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Blog - Page 216

  • LE MIRACLE DES MIRACLES... si vous souffrez de sclérose en plaques et autres maladies auto-imunes...

    FAIRE CIRCULER SUR TOUTE LA PLANÈTE!

     

    La sclérose en plaques: à la veille du miracle

    L’essai clinique est sur le point de débuter. En juin. Un seul pa­tient. L’enjeu est énorme. Une maladie réputée incurable pourrait être soignée. Et un vaccin serait possible. Le professeur Jean-Marie Saint-Remy, fondateur de la spinoff ImCyse, est à la veille d’une consécration. Il aura bien­tôt vaincu la sclérose en plaques.

    Un premier patient, pour un essai clinique aussi crucial qu’une thérapie qui guérirait définitivement la sclérose en plaques, ça paraît peu. Mais le défi est gigantesque, et ne peut attendre l’arrivée des futurs patients annoncés.

    On imagine la pression. D’abord pour le patient (ou la patiente) en question, qui n’a pas souhaité livrer son témoignage ici. À quoi bon s’exposer mainte­nant dans la presse? Aussi prometteuse que soit l’expérience, il n’y a pas encore à se vanter d’une victoire, avant qu’ait eu lieu le combat. Mieux vaut arriver avec la bonne nouvelle d’une réussite, d’une guérison!

    La première injection du traitement proprement dit aura lieu dans moins d’un mois, en juin. L’heure est à la concentration, aux préparatifs finaux, à la prière…

    Et on imagine aussi la pression pour le corps médical qui l’entoure, le médecin de ce (cette) patient(e), le profes­seur Vincent Van Pesch, neurologue aux cliniques universitaires SaintLuc. Et sur­tout pour un autre professeur, Jean-Marie Saint-Remy, celui par qui tout est devenu possible, l’homme de science qui a mis la thérapie au point, avec son équipe d’une pe­tite quinzaine de cher­cheurs. Nous le retro­uvons au bio-incubateur de la KUL, dans les locaux d’Im­Cyse, la société qu’il a fondée en juillet 2010. Im­Cyse est aussi installé au Giga du Sart Tilman à Liège. Wal­lo­nie, Flandre, Bruxelles, … les trois régions sont im­pli­quées.

    L’enthousiasme et l’intensité du moment, c’est dans les yeux de Jean-Ma­rie Saint-Remy que nous les lisons aujourd’hui. Le professeur se sait à un doigt d’une réussite immense. Sa thérapie est révolutionnaire, au sens où l’approche est différente, un peu à la manière de l’œuf de Colomb. Le doc­teur SaintRemy n’a pas aménagé ou transformé des outils existants, qui font très bien ce qu’ils ont à faire, dans les limites étroites de leur périmètre. Non, il en a inventé d’autres, d’une autre nature, dans une autre dimension stratégique. Et sa trouvaille lui a permis d’envisager de guérir, d’éliminer définitivement le facteur de maladie, là où l’état actuel de la médecine permet seulement de gérer des symptômes, avec le secours de médications dont les effets secondaires finissent par faire plus de mal que de bien. (Vi, suis au courant!)

    Ce que la plate­forme technologique d’Im­Cyse met en œuvre représente un espoir de se débarrasser de la sclérose en plaques, mais aussi d’autres maladies auto-immunitaires. Non seulement d’en guérir, mais aussi de s’en prémunir, car la technique d’Im­Cyse ouvre aussi la voie à des campagnes de vaccination. "Les traitements classiques de la sclérose en plaques, à base de corticostéroïdes, d’an­ticorps monoclonaux, de molécules chimiques, ne sont jamais qu’un mauvais compromis entre la prise d’un maximum de médicaments, pour un effet maximum, et un minimum d’effets secondaires indésirables", explique Jean-Marie Saint-Remy. Dépasser la logique du mauvais compromis rendra possible l’impossible.

    Depuis en 1996, quelques temps après la maladie auto-immune de ma fille et avec les recherches difficiles sur un internet qui ramait comme vous ne pouvez imaginer, sans moteur de recherches (et oui), il y avait si peu de sites (la France était en retard!), j'ai compris que les maladies inflammatoires étaient tellement nombreuses et différentes que le jour où un scientifique trouvait le moyen de supprimer cette réaction auto-immune inflammatoire, j'expliquais autour de moi que, ce jour-là, la sécurité sociale française ne serait plus jamais en faillite!

    Et, nous y voila presque! Croisons les doigts comme m'a dit mon amie médecin, ce serait génial si c'était possible!

  • Tourte au confit de canard

    C'est plus facile à réaliser désormais car on trouve sans problème des pâtes feuilletés... Conseil: achetez uniquement celles qui sont "pur beurre".

    200 g de pâte brisée (même si vous l'avez achetée au lieu de la faire, je ne vous en voudrais pas!), 1 grosse cuisse de canard confite dans de la bonne graisse (attention aux arnaques, parfois la graisse qui entoure la cuisse confite, ce n'est que de la graisse de porc: si elle est trop blanche, porc; si elle est un peu mordorée, canard). Vous devez récupérer au minimum 120 g,

    1 oignon jaune en cubes; 100 g d'olives vertes dénoyautées (facultatif: vous pouvez aussi bien, si vous avez succombé-e aux modes nouvelles ou si c'est votre goût, remplacer par des airelles au vinaigre que vous aurez l'intelligence de bien rincer ou d'autres fruits ou petits légumes que l'on conserve vinaigre ou sel).

    Il vous faut encore du thym ou romarin frais (pas sec, ce n'est pas le même goût). Un peu de vinaigre balsamique si vous y tenez…. du poivre… si vous avez de l'hypertension, évitez de saler.

    Vous pouvez préparer une tourte pour 3-4 ou bien de petites tourtes dans des petits moules, comme de bien entendu. Vous préchauffez votre four à 200°

    Donc, faites revenir votre viande de canard (ou autre volaille, la dinde confite, ce n'est pas mal non plus) pour récupérer la bonne graisse, dans laquelle vous faîtes revenir à bien brun l'oignon. Pendant qu'il rôti à feu moyen, vous avez le temps, hachez la viande que vous rajoutez dans la poêle pour mêler les saveurs avec les olives… remuez bien, mettre le thym en morceaux, du poivre, ajoutez une lichette de balsamique.

    Goûtez pour être satisfait-e de vous.

    Mettre dans un plat à fou, rond, carré ou ovale, une partie de votre pâte brisée, bien sûr après avoir bien beurré le plat que vous aurez pensé à recouvrir de farine pour éviter que cela attache. Si vous ne faites pas cela, c'est que vous avez des plats anti-adhésifs et cela se voit que vous n'avez même pas trouvé le moyen de comprendre mes dossiers sur mon site d'astuces

    www.tradi-cuisine.com

    et je vous plains de ne pas ouvrir les yeux sur votre avenir et celui de vos enfants.

    Versez la préparation et rajoutez un disque du restant de la pâte en appuyant pour la souder comme il faut; nappez avec un pinceau d'œuf battu ou si vous voulez économiser, un peu de lait qui dorera tout aussi bien. N'oubliez pas de faire une cheminée: pas la peine de faire un gros trou avec un carton comme on voit dans les émissions de cuisine; plantez la lame du couteau et tournez-là, c'est suffisant. Si vous n'avez pas bêtement mis du jus d'airelles, il ne devrait pas y avoir trop de vapeur.

    Enfournez 20 à 25 m, et consommez chaud ou tiède accompagné de ce que vous aimez servir ensemble: salade, légumes, riz, pomme de terre, etc…

     

  • La cuisine, un nid à bactéries insoupçonné

    Les éponges,  le torchon ou encore le smartphone posé sur le plan de travail, la cuisine est colonisée par les bactéries.

    La cuisine, ce havre du plaisir culinaire n'est pas aussi propre que l'on pourrait penser. On a beau être vigilants et pointilleux, les bactéries viennent se nicher dans des endroits improbables. Avec ces quelques conseils, on vous aide à concocter vos petits plats sans vous soucier des germes et autres parasites. Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs de l'université d'Arizona (Etats-Unis) ont filmé 123 personnes en train de préparer à manger dans leur cuisine. L'objet le plus manipulé en cuisinant est le torchon. "Même après s'être lavés les mains, les volontaires ont ré-utilisé les torchons qui contenaient des bactéries", rapporte le Dr Jeannie Sneed, auteur de l'étude, dans le journal britannique Dailymail.

    Les éponges

    Selon les scientifiques, l'éponge serait un des objets les plus contaminés dans la maison. La faute à l'humidité et aux débris alimentaires. Constamment mouillée, l'éponge constitue un foyer d'excellence pour la prolifération des bactéries. Elle peut abriter jusqu'à 10 000 bactéries. Imaginez en plus que ces bactéries se propagent à chaque endroit où vous passez vos éponges (plan de travail, frigo, cuisinière etc.)

    Pour résoudre ce problème vous pouvez soit faire tremper l'éponge dans du vinaigre blanc, du bicarbonate de soude, soit la passer 2 min au micro-ondes à température maximale. Ne poussez pas l'éponge jusqu'à l'usure, renouvelez-là régulièrement.

    L'évier

    L'évier est un des espaces les plus sollicités dans la cuisine. Outre l'humidité constante, il y a les restes des aliments qui n'arrangent en rien le pullulement des germes et des bactéries. Maintenez-le propre en le savonnant quotidiennement ou en y passant une éponge généreusement imbibée de vinaigre blanc. La salubrité de l'évier est essentielle puisque il est souvent en contact avec les ustensiles et les aliments.

    Les torchons et les serviettes

    Essayez tout d'abord de leur attribuer des fonctions bien précises: les serviettes pour les mains et les torchons pour essuyer la vaisselle. Cela permettra déjà de réduire les bactéries. Ensuite, pensez à les changer tous les jours (et même certains disent: à chaque usage!. Enfin, évitez de les toucher lorsque vous avez les mains sales, un bon réflexe à voir qui permet de les maintenir à un certain degré de propreté.

    Le frigo

    C'est le réceptacle de tous les aliments que vous allez ingérer. Fruits, légumes, restes de repas, viandes crues. Et puis qui n'a jamais oublié des aliments pourris dans son réfrigérateur? Ces aliments sont des sources de germes à éliminer. Il est donc important de le maintenir propre. Le froid n'éliminant pas les bactéries, c'est à vous de mettre la main à la pâte.

    Le téléphone portable

    L'hygiène des mains est La règle d'or à observer en cuisine (comme partout ailleurs dans la maison).

    Des études ont démontré que les portables étaient plus sales que les cuvettes des toilettes. Rien d'étonnant quand on pense à toutes les choses qu'on touche tout en les manipulant (métro, pièces de monnaie, poignées de portes à l'extérieur etc.).

    Votre portable sonne, vous interrompez votre tâche pour répondre puis vous reprenez là ou vous vous étiez arrêté. Tout ça en quelques secondes sans que vous vous rendiez compte de la masse considérable de bactéries que vous avez importée dans votre préparation.

    En observant les volontaires, les chercheurs ont noté que même en cuisinant les volontaires n'ont cessé de consulter leur téléphone. "Ces objets sont transportés partout, même aux toilettes. Imaginez le nombre de bactéries qu'ils transportent", ajoute la scientifique. Tous ces microbes sont ensuite transmis à la nourriture que l'ont prépare et contaminent ensuite notre système digestif.

    Pour éviter d'être malade, les chercheurs conseillent d'utiliser des serviettes en papier pour cuisiner et de les jeter après, et tout le temps, désinfecter son téléphone avant de le placer dans la cuisine.

    L'hygiène et la propreté dans la cuisine sont dans mon site:

    www.tradi-cuisine.com

    De plus, si vous allez lire dans le blog du site, vous ferez une drôle de tête en le quittant!

     

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  • Puisque la saison commence...

    Compote de cerises

    Pour 3 petits gourmands….

    450g de cerises dénoyautées, une grosse cuillère de cassonade ou de miel, un demi-verre de jus d'orange frais, 1 gousse de vanille (ou bien la gousse que vous avez conservé dans du sucre parce que vous lui avez déjà retiré les graines mais, le sucre vanillé, c'est bien aussi.

    Dans une casserole fond épais, faites chauffer dans le jus d'orange, les graines de la gousse de vanille et la cassonade: ajoutez les cerises et le miel et faire compoter doucement 8 mn à feu moyen

    Vous pouvez les présenter dans un bol individuel, une verrine aussi; par exemple, au fond de la verrine, brisez des gâteaux secs et rajoutez la compote par-dessus, terminez avec une cuillère de yaourt complet nature (ou cerise!) mais c'est votre responsabilité parce que des yaourts avec des arômes chimiques, pas pour moi! ou une boule de glace ou de chantilly.

    J'aime bien aussi faire une crème fouettée au mascarpone et yaourt liquide: mélangez du mascarpone avec du yaourt liquide aromatisé à ce que vous aimez, battez fortement pour que cela épaississe et placez une grosse quantité dans les verres, par-dessus la compote.

    Terminez avec du vermicelle, des orangettes ou autres à votre convenance.

    Pour les adultes, on arrose les biscuits avec une lichette de Grand Marnier ou d'Armagnac ou de la liqueur de votre coin de France, il ne faut pas être sectaire dans les recettes de dessert!

    A consommer de préférence avant: … les autres.

  • stats avril 2015

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