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Actualité - Page 59

  • FRANCE, j'écris ton nom!

    La Marseillaise

    Premier couplet 

    Allons, enfants de la Patrie,

    Le jour de gloire est arrivé !

    Contre nous de la tyrannie

    L'étendard sanglant est levé, (bis)

    Entendez-vous dans les campagnes

    Mugir ces féroces soldats?

    Ils viennent jusque dans vos bras

    Égorger vos fils, vos compagnes !

    Refrain: 

    Aux armes, citoyens,

    Formez vos bataillons,

    Marchons, marchons !

    Qu'un sang impur

    Abreuve nos sillons !

    Couplet 2 

    Que veut cette horde d'esclaves,

    De traîtres, de rois conjurés ?

    Pour qui ces ignobles entraves,

    Ces fers dès longtemps préparés ? (bis)

    Français, pour nous, ah ! quel outrage !

    Quels transports il doit exciter !

    C'est nous qu'on ose méditer

    De rendre à l'antique esclavage !

    Refrain 

    Couplet 3 

    Quoi ! des cohortes étrangères

    Feraient la loi dans nos foyers !

    Quoi ! ces phalanges mercenaires

    Terrasseraient nos fiers guerriers ! (bis)

    Grand Dieu ! par des mains enchaînées

    Nos fronts sous le joug se ploieraient !

    De vils despotes deviendraient

    Les maîtres de nos destinées !

     Refrain 

    Couplet 4 

    Tremblez, tyrans, et vous, perfides,

    L'opprobre de tous les partis,

    Tremblez ! vos projets parricides

    Vont enfin recevoir leurs prix ! (bis)

    Tout est soldat pour vous combattre,

    S'ils tombent, nos jeunes héros,

    La terre en produit de nouveaux,

    Contre vous tout prêts à se battre !

    Refrain 

    Couplet 5 

    Français, en guerriers magnanimes,

    Portez ou retenez vos coups !

    Épargnez ces tristes victimes,

    À regret s'armant contre nous. (bis)

    Mais ces despotes sanguinaires,

    Mais ces complices de Bouillé,

    Tous ces tigres qui, sans pitié,

    Déchirent le sein de leur mère !

    Refrain 

    Couplet 6 

    Amour sacré de la Patrie,

    Conduis, soutiens nos bras vengeurs.

    Liberté, Liberté chérie,

    Combats avec tes défenseurs ! (bis)

    Sous nos drapeaux que la victoire

    Accoure à tes mâles accents,

    Que tes ennemis expirants

    Voient ton triomphe et notre gloire !

    Refrain 

    Couplet 7

    (dit "couplet des enfants“) 

    Nous entrerons dans la carrière

    Quand nos aînés n'y seront plus,

    Nous y trouverons leur poussière

    Et la trace de leurs vertus (bis)

    Bien moins jaloux de leur survivre

    Que de partager leur cercueil,

    Nous aurons le sublime orgueil

    De les venger ou de les suivre.

    Refrain

     

    FRANCE, j'écris ton nom:

    LIBERTÉ  D'EXPRESSION 

  • Les leçons de grammaire du coronavirus

    Le/la Covid? Réouvrir ou rouvrir?

    Lorsqu’un mot entre dans la langue, il arrive que les règles régissant son usage ne soient pas fixées du premier coup.

    Le Covid-19 a apporté son lot de nouveaux mots (lundimanche, apérue, coronabdos, voire encore corona-boomeurs, whatsappéros ou coronapéro), mais aussi de nouveaux débats linguistiques. (N'importe quoi!)

    Exit le match "pain au chocolat vs chocolatine", (NON, ya pas débat: c'est chocolatine, un point c'est tout: pourquoi? parce que l'on peut faire du pain au chocolat, AVEC DE LA PÂTE A PAIN,

    et que les chocolatines sont réalisées avec DE LA PÂTE FEUILLETÉE. CQFD)

    et place à des questionnements davantage en rapport avec les nouvelles réalités auxquelles sont désormais confrontés les francophones.

    Doit-on dire "le" ou "la" Covid-19?

    "Rouvrir" ou "ré-ouvrir": que faut-il dire et écrire? Et sinon, faut-il dire "quatorzaine" ou "quarantaine"? Sur les réseaux sociaux, les internautes échangent des arguments en faveur de l’une ou de l’autre réponse à ces questions, sans jamais réussir à se mettre d’accord.

