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Actualité - Page 89

  • Sirop de vin

    1 l de vin rouge type grenache ou banyuls; 700 g de sucre cassonade ou sucre entier en poudre, deux cuillères à soupe de cannelle en poudre ou de gingembre en poudre ou de réglisse en poudre selon votre goût

    Les épices sont ici: www.biotine-sep.com /catalogue

    Versez le tout dans une casserole à fond épais et faites réduire sur feu doux durant plus d'une demi-heure; mettre en bouteille et utilisation sur entremets et produits laitiers ou glace ou pour arroser une salade de fruits.

    Peut être utilisé dans une sauce salée, par exemple mettre une grosse cuillère à soupe dans une daube ou sur du riz frit, du risotto…

    A rajouter à votre quantité d'alcool que vous vous autorisez chaque jour.

    Si vous remplacez le vin par du vinaigre, vous obtenez votre vinaigre balsamique!

    3 verres de vin par jour, c'est pour les Messieurs

    2 verres de vin par jour, c'est pour les Dames

    Le vin est INTERDIT aux femmes enceintes… et aux mineurs

    Buvez, toujours, avec modération

     

  • Bientôt, les fraises...

    Information à savourer

    Augmentation du CO2: et si les fraises devenaient meilleures?

    Et si l’augmentation du taux de CO2 dans l’atmosphère donnait de meilleures qualités nutritionnelles à notre alimentation? Une étude semble le confirmer.

    Avec le printemps, viendront rapidement les premières fleurs des fraisiers de nos jardins, promesses de belles récoltes rougies par plaisir au soleil et à la chaleur. Nos fraises ne sont jamais meilleures lorsque, encore chaudes d’un après-midi gracieux d’un mois de juin, nous les dégustons immédiatement, les pieds enfoncés dans l’humus des rangées.

    Notre savoir ancestral rejoint une fois de plus la science actuelle.

    En annonce de cette saison qui voit renaître la nature de notre hémisphère nord, un article, accepté par le peer review (lecture par les pairs) du journal scientifique  Science of Food and Agriculture, vient d’être signalé. Il sera édité prochainement dans le journal, mais son draft (brouillon) est d’ores et déjà disponible.

    Il parle de fraises! "Impact of elevated carbon dioxide and temperature on strawberry polyphenols" ("Impact d’une température et d’un dioxyde de carbone élevés sur les polyphénols des fraises") dont les auteurs, Balasooriya, Dassanayake, Seneweera et Ajlouni, sont tous de l’Université de Melbourne (Australie)1.

    On sait que notre planète est plus verte aujourd’hui que hier, grâce à l’augmentation du CO22. Mais ce verdoiement est-il plus efficace en termes de santé publique?

    La question est évidemment légitime.

    La population mondiale est en augmentation. D’aucuns crient qu’il y a trop de monde sur notre planète et que cela la détruit. Ceux-là préconisent une extinction massive de la population3, forcément et comme toujours, des plus faibles, afin que la Terre puisse à nouveau respirer!

    Ou la vraie question n’est-elle pas d’essayer de comprendre et d’agir afin de permettre à cette population, c’est-à-dire nous, de continuer à prospérer, ni plus ni moins?

    Emmanuel Le Roy Ladurie, dans son livre phare Histoire humaine et comparée du climat, paru chez Fayard en 2004, avait montré une bonne corrélation entre le climat des régions européennes, en France surtout, au cours du temps et la prospérité de ses populations. Sans en faire nécessairement une cause à effet, il montrait de façon convaincante que les périodes de refroidissement étaient accompagnées de guerres, famines, épidémies, renchérissement du pain et d’autres denrées, de stagnation des populations, et que les périodes plus chaudes voyaient un accroissement de celles-ci et une tendance à la prospérité. Bien sûr des événements météorologiques graves intercurrents pouvaient perturber ces tendances générales.

    Nous avons donc ici un premier élément de réponse venant de l’histoire.

    L’étude qui vient de nous être livrée sous forme d’un draft définitif tend à répondre à une autre partie de la question: la qualité nutritive d’un aliment est-elle améliorée par l’augmentation du CO2 et/ou de la température.

    Le "et/ou" s’impose ici, car la réponse pourrait être positive pour une variable mais pas pour l’autre ; et qu’en est-il de l’interaction entre ces deux grandeurs?

    Précisons que ce genre d’étude n’est pas du tout isolé et que de très nombreux travaux portant sur ce fruit ou d’autres espèces d’aliments donnent des conclusions similaires.

