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  • Votre compote de pommes sublimée

    Ingrédients pour 4 personnes:

    1 pot de compote de pomme sans sucre ajouté en bocal de verre ou maison ou 4 belles pommes bio ou autres (plus bas, je vous indique comment nettoyer une pomme non bio)

    8 galettes bretonnes au vrai beurre

    Lavez vos pommes BIO ou bien, faite une poudre de bicarbonate avec un petit peu d'eau et avec un papier, trempez dans ce mélange et frottez soigneusement chacune de vos pommes; passez-les rapidement sous l'eau; faire sécher avec du papier absorbant pour ne pas vous blesser en les coupant. Bien évidemment, vous n'ôtez pas la peau (puisqu'elles sont bien ou bien nettoyées au bicarbonate) Coupez en deux, retirez les pépins puis les découper en petits cubes que vous versez dans une casserole à fond épais.

    Ajoutez un verre d'eau en bouteille (et pas du robinet si vous voulez ne pas absorber des molécules pharmaceutiques): saupoudrez d'une cuillère à soupe de cannelle en poudre et/ou une cuillère à café de muscade en poudre ou une gouttelette de girofle en poudre.

    Faites cuire juste le temps que les cubes deviennent translucides, (une dizaine de minutes), goûtez, sucrez si nécessaire, passez au mixer une fois refroidi.

    Mettre dans des verrines de galettes bretonnes ou petits-beurre au vrai beurre justement, une galette effritée puis ajoutez la compote de pommes par-dessus.

    Emiettez si vous le voulez un autre gâteau sec par dessus

    Vous pouvez également servir à l'assiette à dessert avec une ou deux boules de glace (parfums que vous aimez) et saupoudrer d'un pralin de pistaches ou autres.

     

  • Études sur l'huile d'olive et de ses bienfaits pour le cerveau

    Une étude montre que l’huile d’olive extra vierge pourrait prévenir plusieurs formes de démence

    L’amélioration de la fonction cérébrale est essentielle pour contrer les effets du vieillissement. Et selon une étude réalisée par des chercheurs de la Lewis Katz School of Medicine de Temple University (LKSOM) aux États-Unis, s’il y a une chose supplémentaire que chaque personne devrait envisager de faire pour garder son cerveau “jeune”, c’est d’ajouter de l’huile d’olive extra vierge à son régime alimentaire.

    L’huile d’olive extra vierge (ou EVOO, pour “extra virgin olive oil” en anglais) est un super aliment riche en antioxydants protecteurs des cellules et connu pour ses multiples bienfaits pour la santé, notamment pour aider à freiner les maladies liées au vieillissement, telles que les maladies cardiovasculaires.

    Des recherches antérieures, également réalisées à la LKSOM, avaient montré que l’EVOO préserve la mémoire et protège le cerveau contre la maladie d’Alzheimer.

    Et dans une nouvelle étude réalisée sur des souris, les chercheurs de la LKSOM montrent qu’il est possible d’ajouter à cette liste un autre groupe de maladies liées au vieillissement, les tauopathies, caractérisées par la formation progressive d’une forme anormale d’une protéine spécifique liée à la démence, la protéine tau, dans le cerveau.

    Ce processus conduit à un déclin de la fonction mentale, ou à la démence. Les résultats obtenus sont les premiers à suggérer que l’EVOO peut aider le cerveau à se défendre contre un type spécifique de déclin mental lié à la tauopathie, appelé démence frontotemporale. Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue Aging Cell.

    L’huile d’olive extra vierge pour lutter contre différentes formes de démence

    La maladie d’Alzheimer est en soi une forme de démence. Elle affecte principalement l’hippocampe, le centre de stockage de la mémoire dans le cerveau. La démence fronto-temporale affecte les zones du cerveau situées près du front et des oreilles. Les symptômes apparaissent généralement entre 40 et 65 ans et comprennent des modifications de la personnalité et du comportement, des difficultés de langage et d’écriture, une détérioration éventuelle de la mémoire et de la capacité à tirer des leçons des expériences vécues.

    Le Dr Domenico Praticò, titulaire de la chaire de recherche sur la maladie d’Alzheimer de la Scott Richards North Star Foundation, professeur aux départements de pharmacologie et de microbiologie et directeur du Centre Alzheimer du LKSOM, décrit ce nouveau travail comme une preuve supplémentaire montrant la capacité de l’EVOO à prévenir le déclin cognitif et à protéger les points de convergence des neurones, les synapses, éléments cruciaux de partage d’informations dans le cerveau.