    Le ou la Covid-19?

    Dans le cas du mot covid-19, le débat porte sur le genre du mot. Doit-on dire la Covid-19, puisqu’il s’agit d’une maladie; ou le Covid-19, puisque c’est un virus? Quand l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a proposé ce terme le 11 février dernier, elle n’a pas précisé son genre (car en anglais la question ne se pose pas).

    Aussi, à partir de la mi-mars, et malgré l’utilisation du féminin sur le site français de l’OMS, les journalistes de France ont spontanément pris l’habitude de l’employer avec des articles masculins (le, un, ce, etc.).

    La règle voulant qu’en français, le genre de l’acronyme soit déterminé par le genre du premier mot (co- vient de "corona", vi- de "virus" et d- de l’anglais disease qui veut dire "maladie"; 19 indique l’année de l’apparition du virus), et que le genre du mot corona soit masculin en français.

    Puis les internautes leur ont emboîté le pas. C’est ainsi que l’usage du masculin s’est installé dans les pratiques des Français, comme le montre ce graphique réalisé à partir des requêtes sur Google au cours des 90 derniers jours en France. La séquence "la covid" est quasiment inexistante en face de la séquence "le covid":

    Outre-Atlantique en revanche, très tôt, une note a circulé encourageant l’usage du féminin ("la covid"), laquelle a été suivie quasi immédiatement d’une notice de l’Office québécois de la langue française (OQLF), le grand organisme qui régule la langue au Québec. Si bien qu’aujourd’hui les deux variantes sont en concurrence dans la Belle Province.

    Les Québécois garderont-ils les deux genres, ou basculeront-ils du côté du féminin? Difficile de répondre à cette question pour le moment, il faudra encore être patient pour voir si l’une des deux formes prend le dessus sur l’autre.

    Dans l’Hexagone, France Terme, qui publie les résultats de la Commission d’enrichissement de la langue française chargée de nommer en français les réalités nouvelles et les innovations scientifiques et techniques, n’a pas encore proposé de recommandations (alors qu’elle a établi une liste de termes alternatifs aux anglicismes liés au Covid-19 qui commençaient à gagner du terrain).

    Quant à l’Académie française, elle vient de rendre son verdict, en optant pour l’usage du féminin, suivant en cela l’OMS et l’OQLF. Mais c’est sans doute déjà trop tard…

    Des écoles qui rouvrent ou ré-ouvrent?

    Le couple rouvrir/ré-ouvrir a également fait l’objet de pas mal de débats sur les réseaux sociaux.

    L’argument invoqué par les opposants à la variante ré-ouvrir est que cette forme est peu plaisante à l’oreille (les linguistes diraient qu’elle n’est pas euphonique), en raison du fait qu’elle comporte deux voyelles contiguës (ce qu’on appelle techniquement un hiatus).

    Les Français n'ont qu'à articuler (et parler lentement sans mitrailler), au lieu de zézéter et de taratater.

     

    Pourtant la plupart des dictionnaires commerciaux et libres la mentionnent dans leurs nomenclatures, comme le rappelle le linguiste belge Michel Francard. On trouve ré-ouverture dans les pages du Larousse (mais il est absent du Robert), dans le TFLi (mais pas dans le Littré).

    Quand on y pense bien, ce n’est pas étonnant, sachant qu’existent dans la langue de nombreux verbes commençant par le préfixe ré- (et non r-) suivi d’une voyelle: ré-approvisionner, ré-entendre, ré-écouter, etc.

    En jetant un coup d’œil aux pratiques des twittos en France (Twitter permet de ne chercher que dans les tweets envoyés pendant les neuf derniers jours), on peut voir que même si l’utilisation de rouvrir est majoritaire, celle de ré-ouvrir est loin d’être nulle:

    La variante ré-ouvrir reste toutefois fort stigmatisée, ce qui explique sans doute pourquoi elle est moins employée (trois fois moins, proportionnellement) que sa concurrente rouvrir.

    Les internautes ont en effet tendance à l’associer à une mauvaise maîtrise de la langue française, qui serait le propre "- des jeunes qui ne savent plus parler".

