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Blog - Page 219

  • D'autres infos sur le MIRACLE DES MIRACLES

    Mande pardon à ceux qui n'ont pas de maladies auto-imunes ni personne de leur entourage (quelle chance vous avez!) mais, celles et ceux concernées seront content-es de ces infos supplémentaires....

     

    Je peux vous dire que la recherche que nous avons en Belgique n’a à rougir de personne". L’auteur de ces propos, c’est Christian Homsy, patron de Celyad (ex-Cardio3 BioSciences), spécialiste de la thérapie cellulaire pour le cœur et le cancer. L’une de nos fiertés nationales, parmi ce qui se fait de mieux dans le domaine de la santé en Belgique. L’homme arpente la planète, dévore le marché américain, lorgne ses investisseurs. La comparaison avec les Etats-Unis est féroce, et pourtant, malgré tout, la Belgique est et reste "de très haute qualité".

    Cet article et les exemples qu'il contient en sont les meilleures preuves. Derrière le paravent des Cardio3, IBA, Mithra,…, un terroir continue à se développer. De jeunes espoirs belges émergent. Et ils écrivent une nouvelle et passionnante histoire de la santé. OncoDNA, à Gosselies, est capable de fournir le diagnostic et le traitement personnalisé d’un cancer sur simple présentation d’une biopsie du patient. Novadip génère des greffes osseuses au départ d’une ponction dans la graisse abdominale. Le Professeur Pierre Vanderhaeghen crée un cortex cérébral "en boîte" et lance un nouveau courant de recherche dans les zones obscures du cerveau.

    Tous les exemples présentés ici, et bien d’autres encore, montrent combien nos chercheurs excellent dans leur combat contre les maladies de notre siècle.

    Jean-Marie Saint-Remy précise: trois injections suffisent. Trois coups avant un lever de rideau. Changement de décor. Le cercle vicieux est transformé en cercle vertueux, le processus inflammatoire est enrayé, une phase de récupération s’enclenche. Le visage de Saint-Remy s’illumine, il est formel: "Le patient est sûr de pouvoir récupérer ses fonctions altérées! Du moins en partie."

    Cette thérapie cellulaire, dite autologue, consiste en une prise de sang pour prélever des cellules sanguines du patient. En culture, l’équipe médicale effectue son opération de désinformation. Quatre stimulations permettent d’obtenir une sélection homogène de cellules à activité thérapeutique. Une fois que les lymphocytes T, porteurs du message imposé par le code CXXC, sont transformés en tueurs de messagers, ils sont réinjectés et le miracle s’accomplit.

    Il faut compter deux mois environ, entre la prise de sang et la réinjection. Dont 24 h de test et 4 à 6 semaines de mise en culture. Le schéma a été validé, standardisé, s’appuyant sur un modèle animal de thérapie cellulaire. Quelques souris ont été induites en maladie, un minimum, mais avec des protocoles qui miment, au maximum, le modèle humain.

    Le premier patient, qui aujourd’hui se prête à l’essai clinique, a été recruté en janvier et recevra l’injection en juin, à Bruxelles, aux cliniques Saint-Luc. D’autres patients seront recrutés entre-temps dans les trois hôpitaux belges avec lesquels ImCyse collabore : Saint-Luc (UCL), Sart-Tilman (ULg), Gasthuisberg (KUL). Pour suivre le même protocole et confirmer les données.

    L’horizon? Fin 2016, si tout va bien, les résultats complets de cette première étude seront connus. La population visée en première instance? Les patients victimes de la forme récurrente de la maladie, chez qui la sclérose n’a pas encore trop lourdement affecté l’organisme.

    Une fois le principe acquis, le développement complet prendra encore plusieurs années. La question qui se posera à ImCyse sera celle de l’échelle, du déploiement d’une technique désormais éprouvée. Le professeur évoque des campagnes de vaccination directe auprès de populations à risques, dont il reste à définir le profil (hérédité, environnement…).

    Développement

    Jean-Marie Saint-Remy conclut: "ImCyse est une plateforme technologique, pas un nouvel emballage pour une babelutte!" C’est-à-dire un vivier de solutions. Et la technique qu’il est en train de valider pour la sclérose en plaques vaut pour d’autres maladies auto-immunitaires. Au premier rang desquelles… le diabète insulino-dépendant.

    Effectivement, on imagine la pression. L’enjeu de l’essai clinique en cours est considérable. "Il s’agit d’une technologie de rupture, révolutionnaire, et nous avons l’ambition de la développer dans de nombreux domaines", nous glisse Pierre Vandepapelière, CEO d’ImCyse.

