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Actualité - Page 88

  • Pourquoi?.....

    Pourquoi aimons-nous le café, la bière et/ou le vin? Quelle est l’origine de nos préférences en matière de boissons?

    Les goûts de chacun, amer ou sucré, en matière de boissons diffèrent, et il est important pour les scientifiques de comprendre ce qui détermine ces goûts afin d’offrir des solutions thérapeutiques plus efficaces dans la gestion des régimes alimentaires. Selon une récente étude génétique, les préférences concernant les boissons seraient moins une question de goût que d’effets provoqués par ces boissons.

    La généticienne Marilyn Cornelis a recherché des variations dans nos gènes du goût qui pourraient expliquer nos préférences en matière de boisson, car la compréhension de ces préférences pourrait indiquer des moyens d’intervenir dans le régime alimentaire des personnes.

    À la surprise de Cornelis, sa nouvelle étude a montré que les préférences gustatives pour les boissons amères ou sucrées ne sont pas basées sur des variations de nos gènes gustatifs, mais plutôt sur des gènes liés aux propriétés psychoactives de ces boissons.

    "La génétique qui sous-tend nos préférences est liée aux composants psychoactifs de ces boissons" déclare Cornelis, généticienne moléculaire à la Feinberg School of Medicine de la Northwestern University. "Les gens aiment ce que le café et l’alcool leur font ressentir. C’est pourquoi ils en boivent. Ce n’est pas leur goût".

    L’étude, publiée dans la revue Human Molecular Genetics, met en évidence des composantes comportementales basées sur la récompense qui sont importantes dans le choix des boissons et améliore la compréhension du lien entre la génétique et la consommation de boissons, ainsi que des obstacles potentiels à une intervention dans le régime alimentaire des personnes, selon Cornelis.

    Le gène FTO ("Fat mass and obesity-associated protein") est un gène situé sur le chromosome 16 humain. Certaines variations génétiques de FTO sont liées à l’obésité.

    Les boissons sucrées sont liées à de nombreuses maladies et problèmes de santé. La consommation d’alcool est liée à plus de 200 maladies et représente environ 6% des décès dans le monde. Cornelis a découvert une variante d’un gène, appelé FTO, liée à la consommation de boissons sucrées.

    Les personnes qui montraient une variation du gène FTO --la même variante liée auparavant à un risque moins élevé d’obésité- ont étonnamment préféré les boissons sucrées.

    "C’est contre-intuitif. Le gène FTO est un gène mystérieux et nous ne savons pas exactement comment il est lié à l’obésité. Il joue probablement un rôle dans le comportement, ce qui serait lié à la gestion du poids" explique Cornelis.

    "À notre connaissance, il s’agit de la première étude d’association pangénomique de la consommation de boissons basée sur la perspective du goût" indique Victor Zhong, premier auteur de l’étude. "Il s’agit également de l’association la plus complète jamais réalisée à l’échelle du génome sur la consommation de boissons".

    Les boissons ont été classées dans un groupe de goût amer et un groupe de goût sucré. Amer inclus café, thé, jus de pamplemousse, bière, vin rouge et liqueur. Parmi les produits sucrés figuraient les boissons sucrées, les boissons édulcorées et les jus sans pamplemousse. Cette classification de goût a été préalablement validée.

    Les données sur la consommation de boissons ont été recueillies au moyen de rappels ou de questionnaires alimentaires sur 24 heures. Les scientifiques ont compté le nombre de portions de ces boissons amères et sucrées consommées par environ 336’000 personnes dans la biobanque britannique.

    Ils ont ensuite réalisé une étude d’association pangénomique de la consommation de boissons amères et de boissons sucrées. Enfin, ils ont cherché à reproduire leurs principales conclusions dans trois groupes américains.

    Source : Human Molecular Genetics

     

    Buvez rouge ou ambré, mais toujours avec modération!

  • Eau du robinet…Faites l'expérience!

    J'habite dans le Nord de l'agglo toulousaine. Une petite maison. Cuisine américaine, hélas. Lorsque nous voulons de l'eau chaude, il faut la laisser couler plus d'un litre et demi avant de l'obtenir. Pourtant, la chaudière gaz solaire est située à 2,50 m de l'évier. On a l'impression que l'eau fait 3 fois le tour de Toulouse avant d'arriver au robinet!

