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OCCITANIE - Page 2

  • Libérez!

  • Œufs en rose

    Pour les enfants ou pour un apéro chic ou une entrée colorée.

    pour 4 personnes

    4 œufs dur; 250 ml de jus de betterave; 100 ml de vinaigre de cidre

    1 c. à soupe de sucre; 1 c. à café de sel

    1 gousse d’ail (optionnel); 1 feuille de laurier

    Dans un bocal, mélangez le jus de betterave, le vinaigre, le sucre, le sel, l’ail et le laurier. Plongez les œufs durs écalés dans la marinade et laissez reposer au réfrigérateur pendant 24 à 48 heures.

    Plus vous attendez, plus le rose pénétrera

    Servez coupé en deux avec une pointe de crème fraîche et d’herbes fraîches.

  • Lapin sauté aux pruneaux

    6 personnes

    1 Lapin,Farine 1 c à s, Echalotes 4

    100 g lardons de cansalade, Champignon de Paris 200 g

    10 Pruneau dénoyautés; 20 cl vin blanc sec, Bouillon de volaille 35 cl

    2 c à c Beurre, d' estragon

    Huile d'arachide, Sel, Poivre

    Salez et poivrez le lapin sorti du réfrigérateur 1 ou 2 heures avant. Dans une cocotte assez grande, versez un fond d'huile et faites dorer les morceaux sur toutes les faces à feu vif pendant 15 minutes environ. Ajoutez la farine, mélangez puis réduisez légèrement l'intensité du feu. Couvrez et laissez cuire ainsi pendant 10 minutes en retournant le lapin de temps en temps.

    Epluchez et hachez les échalotes. Ajoutez-les dans la cocotte et laissez-les cuire environ 5 minutes à feu doux sans les laisser brûler. Plongez les lardons 20 secondes dans l'eau bouillante pour les blanchir, puis égouttez-les. Lavez les champignons. Ajoutez dans la cocotte les champignons, les lardons et les pruneaux. Couvrez et laissez cuire à feu doux 5 minutes.

    Versez le vin de Riesling dans la cocotte. Faites-le bouillir, couvrez et laissez mijoter 5 minutes. Ajoutez le bouillon et laissez cuire encore 30 minutes. Sortez la cocotte du feu, incorporez au jus de cuisson le beurre et l'estragon en mélangeant le tout avec une cuillère en bois. Servez chaud.

  • Les pires aliments pour le cerveau

    Le sucre est à éviter, comme l'explique Max Lugavere : "Le sucre interagit avec les gènes dans le cerveau, ce qui a pour effet de diminuer la neuroplasticité et de nuire aux fonctions cognitives." Manger moins de sucre, en particulier les sucres cachés (présents dans les aliments transformés), est également une mesure à prendre pour protéger son cerveau.

    Dans l'organisme, les sucres favorisent la glycation des protéines. Ce mécanisme "survient lorsqu’une molécule de glucose s’associe à une protéine proche ou à la surface d’une cellule et provoque des dégâts, explique Max Lugavere. Toute nourriture qui provoque une augmentation de la glycémie peut potentiellement accroître la glycation, et les protéines exposées au glucose sont vulnérables." Pour ces raisons, il vaut mieux éviter les aliments à IG (index glycémique) élevé.

    La glycation conduit à la formation de produits de glycation avancée (AGE, pour advanced glycation end-products). Les AGE sont associés à l’inflammation et au stress oxydatif dans l’organisme. "La formation des AGE étant plus ou moins proportionnelle au taux de glucose sanguin, le processus est d’autant plus rapide chez les diabétiques de type 2 et joue un rôle majeur dans leur tendance au développement ou à l’aggravation de maladies dégénératives comme l’athérosclérose et la maladie d’Alzheimer, dit Max Lugavere. Dans le cas de la maladie d’Alzheimer, un cerveau atteint est littéralement envahi de cette toxine du vieillissement et contient trois fois plus d’AGE qu’un cerveau sain."

    Méfiance aussi avec le fructose, présent notamment dans les sodas. Dans une étude menée à l’université de Californie à Los Angeles, on a donné à des rongeurs la quantité de fructose équivalente à la consommation d’une bouteille d’un litre de soda par jour (9). Après 6 semaines, ils ont commencé à présenter des troubles classiques : taux croissants de sucre dans le sang, de triglycérides et d’insuline, et dégradation de la cognition. Ils mettaient aussi deux fois plus de temps à trouver la sortie d’un labyrinthe que des rongeurs qui ne consommaient que de l’eau.

    Conclusion : bien nourrir son cerveau

    En conclusion, l'alimentation bénéfique à la santé cérébrale est riche en vitamines, minéraux, antioxydants, fruits, légumes, bonnes graisses (oméga-3 des poissons gras et des noix), choline des œufs... Elle évite les sucres, les aliments ultra-transformés et à IG haut.

     

     

  • Fondue au fromage à l'Armagnac

    Pour 6 personnes

    200 g de gruyère mi-salé; 300 g de vacherin, 80 g de Roquefort, 25 cl de vin blanc

    3 C A C de fécule de maïs; 2 gousses d'ail; Muscade

    Poivre du moulin; 1 pointe de couteau de bicarbonate de soude

    Quelques gouttes  d'Armagnac

    1 belle miche de pain

    Coupez les fromages en petits morceaux, réservez. Coupez le pain en tranches.

    Dans un caquelon, frottez les gousses d'ail puis les écraser, ajoutez le vin blanc et la fécule. Faire chauffer. Ajoutez le fromage et laisser fondre en remuant sans arrêt avec une spatule en bois.

    Lorsque le mélange est bien homogène ajoutez l'Armagnac, mélangé au bicarbonate. Ajoutez le poivre, la muscade et servir immédiatement.

    Conseil: Si la fondue est trop épaisse ajoutez du vin blanc ou de l'eau. Si elle est trop liquide, ajoutez de la fécule mélangée à du vin blanc. Pour rendre le mélange plus onctueux il est possible d'y mettre de la crème fraîche épaisse.

  • Quel est le carburant du cerveau?

    Le cerveau utilise du glucose, mais il peut aussi tirer son énergie des graisses ou plus exactement de composés dérivés des graisses : les corps cétoniques, ou cétones, qui sont produites en période de jeûne ou dans les régimes très pauvres en glucides (keto).

    Les vitamines importantes pour le cerveau

        les vitamines B , en particulier les folates (vitamine B9) et la vitamine B12, indispensable au fonctionnement normal du système nerveux ;

        la vitamine C, parce qu'elle est antioxydante et aide à la production de neurotransmetteurs ;

        la vitamine D, car elle permet de lutter contre les effets du vieillissement ;

        la vitamine E, liposoluble et antioxydante, qui protège les membranes synaptiques de l’oxydation et favorise de ce fait la neuroplasticité

        la vitamine K2, associée à une meilleure santé cérébrale...

    La bonne alimentation pour le cerveau

    D’après les études, le régime méditerranéen est l’une des meilleures alimentations pour maintenir un cerveau en bonne santé. Les aliments à index glycémique (IG) bas, comme la plupart des fruits et légumes, les légumineuses, certaines céréales complètes permettent une libération progressive du glucose dans le sang permettant au cerveau de bien fonctionner toute la journée.

    Découvrir les aliments à IG bas : le tableau des index glycémiques ou le Guide des IG

    Les meilleurs aliments pour le cerveau : notre sélection

    1. La sardine : une source d'oméga-3 bons pour la mémoire

    La sardine est un poisson gras riche en oméga-3, plus précisément en DHA (acide docosahexaénoïque). Les oméga-3 sont des acides gras polyinsaturés qui se trouvent en grandes quantités dans certains poissons gras et quelques produits végétaux. Ils font partie des acides gras essentiels, car l'organisme humain en a absolument besoin. L’alimentation est la seule et unique source d’oméga-3, le corps ne peut les produire. Les oméga-3 joueraient un rôle important dans la santé du cerveau en augmentant le flux de sang vers des zones spécifiques, notamment celles qui contrôlent la mémoire et l’apprentissage. Parmi les oméga-3, le DHA est le plus important pour le cerveau et la cognition. C'est un élément structurel et fonctionnel de toutes les membranes cellulaires et des neurones.

    1. Un fruit : les myrtilles

    Les nombreux antioxydants des petits fruits rouges, les fraises et les myrtilles en particulier, pourraient protéger le cerveau du vieillissement et donc aider à maintenir ses fonctions cognitives.

    1. L’œuf

    Abondants et bon marché, les œufs sont un aliment de base consommé dans le monde entier, avec des atouts nutritionnels indéniables : ils apportent des protéines, des graisses saines et des nutriments intéressants pour le cerveau, comme la choline et les caroténoïdes. La choline, présente dans le jaune, est essentielle pour la synthèse d’acétylcholine, un neurotransmetteur associé à la mémoire. Mais à cause de la présence de cholestérol, les œufs ont parfois une mauvaise image dans la population.

    Récemment, une étude de l’Université de Californie à San Diego a analysé l’association entre la consommation d’œufs et les facultés cognitives dans différents domaines (2). Pour cela, les chercheurs ont recueilli les données d’une cohorte d’habitants de la banlieue de Rancho Bernardo à San Diego, comprenant 890 hommes et femmes de 55 ans et plus.

    Globalement, les hommes mangeaient plus d’œufs que les femmes. D’après cette étude, la consommation d’œufs n’altère pas les fonctions cognitives, tant chez les hommes que chez les femmes. