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Bien-sûr, l’une des premières préoccupations fut d’abord de limiter le risque de contracter la Covid-19 au travers des aliments et/ou de leurs emballages. Une inquiétude qui reste de mise. Que sait-on des possibilités de contamination?
S’ils sont présents sur des aliments entreposés dans le réfrigérateur à 4 °C, les coronavirus peuvent rester infectieux pendant un laps de temps de 72h.
Dans l’eau, ces virus sont capables de survivre jusqu’à 10 jours à 23 °C, et plus d’un an à 4 °C. Et sur des surfaces comme le verre, le métal ou le plastique, ils peuvent rester infectieux pendant 9 jours. Enfin, on sait que le SARS-CoV-2 est inactivé aux températures de cuisson habituelles (70 °C), et qu’il est également très sensible aux détergents et désinfectants : le sel, le poivre, le vinaigre et le jus de citron n’ont en revanche aucun effet.
Pour l’heure, aucune donnée scientifique ne suggère que le SARS-CoV-2 puisse nous infecter par voie digestive. Mais on ne peut pas totalement exclure la possibilité d’une contamination des voies respiratoires lors de la mastication d’un aliment infecté. Et par principe de précaution, les autorités de santé ont donc émis un certain nombre de recommandations.
Ainsi, l’OMS et l’ANSES recommandent de se laver les mains régulièrement, notamment après avoir fait ses courses, avant de cuisiner et de se mettre à table. Il est également conseillé de rincer les fruits et les légumes à l’eau, de retirer les emballages inutiles, et de nettoyer plus fréquemment le réfrigérateur.
A l’inverse, il est contre-indiqué de désinfecter aliments et emballages avec de l’eau de javel ou un détergent: faute d’un rinçage suffisant, on s’expose alors au risque d’intoxication. Enfin, à ces conseils, devraient enfin s’ajouter ceux visant à limiter les risques de toxi-infection alimentaire: il s’agit de veiller aux dates de péremption et aux conditions de conservation des aliments, ou encore à leur température de cuisson. Quid des moyens de renforcer ses défenses contre le SARS-CoV-2 en s’appuyant sur l’alimentation ?
Le meilleur régime à adopter…
Beaucoup se sont posé et se posent toujours la question du meilleur régime à adopter pour renforcer ses défenses immunitaires. Or si des études ont bel et bien établi l’existence de liens entre alimentation, nutriments, et immunité, il n’existe pas à ce jour de "régime revitalisant de l’immunité".
À ce sujet, notons que les vitamines jouent un rôle de premier plan dans l’inconscient collectif. On les considère souvent comme l’exemple même de micronutriments aptes à nous prémunir contre la fatigue et les infections. Et les vitamines D, C ou A sont d’ailleurs souvent proposées sous forme de compléments alimentaires. Doit-on pour autant les recommander pour lutter contre la Covid-19 ?
Vitamine D : la plus médiatisée
La vitamine D est depuis le début de la pandémie la plus médiatisée de ces micronutriments, et la question de l’intérêt d’une complémentation systématique de la population reste posée.
Cette vitamine a pour partie une origine alimentaire et se trouve principalement dans les poissons gras (hareng, saumon, sardine et maquereau) et les laitages enrichis. Mais elle est aussi synthétisée par l’organisme, sous l’influence de l’exposition au soleil.
On sait, par des études épidémiologiques, qu’il existe une relation entre de faibles concentrations plasmatiques en vitamine D et le risque d’infections voire d’hospitalisation pour Covid-19. Cette vitamine s’est aussi révélée avoir un rôle immuno-modulateur lors de recherches menées sur des cultures cellulaires, en facilitant la réponse immunitaire innée. Et chez l’animal, une carence en vitamine D augmente le risque d’apparition de maladies auto-immunes, d’événements cardiovasculaires ou d’infections. Reste que chez l’homme, les études sont moins convaincantes.
En pratique, il n’est donc pas recommandé de complémenter en vitamine D des patients présentant une infection, une maladie auto-immune ou une maladie cardiovasculaire. Mais il n’est pas irrationnel pour un médecin de le proposer à ses patients, en particulier en période hivernale et de confinement, lorsque l’exposition au soleil est réduite et notre synthèse naturelle de vitamine D diminuée.
Vitamine C : des données à confirmer
Les effets bénéfiques de la vitamine C sur les infections respiratoires ont longtemps été débattus. Quelques études suggèrent qu’elle pourrait réduire leur survenue, leur durée et leur sévérité en étant ingérée sous forme de compléments alimentaires. Mais ces données n’ont pas été confirmées, et il n’est donc pas recommandé de supplémenter la population générale pour prévenir ou traiter une infection.
