage aux racines siciliennes puis milanaises du risotto : voilà les critères sur lesquels vous devriez vous baser pour sélectionner le riz pour risotto lorsque vous vous apprêtez à réaliser une recette de risotto. Le riz pour risotto se distingue ainsi d’autres types de riz dont les caractéristiques ne permettent pas une réalisation optimale du risotto. Bien que délicieux pour tout un tas d’autres recettes, évitez par exemple le riz parfumé de Camargue IGP pour la préparation de votre risotto.

    Quel est le meilleur riz pour un risotto ?

    Le riz Arborio est considéré comme le meilleur riz pour risotto. Adoré par les Italiens et par les chefs cuisiniers du monde entier, le riz Arborio présente toutes les caractéristiques qui lui permettent de sublimer un risotto. Au-delà de ses qualités de cuisson, le riz Arborio garantit la réalisation d’un risotto à la fois crémeux et croquant, et bien sûr savoureux. Ce sont ces qualités que vous retrouvez dans le riz pour risotto Taureau Ailé.

    Risotto: les bons conseils pour sa préparation

    Le choix du riz pour risotto n’est pas le seul élément qui impacte la qualité, et les saveurs, de votre risotto. La réalisation est elle aussi importante, mieux vaut être attentif à la cuisson du riz, et bien sélectionner l’accompagnement.

    La cuisson du riz pour risotto

    La cuisson du riz pour risotto diffère sensiblement de la cuisson du riz classique. Elle nécessite plus d’attention, et plus de temps. La plupart des chefs cuisiniers recommandent de procéder en quatre étapes avec :

    L’enrobage du riz dans une matière grasse chaude (filet d’huile d’olive et oignons) ;

    L’ajout d’un trait de vin blanc une fois le riz translucide ;

    L’ajout progressif de liquide (eau ou bouillon) avec le ratio 2,5 volumes de liquide pour 1 volume de riz ;

    L’arrêt de la cuisson du riz dès que le riz pour risotto affiche son aspect crémeux.

    Au total, il vous faudra compter une demi-heure environ pour la préparation et la cuisson. Sachez par ailleurs que le risotto se prépare traditionnellement au dernier moment, juste avant le service. Pensez donc à organiser votre temps en cuisine pour vous conformer à cette injonction.

    L’accompagnement

    Au-delà de la cuisson et du type de riz pour risotto, le secret d’un bon risotto réside aussi dans le choix de l’accompagnement. Il existe, sur le Web, tout un tas de recettes pour risotto avec des ingrédients plus ou moins traditionnels. Selon vos aspirations et/ou selon les convives invités à partager le repas, libre à vous d’oser l’originalité ou de rester dans les recettes de risotto classiques. Chez Taureau Ailé, la recette du risotto aux crevettes et petits pois récolte le suffrage des deux camps.

    Comment conserver un riz risotto ?

    La meilleure façon de conserver un riz risotto consiste à le placer dans une boîte hermétique au réfrigérateur. Il est, en amont, conseillé de laisser refroidir le risotto avant de le placer au réfrigérateur. Ainsi conservé, le risotto crémeux peut être dégusté jusqu’à 48 heures après sa réalisation. Au-delà, mieux vaut éviter de le consommer. Pour éviter le gaspillage alimentaire et si vous pensez ne pas pouvoir le consommer dans les 48 heures, vous pouvez opter pour une congélation. Le seul inconvénient est que vous risquez de perdre, un peu, en texture crémeuse lors de la dégustation suivante.

    Infos sur le site Taureau Ailé

     

  • Des grillons au repas : la dérive

    Et voilà que de nouveaux ingrédients sont autorisés dans la composition des pains: poudre d’Acheta domesticus (grillons) partiellement dégraissés. Ce joli cadeau de nos instances européennes pour permettre une alimentation plus écocompatible n’est probablement pas vraiment adaptée à nos organismes qui bien qu’étant omnivores nous fera renouer avec les belles époques de famine où le peuple mangeait des racines et des rats…

    Plus grave ! Depuis plusieurs années les professionnels de la boulangerie se sont ingéniés à éliminer tous les numéros E autorisés et soumis à déclaration comme les propionates, acidifiants, conservateurs, émulsifiants qui faisaient tache sur les étiquettes.

    Pour obtenir des produits clean label les ingrédientistes ont élaboré une machine de guerre pour produire des pains à mie bien alvéolée et des croûtes bien dorées. Pour le goût ils inventent des poudres de perlimpinpin et faux levains qui colorent et aromatisent lesdit pains qui bientôt n’auront plus de pain que le nom…

    Le secret: les enzymes

    Pour qu’une pâte devienne pain on peut agir sur deux composantes de la farine : l’amidon et le gluten. Le premier qui est un sucre source de CO2 qui agit sur le "gonflement" de la pâte et le deuxième qui devient la structure permettant de retenir la production gazeuse du premier. Un peu comme un ballon : l’enveloppe permet de retenir l’air insufflé.

