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Actualité - Page 84

  • Alerte à la maladie du "dragon jaune"

    Oranges et citrons européens

    L'Anses confirme un " risque élevé " d'introduction de la maladie du huanglongbing dans les cultures d'agrumes. Elle recommande la plus L'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) a confirmé mercredi un " risque élevé " d'introduction de la maladie du huanglongbing dite " du dragon jaune " dans les cultures d'agrumes en Europe, et recommande aux voyageurs la plus grande prudence dans le transport et l'importation de ces végétaux. " Le climat favorable, la présence des agrumes, le potentiel adaptatif des bactéries et la capacité d'établissement des insectes vecteurs en dehors de leur zone d'origine " sont autant de facteurs qui permettent à l'Anses de conclure un rapport publié mercredi par une " probabilité élevée d'établissement et de dissémination de la maladie " en Europe.

    La maladie du huanglongbing (HLB) constitue l'une des menaces les plus importantes pour les cultures d'agrumes dans le monde, puisqu'elle provoque des pertes importantes de rendement, une diminution de la qualité des fruits et peut conduire à la mort des arbres, selon l'Anses. La région reste l'une des seules exemptes de cette maladie qui touche de nombreux pays producteurs en Asie du Sud-Est, en Amérique et en Afrique, également présente en outre-mer dans les Antilles et sur l'île de La Réunion. "Il n'existe aucune mesure efficace pour l'éradiquer", écrit l'Anses dans son rapport.

    Respecter la réglementation européenne

    Le psylle Trioza erytreae, l'un des deux insectes vecteurs de la bactérie Candidatus Liberibacter spp., à l'origine de la maladie, est "d'ores et déjà présent au Portugal et en Espagne et pourrait disséminer la maladie", analyse l'agence. Elle explique que la maladie peut apparaître plusieurs années après l'établissement de l'insecte vecteur dans une région donnée, comme en Floride où la bactérie a été détectée sept ans après.

  • Attention, danger!

    Photo: ail des ours

    Après la mort d'un sexagénaire, l'Anses alerte sur les risques d'intoxication aux plantes

    L'Anses met en garde contre les dangers, potentiellement mortels, de la cueillette. Avec les beaux jours, attention à ce que vous cueillez dans la nature et mangez, recommande l'agence sanitaire.

    Au mois de mai, les centres antipoison du Grand Est ont recensé vingt cas d’intoxication par du colchique, que des promeneurs avaient pris pour de l’ail des ours ou du poireau sauvage.

    Au mois de mai, les centres antipoison du Grand Est ont recensé vingt cas d’intoxication par du colchique, que des promeneurs avaient pris pour de l’ail des ours ou du poireau sauvage.

    L'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation (Anses) a recensé plusieurs cas d'intoxication grave ces dernières semaines en France. L'agence alerte donc, lundi 1er juillet sur les risques de cueillir et de manger des plantes non comestibles. Récemment encore, un homme est mort à cause d'une erreur de jugement : un sexagénaire qui croyait ramasser du persil tubéreux dans son jardin, l'a mangé. Il s'agissait en fait d'une plante toxique, l'oenanthe safrané, qui ressemble beaucoup au persil tubéreux. La confusion est courante.

    Plus de 250 cas d'intoxication par an

    Se tromper de plante provoque souvent des douleurs bénignes, abdominales, des vomissements, des diarrhées. Mais des symptômes plus graves peuvent également être constatés. Au mois de mai 2019, les centres antipoison du Grand-Est ont recensé vingt cas d’intoxication par du colchique, que des promeneurs avaient pris pour de l’ail des ours ou du poireau sauvage. Là le risque est plus grand : vertiges, perte de cheveux, arrêt cardiaque ou même coma.

    Au total, les pouvoirs publics recensent plus de 250 cas d'intoxication par an à cause de telles méprises. Les confusions les plus fréquentes sont les suivantes : manger des bulbes de narcisses que l'on a pris pour un oignon, des feuilles d'arum confondues avec de l'oseille ou des épinards, de la vérâtre consommée à la place de gentiane, ou de la belladone au lieu de raisin.

    L'Anses conseille donc de ne surtout pas ramasser et consommer une plante, une fleur ou un bulbe si vous n'êtes pas sûr de vous.

    Le mieux encore est d'aller sur mon site de plantes bio

     

     

    par exemple: acheter des fleurs de plantes, ici "fleurs de sureau"

     

  • Bon à savoir...

     

    Pourquoi vous ne verrez plus "sans paraben" ou "sans silicones" sur les étiquettes de vos cosmétiques

    Les allégations "sans", qui ont une valeur marketing mais peu d'intérêt informatif, disparaissent des étiquettes des produits cosmétiques pour faire place à la liste des ingrédents qui les composent.

