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Blog - Page 218

  • Allez-hop! tout le monde fait son café filtre avec les cafetières d'antan

    J'ai mis ma cafetière électrique au rebut depuis 3 ans car l'eau bouillante qui passe à travers des tuyaux plastiques, cela faisait 4-5 ans que cela me “défrisait“ tant que je finissais par moins boire de café. D'ailleurs, si vous n'êtes pas au courant, les machines à café dans les bars ont les tuyaux…. en plomb!

    Donc, si vous êtes restaurateurs ou cafetiers et que vous préparez en vitesse vos enfants le matin en faisant chauffer le pot de lait ou pour les ados, le café! Bonjour les dégâts: vous empoisonnez vos gosses: bourreaux d'enfants!

    Pour les amateurs quotidiens qui vont faire un tour le matin au rade, danger… même si vos neurones sont en place depuis votre adolescence, plus vous vieillissez, plus vos neurones s'asphyxient… donc, le café dans les machines en plomb, à votre aise… D'autant que l'eau de la Garonne mise au robinet contient des tas de molécules pharmaceutiques et un tel rajout de chlore qui me tord les entrailles, moi, le café à Toulouse, non merci! je me contente de mon café filtre quotidien. Je parle de l'eau de la Garonne mais vous pouvez remplacer par l'eau de la compagnie qui vous sert. A part la seule ville de France qui a de l'eau de source au robinet, toutes les autres, j'ai dis et j'affirme TOUTES on l'eau du robinet contaminée par les molécules pharmaceutiques qu'aune société ad-hoc ne peut analyser et traiter. Vous pouvez chercher sur le net, je vous fiche mon billet que j'ai raison… je crois que des spécialistes ont trouvé le moyen de le faire… mais, cela n'est pas appliqué car je suppose que c'est trop cher.

    Achetez-donc une cafetière à l'ancienne en fer, avec l'intérieur en émail… on en trouve peu sur le net, mais j'en ai bien trouvé une. De plus, vous allez être surpris-e du bon goût du café que vous allez déguster… cela dure une bonne semaine, à la longue on s'habitue… mais, les premiers jours, vous allez vous rendre compte combien est différent l'arôme du café filtre à l'ancienne. C'est, je le dis, carrément stupéfiant.

    Bon, je vous mets ma méthode pour du bon café filtre maison plus bas, après l'article de l'Anses. Curieux article, pourquoi ils disent n'importe quoi? un peu de jugeotte ne nuit guère croyez-moi.

    Depuis que les filtres à café en papier brut existent, c'est ceux-là que j'utilise… j'en parle sur mon site qui vous met en garde contre les toxiques qui polluent votre cuisine

    www.tradi-cuisine.com

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    Bon, voici l'article de l'ANSES

    Contaminations chimiques et café

    Les dosettes et capsules de café des machines "expresso" n’augmentent pas l’exposition aux contaminants chimiques

    Depuis quelques années, diverses machines dites "expresso" apparaissent sur le marché français et équipent de nombreux foyers. L’Anses, en partenariat avec l’Institut national de la consommation (INC), a initié une étude afin de comparer les teneurs en différents contaminants chimiques des cafés préparés à l’aide de ces machines avec celles du café filtre traditionnel. Cette étude montre que ces nouvelles pratiques ne modifient pas les conclusions des évaluations de risque précédentes concernant l’exposition des consommateurs aux contaminants chimiques.

    De nouvelles habitudes de consommation du café

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  • J'ai la côte!

     

    13 sites en .RU visitent un autre de mes blogs tous les jours! 

     

    http://demaincestaujourdhui.hautetfort.com/

     

    et deux TV Web!

     

    C'est extra!!!

  • Saucisse en crêpes et lycée de Versailles

    Bon, pour toutes les personnes qui viennent voir mes recettes et sont basées à l'étranger, "lycée de Versailles" est une expression imagée pour dire "crêpe à la saucisse."

    Ce plat est bourratif mais excellent et très bon pour vos finances; de plus, c'est super entre copains… mettez-les à la pâte!