    Les pains modernes ont donc soit ajouté du gluten au mélange en corrigeant par des émulsifiants (E471-E472 par exemple) soit corrigé l’activité enzymatique. Cette dernière est dépendante de la qualité du blé qui contient naturellement des enzymes (alpha, beta amylases par exemple) mais de qualité variable car dépendantes des sols, de la technique de culture, de la pluviosité, du climat etc.

     

    Donc nos petits chimistes bricoleurs ont cultivé des enzymes fongiques OGM à forte activité. De plus, ils ont également bricolé des enzymes bactériennes qui ont la particularité de résister à la chaleur et donc ne sont pas tuées pendant la cuisson du pain. Ces dernières vont donc se retrouver dans nos estomacs avec des conséquences encore non identifiées.

    LE MONDE DU LAIT ET DES FROMAGES notamment pasteurisés utilise cette technique des enzymes depuis bien longtemps et il n’est pas étonnant que nous n’ayons plus aucun fromage français dans le top ten mondial…

    De MEME LES VIGNERONS s’amusent également à bricoler des enzymes…

    Les allergies alimentaires ont de beaux jours devant elles…

    Le scandale dans toute cette affaire c’est que nos penseurs européens (et français) ne songent pas un instant à obliger les fabricants à déclarer les enzymes entrant dans la composition de leurs produits.

    Douce France, ta culture gastronomique avec tous ces produits de terroir et de tradition fout le camp et tant pis pour la santé !

    Des grillons pour les gueux et des côtes de boeuf pour nos élus. Ça permet de limiter l’élevage de ruminants péteurs

    Le monde devient fou. On s’active à interchanger les " genres », maintenant on veut modifier le système alimentaire. La Re-création est en marche. L’Homme veut devenir dieu.

     

  • Histoires de riz - 1

    Comment doser son riz?

    Il existe une astuce toute simple qui permet de bien doser le riz et de préparer la bonne quantité de riz par personne : le verre ! La dose recommandée de riz par personne équivaut en effet à la moitié d’un verre classique. Pour éviter de choisir un verre trop grand, sachez qu’il s’agit ici d’un verre type verre de cantine (ou verre à moutarde), d’une contenance de 20 cl. Le dosage du riz en remplissant la moitié d’un verre classique est la technique la plus accessible pour se rapprocher des 60 g de riz, la dose de riz par personne recommandée.

    Le dosage dépend-il du type de riz ?

    Oui, en théorie. Tous les types de riz n’ont en effet pas le même comportement lors de la cuisson. Certains absorbent davantage l’eau de cuisson que d’autres types de riz, et doivent donc être sensiblement "sous-dosés". En pratique, la technique du verre à moitié rempli pour obtenir la bonne quantité de riz par personne est assez universelle. Elle vous permettra d’obtenir la dose de riz idéale par personne pour une grande majorité de recettes. Inutile par ailleurs de paniquer en cas de surdosage involontaire puisque le riz cuit peut être facilement conservé (voir plus bas).

    Quelle quantité de riz selon le plat?

    Avec le type ou la variété de riz, le type de plat est l’autre élément qui peut faire varier la bonne quantité de riz par personne. Tout est, ici, une question de logique. Lorsque le riz est préparé seul, sans ingrédients autres que le mets qu’il est destiné à accompagner (filet de poisson, émincé de dinde, etc.), il est préférable de respecter le bon dosage du riz. En revanche, lorsque le riz est associé à d’autres ingrédients (comme dans une paella, par exemple), il est souvent recommandé de réduire les portions de riz par personne.

    Comment cuire du riz selon la portion de riz ?

    Il existe deux grandes façons de faire cuire du riz : à la casserole, ou façon pilaf. Davantage que la cuisson du riz à la casserole, la cuisson du riz version pilaf nécessite de doser l’eau avec précision selon la quantité de riz par personne. Inutile pour autant d’être un chef étoilé pour réussir cette étape. D’une manière générale, il est recommandé de prévoir 1,5 volume d’eau pour un volume de riz. Il vous suffit alors de reprendre le même récipient (le verre à moutarde) pour doser l’eau, en adaptant les volumes.

    Comment conserver le reste du riz

    Malgré toutes les précautions prises, il n’est pas rare que l’intégralité du riz que vous avez préparé ne soit pas consommée (vos convives ont manqué d’appétit ou bien vous avez eu cette peur de ne pas en préparer assez). La bonne nouvelle, c’est que le riz déjà cuit peut être conservé.