    "L’EVO fait partie de l’alimentation humaine depuis très longtemps et présente de nombreux avantages pour la santé, pour des raisons que nous ne comprenons pas encore parfaitement", a-t-il déclaré. "La prise de conscience que l’EVOO peut protéger le cerveau contre différentes formes de démence nous donne l’occasion d’en apprendre davantage sur les mécanismes par lesquels elle agit pour favoriser la santé cérébrale".

    Dans le cadre de recherches antérieures portant sur un modèle murin, dans lequelles des souris étaient modifiées pour développer la maladie d’Alzheimer, l’équipe de Praticò a montré que l’EVOO fourni dans le régime alimentaire protégeait les jeunes souris de la perte de mémoire et des troubles de l’apprentissage à mesure qu’elles vieillissaient.

    Amélioration de la mémoire et de l’apprentissage et diminution des plaques amyloïdes

    Plus particulièrement, lorsque les chercheurs ont examiné le tissu cérébral de souris alimentées par EVOO, ils n’ont pas observé les caractéristiques typiques du déclin cognitif, en particulier les plaques amyloïdes, des protéines collantes qui saturent les voies de communication entre les neurones. En d’autres termes, le cerveau des animaux semblait normal.

    Dans le cas de cette nouvelle étude, des conséquences similaires ont pu être observées. En effet, l’équipe montre qu’il en va de même pour les souris conçues pour développer une tauopathie.

    Chez ces dernières, la protéine tau normale devient défectueuse et s’accumule dans le cerveau, formant des dépôts de protéines tau nocifs, également appelés “enchevêtrements”. Les dépôts de tau, similaires aux plaques amyloïdes dans la maladie d’Alzheimer, bloquent la communication neuronale et nuisent ainsi à la pensée et à la mémoire, entraînant une démence fronto-temporale.

    Les souris malades de l’expérience ont alors été soumises à un régime alimentaire supplémenté en EVOO à un jeune âge, comparable à environ 30 ou 40 ans chez l’Homme.

    Six mois plus tard, lorsque les souris avaient l’équivalent de 60 ans chez l’être humain, les gisements de tau nocifs avaient été réduits de 60% chez les animaux à risque de tauopathie, par rapport aux autres animaux non nourris à l’huile d’olive extra vierge. Les souris au régime EVOO ont également montré de meilleures performances lors des tests de mémoire et d’apprentissage que celles privées d’EVOO.

    Un fonctionnement plus sain des synapses

    Lorsque le Dr Praticò et ses collègues ont examiné le tissu cérébral des souris nourries avec de l’EVOO, ils ont constaté que l’amélioration de la fonction cérébrale était probablement facilitée par un fonctionnement plus sain des synapses, qui était associé à des taux plus élevés que la normale d’une protéine appelée Complexine-1. La Complexine-1 est connue pour jouer un rôle critique dans le maintien en bonne santé des synapses.

    L’équipe de recherche envisage à présent d’explorer ce qui se produit lorsque de l’EVOO est administrée à des animaux plus âgés, qui ont commencé à développer des dépôts de protéines tau et des signes de déclin cognitif, ce qui correspond plus étroitement au scénario clinique chez l’Homme.

    "Nous sommes particulièrement intéressés à savoir si l’EVOO peut inverser les dommages causés par la protéine tau et finalement traiter les tauopathies chez les souris les plus âgées", a ajouté le Dr Praticò.

    Source : Aging Cell

     

  • Cette huile qui nous fait tant de bien!

    L’huile d’olive, présente de nombreux bénéfices pour la santé.

    Extra-vierge, elle apporte des acides gras mono-insaturés dont l'acide oléique. De plus, elle apporte également des composés phénoliques antioxydants et anti-inflammatoires. Elle semble jouer un rôle protecteur vis-à-vis de la maladie cardiovasculaire.

    L’huile d’olive extra vierge réduirait le risque de fracture

    La consommation d’huile d’olive extra vierge pourrait réduire le risque de fractures liées à l’ostéoporose. C'est ce que suggèrent des chercheurs espagnols qui ont analysé l’effet de la consommation d’huile d’olive et de ses différentes variétés sur le risque de fractures liées à l’ostéoporose dans une population de seniors méditerranéens, dans le cadre de l'étude PREDIMED.

    Les participants, 870 personnes âgées de 55 à 80 ans, avaient tous un risque cardiovasculaire élevé, sans antécédent de maladie cardiovasculaire. Parmi eux se trouvaient des fumeurs, des personnes obèses ou en surpoids, des personnes hypertendues. Ils ont suivi un des trois régimes suivants : un régime méditerranéen avec une consommation élevée d’huile d’olive extra vierge ou bien assorti de noix, ou encore un régime faible en graisses.