    La valeur nutritive d’une nourriture comporte plusieurs éléments: la quantité d’énergie apportée, les rapports entre sortes de nutriment (protéines, graisses, sucres), l’apport en oligo-éléments essentiels, les fibres, la présence des anti-oxydants et autres vitamines, etc.

    Dans notre exemple, plus c’est rouge, brun, orange, plus il y a de polyphénols, une classe de molécules présentes dans les plantes, aux propriétés diverses et bien intéressantes et dont, notamment, les vertus anti-oxydantes sont assez essentielles.

    Ce travail-ci étudie l’accumulation dans les fraises de cette classe de molécules (polyphénols, flavonoïdes, anthocyanes), sous diverses conditions: deux variétés de fraises sous deux températures, 25° et 30°, avec une concentration de CO2 croissante allant de 400, 650 et 950 ppm.

     

    Les résultats montrent que l’effet sur la concentration de l’ensemble des polyphénols, lié à l’augmentation de température et du CO2, dans les limites du protocole, pris séparément, est toujours bénéfique. Par contre, le comportement selon les variétés peut diverger et montre que l’une semble mieux adaptée à des températures plus fraîches à l’inverse de l’autre, le CO2 agissant sur l’une et l’autre comme un booster.

    En soi cette étude est anecdotique, et rencontre un savoir ancien détenu par celles et ceux qui travaillent la terre et qui choisissent les espèces et variétés à cultiver en fonction de la qualité du sol, des latitudes et des saisons. C’est la masse de ce type d’études, donnant des résultats similaires, qui est intéressante.

    On pourrait penser que la planète s’adapte tant bien que mal à l’augmentation de population! Mais c’est probablement l’inverse qui se passe: les populations humaines s’adaptent aux modifications du climat, en lui donnant, aujourd’hui, un bien maigre coup de pouce avec cette augmentation très marginale du CO2.

    C’est très heureux, car il faut nourrir les habitants de notre Terre. Les famines ont aujourd’hui fortement reculé dans le monde, c’est une tendance, en fait, assez récente, depuis la fameuse révolution verte aux Indes (débutant en 1966) qui a stoppé les famines meurtrières que ce pays connaissait auparavant. Au-delà des perspectives humaines négatives que tout organisme dépendant de l’ONU se doit aujourd’hui d’indiquer, il nous faut aller observer le réel, c’est-à-dire les chiffres de production. Et pour le secteur céréalier, première source de nourriture, et notamment le riz, cela va fort bien!4

    Un exemple frappant est la famine au Sahel: sauf les zones de guerre, et elles sont nombreuses, elle a reculé avec un très relatif mais apparemment bénéfique reverdissement des marges de son territoire; en d’autres termes le désert recule au lieu d’avancer.

    Malgré les cris d’alarmes qui, seuls, ont droit de cité dans nos journaux, les pays du Sahel, en dépit de leurs graves problèmes, connaissent une augmentation de leur production céréalière: 2017 + 5,6 % et 2018 + 4,9 % et les perspectives 2019 semblent de qualité5.

    Cela pose d’ailleurs la question de l’orientation du partenariat que nous avons avec ces pays (je n’aime pas trop le terme "aide au développement" qui sonne si faux), mais c’est un autre débat.

    Et que se passerait-il si un processus climatique vers un refroidissement général se réalise, comme les phases des cycles solaires actuels le laissent peut-être présager?

    Voilà ce qu’une petite étude portant sur nos fraises nous propose de questionner.

    H Balasooriya et al. Impact of elevated carbon dioxide and temperature on strawberry polyphenols. J Sci Food Agric, 24 March 2019.

    Z Zhu et al. Greening of the Earth and its drivers. Nature Climate Change, 2016.

    J Kanter. Scientist: Warming Could Cut Population to 1 Billion. New York Times, 2009.

    FAO. Bulletin de la FAO sur l’offre et la demande de céréales. 2019.

     FAO.  SMIAR Perspectives de Récolte et Situation Alimentaire #1, mars 2019

    Christophe de Brouwer

    Docteur (PhD) en Science de la Santé publique. Professeur honoraire à l'École de Santé publique de l'Université libre de Bruxelles. Spécialiste de l'impact des exploitations minières sur les populations.