    Que diraient pourtant ces censeurs s’ils savaient qu’on trouve cette forme déjà au début XVIIe siècle, puis régulièrement sous la plume d’écrivains aussi célèbres que Céline ou Stendhal, et tout récemment dans le discours de notre premier ministre Édouard Philippe ou dans les tweets du ministre de l’Éducation, Jean‑Michel Blanquer? (incompétent et inculte!)

    Quarantaine ou quatorzaine?

    Un autre néologisme qui irrite pas mal d’internautes, le terme quatorzaine, qui tend à remplacer depuis quelques semaines le classique quarantaine. Sémantiquement, le mot quarantaine est une sorte de terme générique pouvant évoquer une durée variable, alors que quatorzaine est beaucoup plus précis, ce qui explique son succès dans le contexte que l’on vit actuellement, comme l’explique notre collègue Myriam Bergeron Maguire. Beaucoup ont argumenté que le mot n’est pas légitime car il ne figure pas dans les dictionnaires.

    Mais quand on y pense bien, est-ce là un motif valable pour le rejeter, sachant que tous les néologismes ont d’abord commencé par ne pas être dans "le" dictionnaire, par la force des choses? En sont témoin les mots déconfinement et re-confinement, qui ont connu une notoriété soudaine plus ou moins au même moment dans les médias, mais qui ne figurent ni dans le Robert, ni dans le Larousse (le premier vient tout juste d’apparaître dans le Wiktionnaire.

    Comment les mots entrent dans la langue?

    Lorsqu’un mot nouveau entre dans la langue, il arrive que les règles régissant son usage (masculin ou féminin, formes de pluriel, dérivations, etc.) ne soient pas fixées du premier coup, et que des variantes concurrentes circulent. C’est ensuite l’usage – des internautes, des journalistes, des écrivains mais aussi des simples locuteurs – qui permet de faire pencher la balance en faveur de l’une ou de l’autre variante. En bout de chaîne, ce sont les dictionnaires qui entérinent l’issue de ces débats.

    Si l’une des deux variantes prend clairement le dessus, l’autre est soit abandonnée (elle sort alors de l’usage, et n’est pas reprise par les dictionnaires), soit considérée comme "marquée" (régionale, archaïque, technique ou autre). Ce sera sans doute le cas du genre féminin de covid, qui devrait être accompagné de l’étiquette " régional " dans les dictionnaires fabriqués en France.

    Signalons toutefois que ce genre de question n’est jamais réglé rapidement: le processus peut prendre du temps, et les usages coexister pendant des siècles (voir notamment le couple rouvrir/ré-ouvrir).

    Enfin, les chances de voir apparaître de nouveaux mots dans la nomenclature des dictionnaires dépendent de leur vitalité, sur le long terme. Les processus de déconfinement et de re-confinement seront-ils des réalités avec lesquelles il faudra apprendre à vivre dans les années à venir? Pendant combien de temps mettra-t-on encore les gens en quatorzaine? Les réponses à ces questions seront cruciales pour les lexicologues en charge des prochaines éditions de dictionnaires.

    Mathieu Avanzi

    Maître de conférences en linguistique française, Sorbonne Université

    licence Creative Commons.

    Source et graphiques

  • Mon pauvre Toulouse!

    Tous les fous ne sont pas à Braqueville! (hôpital des fous)

    Toulouse : un immeuble squatté en plein cœur de la ville, place du Capitole

    Des détritus enflammés jetés dans la cheminée, les gouttières maculées d’excréments, des seringues qui jonchent le sol… nous ne sommes pas aux Castalides, cet ancien squat en mode quart monde du Mirail, mais bien en plein cœur du Capitole à Toulouse, plus précisément au n° 9 de la place, sous les Arcades.

    Ludovic Delalande loue depuis des années un local pour ses activités immobilières. Depuis quelque temps, il est à bout. «Il y a eu le feu hier (N.D.L.R., mercredi dernier), décrit-il en ouvrant le conduit de la petite cheminée d’une pièce de l’agence. Les pompiers nous ont dit qu’on allait crever si ça continuait comme ça dans cet immeuble».

    Vu de l’extérieur, le 9 Capitole ne dépareille pas du faste de toute la place emblématique de Toulouse. Mais, à l’intérieur, au fil des étages, le luxe de façade est vite oublié. La peinture s’écaille, les tags fleurissent.   […]

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  • Incroyable laurier

    Une étude italienne récente, parue en août 2020, a analysé une quarantaines de composés issus du laurier. Les auteurs ont eu cette idée car une étude précédente, datant de 2008, avait trouvé que l’huile de laurier présente des propriétés antivirales contre le virus SARS-CoV, responsable de la maladie SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère) : l’huile essentielle de laurier inhibe la réplication du virus in vitro.

    Dans cette nouvelle étude, les auteurs ont voulu savoir si des molécules du laurier pouvaient inhiber une protéase très importante pour le virus SARS-CoV-2 (responsable de la Covid-19), M pro (ou 3CL pro), jouant un rôle dans la réplication du virus. Des traitements utilisés contre la COVID-19, comme l’association lopinavir/ritonavir, sont d'ailleurs des inhibiteurs de protéase. La protéase du SARS-CoV-2 a 96 % de similitude avec celle du SARS-CoV.

    44 molécules dérivées du laurier ont été analysées, neuf d’entre elles avaient une affinité pour la protéase du virus SARS-CoV-2. Ces neuf molécules appartenaient à trois familles : les laurusides (six molécules), les lactones sesquiterpènes et les tétrahydroxyflavones. La molécule qui avait le plus d’affinité pour la protéase virale était le lauruside 5. Les laurusides sont des dérivés de glucosides.

    Les auteurs préviennent que " néanmoins, avant de proposer des laurusides comme antiviraux ou les applications par inhalation de l'huile de Laurus nobilis pour améliorer l'état de santé des patients COVID-19, la toxicité des composés et le potentiel allergénique de l'huile essentielle de laurier doivent être soigneusement évalués".

    En cuisine:

    Avant de couper des feuilles de laurier pour les cuisiner, assurez-vous qu’il s’agit bien de laurier sauce et non de laurier rose car ce dernier est toxique

    Vous pouvez faire sécher des feuilles de laurier et les conserver dans un bocal à l’abri de la lumière. Mélangées avec d’autres aromates (thym, romarin, estragon…), broyées, ces feuilles peuvent vous servir à préparer un mélange d’herbes de Provence "maison".

    Les feuilles de laurier s'utilisent dans les marinades, elles parfument des plats de viandes, de poissons, des ragoûts, potées, courts-bouillons, soupes…

  • Miel et cannelle pour les frimas hivernaux

    Quand les remèdes naturels surpassent les produits pharmaceutiques

    Le miel est utilisé comme remède depuis des milliers d’années; il peut se montrer très efficace pour soigner le rhume, la toux en particulier, sans provoquer le moindre effet indésirable (seules quelques légères nausées ont parfois été signalées dans les études considérées). Il est notamment recommandé pour soulager la toux aiguë chez les enfants, pour qui les sirops antitussifs sont finalement peu efficaces, voire contre-indiqués chez les nourrissons. Le miel est bien souvent cité comme " remède de grand-mère" à l’approche de l’hiver. Consommé seul ou pour sucrer une infusion, il soulage efficacement les gorges irritées. Dans le cadre d’une étude clinique sur les infections des voies respiratoires supérieures, des chercheurs ont pu confirmer ces propriétés bienfaisantes. Mieux: pour soigner ces maladies, le miel s’avère être plus efficace que les traitements médicamenteux traditionnels.

    Facilement accessible et bon marché, notamment par rapport aux antibiotiques, le miel pourrait ainsi être un excellent moyen de contribuer aux efforts visant à ralentir l’antibio-résistance. Les auteurs de l’étude soulignent néanmoins que d’autres essais contrôlés par placebo sont nécessaires avant de l’envisager. En outre, il existe plusieurs types de miels, il pourrait donc être intéressant de comparer leur action respective face à l’infection.

    L’antibio-résistance est un problème majeur, mondial, tant pour la santé humaine que la santé animale. Préserver l’efficacité des antibiotiques est aujourd’hui un réel défi. Si l’on ne réduit pas la consommation de ces médicaments, l’antibio-résistance pourrait devenir d’ici 2050 l’une des principales causes de mortalité dans le monde. Aujourd’hui, elle serait déjà responsable de près de 700’000 décès par an à l’échelle mondiale ; en France, elle est à l’origine de plus de 5500 décès par an.

    Les résultats de cette étude viennent d’être publiés dans la revue BMJ Evidence-based Medicine. Ses auteurs, trois chercheurs de l’Université d’Oxford, dressent le bilan de 14 essais cliniques, dont l’objectif était de tester l’efficacité de différents traitements pour soigner les infections des voies respiratoires supérieures (IVRS). Leur conclusion est assez surprenante.