    Pendant le suivi qui a duré 8,9 années en moyenne, il y a eu 114 cas de factures liées à l’ostéoporose. Le tiers de personnes qui mangeaient le plus d’huile d’olive extra vierge a réduit de 51% son risque de fracture par rapport au tiers qui en consommait le moins. Les composés spécifiquement présents dans l’huile d’olive extra vierge pourraient avoir des bénéfices pour la santé osseuse. L’huile d’olive courante (que l'on trouve en Espagne), composée à 80% d’huile raffinée, ne serait donc pas aussi favorable.

    L’huile d’olive est conseillée contre le diabète et les troubles cardiovasculaires

    Hypertension, hypercholestérolémie, stress oxydant, sensibilité à l’insuline et inflammation, autant de paramètres santé qui semblent être équilibrés avec une consommation régulière d’huile d’olive.

    Ces bénéfices sont, en partie, attribuables à l’acide oléique ou oméga-9, qui réduit l’oxydation des graisses et augmente le cholestérol HDL (le "bon" - faire la différence? LDL “le laid“). Ses propriétés anti-oxydantes et anti-inflammatoires limitent également les dommages causés notamment par la pollution de l’air sur la santé vasculaire.

    Des chercheurs de l’université de Rome en Italie ont montré que l’huile d’olive vierge extra améliore les taux de glucose et de cholestérol dans le sang. Pour cela, ils ont testé l’effet de l’huile d’olive vierge extra ajoutée à un repas de type méditerranéen. 25 personnes (12 hommes et 13 femmes) en bonne santé ont participé. Ils ont mangé un repas typiquement méditerranéen avec ou sans huile d’olive extra vierge (10 g). Dans une autre partie de l'étude, les volontaires ont eu un repas méditerranéen avec 10 g d’huile d’olive ou 10 g d’huile de maïs.

    Résultats: dans la première partie de l’étude, 2 h après le repas, ceux qui avaient pris le repas avec l’huile d’olive avaient significativement moins de glucose et de cholestérol-LDL dans le sang, et plus d’insuline par rapport à ceux qui n’avaient pas eu d’huile d’olive. Dans la deuxième partie de l’étude, l’huile d’olive a amélioré les profils lipidiques et glycémiques, par rapport à l'huile de maïs : il y avait une plus faible augmentation du glucose, plus d’insuline et moins de LDL avec l’huile d’olive.

    Par conséquent, l’huile d’olive extra vierge améliore la glycémie après un repas. La prévention du diabète grâce au régime méditerranéen pourrait être due aux propriétés antioxydantes de l’huile d’olive : parmi les composants de l’huile d’olive vierge extra, l’oleuropéine réduirait le stress oxydatif ; les chercheurs suggèrent aussi d'explorer les propriétés d’autres composants (polyphénols).

    L'huile d'olive a des propriétés anti-cancer

     

    Un régime méditerranéen riche en huile d’olive extra-vierge diminuerait de manière marquée le risque de cancer du sein par rapport à un régime pauvre en graisses selon l’étude espagnole PREDIMED sur 4.152 femmes en bonne santé au début de l’étude.

    Dans cette étude, un groupe de volontaires a suivi un tel régime, l’huile d’olive représentant 15% de leurs calories ; un autre groupe a suivi un régime méditerranéen riche en noix ; le dernier régime était un régime pauvre en graisses. Après 5 années de suivi, 35 femmes ont développé un cancer. Les femmes du groupe "huile d’olive" sont celles qui ont été les moins touchées, avec une baisse du risque de 68% par rapport au groupe " pauvre en graisses ". Il y a eu aussi une réduction du risque dans le groupe "noix", mais celle-ci n’était pas significative au plan statistique.

    L’huile d’olive est riche en composés appelés polyphénols qui, expérimentalement, sont antioxydants, anti-inflammatoires et anti-cancer.

    Selon cette étude, chaque fois que le régime méditerranéen comprend 5% de calories supplémentaires apportées par l’huile d’olive, le risque de cancer du sein baisse de 28%.

    La propriété anticancer de l’huile d’olive est le résultat de l’activité d’un ensemble d’antioxydants, notamment des composés phénoliques comme l’hydroxytyrosol. Cette molécule est un polyphénol capable de d’éliminer les radicaux libre et les espèces réactives de l’oxygène (ROS). De même l’oleuropéine s’est avérée anti-cancéreuse (en limitant la prolifération des cellules anormales et en favorisant leur mort) contre de nombreux cancers : cancer du sein, mélanome, cancer colorectal… Toutes ces molécules limitent aussi les dommages causés à l’ADN, responsables des mutations cancérigènes.

    L'huile d'olive améliore les fonctions cognitives des seniors

    Il suffirait de consommer 20 à 30 grammes d'huile d'olive vierge par jour pour voir ses fonctions cognitives s'améliorer lorsqu'on a 65 ans ou plus. C'est ce qu'a montré une étude italienne sur 180 personnes, qui ont suivi soit un régime méditerranéen avec une variété d'huiles végétales, soit le même régime dans lequel toutes les huiles étaient remplacées quotidiennement par 20 à 30 grammes d'huile d'olive extra vierge. Après un an, les scores au test ADAS-cog qui mesure la mémoire, le langage, l'attention et d'autres capacités cognitives, se sont améliorés amélioré dans les deux groupes, mais plus encore dans celui qui prenait de l'huile d'olive extra-vierge.

    Les chercheurs pensent que l'huile d'olive extra-vierge a des effets neuroprotecteurs du fait de ses antioxydants.

    L'huile d'olive pourrait aider à prévenir Alzheimer

    Dans une étude chez l'animal parue dans Annals of Clinical and Translational Neurology, des chercheurs ont montré que l’huile d’olive extra-vierge protège expérimentalement du déclin cognitif et de la maladie d’Alzheimer. La consommation d’huile d’olive permet non seulement de protéger la mémoire et la capacité d’apprentissage mais également de réduire la formation de plaques amyloïdes et d’enchevêtrements neurofibrillaires -formés d’agrégats de protéine Tau- dans le cerveau, deux marqueurs de la maladie d’Alzheimer.

    Les chercheurs ont montré que l’huile d’olive est capable de réduire l’inflammation au niveau du cerveau et d’activer le processus d’autophagie qui permet aux cellules de se dégrader et d’éliminer les débris intracellulaires et les toxines, comme les paques amyloïdes par exemple.

    Pour leurs travaux, les chercheurs ont utilisé des souris " Alzheimer " présentant trois caractéristiques : une perte de mémoire, des plaques amyloïdes et des enchevêtrements neurofibrillaires composés de protéine Tau. Les souris ont été divisées en deux groupes qui ont reçu le même régime alimentaire mais pour l’un des deux groupes l’alimentation a été enrichie en huile d’olive extra-vierge lorsque les souris avaient 6 mois, avant l’apparition des symptômes de la maladie d’Alzheimer.

    Les résultats montrent qu’à l’âge de 9 et 12 mois, les souris ayant reçu l’huile d’olive ont de meilleurs résultats aux tests de mémoire spatiale, mémoire de travail et capacités d’apprentissage que les souris de l’autre groupe. Les chercheurs ont également noté des différences aux niveaux des cellules nerveuses : chez les souris du groupe " huile d’olive ", les synapses (connexion entre neurones) ont été préservées. Leurs cellules nerveuses présentent également une activation du processus d’autophagie plus importante et donc des niveaux réduits de plaques amyloïdes et de protéines tau phosphorylées.

  • Des truffes à l'Armagnac ou whisky

    J'en fais toutes les fins d'années! Incontournable chez moi…

    Cuisson au bain marie: 5 min

    Repos frigo: 4 h

    Pour 50 truffes environ :

    200 g de chocolat amer (noir) (choisissez celui qui a le plus de concentré de chocolat)

    3 cuillères à soupe (40 g) de beurre doux, 4 cuillères à soupe (30 g) de sucre glace/en poudre; si votre chocolat est trop sucré, pas de sucre

    1 jaune d'œuf; 65 ml de crème à fouetter 35% MG

    4 cuillères à soupe (60 ml) de whisky ou Armagnac, 5 cuillères à soupe de cacao en poudre

    Coupez le chocolat en morceaux et le chauffer avec le beurre dans la partie supérieure d'un bain-marie. Mélangez à la spatule jusqu'à ce que le chocolat soit fondu.

    Ajoutez le sucre et le jaune d'œuf au bain-marie. Mélangez avec un batteur électrique jusqu'à l'obtention d'un mélange lisse. Retirez alors de votre bain-marie.

    Ajoutez alors la crème lentement puis, bien mélanger avec un batteur électrique. Ajoutez le whisky en mélangent lentement à la spatule. Laissez refroidir environ 3 h au réfrigérateur.

    Quand la pâte a suffisamment durci (assez ferme mais pas trop dure), la sortir du réfrigérateur. Saupoudrez une petite quantité de poudre de cacao sur une planche, pour éviter que les truffes ne collent sur la plaque.

    Pour façonner les truffes, prélevez une petite cuillère à thé  ou à café de pâte, la rouler en boule et déposer sur la plaque chocolatée. Mettre ensuite la plaque avec les truffes au réfrigérateur 1 h.

    Mettre la poudre de cacao restante dans une assiette creuse en verre et faites rouler les truffes dans le cacao. Gardez, bien sûr, les truffes au froid dans un contenant hermétique en verre, jusqu'au moment de les servir.