    Il existe deux principales méthodes pour cela: la conservation du riz cuit au frigo, et la conservation du riz cuit au congélateur. Vous pouvez, aussi, prévoir la réalisation de quelques recettes avec un reste de riz pour éviter le gaspillage alimentaire.

    Mon conseil

    Ne vous laissez pas tromper par ce que représente la quantité de riz par personne une fois celui-ci dosé. À la cuisson, le riz triple de volume. Évitez donc le surdosage encouragé par l’impression qu’il y a "peu" de riz à faire cuire.

    Infos sur le site Taureau Ailé

  • Voici comment cuire vos pâtes correctement tout en économisant

    D'après les scientifiques

    Lorsqu’un physicien italien, lauréat d’un prix Nobel, a émis des conseils sur la façon de cuire les pâtes à la perfection, cela semble remettre en question toutes les méthodes utilisées par les cuisiniers du pays depuis des siècles, il a suscité une vive polémique.

    Le professeur Giorgio Parisi – qui a reçu le Nobel de physique 2021 pour « sa découverte de l’interaction entre désordre et fluctuations dans les systèmes physiques, de l’échelle atomique à l’échelle planétaire » – a suggéré que le fait d’éteindre le feu à mi-cuisson des pâtes, puis de couvrir la casserole et d’attendre que la chaleur résiduelle de l’eau termine le travail, peut aider à réduire le coût de la cuisson des pâtes.

    IL EST BIEN GENTIL LE NOBEL, MAIS JE FAIS CE TRUC DEPUIS L'AGE DE 10 ANS! je l'ai découvert par hasard, car j'ai commencé à cuisiner chez moi à cet âge-là!

    Bien sûr, il ne faut pas laisser les pâtes dans l'eau chaude très longtemps…sinon elle se gavent d'eau et deviennent de la nouillasse pleine d'eau… ce qui peu aider quand on n'est vraiment pas riche et qu'il faut que tout le monde mange avec un paquet "juste".

    Mais, les pâtes qui cuisent seules dans l'eau bouillante, il faut les goûter pour savoir si la structure convient à votre palais.

    La méthode de cuisson classique consiste à plonger 100 g de pâtes dans 1 litre d’eau bouillante pendant dix à douze minutes, en fonction de leur épaisseur. Dans le cas des pâtes sèches, deux processus se déroulent généralement en parallèle. Tout d’abord, l’eau pénètre dans les pâtes, les réhydratant et les ramollissant en dix minutes dans l’eau bouillante. Ensuite, les pâtes se réchauffent, ce qui provoque l’expansion des protéines et les rend comestibles.

    Environ 60% de l’énergie est utilisée pour maintenir l’eau en ébullition. Ainsi, tout ce qui peut être fait pour réduire le temps de cuisson aurait un effet considérable sur le coût global. Eteindre la plaque de cuisson à mi-chemin et à laisser les pâtes cuire dans la chaleur résiduelle, permet de réduire de moitié le coût de la cuisson, soit une économie d’environ 0,05 $. Cette méthode sera encore plus efficace sur les plaques vitrocéramiques, contrairement à celles à gaz et à induction, elles mettent plus de temps à refroidir.

    Cependant, en séparant les processus de réhydratation et de chauffage, il est possible de diminuer davantage le coût. Le Nobel dit que les pâtes sèches peuvent être entièrement réhydratées en les faisant préalablement tremper dans de l’eau froide pendant deux heures. Ce processus ne nécessite aucune énergie et permet d’économiser 0,05 $ supplémentaire.

    Il faut ensuite plonger les pâtes dans l’eau bouillante pour les réchauffe0 ; et là aussi, il y a d’autres économies à faire. Les scientifiques rapportent que la qualité des pâtes cuites n’est pas affectée par la réduction considérable de la quantité d’eau. Les scientifiques ont constaté qu’en employant la moitié de l’eau, on obtient  des pâtes parfaites;  L’amidon est libéré pendant la cuisson; s’il n’y a pas assez d’eau, il se concentre, laissant des amas de pâtes cuites de manière inégale. Cependant, le fait de remuer régulièrement la casserole améliore quelque peu le résultat.

    Le deuxième besoin énergétique le plus important est celui nécessaire pour porter l’eau à ébullition. Encore une fois, d’autres économies peuvent être réalisées ici.

    Il s’avère que les granules de protéines des pâtes se dissolvent au-dessus de 80°C ; il n’est donc pas nécessaire de porter la casserole à une "ébullition à gros bouillons" à 100°C, comme cela est souvent conseillé. Un léger mijotage suffit à cuire complètement les pâtes, ce qui permet une économie supplémentaire d’environ 0,01 $.