    Il en est de même, du reste, pour l'arrivée d'eau chaude du lavabo et de la douche.

    Du coup, comme je n'ai pas l'âme gaspilleuse, je récupère cette eau froide dans une bassine… fuchia que j'ai depuis une 20e d'années. Je récupère cette eau pour arroser mes plantes, faire tremper la vaisselle sale (je n'ai pas de lave-vaisselle, pas la place d'une part et malgré ce que racontent les gens sur internet, cela utilise plus d'eau que de laver à la main… et puis, comment nettoyer la plaque du four dans un lave-vaisselle??? et, avant de glisser les assiettes dans le lave-vaisselle ne doit-on pas les passer sous l'eau pour retirer le plus gros des déchets ou restes? et les poêles, et les marmites, et les grosses casseroles? il faut les laver à part… du coup, où se trouve l'économie d'eau? hein?).

    Je reviens à ma bassine. Donc, je l'utilise pour stocker cette eau propre. Puis, une fois vidée, je la mets de côté pour la fois suivante. Et bien, figurez-vous qu'au bout de trois ou quatre remplissages-vidage d'eau propre, il y a une sorte de gelée au fond de ma bassine, brillante, épaisse et visqueuse… on ne l'aperçoit qu'en plaçant la bassine d'une certaine façon sous la lumière. Cela fait -à peu près- deux ans que ce phénomène étrange se produit.

    J'en ai parlé à une amie médecin qui habite du côté de Perpignan. “Etrange qu'elle dit, c'est un biofilm, cela arrive lorsque l'on met du linge à tremper et.. qu'on oublie dans un coin“. Elle me dit: “essaie avec une casserole inox“. Elle a fait de son côté, mais elle n'a rien vu. Du coup, elle pense que nous avons une eau très dure…

    J'ai fais ce qu'elle ma dit… mais, au bout de trois jours, j'ai passé la main dans la casserole et j'ai aperçu une sorte de poudre fine, blanche sur mes doigts.

    Je viens de payer ma facture d'eau pour 2018-2019: elle était accompagnée d'une feuille informative: eau douce, était écrit.

    Si l'eau n'est pas du tout, calcaire, pourquoi cette bizarrerie dans ma bassine?

    Hein??? et si vous tentiez l'expérience?

    Je n'utilise plus l'eau du robinet depuis presque 30 ans… la chlorine de l'eau me fait tousser, me brûle les yeux, me titille les entrailles… du coup, je réalise mes bouillons et soupe avec de l'eau en bouteille, même le café est fait avec de l'eau en bouteille; nous buvons de l'eau en bouteille…

    Ils ont beau envoyer des infos rassurantes avec la facture: eau de bonne qualité, moi, perso, j'ai fais ma religion sur l'eau du robinet…. et les molécules pharmaceutiques que ces gens-là n'ont jamais trouvé le moyen de filtrer dans leurs usines d'épuration des égouts?

    L'agglo toulousaine nous raconte depuis quelques semaines que son eau sera la moins chère de France: apparemment, elle a mis le distributeur sous surveillance ou a renégocié les contrats…. faut dire que ces gens-là se font du bon beurre sur notre dos, sans compter l'Etat avec toutes ses taxes!

    Oui, mais qui surveille l'eau dans ma bassine? c'est moi! Va savoir, Charles si elle est bonne pour mes plantes? et puis, c'est quoi ce truc peu appétissant dans ma bassine? Je dois la nettoyer avec une paille inox pour que cela s'en aille… toutes les trois utilisations…

    Inutile de vous précipiter pour acheter une carafe purificatrice d'eau… je ne pense pas que cela y fasse grand-chose.

     

  • Qu’est-ce que le saucisson sec?

    Le saucisson sec est composé d’un mélange de viande et de gras de porc, assaisonné et enveloppé dans un boyau. Il est mis à sécher et à affiner à une température aux alentours de 14° au moins pendant 4 semaines (plus ou moins en fonction de sa taille et du goût du charcutier).