    Une porte s’ouvre. Les investisseurs commencent à s’y presser: Meusinvest, Biogenosis… Un premier plan d’investissements a été lancé en 2012. Après la Flandre – ImCyse est devenue spin-off de la KUL en 2011, six mois après sa création –, la Région wallonne est venue la soutenir et l’Europe lui a accordé un gros subside pour son projet dans le diabète. "Le but est d’arriver à guérir ces maladies sévères, on a le potentiel. ImCyse peut devenir un leader mondial de l’immunothérapie."

     

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    Pr Saint-Rémy

     

  • Soupe à l'oignon

    Dans le sud-ouest, et notamment à Toulouse, il est une tradition que nous avons suivi longtemps, très longtemps.

    Longtemps après une longue nuit, au petit matin, les fêtards toulousains se cherchaient une petite brasserie encore ouverte pour déguster la tradi soupe à l'oignon, gratinée s'il vous plait… Je me souviens l'avoir suivie, cette tradition locale du temps où je sortais dans les discothèques et autres boîtes de nuit. Non, ce n'était pas dans l'Antiquité: je suis allée en boîte jusqu'à mes 56 ans: j'ai cessé lorsque ma maladie m'a empêchée de conduire. Bah, je pourrais encore conduire, une voiture adaptée. Millodioù: voiture adaptée! j'arrive pas à y penser ou l'écrire...

    Dans les années 70, il fallait faire la distinction: discothèque est une très grand boîte à danser, avec parfois une scène et un groupe, de la place pour 350 à 400 personnes; boîte de nuit, comme cela s'indique dans sa dénomination, une cave voûtée, en plein centre-ville où l'on logeait, très difficilement une centaine de personnes. Magnifiques, ces caves voûtées, avec la fameuse brique rose de Toulouse.... je passais mon temps à m’esbaudir de l'ingéniosité des gens qui avaient réalisé ces belles maisons toulousaines, belles, jusque dans la cave! Il est arrivé, un moment, où, connue comme le loup blanc, j'avais un passe-file dans 5 boîtes toulousaine, j'entrais sans payer... ils avaient remarqué que ma façon de danser entraînait tous les jeunes sur la piste! je mettais l'ambiance rien qu'en dansant!

    Une boîte de nuit, c'est de la musique très branchée, une place très rikiki pour danser… et certainement déjà de la drogue mais comme je n'ai jamais fumé ne serait-ce qu'un pétard, ce n'est pas le genre de chose que je recherchais quand j'entrais dans ce lieu magique où je me positionnais sur la piste de l'arrivée à la fermeture… d’où l'entrée gratuite, pratiquement pas de slow, ce qui m'arrangeait bien car, je dansais, dansais, dansais “jusqu'au bout de la nuit" comme on chante par chez nous (je ne citerai pas le nom du groupe toulousain, mais vous savez de qui je parle si vous n'avez plus la morve qui vous sort du nez).

    On ne buvait pas autant que font les jeunes car les entrées étaient toujours payantes pour les filles et quand on a un budget de 3 francs six sous de jeunes de l'époque, croyez-moi, une fois payée la boisson, y'avait plus de rond dans le porte-monnaie); et puis, boire à se rouler par terre, c'était pour les minables incultes qui ne savaient pas écrire son nom: nous, on était des gens bien et snobs: on ne se saoule jamais… rien à voir avec la manachaille  de 2015 que si tu lui refuse un portable à ses 5 ans, crie haut et fort aux mauvais traitement sur enfant et t'envoie directo sur les bancs de la correctionnelle.

    Nous, on se saoulait de danse, de bruits (la fièvre du samedi soir); nous, on rentabilisait au max les 8 ou 10 francs de l'entrée dans la boîte.

    Et au petit matin, avant de rentrer chacun chez soi, à pied, tout au long des 3 à 5 km qui nous séparaient de notre lit, on s'arrêtait dans un troquet pour déguster la soupe à l'oignon revigorante.

    Il a été prouvé, il y a quelques années que cette tradition culinaire ancienne remettait les yeux en face des trous de ceux qui avaient un peu bu et dansé tout la nuit: la soupe, ça réhydrate car l'alcool, tout au contraire, dessèche les cellules. Avec une eau Perrier, y'a pas mieux pour repartir comme en 40 sur le chemin du retour; le petit matin frais dans les rues de Toulouse, ça n'a pas de prix.