    Si on utilise un micro-ondes pour chauffer les pâtes préalablement trempées: Ces appareils sont très efficaces pour chauffer l’eau, mais on s'aperçoit vite que ce sont les pâtes les plus mauvaises de toutes. À ne pas essayer à la maison !

    COMMENT S’Y PRENDRE… ET ECONOMISER DE L’ARGENT

    La palme pour la méthode la plus efficace de cuisson des pâtes sèches revient au trempage préalable dans de l’eau froide avant la cuisson dans une casserole d’eau ou de sauce frémissante pendant une à deux minutes. Laisser le couvercle sur la casserole est une autre chose simple que vous pouvez faire. L’ajout de sel, bien que ne faisant qu’une différence minime quant au point d’ébullition, améliore considérablement le goût.

    Nous ne sommes pas tous des chefs étoilés ou des physiciens lauréats du prix Nobel, mais nous pouvons tous faire une différence dans notre façon de cuisiner pour réduire nos factures d’électricité tout en produisant des aliments savoureux.

    À vous maintenant d’expérimenter ces méthodes jusqu’à ce que vous trouviez une combinaison qui rende votre cuisine plus économique tout en économisant vos sous!

     

  • Quiche au brie ou au camembert

    Pour 4 personnes

    1 pâte brisée, 1 brie ou 1 camembert pas fait, 3 œufs, 50g de restes de purée

    30cl de crème fraîche; 1 pincée de cannelle ou clou de girofle en poudre

    Déroulez la pâte brisée. Battez les œufs, la crème fraîche et la purée, puis versez sur le plat. Déposez un peu de cannelle

    Couvrez de tranches de brie, faites cuire 20 minutes à 180°C.

     

  • Battre le record de Jeanne???

    Moins d’une chance sur un million d’atteindre l’âge de 130 ans

    Le vin et le chocolat seraient-ils réellement les ingrédients secrets de la longévité, comme l’ont suggéré de nombreux médias ces deux derniers jours?

    Consommé avec modération, le chocolat noir à haute teneur en cacao présente effectivement des avantages pour la santé. Le magnésium contenu dans le chocolat aide à réduire le taux de cortisol plasmatique et donc, contribue à lutter contre le stress et l’anxiété. Il a également été prouvé que la consommation de chocolat réduit les risques d’infarctus du myocarde, et fait diminuer la pression artérielle.

    Plus il est riche en cacao, plus il contient d’antioxydants, qui neutralisent les radicaux libres et ralentissent le vieillissement cellulaire.

    Concernant le vin, il aurait lui aussi des effets bénéfiques sur la santé cardiovasculaire (consommé avec modération, évidemment) grâce aux polyphénols qu’il contient. Mais la consommation d’alcool a aussi ses revers…

    Il est certain que l’alimentation tient un rôle clé dans la durée de vie d’un individu. Mais bien d’autres facteurs — sociaux, environnementaux, comportementaux, mais aussi génétiques — entrent en ligne de compte.

    "Quelques sujets peuvent atteindre la longévité grâce à une heureuse combinaison de polymorphismes qui leur permettent d’avoir un métabolisme efficace ou une réponse efficace à différents stress", concluait une étude publiée en 2016 dans Immunity & Ageing.

    Est-il possible de vivre au-delà de 122 ans? Une étude, réalisée en 2016 par le généticien Jan Vijg et son équipe de l’Albert Einstein College of Medicine de New York, a conclu que la survie au-delà de 125 ans était extrêmement improbable. " Les améliorations de la survie avec l’âge ont tendance à diminuer après 100 ans, et l’âge au décès de la personne la plus âgée du monde n’a pas augmenté depuis les années 1990.

    Nos résultats suggèrent fortement que la durée de vie maximale des humains est fixe et soumise à des contraintes naturelles", ont conclu les chercheurs. Cette théorie a toutefois été controversée, via la remise en question des méthodes statistiques utilisées.

    A contrario, une étude publiée en 2021 dans Royal Society Open Science a affirmé qu’il était possible de vivre au moins jusqu’à 130 ans, voire au-delà.

    Les résultats suggèrent d’ailleurs qu’il n’y aurait en fait pas de limite à la durée de la vie humaine. "Cela ne signifie pas pour autant que ces âges seront bientôt atteints, car la probabilité de survivre jusqu’à 130 ans, à condition d’atteindre 110 ans, est à peu près égale à celle de voir “face” à 20 lancers consécutifs d’une pièce de monnaie. Cet événement a une probabilité de moins d’un sur un million", nuancent toutefois les auteurs de l’étude.

    Source: Guinness World Records