    Une solution potentielle à l’antibio-résistance

    Le sujet de leur étude a été motivé par un constat inquiétant: aujourd’hui, les bactéries responsables d’infections chez l’Homme sont de plus en plus robustes. En effet, la prescription et la consommation abusive d’antibiotiques, que l’on observe depuis plusieurs années, leur a permis de développer au fil du temps une résistance à chacun de ces produits. Des bactéries " hautement résistantes " sont ainsi apparues dans les années 2000 et ne cessent de proliférer. Le phénomène est classé parmi les dix principaux risques auxquels la Grande-Bretagne est confrontée.

    Un comble lorsque l’on sait que dans bien des cas, ces antibiotiques sont tout bonnement inutiles. En effet, si l’infection est d’origine virale et non bactérienne, ces médicaments n’ont aucun effet. Dans le cas des IVRS, ce comportement inapproprié est très répandu. Pourtant, on sait que la grande majorité de ces infections sont causées par des virus. Mais, face aux demandes insistantes, certains médecins soucieux de préserver les relations avec leurs patients finissent par céder malgré les recommandations.

    C’est la raison pour laquelle les scientifiques cherchent aujourd’hui des remèdes alternatifs pour soulager les voies respiratoires. Dans ce contexte, les chercheurs britanniques ont analysé les résultats de plusieurs essais cliniques destinés à tester l’efficacité de divers traitements contre les IVRS. Quatorze essais cliniques, incluant plus de 1700 patients, ont été passés au crible.

    Les malades souffraient d’infections aiguës telles que la toux, le rhume et d’autres maladies de type grippal ; en revanche, bronchites et autres infections des voies inférieures étaient exclues du protocole. La plupart des remèdes conventionnels ont été testés: divers médicaments en vente libre (sans ordonnance) contre le rhume et la congestion nasale, des antibiotiques, mais aussi du miel.

    Plus précisément, parmi les 14 études, neuf utilisaient du miel pur, deux utilisaient du sirop Grintuss (un sirop antitussif contenant du miel et des complexes végétaux) et une utilisait du sirop Honitus (un autre sirop à base de miel et de plantes). Les deux autres études ont testé l’efficacité du miel combiné avec du café et du lait. Par ailleurs, neuf des études concernées étaient exclusivement pédiatriques.

    Résultat: la précieuse substance produite par les abeilles s’est avérée 36% plus efficace pour réduire le nombre de quintes de toux et aussi 44% plus efficace pour en diminuer la gravité. En outre, les patients traités avec du miel ont été rétablis plus rapidement: l’infection a duré en moyenne deux jours de moins qu’avec les autres traitements.

    Le miel semble donc doté de propriétés médicinales impressionnantes. Les chercheurs expliquent que ce pouvoir est dû au peroxyde d’hydrogène qu’il contient. Ce composé est en effet un très bon agent antibactérien; il est d’ailleurs couramment utilisé pour désinfecter les plaies cutanées superficielles. En outre, la consistance épaisse et visqueuse du miel est idéale pour tapisser le palais et la gorge, ce qui soulage rapidement les zones irritées.

    Source: BMJ Journals, Abuelgasim et al.

    Les STEC non O157 et la cannelle

    " Prévenir naturellement des maladies d’origine alimentaire avec la cannelle ", source communiqué de la Washington State University du 16 juillet 2014.

    En cherchant des moyens de prévenir certaines des maladies d’origine alimentaire les plus graves causées par des bactéries pathogènes, deux scientifiques de l’université d’État de Washington ont trouvé quelque chose de prometteur dans une épice commune en cuisine, la cannelle.

    Les résultats récents ont été publiés dans la revue Food Control suggèrent que l’huile de Cinnamomum cassia peut agir efficacement en tant qu’antibactérien naturel dans l’industrie alimentaire. Les résultats de l’étude s’ajoutent à un ensemble de connaissances qui aideront à améliorer la sécurité des aliments et à réduire ou d’éliminer les cas d’intoxication alimentaire et des décès connexes.