    Conseil de conservation et de dégustation

    Le saucisson sec se conserve suspendu dans un endroit frais mais pas humide. A défaut, le bac à légumes du réfrigérateur peut faire l’affaire.

    On le déguste en fines tranches, pelées et souvent accompagnées d’une tartine de pain et beurre. Il obtient toujours un grand succès à l’apéritif ou en hors d’œuvre et fait partie du plateau de charcuterie traditionnel.

    Vous pouvez également découper des tranches hyper-fines et les faire dessécher  (à plat) à 60° dans un four à 170° pendant une heure pour en faire des chips de saucisson.

     

  • Hier, dimanche des Rameaux

    Le tressage, une tradition qui se perd

    Rares sont les artisans dans le Vieux Nice qui perpétuent la tradition des palmes tressées. Devant la cathédrale de Nice, il n’a y a plus que deux étals. Ils appartiennent à la même génération, car la technique se transmet de génération en génération.

    Motifs traditionnels ou fantaisistes, simples ou élaborés, depuis plus de 80 ans, la famille Vaseli tresse des motifs avec le cœur des palmiers.

     […] La fête des Rameaux marquera alors le début de la semaine sainte. Signe de vitalité, il était autrefois déposé sur les tombes ou exposé dans le foyer.

    "Les fidèles portent les rameaux chez eux et se souviennent que dans la vie, il y a lumière et ténèbres, joie, peine et difficultés et que c’est tout cela qui tisse une vie humaine“. Père Michel Angella, Recteur de la cathédrale Sainte-Réparate,

    Ne répondant à aucune prescription de l’Église, les rameaux en France présentent une grande variété de végétaux correspondant à la variété des zones climatiques: laurier, olivier, buis, romarin… Si la coutume est respectée, tous ont un point commun: être brûlés au bout d’une année. L’entrée d’un jeune rameau dans sa maison marque le début d’une nouvelle année liturgique.

    Source : France 3

    A Toulouse, les rameaux sont de buis ou laurier

     

  • Pesticides dans l'eau:

    l’association UFC-Que choisir alerte sur la présence de polluants dans l’eau potable

    Ouest-France.

    Dans un rapport paru ce jeudi 28 mars, l’UFC-Que choisir pointe du doigt la présence de pesticides et de nitrates dans l’eau potable. L’association souhaite que les agriculteurs payent pour la dépollution des cours d’eau, qualifiée d'" imparfaite sur le plan sanitaire ".

    " Plus de deux millions de consommateurs reçoivent une eau qui, malgré les traitements, est polluée en pesticides ou en nitrates " : C’est le constat du dernier rapport de l’association UFC-Que choisir, paru ce jeudi 28 mars. Mais rassurons-nous, 95,6 % des consommateurs boivent une eau du robinet "de très bonne qualité et conforme à l’ensemble des paramètres sanitaire ".

    Présents dans 5 % des réseaux de distribution d’eau, les pesticides sont la première cause de non-conformité. Cela représente, au total, 2 271 communes dans l’hexagone. Dans une moindre mesure, les nitrates sont présents dans les réseaux de distribution de 370 communes. En bas du classement, on retrouve les contaminations bactériennes, présentes dans 0,7 % du réseau d’eau potable, mais aussi l’arsenic qui touche 0,4 % des réseaux.

    Des pollutions agricoles coûteuses

    L’association pointe du doigt les pratiques agricoles, comme étant à l’origine de certaines pollutions. " Alors que les pollutions domestiques et industrielles ont considérablement diminué dans les 20 dernières années et sont en passe d’être résolues, les pollutions agricoles n’ont que très peu baissé dans les cours d’eau et sont toujours aussi présentes dans les nappes phréatiques ", alerte l’UFC.

    Pour répondre à cet enjeu, l’association propose la mise en place de mesures plus contraignantes pour les agriculteurs qui font l’usage de produits controversés pour la qualité de l’eau. "Plutôt que de limiter l’utilisation des engrais et des produits phytosanitaires à l’origine de ces pollutions, la France a massivement fait le choix du dispendieux traitement des eaux polluées afin de les rendre potables", fustige le rapport.

    La facture de dépollution de l’eau, est comprise entre 750 millions et 1,3 milliard d’euros .