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  • Hier, dimanche des Rameaux

    Le tressage, une tradition qui se perd

    Rares sont les artisans dans le Vieux Nice qui perpétuent la tradition des palmes tressées. Devant la cathédrale de Nice, il n’a y a plus que deux étals. Ils appartiennent à la même génération, car la technique se transmet de génération en génération.

    Motifs traditionnels ou fantaisistes, simples ou élaborés, depuis plus de 80 ans, la famille Vaseli tresse des motifs avec le cœur des palmiers.

     […] La fête des Rameaux marquera alors le début de la semaine sainte. Signe de vitalité, il était autrefois déposé sur les tombes ou exposé dans le foyer.

    "Les fidèles portent les rameaux chez eux et se souviennent que dans la vie, il y a lumière et ténèbres, joie, peine et difficultés et que c’est tout cela qui tisse une vie humaine“. Père Michel Angella, Recteur de la cathédrale Sainte-Réparate,

    Ne répondant à aucune prescription de l’Église, les rameaux en France présentent une grande variété de végétaux correspondant à la variété des zones climatiques: laurier, olivier, buis, romarin… Si la coutume est respectée, tous ont un point commun: être brûlés au bout d’une année. L’entrée d’un jeune rameau dans sa maison marque le début d’une nouvelle année liturgique.

    Source : France 3

    A Toulouse, les rameaux sont de buis ou laurier

     

  • Poêlée épicée à la saucisse de Toulouse

    Pour 4 personnes

    500 g de saucisse de Toulouse; 16 pruneaux dénoyautés ou non

    2 oignons; 1 cuillère à café de graines de cumin, 50 g de graisse de canard

    1 cuillère à café de gingembre frais haché; 4 pommes de terre grosses

    1 cuillère à soupe de miel; Sel, poivre du moulin; eau ou 1 verre de vin blanc sec

    1 cuillère à soupe de coriandre hachée

    Epluchez les pommes de terre et les oignons.

    Coupez les pommes de terre en gros cubes et émincez finement les oignons.

    Faites revenir à feu vif la saucisse de Toulouse coupée en 4 portions avec la graisse de canard; la saucisse doit être bien dorée.

    Ajoutez ensuite les oignons émincés et laissez les fondre jusqu'à ce qu'ils soient bien bruns.

    Mouillez avec un verre d'eau ou de vin blanc, ajoutez le cumin, le gingembre, la cuillère de miel, les pommes de terre et les pruneaux. Salez, poivrez.

    Laissez mijoter à couvert pendant 25 minutes à feu très doux.

    Servez bien chaud avec la coriandre hachée.

     

  • Pesticides dans l'eau:

    l’association UFC-Que choisir alerte sur la présence de polluants dans l’eau potable

    Ouest-France.

    Dans un rapport paru ce jeudi 28 mars, l’UFC-Que choisir pointe du doigt la présence de pesticides et de nitrates dans l’eau potable. L’association souhaite que les agriculteurs payent pour la dépollution des cours d’eau, qualifiée d'" imparfaite sur le plan sanitaire ".

    " Plus de deux millions de consommateurs reçoivent une eau qui, malgré les traitements, est polluée en pesticides ou en nitrates " : C’est le constat du dernier rapport de l’association UFC-Que choisir, paru ce jeudi 28 mars. Mais rassurons-nous, 95,6 % des consommateurs boivent une eau du robinet "de très bonne qualité et conforme à l’ensemble des paramètres sanitaire ".

    Présents dans 5 % des réseaux de distribution d’eau, les pesticides sont la première cause de non-conformité. Cela représente, au total, 2 271 communes dans l’hexagone. Dans une moindre mesure, les nitrates sont présents dans les réseaux de distribution de 370 communes. En bas du classement, on retrouve les contaminations bactériennes, présentes dans 0,7 % du réseau d’eau potable, mais aussi l’arsenic qui touche 0,4 % des réseaux.

    Des pollutions agricoles coûteuses

    L’association pointe du doigt les pratiques agricoles, comme étant à l’origine de certaines pollutions. " Alors que les pollutions domestiques et industrielles ont considérablement diminué dans les 20 dernières années et sont en passe d’être résolues, les pollutions agricoles n’ont que très peu baissé dans les cours d’eau et sont toujours aussi présentes dans les nappes phréatiques ", alerte l’UFC.

    Pour répondre à cet enjeu, l’association propose la mise en place de mesures plus contraignantes pour les agriculteurs qui font l’usage de produits controversés pour la qualité de l’eau. "Plutôt que de limiter l’utilisation des engrais et des produits phytosanitaires à l’origine de ces pollutions, la France a massivement fait le choix du dispendieux traitement des eaux polluées afin de les rendre potables", fustige le rapport.

    La facture de dépollution de l’eau, est comprise entre 750 millions et 1,3 milliard d’euros .