    Par personne, 2, 3 ou 4 chipolatas que vous devez faire griller

    1 oignon jaune, pâte à crêpes: tout le monde connait la pâte à crêpes, donc, je ne vais pas m'attarder dessus. Mais, s'agissant d'une recette salée, ce serait un peu bête de faire une pâte à crêpes salée!

    Vous pouvez faire cuire dans une sauce champignons à la crème ou sauce béchamel ou Mornay; la Mornay est une béchamel à laquelle vous rajoutez: 1 jaune d'œuf, 1 noix de beurre et du gruyère râpé.

    Et oui, en mettant du râpé dans votre béchamel, vous faisiez, en réalité, une Mornay! :-)

    Bon, c'est simple pour cette recette de mon invention:

    On cuit les chipo et pendant qu'elles cuisent, on fait une pâte à crêpe, salée bien évidemment;

    Beurrez largement un plat à four (que vous avez ou pas mis à chauffer; mais s'il est chaud, vous cuirez plus vite)

    Sans vous brûler, enroulez une chipo dans une crêpe…. bien sûr, si la crêpe est aussi large que la chipo, c'est plus joli… sinon, coupez les bouts. Rangez dans le plat et versez par-dessus la sauce que vous avez choisie.

    Avec une Mornay, il suffit de saupoudrer de râpé et de faire cuire au four à 220° bien chaud, durant ¼ heure. Vous pouvez mettre de la chapelure pour petit gratinage.

    Oui, oui, vous pouvez remplacer par de la pâte filo ou des feuilles de riz…ça vous regarde… et même, vous pouvez saupoudrer de piment d’Espelette ou de toutes les épices qui vous passe par l'esprit.

     

     

  • Je voulais tant être.... conductrice!....

     

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    Autrefois, on nous faisait passer le Brevet de Prévention Routière.... je m'en souviens... mais, il n'y avait que 5 voitures à pédales... et comme nous étions des classes de 35 élèves, les autres n'avaient droit qu'à des petits vélos....

    rrrrr.... je voulais conduire, Moi!

    Le brevet, j'lai eu!

     

  • Utiliser les abats de volaille

    Quand nous faisions du poulet ou pintade rôties, les dimanches, dans les sixties, nous l'achetions au marché aux volailles vivantes à Toulouse, il était place St George; mais tuer et plumer une volaille dans un petit appartement, c'est point facile… donc, quand je me suis trouvée seule comme une grande dans mon chez moi, j'ai dû me contenter de poulet prêt à cuire.

    Avec des volailles vivantes, nous pouvions récupérer le met le plus délicat du volatile, en les tuant: la sanquette! La volaille était égorgée au dessus d'un petit saladier et dès que le sang était tout récupéré, hop, une lampée de vinaigre qui l'empêchait de coaguler jusqu'au moment de la cuisson. Il n'y en avait pas beaucoup, bien sûr. Ensuite, la volaille était plumée et on en avait par toute la maison, des plumes!

    Hélas, on ne trouve plus des sanquettes…. ne faites pas les dégoûté-es: vous ne savez pas ce que vous perdez si vous n'en avez jamais mangé.

    Cuite à la poêle avec beaucoup d'ail et du persil, mise en sandwich dans un pain au levain bien croustillant ou servi avec une omelette!!! nos anciens savaient comment faire pour avoir du fer (et le boudin!) sans avoir à passer par des comprimés qui gênent plutôt la digestion, (tout le monde peut s'en rendre compte s'il a le malheur d'être un peu anémié).

    Bon, revenons à notre poulet. Celui que je vous recommande, c'est le poulet jaune du Gers. Poulet fermier, label rouge, va s'en dire. Et puis, les gersois sont nos voisins.

    Ce qui n'empêche pas, avant de le cuire, de le passer à la flamme du gaz pour brûler les dernières petites plumes… il en reste toujours un peu, quelles que soient les précautions prises.

    Avant de le cuire au four, vous avez retiré les pattes, le cou, la tête, les poumons, le gésier… s'il vous plait, le foie se déguste cuit à la poêle, suffisamment cuit, avec ail et persil… mais, le gésier, si vous ne savez pas le confire (ha bon?) fait donc, partie des abats du poulet, de la dinde, de la pintade…

    ALLEZ RECETTE!