    A partir du 1er juillet, les allégations "sans..." sur les produits cosmétiques vont être interdites.

    Les étiquettes des cosmétiques vont être revues de fond en comble. À partir du 1er juillet, les mentions "sans paraben", "sans silicones", "sans sulfates" ou encore "hypoallergénique" disparaissent des bouteilles de shampoing et autres tubes de crème en France et dans toute l'Europe.

    La composition des produits ne change pas

    "Quand vous achetez des pâtes farcies, vous savez ce qu'il y a comme farce! s'exclame Anne Dux, directrice scientifique de la Fébéa, le syndicat de l'industrie cosmétique. C'est de la communication positive, donc il faut, quand vous achetez un produit cosmétique, que vous sachiez réellement ce qu'il y a dans le pot et il est temps d'apporter au consommateur de l'information réelle sur ce qu'il y a dans le produit."

     

    Cela implique des emballages qui vont communiquer sur ce qu'il y a dans le produit au lieu de communiquer sur ce qu'il n'y a pas.”

    — Anne Dux

    Un produit sans silicones n'a plus le droit de l'annoncer comme tel sur son emballage, mais ça ne signifie pas que des silicones seront réintroduits dans la composition du produit. "On va expliquer par exemple, qu'on met du karité pour adoucir la peau, détaille Anne Dux, tel ou tel conservateur pour éviter la prolifération bactérienne, qu'on met des filtres solaires pour que le produit soit efficace, ou pour son activité anti-rides, mais la composition des produits ne change pas."

    Une base de données accessible à tous

    Les mots-clefs rassurants pour les consommateurs, comme les expressions "sans paraben", "sans phtalates" ou "hypoallergénique" (qui reste autorisée mais dont l'utilisation devient très encadrée et difficile à obtenir). Les as du marketing vont devoir trouver de nouvelles formules, dont on ne sait pas encore si elles déclencheront l'achat.

    "Évidemment on ne va pas faire les mêmes allégations pour un produit capillaire que pour un produit de soin de la peau, affirme Isabelle Orquevaux Hary, directrice scientifique et réglementaire de L'Oréal. Il n'y a pas eu d'unicité dans le remplacement des allégations "sans". Il n'y a pas de retrait sur le marché donc, ce n'est pas un changement du jour au lendemain. Après on verra si on a effectivement plus de questions des consommateurs." Par manque de place, dans certains cas les ingrédients ne pourront pas tous figurer sur les emballages.

    ”On développe des sites des marques, le site 'Au cœur de nos produits', pour apporter des informations complémentaires pour le consommateur qui souhaite en avoir”

    — Isabelle Orquevaux Hary

    Les industriels de la beauté ouvrent une base de données dans laquelle 25 000 ingrédients sont répertoriés selon leur fonction, leur origine, et tout ce que la science sait sur ces composants. Cette base de données est accessible aussi bien aux professionnels et aux consommateurs pour informer, et pour redonner confiance aux clients.

  • En 1911, Paris suffoquait déjà sous la canicule

    À la Belle époque, on ne parlait pas encore de réchauffement climatique. Mais pendant 70 jours de juillet à septembre 1911, la capitale ploie sous le soleil cuisant. Et perd des milliers de bébés.

    Par Charles de Saint Sauveur

    Au début du XXe siècle, on n'avait pas encore coutume de dire que tout ce qui faisait fureur aux Etats-Unis franchirait tôt ou tard l'Atlantique. Et pourtant… Juste après avoir semé la mort en Amérique, une vague de chaleur écrasante déferle à son tour sur l'Europe de l'Ouest. En France, elle va prendre ses quartiers d'été en 1911: 70 jours de canicule presque sans discontinuer pour une longue saison de cuisson.

    Le mercure commence son ascension le 4 juillet, s'octroie un petit break entre les 16 et 18, avant de se remettre dans le rouge jusqu'au 31. Sous les toits en zinc de la capitale, la fournaise est devenue si insupportable que beaucoup préfèrent dormir dans la rue. Sur les boulevards brûlants, les Parisiens en canotiers ne s'attardent pas. Certains s'abritent à l'ombre des marronniers, où ils essuient leurs moustaches perlées de sueur.

    Et que dire de ces pauvres dames en lourde robe, qui agitent frénétiquement leurs éventails. On en voit même se glisser furtivement dans les couloirs du nouveau métropolitain, en quête de fraîcheur salvatrice, quand les gamins préfèrent, eux, se jeter dans l'eau douteuse de la Seine. Paris brûle, mais la situation n'est pas plus réjouissante en province - 40 °C à Lyon et Bordeaux les 22 et 23 juillet - ou même à Londres.

    Les journaux s'échauffent contre les " météorologistes "

    "Lorsque le mois de juillet est chaud, le mois d'août est frais", se rassure-t-on en misant, faute de mieux, sur les poncifs. Août sera pire encore… Pendant quinze jours d'affilée, le thermomètre parisien refuse de descendre sous la barre des 30°C! "La chaleur bat nos murs, se répand sur le pavé de Paris ses éclaboussures de feu, dessèche les gosiers, brûle les crânes, et donne aux plus joyeux comme une envie de pleurer", décrit avec emphase le Figaro du 29 juillet.

    Les journaux commencent à s'échauffer contre les "météorologistes officiels", qui avaient annoncé un peu vite la fin du cauchemar: "Et v'lan, nous sommes bons pour une nouvelle vague de chaleur puisque ces messieurs - qui ne se sont jamais trompés, à condition qu'on prenne le contre-pied de leurs prédictions - nous font espérer de la fraîcheur", s'agace le 10 août une plume du Gil Blas (cité par le site Rétronews)

    Le lendemain, "Les Annales politiques et littéraires" cherchent un peu plus haut le responsable. Après tout, pourquoi ne pas convoquer le ciel au tribunal?

    "Faisons comparaître ce mois de juillet coupable d'excès de température, et interrogeons-le sévèrement", s'amuse la revue dominicale. Il n'y a bien que les viticulteurs pour se réjouir des raisins moins nombreux mais gorgés de soleil. Le Guide Hachette des vins accordera 19/20 aux crus de Bourgogne, de Côtes-Du-Rhône et d'Alsace.

    Plus de 40 000 morts, surtout des bébés

    Mais il y a beaucoup plus préoccupant : certains quartiers de la capitale n'ont plus d'eau. Les gazettes égrènent chaque jour la liste des victimes, fauchées par la chaleur ou ses conséquences. Le Dr Jacques Bertillon, chef de la statistique municipale, par ailleurs frère aîné d'Alphonse, le célèbre criminologue, tient les comptes morbides dans son "Bulletin hebdomadaire". Du 23 au 29 juillet, puis du 13 au 19 août, la mortalité atteint des sommets, note le démographe. L'ennemi mortel, c'est la diarrhée, qui fait des ravages dans toute la France. Les plus savants parlent de "toxicoses caniculaires".

    Au total, la canicule de 1911, qui s'étire jusqu'à la mi-septembre, fera 41 072 décès dans l'Hexagone (surcroît de mortalité observée en regard de la moyenne des trois dernières années).

    Une véritable hécatombe qui frappe pour un quart les personnes âgées. Quasiment toutes les autres victimes sont des bébés de moins de deux ans. Parmi eux, les plus vulnérables sont les enfants abandonnés, et, de l'autre côté de l'échelle sociale, les petits placés en nourrice. Ils boivent en effet leur lait en biberon et cet été-là, une épidémie de fièvre aphteuse fait des ravages dans les cheptels bovins. "Il faudra marquer cette année d'une croix noire", consigne, dans son journal, un médecin de la Semaine inférieure.

    Note de la rédactrice

    Alphonse Bertillon a inventé le système des empreintes digitales.

    C'est bien connu: la météo est l'art de dire le temps QU'IL AURAIT DU FAIRE!

  • Filet de canard ou de lapin pané

    accompagné de sa sauce tartare

    5 à 8 filets de canard ou 4 filets de lapin

    2 œufs; 100 g de chapelure

    100 g de farine; Un filet d'huile de pépins de raisin (pour le goût neutre)

    Sel, poivre

    Sauce tartare

    1 jaune d'œuf; 20 g de moutarde maison; 25 cl d'huile pépins de raisin

    1 cl de vinaigre de vin blanc ou votre vinaigre maison

    1 cuillère à soupe de persil plat haché

    1 cuillère à soupe de ciboulette hachée

    20 g de câpres au vinaigre haché

    20 g de cornichons haché

    Sel, Poivre

    Préparez les filets: mélangez l’œuf avec du sel et du poivre dans une assiette creuse et battez à la fourchette.

    Plongez un à un les filets dans la farine mise dans une assiette creuse, tapotez pour retirer l’excédent.

    Trempez ensuite dans l’œuf puis la chapelure placée dans une assiette creuse. Réservez éventuellement au réfrigérateur jusqu’à la cuisson.