Ceci étant, pour la majorité de la population, les apports en vitamine C sont inférieurs aux recommandations. Et cela justifie de promouvoir la consommation d’aliments qui en renferment d’importantes quantités : certains fruits (agrumes, fruits rouges) et légumes (choux, poivron, radis noir) constituent à cet égard des sources d’apports à privilégier.
Vitamine A: recommandée dans certains cas
Des compléments de vitamine A peuvent s’avérer bénéfiques chez les enfants. D’abord, en potentialisant l’effet de certains vaccins contre le tétanos et la rougeole, comme semble le montrer une étude. Ensuite, en étant associés à un risque moindre de morbidités et de mortalité en cas de rougeole, de diarrhées sévères, d’infection par le VIH ou de paludisme.
L’OMS préconise donc d’en apporter aux enfants âgés de 6 mois à cinq ans, dans les pays où la carence en vitamine A constitue un problème de santé publique. Mais la France ne fait pas partie de ces pays à risque : il n’y a donc pas lieu de donner systématiquement de la vitamine A aux enfants. Et de manière générale il n’y a aucun argument pour la proposer en dehors de situations de carences objectivées, d’autant qu’elle peut se révéler délétère chez la femme enceinte.
Notons en revanche qu’une alimentation équilibrée comporte en principe des aliments riches en caroténoïdes tels que les carottes, épinards ou le potimarron, dont la consommation mérite d’être encouragée dès qu’il s’agit de légumes de saison.
Quid d’autres micronutriments ?
D’autres vitamines et oligo-éléments semblent avoir un lien avec l’immunité, en particulier les vitamines B, mais aussi le zinc, le fer, le magnésium et le sélénium. Mais il n’a jamais été démontré que l’apport de ces micronutriments par le biais de compléments réduit le risque infectieux.
Les acides aminés, que l’on trouve dans les viandes, poissons, œufs, produits céréaliers et légumineuses, semblent aussi moduler le système immunitaire via divers mécanismes lorsqu’ils sont apportés sous forme de compléments protéiques. Par exemple, une étude conduite en 2011 a montré qu’une complémentation en acides aminés est associée à un moindre risque d’infections chez les personnes âgées.
Des aliments pour renforcer l’immunité?
D’après des études menées in vitro (sur des cultures cellulaires) et in vivo (sur un organisme vivant) chez l’animal, le poisson, riche en acides gras de la famille oméga-3 et en sélénium, aurait des propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes. À ce titre, il pourrait s’avérer bénéfique dans les infections et dans la réponse aux vaccins. Mais pour l’heure, on ne dispose d’aucune preuve quant à l’impact d’une consommation importante de poisson sur le système immunitaire d’un être humain.
Le lait de vache présente également des propriétés anti-inflammatoires in vitro. Et il semble que les anticorps bovins qu’il renferme, restant actifs après qu’on les ait digérés, puissent aider à lutter contre certaines infections – notamment les otites et les rhinopharyngites chez l’enfant.
Enfin, il est possible que les fruits et légumes riches en vitamines et en oligo-éléments puissent avoir un effet protecteur contre les infections respiratoires : il fut par exemple décrit une association entre une moindre fréquence d’infections et une consommation importante en fruits et légumes chez les femmes enceintes.
Gare aux surdosages
Au bilan, si certains aliments sont potentiellement bénéfiques pour les défenses immunitaires, on ne sait rien de l’intérêt des uns par rapport aux autres en termes quantitatifs. Et de fait, les recommandations nutritionnelles édictées par l’ANSES pour l’ensemble de la population semblent parfaitement adaptées pour profiter au mieux des effets anti-infectieux des aliments.
À l’exception peut-être de la vitamine D, notamment en période hivernale, le recours aux compléments alimentaires ne parait donc pas justifié. De plus, il convient de rappeler que n’étant pas considérés comme des médicaments, ces compléments délivrés sans ordonnance ne sont pas soumis aux mêmes réglementations et exposent ceux qui en usent à des risques d’intoxication et de complications.
Ainsi, la prise quotidienne de 100 000 UI de vitamine D pendant 1 mois (1 µg équivaut à 40 UI) expose à un risque d’hypercalcémie et d’insuffisance rénale. De même, une surconsommation de vitamine A (avec plus de 10 000 UI/jour) peut exposer à un risque d’ostéoporose et de fractures, mais aussi de malformations fœtales en cas de grossesse.