  • Problème

    Toulouse: 4 résidents d'un Ehpad tués par une intoxication alimentaire

    Quatre pensionnaires de l'Ehpad "la Chêneraie" à Lherm, dans le Muretain au sud de Toulouse, sont décédés, a indiqué la préfecture de Haute-Garonne dans un communiqué. Ils auraient été victimes d'une intoxication alimentaire dans la soirée du 31 mars, après le dîner.

    Ouvert en 2006, l'établissement compte 90 chambres. A l'heure actuelle, 15 personnes sont en urgence relative. Trois autres sont également souffrantes, mais la préfecture ne précise pas leur état de santé. Au total, 22 retraités sont concernés par cette intoxication. Sur son site internet, l'Ehpad indique que ses cuisiniers sont salariés et que la "cuisine régionale est préparée sur place".

    La préfecture a activé le centre opérationnel départemental en lien avec l'Agence régionale de santé (ARS). "Différents établissements de santé sont mobilisés et ont accueilli les personnes âgées concernées", indique la préfecture. Des investigations sont en cours pour déterminer l'origine exacte de la contamination.

    Une cellule d'urgence médico-psychologique va être mise en place. Les familles peuvent appeler le 05 62 23 27 22 pour tout renseignement. Un centre d'accueil a également été ouvert à la salle des fêtes de Lherm pour les accueillir.

    Le Figaro

    Condoléances aux familles

     

  • Entre patriotes

    Création du premier site d’annonces en ligne "entre patriotes"

    " Tous ces échanges de notre vie courante, et si nous les faisions prioritairement avec des personnes partageant nos valeurs ? " Le Rucher Patriote: c’est sous ce nom qu’une jeune équipe s’attèle à la création du premier site internet d’annonces " entre patriotes, par des patriotes, pour des patriotes ". Entretien avec son initiateur, Thomas Whyte.

    Tout d’abord, pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs?

    Thomas Whyte (Le Rucher Patriote): Avocat pendant une décennie, je travaille depuis 2018 à des projets entrepreneuriaux dans les domaines informatiques et patriotes. Un retour à un engagement de jeunesse, puisque entre mes 15 et 25 ans j’ai beaucoup milité au service de convictions patriotes, principalement dans le secteur associatif. Une fois mon activité professionnelle engagée, j’ai "levé le pied", mais au fil des ans il me taraudait de plus en plus d’y revenir, c’est-à-dire de consacrer à nouveau une part significative de mon temps et de mon énergie à la cause de notre peuple ; ce que je m’efforce de faire à présent, notamment à travers le Rucher Patriote.

     Vous lancez un site d’annonces intitulé Le Rucher Patriote, pouvez-vous nous présenter le concept?

    Thomas Whyte: "Je cherche un plombier… une garde d’enfants… un locataire… une location… la bonne recrue pour mon entreprise… un stage de fin d’études… un meuble… j’ai des vêtements à donner… ".

     Tous ces échanges de notre vie courante, et si nous les faisions prioritairement avec des personnes partageant nos valeurs? Ces valeurs communes héritées de 1.500 ans d’histoire de notre pays, et de plus de 3.000 ans d’histoire de notre grande civilisation, aux profondes racines gréco-romaines, chrétiennes, mais aussi celtiques, germaniques et nordiques.

    Voilà le concept. Échanger avec des personnes animées du même amour sincère de nos terres, de notre pays, de notre histoire, de notre peuple, de notre culture, de notre civilisation. En un mot, avec des patriotes. Aujourd’hui, beaucoup de patriotes se sentent isolés, à cause d’une propagande mondialiste hégémonique.

    Mais nous sommes nombreux! Nous serions étonnés de découvrir combien de personnes très proches géographiquement partagent nos valeurs. Encore faut-il se trouver: voilà l’utilité première du Rucher Patriote […]

     Breizh-Info & Le Rucher Patriote

     

  • Compteur électrique Linky

    L’hypersensibilité aux ondes aura-t-elle raison du compteur électrique Linky?

    Pour la justice un plus, un peu, parfois, ne pas faire deux. C’est un petit événement judiciaire qui n’est pas sans portée pratique et symbolique. Le juge des référés du tribunal de grande instance de Toulouse a décidé d’imposer à Enedis de faire en sorte que l’électricité ne soit pas distribuée" avec le système de courant porteur en ligne présent dans les compteurs Linky.

    Cette décision concerne treize plaignants dotés d’un certificat médical attestant de leur "hypersensibilité électromagnétique".**  Le nom des médecins n’a pas été communiqué. L’information a été donnée, le 20 mars à l’Agence France-Presse par Me Christophe Lèguevaques, l’avocat des plaignants.

    Si beaucoup reste à comprendre quant à l’hypersensibilité électromagnétique, tout a été dit sur le désormais célèbre Linky-le-compteur-intelligent, dont l’installation, pilotée par Enedis, permet " de relever à distance et en direct la consommation des clients ". Un outil devenu symbole de la modernité et du nouveau monde qu fait l’objet de bien des fantasmes et de bien des polémiques depuis son déploiement en 2015. Cœur du sujet, médical politique et judiciaire : l’exposition aux champs électromagnétiques et le respect de la vie privée. Il est en théorie impossible de se faire livrer en électricité si l’on refuse l’installation d’un Linky à son domicile.

    Maladie et vie privée

    Contacté par l’AFP, le géant Enedis a indiqué qu’il " prend en compte " la décision en référé de Toulouse. Et puisqu’il  ne constitue pas un jugement sur le fond – Enedis  "envisage de faire appel". Il assure "qu’il s’agit de cas extrêmement rares pour lesquels Enedis, en tant qu’entreprise du service public, met en œuvre un accompagnement personnalisé et adapté à chaque situation particulière". Mais comment accompagner une trop grande sensibilité à ce que vous voulez, précisément, installer ? Comment, en somme, désensibiliser ?

    Il faut ici préciser que le même juge a débouté les autres plaignants – plus de 150 selon l’avocat, 216 selon Enedis – qui contestaient la pose d’un compteur Linky en arguant d’un droit à la protection de leur vie privée. La décision concernant les malades " est un précédent intéressant (…) et un signal fort car pour la première fois la justice reconnaît leur situation ", souligne Me Lèguevaques.

    L’affaire est loin d’être terminée. A Toulouse, le juge des référés s’est prononcé dans l’attente d’un jugement sur le fond de l’action collective conjointe contre Enedis. Cette action collective, selon l’avocat, groupe plus de 5 000 personnes sur toute la France qui demandent aux juges de 22 tribunaux de prendre des mesures afin de respecter la liberté de choix des consommateurs.

    Pour l’heure le géant Enedis rappelle "que toutes les mesures réalisées par les organismes indépendants mettent en évidence des niveaux de champs électriques et magnétiques très largement inférieurs aux limites réglementaires ". Mais Enedis sait-il que la science et le droit peuvent, parfois, faire deux?

    https://jeanyvesnau

  • Engraissez vos neurones!

    Bien manger, c’est bon pour votre corps, mais aussi pour votre cerveau. Le nourrir correctement est donc primordial pour votre santé, mentale comme physique.

    Heureux comme un neurone bien nourri… Ses carburants: sucre et graisse. Le rêve… même si on ne coupera pas à la mention "avec modération".

    Oui, (bien) manger, c’est aussi (bien) alimenter son cerveau. "Il ne faut pas oublier qu’il consomme 20% de l’énergie du corps. Le nourrir correctement est primordial pour notre santé mentale et physique", confie Bénédicte Salthun-Lassalle, docteur en neurosciences et auteur du très pédagogique livre "Assiette au top = cerveau heureux" (Prat Editions, 17,95 euros).

    Au menu, pour le combler, il lui faudra des protéines, des lipides, des glucides, du fer. Les sucres lents, que l’on trouve dans les pâtes, les légumes secs, les pommes, sont d’une grande aide pour la concentration. "Ces glucides fournissent au cerveau de l’énergie pour des efforts mentaux prolongés", pointe-t-elle. Mais ils ne sont pas suffisants pour lui en procurer suffisamment.

    "Mangez du fer“ encourage alors la chercheuse qui relève que, preuve de son importance, une carence se traduit par un teint pâle, de la fatigue, des troubles de la mémoire. Du fer: dans les lentilles, le boudin…

    Dites oui au chocolat: Ne vous privez pas de chocolat et ne faîtes pas la guerre au café.

    Autres apports capitaux: les acides aminés. Bien qu’ils soient nécessaires au fonctionnement cérébral, notre corps ne sait pas tous les produire. Il faut aller les chercher dans l’alimentation. Où? Par exemple dans le fromage, les cacahuètes, les produits laitiers, le poisson, la viande.

    Et le bouillon d'os, c'est-à-dire, la gélatine dont vous trouvez la recette en cherchant dans la boîte à outil “rechercher“….

    N'oubliez pas: le trop et le peu.....