    Soupe gratinée à l'oignon

    A peu près pour 3

    125 g d'oignons jaune en cube; 60 g de graisse de canard; 1 cuillère de farine, sel, poivre, pain sec et/ou grillé, 200 à plus de fromage râpé*; 1 branchette de thym ou de romarin, chapelure ou pas; 1 litre de bouillon avec cube de volailles ou autres; quelques noisettes de beurre ou huile d'olive.

    Faites rissoler les oignons à bien brun, rajoutez la cuillère de farine et remuez bien sur feu moyen; versez le bouillon et faites cuire durant 10 mn à gros bouillon après avoir salé, poivré et ajouté une branchette de thym.

    Pendant que ça bout, allumez le four à très chaud, coupez le pain dans des bols ou terrines individuelles en terre, versez le bouillon sans le thym, bien sûr; saupoudrez de fromage râpé et la chapelure ensuite, arrosez filet huile d'olive ou disposez quelques noisettes de beurre et mettre à gratiner à 250 ou plus durant 10 mn'.

    Cela devrait vous caler jusqu'à la maison et votre lit douillet déjà occupé par Morphée.

    *quand j'étais môme, on disait: le fromage qui file, c'est plus long et plus facile à dire que gruyère râpé.

     

  • Ne vous laissez mener en bouteille!

    Ici, on nous vend de l’eau avec un petit quelque chose en plus… totalement inutile.

    Hydratez-vous! Le conseil, martelé par les nutritionnistes, est repris en chœur par les fabricants d’eaux minérales. Jamais à court d’idées, ils proposent des variantes fruitées, censées remplacer par du "naturel" les sodas mis à l’index. Attitude responsable, sauf que l’eau cache des surprises…

     

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    Sucre caché. Dans le flacon Volvic, le composant le plus important juste après l’eau, c’est le sucre. Ni vu ni connu, une bouteille de 75 cl fait avaler plus de trois morceaux de douceur indésirable. Le corps a certes besoin d’énergie, mais pas sous cette forme!

    Additifs inutiles. Les fruits promis sur l’étiquette sont présents sous forme d’arômes naturels: du citron et de la limette, mais pas seulement. D’autres arômes naturels figurent dans la composition – on ne sait ni lesquels ni combien – ainsi que de l’acide citrique. Ces composants sont tout droit sortis d’un labo, rien à voir avec la nature. Quant au benzoate de potassium, c’est un additif qui peut provoquer des réactions chez les asthmatiques ou les allergiques à l’aspirine.

    Pour le reste, il vaut mieux boire de l'eau en bouteille que de l'eau du robinet... malgré ce que disent les autorités, l'eau du robinet contient énormément de molécules pharmaceutiques que l'on ne peut pas encore déceler ni supprimer dans les stations d'épuration!

    On se plaint de la stérilité masculine? ils boivent au robinet de l'eau qui contient des molécules de.... la pilule!

    ... et je ne parle pas de la contamination par les traitements chimio ou antibio!

    Moi, perso: depuis 1992, je fais mon café, mes bouillons, comme le pot-au-feu avec de l'eau en bouteille!

    Comme j'ai la sale habitude le matin en me levant de m'asperger le visage d'eau froide pour me réveiller, depuis 3 ans, je toussais... je tousse encore car, j'ai cette sale habitude tenace et parfois, hop, j'oublie et je m'asperge... la chaleur m'oblige, hélas, donc j'oublie...

    Malgré tous les examens et antibio avalés, sans compter la cortisone et tout un tas de sal.. je continue à tousser.... parce que en me mettant de l'eau sur le visage, je suis sans aucun doute embêtée par la chlorine, un composé de Javel qui s'évapore devant nous en faisant couler l'eau du robinet.... Sachez que depuis les attentats américains de 2001, en France, le chlorage de l'eau a été doublé! ce qui nous fait très souvent des "yeux de lapin" en sortant de la douche... et le Javel des piscines rend, très souvent, les champions de natation très allergiques... alors, à vous de conclure!

    De plus, il faut savoir que les normes de propreté de l'eau en bouteille sont deux fois plus sévères que l'eau du robinet (l'émission de Cymes me l'a appris il y a 7 ou 8 mois)... Résultat, non seulement nous payons très cher le traitement (qui est complètement bidon) de l'eau dans nos factures, mais, en plus, nous devons uniquement utiliser de l'eau en bouteille pour notre santé. Ce qui revient plutôt cher.... Un conseil, ne buvez pas l'eau au goulot, le plastique dans la bouche, c'est bisphénol et compagnie.... et, quand il n'y a plus d'eau, jetez la bouteille, au bout de 9 mois, le plastique se dégrade et l'eau que vous boirez sera biphénolisée! donc, prudence en achetant vos eaux...

    Sur le net, beaucoup de filles se lavent les cheveux avec seulement l'après shampooing car elles pensent protéger leur chevelure: IDIOT; elles n'ont rien compris: la faute de l'eau du robinet...

    Si après avoir lavé vos cheveux le matin, ils grasseyent déjà le soir ou le lendemain, ce n'est pas votre shampooing: c'est l'eau du robinet. Je vous conseille de faire un dernière rinçage après lavage des cheveux avec 1 bouteille d'eau et vous verrez la différence! En hiver, vous la chauffez un peu dans une casserole et vous rajoutez du vinaigre pour la brillance... avec ce système et dans des conditions de vie normales (sans le sport qui fait transpirer) vous devriez pouvoir avec des cheveux propres durant pratiquement une semaine.. par contre, les allergiques doivent retirer les allergènes des cheveux;

    Petit truc pour avoir des cheveux propres sans les laver... mon truc du temps où j'avais les cheveux tellement longs que, lorsque je m'asseyais, il me fallait les soulever pour ne pas avoir la tête bloquée: des cheveux longs, c'est très long à sécher... donc, je mettais un vieux collant dans la brosse à cheveux et je brossais... rapidement, le morceau du collant va au fond des poils de la brosse à cheveux: vous verrez toute la poussière, c'est absolument incroyable... pour continuer un peu, déplacer le morceau de collant pour avoir un propre et recommencez à vous brosser... vous allez être suffoqué-e de la poussière que vous récupèrerez! bien sûr, vous aurez beaucoup de poussière quand les cheveux seront plutôt sales. Le bon sens n'est pas "près de chez vous" comme dit la pub, il doit être en vous!

    Ces trucs n'ont rien à voir avec la cuisine... mais, il y en plus d'un millier sur mon site

    www.tradi-cuisine.com

    Vous êtes de plus en plus nombreux chaque jour a y passer, plus de 800 visites par jour, merci!

     

  • Toulouse prend en compte les seniors comme il se doit

    A Toulouse, une résidence mixte accueillant seniors et personnes en situation de handicap

    Habitat Toulouse, principal bailleur social de la ville rose, a inauguré le 29 avril une opération de 28 logements, dont 12 équipés de domotique pour accueillir des handicapés moteur. L’office public de l’habitat a élaboré le projet en collaboration avec l’association spécialisée dans la prestation aux personnes en situation de handicap Carpe Diem.

    A quelques pas de la gare Matabiau à Toulouse, la résidence Jean Aicard, inaugurée le 29 avril, marque l’entrée de la cité Bonnefoy, dont elle est la dernière phase de son renouvellement. Elle est aussi la première opération mixte d’Habitat Toulouse, principal bailleur social de Toulouse avec un parc de 17 500 logements.

    Ainsi, sur les 28 logements, 12 sont des T2 réservés à l’association d’aide aux handicapés Carpe Diem qui y loge des personnes en situation de handicap moteur. Cinq autres (T2 et T3) sont réservés à des “séniors“.

    Le maître d’œuvre, l’agence Bellouard-Montlaur-Balducchi, a travaillé dès la phase étude avec Carpe Diem et l’association GIHP  pour la conception des espaces et le choix des dispositifs techniques. Il a aussi bénéficié du retour sur expérience d’une opération similaire réalisée à Lyon. "Cette visite nous a permis de comprendre la nécessité de simplifier au maximum les déplacements à l’intérieur des appartements. Au final, rien n’est compartimenté dans les logements. Par ailleurs, nous avons choisi d’installer un ascenseur de 1 000 kg plutôt que d’opter pour le poids règlementaire de 630 kg. Plus grand, il laisse de la place pour accompagner une personne en fauteuil roulant », explique l’architecte Philippe Montlaur.

     

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    Autre spécificité: le coin jour est largement séparé du coin nuit, dans lequel est confinée la partie médicale. A travers les larges baies vitrées et les loggias, l’architecte a aussi recherché la transparence pour une plus grande ouverture sur l’extérieur.

    Ensuite, Habitat Toulouse a eu recours à la domotique pour motoriser les systèmes de commande (porte-palière, volets roulants, porte fenêtre du séjour). Par ailleurs, un local est réservé à un service d’aide et d’accompagnement à domicile géré par l’association Carpe Diem.

    Quant aux logements "séniors", Habitat Toulouse a travaillé avec l’association Delphis et à partir d’un cahier des charges établi par le Département du Rhône et l’APCIL. Les appartements sont, par exemple, équipés de de volants roulants électriques, de système d’éclairage basse consommation permanent sur le parcours chambre.

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    En structure béton, le bâtiment s’élève sur quatre niveaux avec un parking en sous-sol semi-enterré. La majorité de logements sont traversants desservis, au nord, par une coursive éloignée de la façade, et s’ouvrant, au sud, sur de vastes loggias donnant sur la rue. Les deux premiers niveaux sont dédiés au service d’aide à domicile et aux logements adaptés au handicap. Habitat Toulouse a évalué les surcoûts à 240 000 euros HT, soit 20 000 euros par logement adapté, en intégrant les surcoûts structurels (largeurs des coursives) et l’ensemble des équipements. Pour les cinq logements séniors, les équipements supplémentaires ont coûté 15 000 euros HT.

    D’autres opérations de ce type devraient suivre. C’est en tout cas ce qu’a annoncé Franck Biasotto, président d’Habitat Toulouse lors de l’inauguration.

    Et, tant que j'y suis...

     

    Toulouse, toulousain, recettes, cuisine, gastronomie, Occitanie

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • LE MIRACLE DES MIRACLES... si vous souffrez de sclérose en plaques et autres maladies auto-imunes...

    FAIRE CIRCULER SUR TOUTE LA PLANÈTE!

     

    La sclérose en plaques: à la veille du miracle

    L’essai clinique est sur le point de débuter. En juin. Un seul pa­tient. L’enjeu est énorme. Une maladie réputée incurable pourrait être soignée. Et un vaccin serait possible. Le professeur Jean-Marie Saint-Remy, fondateur de la spinoff ImCyse, est à la veille d’une consécration. Il aura bien­tôt vaincu la sclérose en plaques.

    Un premier patient, pour un essai clinique aussi crucial qu’une thérapie qui guérirait définitivement la sclérose en plaques, ça paraît peu. Mais le défi est gigantesque, et ne peut attendre l’arrivée des futurs patients annoncés.

    On imagine la pression. D’abord pour le patient (ou la patiente) en question, qui n’a pas souhaité livrer son témoignage ici. À quoi bon s’exposer mainte­nant dans la presse? Aussi prometteuse que soit l’expérience, il n’y a pas encore à se vanter d’une victoire, avant qu’ait eu lieu le combat. Mieux vaut arriver avec la bonne nouvelle d’une réussite, d’une guérison!

    La première injection du traitement proprement dit aura lieu dans moins d’un mois, en juin. L’heure est à la concentration, aux préparatifs finaux, à la prière…

    Et on imagine aussi la pression pour le corps médical qui l’entoure, le médecin de ce (cette) patient(e), le profes­seur Vincent Van Pesch, neurologue aux cliniques universitaires SaintLuc. Et sur­tout pour un autre professeur, Jean-Marie Saint-Remy, celui par qui tout est devenu possible, l’homme de science qui a mis la thérapie au point, avec son équipe d’une pe­tite quinzaine de cher­cheurs. Nous le retro­uvons au bio-incubateur de la KUL, dans les locaux d’Im­Cyse, la société qu’il a fondée en juillet 2010. Im­Cyse est aussi installé au Giga du Sart Tilman à Liège. Wal­lo­nie, Flandre, Bruxelles, … les trois régions sont im­pli­quées.

    L’enthousiasme et l’intensité du moment, c’est dans les yeux de Jean-Ma­rie Saint-Remy que nous les lisons aujourd’hui. Le professeur se sait à un doigt d’une réussite immense. Sa thérapie est révolutionnaire, au sens où l’approche est différente, un peu à la manière de l’œuf de Colomb. Le doc­teur SaintRemy n’a pas aménagé ou transformé des outils existants, qui font très bien ce qu’ils ont à faire, dans les limites étroites de leur périmètre. Non, il en a inventé d’autres, d’une autre nature, dans une autre dimension stratégique. Et sa trouvaille lui a permis d’envisager de guérir, d’éliminer définitivement le facteur de maladie, là où l’état actuel de la médecine permet seulement de gérer des symptômes, avec le secours de médications dont les effets secondaires finissent par faire plus de mal que de bien. (Vi, suis au courant!)

    Ce que la plate­forme technologique d’Im­Cyse met en œuvre représente un espoir de se débarrasser de la sclérose en plaques, mais aussi d’autres maladies auto-immunitaires. Non seulement d’en guérir, mais aussi de s’en prémunir, car la technique d’Im­Cyse ouvre aussi la voie à des campagnes de vaccination. "Les traitements classiques de la sclérose en plaques, à base de corticostéroïdes, d’an­ticorps monoclonaux, de molécules chimiques, ne sont jamais qu’un mauvais compromis entre la prise d’un maximum de médicaments, pour un effet maximum, et un minimum d’effets secondaires indésirables", explique Jean-Marie Saint-Remy. Dépasser la logique du mauvais compromis rendra possible l’impossible.

    Depuis en 1996, quelques temps après la maladie auto-immune de ma fille et avec les recherches difficiles sur un internet qui ramait comme vous ne pouvez imaginer, sans moteur de recherches (et oui), il y avait si peu de sites (la France était en retard!), j'ai compris que les maladies inflammatoires étaient tellement nombreuses et différentes que le jour où un scientifique trouvait le moyen de supprimer cette réaction auto-immune inflammatoire, j'expliquais autour de moi que, ce jour-là, la sécurité sociale française ne serait plus jamais en faillite!

    Et, nous y voila presque! Croisons les doigts comme m'a dit mon amie médecin, ce serait génial si c'était possible!

  • Tourte au confit de canard

    C'est plus facile à réaliser désormais car on trouve sans problème des pâtes feuilletés... Conseil: achetez uniquement celles qui sont "pur beurre".

    200 g de pâte brisée (même si vous l'avez achetée au lieu de la faire, je ne vous en voudrais pas!), 1 grosse cuisse de canard confite dans de la bonne graisse (attention aux arnaques, parfois la graisse qui entoure la cuisse confite, ce n'est que de la graisse de porc: si elle est trop blanche, porc; si elle est un peu mordorée, canard). Vous devez récupérer au minimum 120 g,

    1 oignon jaune en cubes; 100 g d'olives vertes dénoyautées (facultatif: vous pouvez aussi bien, si vous avez succombé-e aux modes nouvelles ou si c'est votre goût, remplacer par des airelles au vinaigre que vous aurez l'intelligence de bien rincer ou d'autres fruits ou petits légumes que l'on conserve vinaigre ou sel).

    Il vous faut encore du thym ou romarin frais (pas sec, ce n'est pas le même goût). Un peu de vinaigre balsamique si vous y tenez…. du poivre… si vous avez de l'hypertension, évitez de saler.

    Vous pouvez préparer une tourte pour 3-4 ou bien de petites tourtes dans des petits moules, comme de bien entendu. Vous préchauffez votre four à 200°

    Donc, faites revenir votre viande de canard (ou autre volaille, la dinde confite, ce n'est pas mal non plus) pour récupérer la bonne graisse, dans laquelle vous faîtes revenir à bien brun l'oignon. Pendant qu'il rôti à feu moyen, vous avez le temps, hachez la viande que vous rajoutez dans la poêle pour mêler les saveurs avec les olives… remuez bien, mettre le thym en morceaux, du poivre, ajoutez une lichette de balsamique.

    Goûtez pour être satisfait-e de vous.

    Mettre dans un plat à fou, rond, carré ou ovale, une partie de votre pâte brisée, bien sûr après avoir bien beurré le plat que vous aurez pensé à recouvrir de farine pour éviter que cela attache. Si vous ne faites pas cela, c'est que vous avez des plats anti-adhésifs et cela se voit que vous n'avez même pas trouvé le moyen de comprendre mes dossiers sur mon site d'astuces

    www.tradi-cuisine.com

    et je vous plains de ne pas ouvrir les yeux sur votre avenir et celui de vos enfants.

    Versez la préparation et rajoutez un disque du restant de la pâte en appuyant pour la souder comme il faut; nappez avec un pinceau d'œuf battu ou si vous voulez économiser, un peu de lait qui dorera tout aussi bien. N'oubliez pas de faire une cheminée: pas la peine de faire un gros trou avec un carton comme on voit dans les émissions de cuisine; plantez la lame du couteau et tournez-là, c'est suffisant. Si vous n'avez pas bêtement mis du jus d'airelles, il ne devrait pas y avoir trop de vapeur.

    Enfournez 20 à 25 m, et consommez chaud ou tiède accompagné de ce que vous aimez servir ensemble: salade, légumes, riz, pomme de terre, etc…