    Dans l’étude, l’huile essentielle a détruit plusieurs souches de Escherichia coli (E. coli) producteurs de shigatoxines connus par le Centers for Disease Control and Prevention étant des STEC non O157. L’étude portait sur six souches principales de STEC non O157, a déclaré la co-auteure, Lina Sheng, étudiante en troisième cycle à l’école en science des aliments.

    L’huile de Cinnamomum cassia est efficace à faibles concentrations, dit-elle, environ 10 gouttes diluées dans un litre d’eau ont détruit les bactéries en 24 heures.

    La hausse des préoccupations des additifs chimiques sur la santé a renforcé la demande pour les additifs alimentaires naturels, a déclaré la co-auteure Meijun Zhu, professeure à l’École en science des aliments.

    "Notre objectif est d’explorer les composés bioactifs naturels dérivés des plantes comme antimicrobien pour maîtriser les pathogènes d’origine alimentaire, afin d’assurer la sécurité des produits réfrigérés", a-t-elle dit.

    "L’huile peut être incorporée dans des films et des revêtements pour emballage de la viande et des produits réfrigérés ", a dit Sheng. " Elle peut également être ajoutée lors de l’étape de lavage de la viande, des fruits ou des légumes pour éliminer les micro-organismes".

    Cinnamon cassia est produite principalement en Indonésie et a une odeur plus forte que l’autre variété de cannelle commune de Ceylan.

    En plus de l’huile de Cinnamomum cassia, Sheng prévoit d’étudier une autre source naturelle pour détruire les bactéries. Elle et ses collègues étudieront le potentiel du pissenlit pour inhiber les bactéries liées à la mammite bovine, une infection des glandes mammaires des vaches laitières.

    Votre boisson vitalité pour l'hiver

    Même quantité d'eau en bouteille, de miel, de cannelle en poudre

    Mélangez le tout SANS FAIRE BOUILLIR

    Boire la valeur de deux à trois cuillères à soupe matin et soir (pendant les épidémies hivernales et… la covid) ou le matin uniquement les autres périodes de l'année.

    La cannelle fait baisser le taux de sucre dans le sang (je l'ai expérimenté moi-même, ayant subi 5  années et demi de perf. mensuelle de 500 mg de cortisone, mon taux de sucre était limite alors que depuis plus de 50 ans, j'évite le sucre au maximum).

    La cannelle contient du chrome qui donc, réduit le sucre dans le sang… en même temps, aide à lutter contre le surpoids.

    Assertions vérifiées sur moi. Comme la plupart des infos de ce blog.

  • Les médecins du monde entier parlent…

    Enfin de bonnes nouvelles du monde entier: les médecins parlent en Allemagne, en Espagne, aux États-Unis!

    " Face aux mesures gouvernementales “disproportionnées et nuisibles à la population”, à l’absence d’enquêtes indépendantes et au manque de transparence dans la gestion des informations épidémiologiques, un collectif d’enquête internationale regroupant 2 000 médecins et experts a été constitué à Stuttgart (en Allemagne), avec plus de 5 000 membres".

    Enfin! on n’y croyait plus! Certes des voix – y compris médicales – s’étaient élevées avec courage comme celle du Pr Perronne, de l’équipe de Marseille et certains généralistes comme le Dr Violaine Guérin, le Dr Martine Wonner et quelques autres, mais un large groupe comme ceux qui viennent d’émerger en cette fin juillet aura plus de mal à passer pour " complotiste " comme est désignée toute personne opposée ou au moins critique de la pensée unique officielle mondialiste sous les ordres de l’OMS, elle-même aux ordres et financée par le milliardaire Bill Gates dont la légitimité sanitaire ne tient qu’aux dollars qu’il fait ruisseler.

    Initiative initiale en Allemagne

    Ce collectif a été lancé fin mai à Stuttgart et a décidé d’un collectif d’enquête internationale. Il a regroupé initialement 2 000 médecins et experts a été constitué à Stuttgart (en Allemagne), avec plus de 5 000 membres actuellement. Il se dénomme: ACU (commission d’enquête extraparlementaire Corona), cette commission d’enquête indépendante se veut internationale et citoyenne.

    "Face aux mesures gouvernementales “disproportionnées et nuisibles à la population”, à l’absence d’enquêtes indépendantes et au manque de transparence dans la gestion des informations épidémiologiques et scientifiques, l’ACU veut faire la lumière sur la réalité de l’épidémie, en faisant appel à la contribution citoyenne, et aux experts indépendants du monde entier".