Pareillement, de hautes doses de vitamine C (1 000 mg/jour et plus) semblent être toxiques chez les sportifs, entraînant une réductionde leurs performances physiques, et des calculs rénaux chez les personnesprédisposées. Enfin, la toxicité de deux acides aminés pris en excès a été rapportée par la littérature : une prise chronique d’arginine accentue la mortalité chez les patients ayant subit un infarctus du myocarde ; une complémentation en méthioninepeut exacerber les symptômes des patients schizophrènes, augmenter le risque d’accident cardiovasculaire et entraîner un retard de croissance chez les enfants.
Pour aller plus loin :
- NUTRIcovid , une application pour mieux se nourrir
Dans le contexte de la pandémie, l’AP-HP, en partenariat avec PuMS, la chaine santé de l’Université de Paris/AP-HP, ont mis en place NUTRIcovid, un programme national d’information, de prévention et d’accompagnement nutritionnel accessible sur Internet. Les utilisateurs ont accès à une médiathèque mise à jour quotidiennement. Ils peuvent également suivre pendant 10 semaines un programme d’e-coaching fondé sur la notion de " nutrition positive ", plutôt que sur des principes de restriction. Des vidéos interactives et en direct sont également proposées avec des scientifiques, des médecins ou des diététiciens de l’AP-HP, de l’Université de Paris et de l’Inserm.
Pour y participer, inscrivez-vous sur nutri-covid.fr.
Cet article a été écrit en partenariat avec le site de la chaîne santé de l’université de Paris pums.fr.
Dans une France où tous ceux qui ont une “parcelle de pouvoir” prennent les français moyens pour des cons, les inspecteurs du Guide Michelin se sont vraiment foutus de “notre gueule”!
La sortie ce 18 janvier 2021 du Guide Michelin France s’apparente à une énorme escroquerie. En effet, le Guide rouge a décerné 57 nouvelles étoiles cette année, amenant le nombre de restaurants étoilés en France à 638, et a en outre rétrogradé 45 tables dans son édition 2021. Et, alors que ses inspecteurs étaient au chômage technique, il a décerné 72 “Bib Gourmand” (coïncidence, les nouveaux venus se chiffrent, comme l’an dernier, à 72) pour 524 tables référencées dans toute la France, contre 567 en 2020. Alors, avec l’hyper confinement qui perdure et la fermeture incompréhensible des restos, comment les inspecteurs du guide Michelin ont-ils fait pour évaluer les plats servis dans tous ces restaurants de France?
Et, confinement aidant, les inspecteurs fantômes du Guide Rouge poursuivent leur chasse aux icônes.
Après le flingage sans sommation du chef créatif Marc Veyrat (Manigod – Haute Savoie), du restaurant du célèbre Paul Bocuse (région Lyonnaise), de l’établissement de Pierre Orsi (Lyon) etc, lors de l’édition 2020, les “tontons flingueurs et faiseurs de rois” ont descendu des figures emblématiques du savoir-faire culinaire français, à l’image de “L’Atelier par Joël Robuchon”, qui perd une étoile.
https://ripostelaique.com/paul-bocuse
Ils ont préféré couvrir de gloire une inconnue, Claire Vallée, du restaurant ONA, qui devient la première chef végane étoilée, et quelques couscousseries de Paris.
Très forts les gars du Guide Duchemin (pardon Michelin), capables de promouvoir ou de retirer des étoiles, des Bib Gourmand, alors que les restaurants sont fermés. En télétravail? Ou par courrier? En étudiant les cartes et menus papiers qui leur ont été adressés par certains restaurateurs? Ou par intuition gustative?
Après l’édition de 2020, où plusieurs grands chefs multi-étoilés ont dénoncé le guide Michelin et le règne de l’arbitraire, Marc Veyrat allant jusqu’à assigner en justice le guide rouge.
Cuisine: le Michelin met la gomme et dérape
Après avoir “mis la gomme” en 2020 pour dégommer une cuisine bien française avec beaucoup de beurre, de crème fraîche et de lard, Michelin dérape en 2021, en terminant le massacre pour nous faire croire que, désormais, la cuisine française, c’est le végan et quelques kebabs ou couscousseries.
La plupart des autres guides ont eu l’honnêteté de ne pas publier, car leurs inspecteurs ont été dans l’impossibilité d’évaluer les bons restaurants et les moins bons!
Certains professionnels de la restauration ont fort bien compris l’arnaque d’un guide passé, en quelques années, d’un tirage de 300 000 exemplaires à 30 000 exemplaires vendus. Dès 2020, ils ont interdit l’accès de leur établissement aux inspecteurs du Guide Rouge.
C’est le cas chez Saquana à Honfleur ou chez Gilles Tournadre, chef normand. Il a écrit au guide Michelin pour indiquer qu’il ne voulait plus de ses deux étoiles. Joint par téléphone, ce chef réaliste affirme: “La pression était devenue trop forte. À chaque sortie du Guide, pendant huit jours, je stressais”.
Du coup, ce Rouennais est redevenu un homme libre, ayant instauré beaucoup plus de simplicité dans le fonctionnement de son établissement, un peu comme un bistro. “Lorsque l’on fait des amuse-bouches, des petits fours, un plat-dessert, c’est du personnel. Ce sont des frais qui ont été économisés, et je peux désormais proposer au client un prix plus juste”. ajoute Gilles Tournadre, qui n’est plus otage d’un “guide arnaqueur” souhaitant imposer une autre cuisine aux chefs français.
Car le Michelin a aussi généré des drames. Il y a quelques années, le grand chef Bernard Loiseau (auberge de Saulieu en Bourgogne) avait préféré le suicide avec son fusil de chasse au déshonneur, après que le Guide Rouge lui ait retiré une étoile.
Le Michelin fait des morts sur la route, lorsque les pneus sont usés ; et en cuisine lorsqu’il sanctionne sans raison.
Francis GRUZELLE
Carte de Presse 55411
Chapelle de l'hôpital St Joseph de la Grave
Et bé, dis donc Tine, quel monde au supermarché
Boudu, ça m'en fait tourner la tête, je t'ai plein de bimbarolles, qui dansent dans les yeux.
Catinou, on devait y aller ce matin, mais tu t'es levée trop tard...
Je sais bien Tine, mais que veux tu, hier impossiple de dormir, j'étais trop inquiète
Je me suis fait une tisane, je crois que j'ai forcé sur le tilleul...
Oui, ah, ah, ah, c'est ça, le tilleul !!!
Catinou, tu n'aurais pas un peu, amélioré le tilleul, par hasard???
Juste un peu, Tine je me suis rajouté une goutte de rhum
Et bé macaniche, c'est pas une goutte, c'est une averse que tu t'es fait tombé dans le bol, à 11h du matin, tu dormais comme une souche..
J'avais pas mis les cluques, Tine, j'ai pas fait attention
Raï, va Catinou, tu es rassurée, maintenant, tu vois, je te l'avais dit, que Lucas venait...
Tu pouvais pas, me le dire hier, bestiasse, tout le monde savait, sauf moi, je me suis fait un sang d'encre..
Mais, enfin, quand-même, Lucas t'aurait averti, s'il n'avait pas pu venir
Ahhh celui là quand il va venir, le 24, je vais te lui dire ma façon de penser, ce grand couillon, qui m'a laissée mariner, et que du coup, j'ai braillé, toute la soirée, et mon fils celui là aussi, il va m'entendre, et l'autre ma belle fille elle, va me dire bonjour, je vais te lui dire le reste!!!
Allez Catinou, quand tu vas le voir, tu seras tellement contente, que tu vas pas pouvoir l'enguirlander, y t'a espliqué ton fils..
Oui je sais Tine, Lucas est allé voir la mère de l'autre de ma belle fille, dans le Gers
Ohh Catinou, c'est aussi sa grand mère
Je m'en carre, il avait qu'à m'avertir, pasqu'il savait qu'il partirait plus tôt de l'Angleterre, à cause de ce nouveau virus..
C'est pasqu'il voulait te faire une surprise, vieille mule que tu es!!!
Non mais dis donc, Tine tu vas pas t'y mettre toi aussi !!!
Bon, alors Catinou, je vais te dire le secret, mais tu me jure, que tu ne diras rien, et tu me le jure sur la tombe de ton Marcel...
Dis moi d'abord ce que c'est
Non tu jures d'abord
Ba pla, je jure
Et bé le petit il sera là demain soir, ici chez toi
Quoi!!!!!! Lucas sera là demain ???
Oui Catinou, comme je te le dis
Boudu, boudu, et j'ai rien de prêt, oh milodits, mais y faut que je fasse la chambre, que je fasse le manger
Il viendra juste, te faire une petite visite, avec Jède
Comment ça juste une petite visite, et y va où donc, après, ils resteront dormir chez ses parents, ils vont être fatigués avec la route, aller voir les uns et les autres
Ah évidemment, là je comprends mieux
Catinou, quand ils vont venir tu fais comme si tu savais rien, hein promis???
Je serai aussi étonnée que le poussin qui sort de l'oeuf
Ahhh Tine que je suis contente, boudu j'en ai envie de pleurer
Tine demain matin, tu me fais réviser l'anglais, je veux pas avoir l'air pègue devant Jède..
Mais oui, Catinou, je te ferai réviser
Ahhh et bé, ça va mieux, té on va se boire un petit verre, pour fêter ça, c'est émotionnant
Hil de puto quelle journée, n'empêche qu'on a fait de bonnes commissions, on va se régaler..
Tu les a fait tourner en bourrique à la poissonnerie, boudu!!!
Et quoi, Tine, je voulais être sûre de ce qu'on va manger
Oui j'ai senti, les crevettes, les langoustines, c'est comme la culotte d'une fenno, si ça sent pas le frais, faut pas y toucher
Et le homard je voulais voir s'il avait l'oeil vif dans son aquarium
Alors, il t'a regardé comme y faut ???
Je suis pas barjaque, je suis méfiante
Ahhh ça tu peux le dire, Catinou, on est restées un bon peu, ça commençait à buffer derrière nous
Et quesque tu crois, Tine, que j'ai pas entendu, l'autre pigasse de Marie, roumeguer dans sa barbe, té d'ailleurs elle ferait bien de s'enlever les poils du menton, on dirait le croupion d'une clouque mal plumée..
En attendant, nous sur la taple on va t'avoir, une bien beau plateau de fruits de mer
Eh ,Tine t'as vu les huîtres que j'ai commandé..
Biétaze, oui j'ai vu, j'ai même cru, que tu allais mesurer les coquilles, pour les avoir toutes pareilles
C'est mon Marcel, qui m'a enseigné à bien les choisir, il savait lui té, pauvret...
Bon, entre demain et après demain y faut tout terminer
Le gaffet qui nous a porté le sapin, nous livrera les fruits de mer, jeudi matin, y nous manque plus rien???
Bé non Catinou, ma fille et mon gendre portent le champagne et le vin, et tu m'as dit que c'était ton fils qui irait chercher la bûche
Oui, et bé alors ba pla
Et le poudinje tu l'ouplies pas Tine, pour Jède
Mais non, il sera prêt le 24
Boudu en parlant de bûches, té je vais en rentrer, pasque le temps va changer, on va te leur faire une bonne flambée..
Et bé tu vois Catinou, ce réveillon de Noël va être formidaple
Allez tchin tchin, ma vieille amie
Et après, je me rentre, j'ai des choses à faire moi aussi..
Catinou, pas de tilleul ce soir.....
Patricia JULIA
Journal officiel samedi 26 décembre 2020
Décret n° 2020-1690 du 25 décembre 2020 autorisant la création d'un traitement de données à caractère personnel relatif aux vaccinations contre la covid-19
NOR: SSAP2033349D
ELI: https://www.legifrance.gouv.fr/eli/decret/2020/12/25/SSAP2033349D/jo/texte
Alias: https://www.legifrance.gouv.fr/eli/decret/2020/12/25/2020-1690/jo/texte
JORF n°0312 du 26 décembre 2020
Texte n° 82
Version initiale
Publics concernés: personnes éligibles à la vaccination contre la covid-19 ; professionnels du secteur sanitaire intervenant dans la vaccination.
Objet: création d'un traitement de données à caractère personnel ayant pour finalité la mise en œuvre, le suivi et le pilotage des campagnes vaccinales contre la covid-19.
Entrée en vigueur: le texte entre en vigueur immédiatement.
Notice: le décret autorise le ministère des solidarités et de la santé et la Caisse nationale d'assurance maladie à mettre en œuvre le traitement dénommé " SI Vaccin Covid". Conformément aux dispositions de l'article 35 de la loi du 6 janvier 1978 modifiée, il définit les finalités du traitement, les catégories de données à caractère personnel enregistrées dans le traitement, les destinataires de ces données, les droits reconnus aux personnes concernées au titre du règlement 2016/679 du 27 avril 2016 (RGPD) ainsi que leurs modalités d'exercice.
Références: le décret peut être consulté sur le site Légifrance (https://www.legifrance.gouv.fr).
Le Premier ministre,
Sur le rapport du ministre des solidarités et de la santé,
Vu le règlement (UE) 2016/679 du Parlement européen et du Conseil du 27 avril 2016 relatif à la protection des personnes physiques à l'égard du traitement des données à caractère personnel et à la libre circulation de ces données, et abrogeant la directive 95/46/CE ;
Vu le code civil, notamment son article 1er ;
Vu le code de la défense, notamment son article L. 4123-9-1 ;
Vu le code de la santé publique, notamment ses articles L. 3111-1 et L. 3131-15 ;
Vu le code de la sécurité sociale, notamment son article L. 162-5-3 ;
Vu la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 modifiée relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés, notamment ses articles 6, 31 et 35 ;
Vu l'avis de la Commission nationale de l'informatique et des libertés en date du 10 décembre 2020 ;
Vu l'avis du conseil de la Caisse nationale de l'assurance maladie en date du 14 décembre 2020 ;
Vu l'avis du conseil central d'administration de la Mutualité sociale agricole en date du 15 décembre 2020 ;
Le Conseil d'Etat (section sociale) entendu,
Vu l'urgence,
Décrète:
Article 1
La direction générale de la santé et la Caisse nationale de l'assurance maladie sont conjointement responsables de ce traitement, qui est mis en œuvre conformément aux dispositions du e du 1. de l'article 6 du règlement (UE) du 27 avril 2016 susvisé et pour les motifs d'intérêt public mentionnés au i du 2. de l'article 9 du même règlement.
1° L'identification des personnes éligibles à la vaccination au regard des recommandations énoncées par le ministre chargé de la santé en application des dispositions de l'article L. 3111-1 du code de la santé publique, l'envoi de bons de vaccination à ces personnes, l'enregistrement des informations relatives à la consultation préalable à la vaccination et l'organisation de la vaccination de ces personnes ;
2° Le suivi de l'approvisionnement des lieux de vaccinations en vaccins et consommables ;
3° L'envoi à la personne vaccinée d'un récapitulatif des informations relatives à la vaccination, établi par le professionnel de santé réalisant la vaccination ou par le personnel placé sous sa responsabilité ;
4° La mise à disposition de données permettant la présentation de l'offre de vaccination, la surveillance de la couverture vaccinale, la mesure de l'efficacité et de la sécurité vaccinales, la pharmacovigilance, le suivi statistique de la campagne de vaccination, l'appui à l'évaluation de la politique publique de vaccination et la réalisation d'études et de recherches ;
5° La délivrance, en cas d'apparition d'un risque nouveau, de l'information prévue à l'article L. 1111-2 du code de la santé publique, aux personnes vaccinées et, le cas échéant, leur orientation vers un parcours de soins adaptés ;
6° La prise en charge financière des actes liés à la vaccination.
Article 2
1° Les données d'identification de la personne invitée à se faire vacciner ou vaccinée: nom, prénoms, sexe, date de naissance, lieu de naissance, numéro d'inscription au répertoire national d'identification des personnes physiques ou, le cas échéant, code d'admission au bénéfice de l'aide médicale d'Etat sous la mention immatriculation ;
2° Le code du régime d'affiliation et de l'organisme gestionnaire assurant la prise en charge des frais de santé de la personne mentionnée au 1° ;
3° Les coordonnées de la personne mentionnée au 1° et de son représentant légal éventuel: adresse postale, numéro de téléphone, adresse électronique ;
4° Les références du ou des bons de vaccination délivrés à la personne ;
5° Les données relatives à la réalisation de la vaccination: dates de la, ou des injections, informations permettant l'identification du vaccin injecté, précisions sur l'administration du vaccin, identification du ou des lieux de vaccination, identification des professionnels de santé ayant réalisé respectivement la consultation préalable à la vaccination et chaque injection ;
6° Les données relatives à la santé de la personne mentionnée au 1°:
7° Les informations sur les critères d'éligibilité non médicaux à la vaccination ;
8° Les données d'identification des professionnels de santé, et des personnes placées sous leur responsabilité, ayant réalisé la consultation préalable et la vaccination: données d'identification, coordonnées et numéro d'identification de l'établissement ou de la structure de rattachement, de l'établissement ou de la structure de vaccination.
Vacciné? vous serez fiché
Par application du premier alinéa du I de l'article L. 4123-9-1 du code de la défense, les données énumérées au I, à l'exclusion de celles mentionnées au 2° et au 8°, ne doivent pas révéler la qualité éventuelle de militaire de la personne mentionnée au 1° du même I.
Article 3
1° Les professionnels de santé, ainsi que les personnes placées sous leur responsabilité, réalisant la consultation préalable et la vaccination, pour les données énumérées au I de l'article 2, à l'exclusion de celles mentionnées au a du 6° de ce I ;
2° Le médecin traitant choisi par la personne vaccinée, conformément aux dispositions de l'article L. 162-5-3 du code de la sécurité sociale, pour les données mentionnées au 1° et, sous réserve du consentement de celle-ci, aux 5°, 6° et 8° du I de l'article 2 ;
3° Pour les ressortissants des organismes des régimes obligatoires d'assurance maladie, les agents, spécialement habilités par le directeur de ces organismes, pour les données énumérées au I de l'article 2, à l'exclusion de celles mentionnées au 6° de ce I ;
4° La direction du numérique des ministères chargés des affaires sociales, en tant que personne de confiance désignée par le directeur général de la santé, pour les données mentionnées au 1° et au 5° du I de l'article 2, aux seules fins de conserver celles-ci et d'en permettre l'accès aux professionnels de santé prenant en charge, en cas d'identification de risques nouveaux, l'information de la personne vaccinée dans les conditions prévues à l'article L. 1111-2 du code de la santé publique et son orientation vers un parcours de soin adapté ;
5° La Caisse nationale d'assurance maladie, pour les données mentionnées aux 1°, 4°, 5°, 6°, et 7° du I de l'article 2, transmises par les professionnels de santé en vue de leur versement dans le dossier médical partagé de la personne vaccinée, conformément aux dispositions de l'article L. 1111-15 du code de la santé publique ;
6° L'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé et les centres régionaux de pharmacovigilance, pour l'exercice de leur mission de pharmacovigilance, pour la partie des données mentionnées au 1° du I de l'article 2 comprenant les trois premières lettres du nom et du prénom, la date de naissance et le sexe de la personne concernée par la vaccination, ainsi que pour les données mentionnées aux 5°, 6° et 7° de ce I ;
7° Le service public d'information en santé prévu par l'article L. 1111-1-1 du code de la santé publique, pour les seules données mentionnées aux 5° et 8° du I de l'article 2 nécessaires à sa mission de diffusion gratuite auprès du public de l'offre de soins disponible.
1° Les personnes habilitées par le directeur général de l'Agence nationale de santé publique, pour les données nécessaires au suivi de la couverture vaccinale et à la mesure de l'efficacité vaccinale ;
2° Les personnes habilitées par les directeurs généraux des agences régionales de santé, pour les données nécessaires à l'organisation de la campagne de vaccination à l'échelon régional et à son suivi ;
3° Les personnes habilitées par le directeur de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques du ministère chargé de la santé, pour les données nécessaires à sa mission d'analyse et de diffusion des informations statistiques dans le domaine de la santé ;
4° Le groupement d'intérêt public mentionné à l'article L. 1462-1 du code de la santé publique et la Caisse nationale de l'assurance maladie aux seules fins de faciliter l'utilisation des données de santé pour les besoins de la gestion de l'urgence sanitaire et de l'amélioration des connaissances sur le virus.
Article 4
Les personnes invitées à se faire vacciner reçoivent les informations prévues par les dispositions du f du 2. de l'article 14 du règlement (UE) du 27 avril 2016 susvisé en même temps que leur premier bon de vaccination.
Les personnes ayant consenti à la vaccination et les professionnels de santé concourant à la prise en charge vaccinale reçoivent individuellement, au moment de la consultation préalable à la vaccination, les informations prévues par les dispositions des a, c et e du 1. et des a et b du 2. de l'article 13 du même règlement.
Article 5
Compte tenu des motifs d'intérêt public mentionnés au c du 3 de l'article 17 du même règlement, le droit à l'effacement ne s'applique pas au traitement autorisé par l'article 1er du présent décret.
1° Le traitement des données enregistrées suite à l'identification des personnes éligibles à la vaccination par les organismes des régimes obligatoires d'assurance maladie, et uniquement jusqu'à l'enregistrement, par un professionnel de santé concourant à la prise en charge vaccinale, du consentement de la personne à la vaccination ;
2° La transmission, telle que prévue au 4° du II de l'article 3 du présent décret, des données au groupement d'intérêt public mentionné à l'article L. 1462-1 du code de la santé publique et à la Caisse nationale de l'assurance maladie. Le droit d'opposition s'exerce auprès du directeur de l'organisme d'assurance maladie de rattachement de la personne concernée.
Article 6
Le ministre des solidarités et de la santé est chargé de l'exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française et entrera en vigueur immédiatement.
Fait le 25 décembre 2020.
Jean Castex
Par le Premier ministre:
Le ministre des solidarités et de la santé,
Olivier Véran
Selon le décret publié, ce fichier devra permettre aux personnes vaccinées de recevoir des informations après coup "en cas d’apparition d’un risque nouveau" par exemple ou alors en cas d’effets secondaires. Ce fichier regroupera ainsi des informations concernant le patient, que ce soit son identité, sa date de naissance et des " données relatives à la réalisation du vaccin " à savoir le modèle du vaccin utilisé, le nom de la personne qui l’aura injecté ou encore son lieu.
Vers un regroupement de deux fichiers
Pour éviter toute polémique quant à un éventuel "fichage", une partie des données sera accessible aux soignants, à des médecins traitants et à la Caisse nationale d’assurance maladie, mais les autres professionnels de santé n’auront qu’un accès restreint, grâce à des " mesures adéquates de pseudonymisation". Une confidentialité promise notamment concernant l’identité des personnes ainsi que leurs coordonnées. Selon Le Parisien, il est également précisé que toute personne pourra faire valoir son droit à l’effacement des données personnelles si "les conditions entrent dans l’un des cas listés par le règlement européen de protection des données de la CNIL".
Après le premier confinement, un fichier similaire avait vu le jour, cette fois-ci concernant les personnes testées. Dans " SI-Dep ", on retrouvait les informations et le résultat des tests de milliers de personnes. Toujours selon nos confrères du Parisien, le ministère envisagerait un recoupement des deux fichiers pour " permettre de vérifier l’efficacité vaccinale pour ceux qui se font tester après l’injection".
Un fichier qui ne servira en pratique à RIEN. Les vaccins à ARN-messager n'ont une durée de protection efficace que de 6 mois (un peu comme actuellement le vaccin anti-grippal), et en plus, la souche de l'épidémie change, comme elle est en train de le faire avec le variant se développant au Royaume-Uni...Encore un acte qui ne peut satisfaire que les obsessions administratives de nos dirigeants énarco-macronien, coûteux et inutile.
Le fichier intitulé “SI Vaccin Covid” permettra aux médecins d’avoir accès à de nombreuses informations, tout en gardant certaines mesures d’anonymat.
A l’aube de la campagne de vaccination contre le Covid-19 qui débute en Europe ce dimanche 27 décembre, un décret paru au prévoit la mise en place d’un fichier de données regroupant de nombreuses informations concernant les personnes qui seront vaccinées en France, rapporte franceinfo. Le but affiché est " la mise en œuvre, le suivi et le pilotage des campagnes vaccinales", peut-on apprendre.
Selon le décret publié, ce fichier devra permettre aux personnes vaccinées de recevoir des informations après coup " en cas d’apparition d’un risque nouveau " par exemple ou alors en cas d’effets secondaires. Ce fichier regroupera ainsi des informations concernant le patient, que ce soit son identité, sa date de naissance et des " données relatives à la réalisation du vaccin " à savoir le modèle du vaccin utilisé, le nom de la personne qui l’aura injecté ou encore son lieu.
Vers un regroupement de deux fichiers
Pour éviter toute polémique quant à un éventuel "fichage", une partie des données sera accessible aux soignants, à des médecins traitants et à la Caisse nationale d’assurance maladie, mais les autres professionnels de santé n’auront qu’un accès restreint, grâce à des "mesures adéquates de pseudonymisation". Une confidentialité promise notamment concernant l’identité des personnes ainsi que leurs coordonnées. Selon Le Parisien, il est également précisé que, toute personne pourra faire valoir son droit à l’effacement des données personnelles si "les conditions entrent dans l’un des cas listés par le règlement européen de protection des données de la CNIL".
Après le premier confinement, un fichier similaire avait vu le jour, cette fois-ci concernant les personnes testées. Dans "SI-Dep", on retrouvait les informations et le résultat des tests de milliers de personnes. Toujours selon nos confrères du Parisien, le ministère envisagerait un recoupement des deux fichiers pour "permettre de vérifier l’efficacité vaccinale pour ceux qui se font tester après l’injection".
Un fichier qui ne servira -en pratique- à RIEN. Les vaccins à ARN-messager n'ont une durée de protection efficace que de 6 mois (un peu comme actuellement le vaccin anti-grippal), et en plus, la souche de l'épidémie change, comme elle est en train de le faire avec le variant se développant au Royaume-Uni...Encore un acte qui ne peut satisfaire que les obsessions administratives de nos dirigeants énarco-macronien, coûteux et inutile.
Il contiendra des informations sur la personne vaccinée (nom, prénoms, date de naissance...) et des données relatives à la réalisation de la vaccination (modèle du vaccin, lieu de vaccination, soignant ayant réalisé le vaccin...).
Pseudonymisation dans certains cas
Ce fichier permettra "l'envoi à la personne vaccinée d'un récapitulatif des informations relatives à la vaccination, établi par le professionnel de santé réalisant la vaccination ou par le personnel placé sous sa responsabilité", selon le décret. Les informations permettront également de contacter les personnes vaccinées "en cas d'apparition d'un risque nouveau".