    Faire revenir des oignons émincés dans huile ou graisse, ajoutez 1 l d'eau, 1 cube de bœuf ou de volaille, mettez les abats, ail, sel, poivre et faites cuire au moins 30 mn' à bouillon.

    Si vous passez le tout pour éliminer les abats (à donner au chien), votre bouillon de poulet, vous ne devineriez jamais est votre meilleur remède contre…. le rhume! ha, ha! vous ne saviez pas cela? et bien, les amerloques, eux, le savent! On le voit dans certains de leurs films....

    Vous pouvez également rajouter du vermicelle, de la semoule, du tapioca, des perles du Japon…. cela vous fait un bon potage d'entrée avant le poulet rôti.

    Si vous mettez dans votre préparation: carottes, céleri, navets en brunoises et un os de bœuf ou de veau, à moelle et que vous faites réduire, vous obtenez ce qu'on appelle le vraie bouillon de volaille, sorte de fumet, que vous utilisez un partout en cuisine et qui donne un sacré pep's à beaucoup de plat en sauce.

    Merci: vous êtes très nombreux à venir lire mes recettes… parce qu'elles ne sont pas compliquées, par chères et, en plus, parce que je donne des tas de conseils pour les réaliser… tellement détaillés me dit-on encore que les photos ne sont pas nécessaires.

    Merci, cela m'arrange de ne pas faire des photos…. je n'ai pas le temps! Merci également d'être fidèle à mon blog culinaire!

     

  • Des pâtes? oui, des Pan... (ces pâtes-là sont françaises figurez-vous)

    Les pâtes? des tas d'histoires, histoires du monde.

    Quand on aime la pasta al pomodoro, il vaut mieux se renseigner pour savoir qui les a inventées et d'où, par qui et quand elles sont arrivées chez nous.

    Je vous fais un petit condensé de ce que j'ai lu, de ci, de là: Elles ont été inventées en Chine et datées de -2000 avant JC. et, en fait, l'utilisation des pâtes semble avoir débuté au sein de populations diverses à certains endroits du globe pour plus tard se propager dans le monde entier. C'est en Chine que l'on trouve la plus vieille évocation connue des pâtes, qui sont toujours beaucoup consommées aujourd'hui. Les pâtes chinoises et asiatiques sont cependant plus communément appelées "nouilles".

    De nombreuses sources attribuent l'introduction des pâtes en Italie en 1292 à Marco Polo, qui les auraient ramenées de ses voyages en Asie. Cependant, l'origine des "macaroni" en Italie remonte à la Rome Antique.

    Les pâtes étaient incontestablement connues à la fois par les Grecs et les Romains. Ils consommaient en particulier une sorte de large nouille appelée en grec "laganon", probablement l'équivalent de nos lasagnes actuelles. Cependant, ce type de pâte n'était pas cuite à l'eau comme pour les lasagnes, mais cuite sur des pierres chaudes ou rôtie au four, un peu comme nous le faisons avec les pizzas.

    Apicius, un écrivain romain du premier siècle, bon mangeur, décrit une pâte faite  “pour envelopper les tartes…". Ces dernières étaient appelées ‘lagana'. La recette de cette pâte n'a pas été retrouvée, cependant il existe toujours des suggestions pour les accommoder avec de la viande et du poisson. On se rapprocherait alors de nos raviolis  ou tortellini  actuels.

    La plus ancienne évocation de nouilles cuisinées par ébullition est recensée dans le Jérusalem Talmud, écrit en Araméen au Vème siècle. On désignait alors les nouilles par le mot itriyah. Dans les textes arabiques, ce mot fait référence aux nouilles sèches achetées auprès d'un vendeur ambulant, plutôt qu'aux nouilles fraîches faites à la maison. En effet, les pâtes séchées pouvaient se conserver, alors que les pâtes fraîches devaient être mangées immédiatement. Il est plus que probable que les pâtes aient été introduites pendant la conquête de la Sicile par les arabes, qui les auraient importées sous forme de pâtes séchées.

    On pense aussi que le mot sicilien “maccaruni” qui signifie “pâte formée par la force” est l'origine du mot macaroni. C'est une étrangère qui finalement fut une des plus grandes reines de France car elle aima beaucoup notre pays et ses habitants qui nous a apporté les pâtes d'Italie, avec beaucoup d'autres choses encore. Catherine de Médicis est à l'origine d'une nouvelle cuisine française.

    Arrivée à Paris afin d'épouser le Roi de France, venue avec ses propres cuisiniers et de nouveaux produits, elle changera aussi les arts de la table de la France.

    Catherine, très gourmande, fait déguster à la cour de nouveaux plats de viandes: quenelles de volaille, crêtes de coq, crépines de foie (de veau ou de porc) et cervelle. Ces plats sont servis en petites quantités, ce qui est nouveau pour l'époque. Ce qu'elle préfère, ce sont les légumes, les fruits frais et les pâtisseries.

    A son entourage, elle transmet son goût pour les brocolis, les épinards, les artichauts, les courgettes, les haricots ou les asperges. Mais aussi pour les nouvelles traditions pâtissières: comme par exemple la pâte à choux ou la pâte feuilletée destinées aux recettes à la fois sucrées et salées. Elle importe également une nouvelle façon de conserver les confitures: les fruits macèrent dans le vin cuit ou le sucre, alors qu'on les conservait habituellement dans le miel. Elle introduit aussi les gelées, les pains d'épices, le panetonne, le nougat, les marrons glacés, la crème frangipane ou encore les macarons, les glaces, les sorbets, les dragées... 

    Vous n'imaginiez pas tout le bien que cette grande reine a fait pour nous?

    Dans le même temps, Catherine de Médicis sort les arts français de la table du Moyen-âge. A cette époque, on mange encore avec les doigts ou le bout du couteau. Elle introduit la fourchette à deux dents, ce qui lui vaut le surnom de "La reine à la fourchette". C'est également elle qui remplacera les grands plats dans lesquels chacun se servait, par l'assiette individuelle et les gobelets en étain, par les verres. Fille de la Renaissance italienne, Catherine de Médicis est en quelque sorte à l'origine d'une certaine renaissance de la cuisine française; et pour fini, c'est Catherine de Médecis qui a inventé… la culotte! Elle aimait les courses à cheval mais les dames de son temps montait les jambes du même côté, la jupe sous les fesses. Mais, comme Catherine adorait la chasse à courant et le vent dans les cheveux, elle trouvait peu commode de courir la campagne, à la vitesse de son destrier, avec le risque de se casser mille fois et plus le coup. Elle décida d'enfourcher le cheval comme un homme et, comme les femmes ne portaient rien sous leur robe, elle eut l'idée de fabriquer un caleçon en dentelles et frou-frous (on n'est pas femme pour rien) sur le modèle des collants masculin, d'abord pour protéger l'intimité et aussi, dans le cas où un vent malicieux et moqueur aurait eu l'idée saugrenue de soulever ses jupes et jupons!

    Juste un ou deux trucs à savoir pour vos pâtes: ils faut les faire cuire avec beaucoup d'eau salée: en effet, lorsque l'on jette les pâtes dans l'eau, le contact des pâtes froides baisse la température et l'on peut avoir des pâtes collantes.

    Les pâtes ne se rincent pas après la cuisson. Cela aurait pour effet de les refroidir, et surtout de faire disparaître une quantité d'amidon indispensable à la liaison de l'accompagnement leur donnant une texture spécifique.

    Perso, lorsque l'eau bout, je jette mes pâtes et dès que le bouillonnement reprend, j’éteins le gaz et je couvre les pâtes qui, cuisent ainsi lentement en 6 ou 7 minutes; puis, je les égoutte à l'écumoire ou la pince à spaghetti selon celle que j'ai sous la main et je les verse par paquet dans ma sauce… soit tomate, soit carbonara… mais je peux aussi bien les préparer avec huile d'olive, persillade et beaucoup d'ail.

    Jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, on consommait les pâtes natures ou avec du fromage. L'utilisation de la tomate est mentionnée pour la première fois au XVIIe  siècle. La tomate est d'abord importée du Nouveau Monde vers l'Espagne, puis on la retrouve à travers l'Europe, notamment dans les pays méditerranéens, où les conditions climatiques sont idéales pour la cultiver. Mais la tomate n'apparait pas comme un ingrédient était considérée comme une plante ornementale, car on pensait alors que c'était un poison (En réalité, les feuilles sont toxiques, mais son fruit, la tomate, ne l'est pas).

    La sauce tiendra bien collée aux pâtes d'autant qu'elles sont creuses ou à rayures. De ce que je me souviens, nous n'avions que: vermicelle, alphabet, perles, coquillettes, spaghetti, macaroni, cannellonis, nouilles et gansettes; il n'y avait, finalement pas tant que cela de choix. Le jour du pot-au-feu, c'était vermicelle ou alphabet. Les macaronis étaient au jus de viande ou au gratin avec chapelure et fromage qui file.

    Les cannellonis, c'était des feuilles de pâtes à plat; c'est nous qui les roulions avec la farce au milieu puis rôtis à la poêle avant de les plonger dans la sauce tomate et gratiné au four de la cuisinière saupoudré de fromage qui file. Ce n'est qu'après 1970, quand je vivais seule avec ma fille que j'ai commencé à utiliser la pâte plate pour cannellonis en lazagne.

    Les coquillettes ou les nouilles étaient utilisées souvent dans une sorte de ratas que toute l'Italie va me hurler dessus après avoir lu la recette ci-après.

    En fait, cette recette, nous la faisions dans la catégorie: l'art et la manière d'utiliser les restes.

    La carcasse du poulet rôti, une fois délestée des cuisses, blancs…

    D'abord, dans une grande casserole ou marmite ou faitout, faire roussir des oignons à bien bruns avec la graisse de canard ou de l'huile de pépins de raisin ou d'arachide; puis, on mettait le curou (cul ou fondement du poulet), les ailes, le bréchet… coupés en morceaux et on faisais roussir l'ensemble, une cuillère de farine, ajouter le bouillon puis la tomate concentrée délayée avec du bouillon (fait avec deux cubes). Du thym ou du laurier.

    On laissait cuire 10 m' à feu vif, on rajoutait les pâtes et on laissait encore cuire une bonne  ½ heure à feu moyen. Parfois, on rajoutait des câpres, des rondelles de gros cornichons ou des olives bien rincées ou une petite boîte de champignons en saumure mais bien rincés…

    Et oui, pas de cuisson à dente, c'était tout mou! bien épais, bien roboratif pour que le vent d'autan ne nous emporte pas; avant de mettre le saladier plein à ras bord, on arrosait d'un filet d'huile et agrémenté de quelques grammes de râpé, le fromage qui file. Charcuterie en entrée, fruits de saison à la fin.

    Et, une goutte de vin dans beaucoup d'eau, avec du bicarbonate de soude; Le bicarbonate de soude, un moyen de se prémunir contre les maladies d'alimentation (avant le frigo, avant le principe de précaution, avant les lois multiples et avariées de la commission de Bruxelles, (bizarre que l'on dise la commission de Bruxelles et pas de Strasbourg, pour éviter que les Français et leur mondiale gastronomie, soient regardés de travers à cause de leurs lois idiotes?) avant le déménagement des Halles, avant les supermarchés ou hyper). Avant le traitement des eaux qui coûte plus cher que l'eau du robinet et avant l'obligation d'acheter de l'eau en bouteille pour ne pas se tordre de douleur en permanence à cause du chlore…

    Mais, il y a plus de 200 000 centenaires en France, tout de même! Actuellement. On dit que cela va augmenter beaucoup. Ha oui? après tant de bisphénol, de produits chimiques sur les légumes ou les fruits???

    Avant l'importation de fruits de certains pays chauds (où il n'y a pas d'eau) et où, quand il en maque et qu'on va tout perdre, on utilise l'eau des stations avant épuration? et on vous vends cela avec le sigle AB….

    Achetez Français, va… il y a tant de normes sanitaires en France que nos agriculteurs en crèvent… mais, au moins, leurs légumes et fruits ne sont pas arrosés avec de la pisse, heu, pardon…il faut dire: de l'urine. C'est politiquement correct, mais cela revient à dire la même chose. Reste que je n'ai pas envie d'être zemmourisée!