    Ce collectif enfin rassemblé a été éminemment choqué par l’attitude invraisemblable des médias internationaux tout au long de cette crise pendant laquelle la vérité médicale a semblé à mille lieux de l’intérêt des journalistes autorisés.

    HONTEUSE INTERDICTION DE LA CHLOROQUINE

    La polémique autour de la chloroquine et son invraisemblable interdiction, son classement comme substance vénéneuse fin janvier quand sont apparus les premiers cas européens a particulièrement frappé tous les esprits puisqu’elle est de fait à l’origine de la multiplication des décès dans les pays comme la France ou la Belgique qui ont appliqué la politique du pire.

    Transformer le traitement par chloroquine en bataille politique anti-Trump ou anti-Bolsonaro s’est retourné contre les peuples. En France on peut encore lire aujourd’hui par certains trolls tweetos (en général à neuf abonnés) que le Pr Raoult est un affreux d’extrême droite et qu’on ne le soutiendra jamais car il ment comme tous les mecs de droite. Sacrifier les patients pour les bagarres de bas niveau politique est vraiment navrant. La chloroquine marche comme le prouvent de nombreuses études internationales y compris randomisées et surtout le taux extrêmement faible de décès de Français en zone sud qui a bénéficié du traitement Raoult de Marseille à Nice.

    Le collectif allemand est outré également contre le cinéma des masques " jugés inutiles sauf pour le personnel soignant, mais qui devient subitement obligatoire dès lors que des milliards y ont été investis et qu’ils sont disponibles dans les magasins".

    Les autres points faisant polémique seront étudiés par cette commission d’enquête indépendante, en particulier contre l’interdiction du traitement par Artemisia alors que cet antipaludéen comme la chloroquine semble très efficace dans les pays qui l’utilisent et son prix de revient est encore très inférieur à la chloroquine. Cela a valu à l’OMS la rupture avec plusieurs pays africains.

    La polémique sur les vrais chiffres des malades et des morts dus au Covid-19

    Il est évident que les vrais chiffres de mortalité du Covid ont été très gonflés dans la plupart des pays et le sont encore. Mourir à l’hôpital en France aujourd’hui est encore mourir de Covid, même si vous avez eu un accident de voiture. L’absence générale d’autopsie rendra très difficile l’établissement de la vérité, mais on aura tout de même des surprises.

    La maltraitance et l’assassinat des vieux nous a révoltés depuis fin mars mais les Français et les médecins pour la plupart ont courbé l’échine. Comme quoi inculquer la peur au peuple est terriblement efficace, d’autant qu’on ne sait pas comme éteindre cette peur car les arguments rationnels ne touchent pas ceux qui ont été devenus membres de la secte Covid.

    Le décret autorisant l’euthanasie des pensionnaires des Ehpad contaminés par le Covid-19, ou suspectés de l’être a été une phase tragique de notre histoire. Dès fin mars les services ont refusé l’hospitalisation des personnes âgées de plus de 75 ans (parfois moins) uniquement sur des critères d’âge et non pas d’évaluation individuelle de la possibilité de bénéficier de la réanimation. Le Samu a refusé de les transporter à l’hôpital et injonction a été donnée aux médecins et personnel des Ehpad de les laisser sous Doliprane sans même donner les antibiotiques prescrits pendant les épidémies de grippe précédentes.

    Et au moindre doute sur aggravation respiratoire, Covid ou pas Covid, injection de Rivotril pour induire une mort douce non demandée. Meurtre et non euthanasie, en l’absence des proches; pas de témoin, c’est mieux pour un assassinat prémédité sur injonction du pouvoir et refus aux proches de voir le cadavre de la personne décédée. Pas d’autopsie. Incinération le plus souvent possible. Ces pratiques niées par les gouvernants ont bel et bien eu lieu et les consignes données par la société de soins palliatifs en témoignent sur le net. Elles seront examinées à la loupe par la commission dite ACU.

    Celle-ci compte aussi analyser le scandale absolu des essais vaccinaux imposés à l’Afrique contre financement politique, et bien sûr la tentative de mise sur le marché à toute vitesse hors des procédures habituelles que tentent d’imposer les firmes avec la collaboration honteuse de l’Union européenne.