    Faites chauffer une poêle avec de l’huile et mettez à cuire les filets de lapinou de canard sur feu moyen. Comptez 10 à 15 minutes de cuisson pour le lapin, un peu moins pour le canard

    Faites la sauce:

    On commence par faire une mayonnaise

    Dans un bol ou un saladier, mettre le jaune d'œuf avec une cuillère à soupe de moutarde, battez quelques minutes: c'est à ce moment-là que dépend l'épaisseur de la mayo… mélangez à l'aide d'un fouet ou d'une fourchette. Sans cesser de remuer, versez ensuite l'huile goutte par goutte pour commencer, puis en filets. Vous ne devez pas “noyer“ d'huile; versez très, très lentement et incorporez en battant sans cesser. Ajoutez à la fin seulement le poivre, le sel.

    Dès que la mayonnaise est ferme et donc finie, ajoutez le vinaigre.

    Ajouter tous les condiments à la mayonnaise qui devient alors “tartare“, puis rectifiez l'assaisonnement qui doit être haut en goût.

    Si vous avez vu trop large ou si vous voulez garder votre mayonnaise maison (ATTENTION, pas plus de 24h! c'est impératif au réfrigérateur) ajoutez, après avoir fini d'incorporer l'huile, du vinaigre bouillant.

    Je répète, une mayonnaise maison ne se conserve pas plus de deux jours au réfrigérateur; vous risquez de graves problèmes intestinaux. De même, un plat où de la mayo est mélangée dans la recette est à jeter au bout de deux jours maximum.

    MEME S'IL S'AGIT d'une mayonnaise réalisée fraîche par un traiteur…

    Bon si vous avez acheté une mayo industrielle et êtes incapable de la faire vous-même, vous êtes bien misérable!

     

     

  • Blancs de poulet farcis aux brocolis

    4 blancs de poulet; 500 g de bouquets de brocolis

    50 ml d’huile d’olive; Sel et Poivre

    Du curcuma (facultatif) et herbes de Provence

    Laver délicatement les bouquets de brocolis, les blanchir dix minutes à l'eau bouillante, les faire revenir à la poêle 5 min dans 20-30 ml d’huile d’olive et les assaisonner avec le sel et le poivre.

    Fendre les blancs de poulet dans le sens de la longueur. Les garnir avec la poêlée d’épinards. Assaisonner les filets avec le sel, le poivre, le curcuma et les herbes de Provence.

    Faire chauffer la poêle avec le reste de l’huile d’olive, puis faites bien cuire les escalopes farcies en surveillant, sur feu moyen. Selon l'épaisseur des blancs de poulet, vous pouvez couvrir et laisser cuire sous couvert 5-6 m, l'étouffée permet de ne pas avoir une viande sèche. Sinon, ajoutez un demi-verre de crème fraîche liquide et cuisez jusqu'à évaporation.

    Servir aussitôt avec une petite salade ou du riz complet.

    Vous pouvez remplacer les brocolis par des épinards.....

     

  • Combien de calories dans les viennoiseries?

    On nomme viennoiseries les croissants, chocolatines, chaussons aux pommes, brioches. Bien que petites et certainement savoureuses, elles sont toutefois très caloriques.

    Avec leur goût riche et leur texture moelleuse, les viennoiseries se caractérisent par leur richesse
 en glucides (amidon), mais aussi en sucres et en matières grasses. En conséquence, les viennoiseries sont très caloriques sous un volume relativement faible, le tout en procurant peu de protéines et de fibres. Évitez de commettre ces erreurs pour que votre déjeuner soit équilibré.

    Alors qu’on les achetait autrefois surtout en boulangerie, on les trouve aujourd’hui couramment proposées dans les grandes surfaces et les cafés.

    Ainsi, une chocolatine, qui pèse en moyenne 70 g, apporte 280 calories et près de 15 g de graisses.

    Un croissant, fournit de 170 à 190 calories, on trouve 7 à 8 g de graisses.

    Il est à noter que les viennoiseries que l’on retrouve dans les dépanneurs, cafés et autres supermarchés peuvent être vendues en format géant, ou encore compter beaucoup plus de matières grasses et de calories.

    Les corps gras utilisés pour leur fabrication sont soit du beurre, soit des matières grasses solides à température ambiante et pas recommandable. Dans les deux cas, il s’agit de graisses en majorité saturées.

    Leur consommation a beaucoup augmenté depuis une quinzaine d’années: certaines personnes en mangent chaque matin, tandis des adultes en font leur repas de midi.

    Consommées occasionnellement, les viennoiseries restent des aliments de plaisir, utiles d’ailleurs quand l’appétit fait défaut ou lorsque des problèmes de mastication existent. Toutefois, prises quotidiennement et en remplacement du pain, elles apportent des graisses cachées dont 
on ne maîtrise pas la nature ni la quantité, et qui peuvent nuire au bon équilibre alimentaire.

    Préférez plutôt les déjeuners simples -à la française- pain, beurre, confiture, qui donnent l’énergie nécessaire pour commencer la journée.