    Ce collectif veut mettre en place " un projet de participation intergénérationnel par des citoyens pour des citoyens ". Chacun peut soutenir le projet avec ses connaissances, son expérience et ses contributions sous forme de conférences et d’entretiens.

    Les informations seront diffusées au niveau international en plusieurs langues. L’ACU a mis en place une plateforme internationale accessible à tous, via l’adresse:

    www.acu2020.org

    et invite les citoyens de tous pays à contribuer.

    Écoutez la conférence de presse de 3 experts de l’ACU, notamment les Drs. Schöning, Schiffmann, Haditsch qui invitent experts et témoins à recueillir des preuves publiques qui seront mises en ligne quasiment en flux direct, sur le site internet multilingue de l’ACU, pour garantir la transparence du contenu de la plateforme.

    https://youtu.be/vTlhSgU3ims

    L’ACU est financée exclusivement par des dons. Pour contacter la commission, tout citoyen est invité à adresser un courriel à: kontakt(@)aerzte-fuer-aufklaerung.de

    (d’après le résumé en français de Kouadio KOUAMÉ)

    Voir aussi:

    http://www.cielvoile.fr

     

    Et les médecins américains se mettent à parler en faveur de la chloroquine

    Résistons! nous verrons la prochaine fois la résistance des médecins américains qui se met en place et fait peur à Big Pharma et alliés qui sont allés jusqu’à supprimer la vidéo de la conférence de presse vue 33 millions de fois. YouTube, Facebook et Google ont supprimé les liens mais la vidéo continue à circuler. On ne peut pas faire taire le peuple même si certains d’entre eux acceptent le masque de la honte et de la soumission.

    " VIDÉO CENSURÉE par Google, Facebook etc. des médecins américains sur l’HCQ. Ci-joint le lien de la vidéo. “Le chèque de Big Pharma ou la menace du retrait de recettes publicitaires sur-le-champ a dû produire son effet” dit un internaute mais il nous donne un nouveau lien:

    ici:

     

    "La liberté sera toujours plus forte, conclut-il "

    Troisième volet, les médecins espagnols se réunissent et parlent aussi

    COMPLETA Rueda de prensa MÉDICOS POR LA VERDAD

     

    Nous en reparlerons.

    En attendant, des médecins suisses, italiens se rallient à ces collectifs. Espérons que les médecins français relèveront la tête et ne seront pas les derniers à faire éclater la vérité sur cette vaste mystification. Répétons une nouvelle fois que l’épidémie est terminée et que comme d’autres peuples, les Bulgares, les Serbes, il faut se battre pour retrouver une vie normale, seule capable de limiter les dégâts en particulier psychiques que la prolongation des mesures liberticides aggrave jour après jour.

    Pour info: 1.300.000 personnes à Berlin le 1 août 2020 et non 20.000 comme disent les médias… Enlevez vos masques!!! Et déposez plainte à l’IGPN dès que vous avez une amende. (les moutons masqués seront bientôt des esclaves).

     L'auteur

    Nicole Delépine

    Ancien Interne et ancien Chef de Clinique des Hôpitaux, elle s’est successivement spécialisée en pédiatrie puis en cancérologie. Elle est l’auteur d’une centaine d’articles originaux et a présenté de nombreuses communications dans les congrès internationaux.

    Les résultats de ses travaux ont été confirmés à l’étranger et inspirent des protocoles thérapeutiques internationaux. La réputation internationale de son équipe médicochirurgicale associant la chimiothérapie de pointe individualisée et la chirurgie conservatrice mise au point et développée par le Dr Gérard Delépine depuis les années 80 est considérable dans le domaine des tumeurs des os et des parties molles.

    Cette renommée internationale a permis à cette petite équipe créatrice et indépendante de résister au long des décennies aux représentants de la pensée unique et de la médecine purement normative qui ont tenté de la faire disparaitre à plusieurs reprises.

    Ce n’est que grâce à l’action des associations de parents, des interventions répétées des élus de la région parisienne et autres, des reportages multiples de journalistes, du soutien de nombreux médecins français et étrangers que cette équipe a pu résister à ses détracteurs. Elle publie régulièrement des tribunes dans différents médias. Elle a publié quatre livres chez Michalon: Neuf petits lits au fond du couloir 2000 Ma liberté de soigner 2006 La face cachée des médicaments 2011 Le cancer un fléau qui rapporte 2013

     

    Source: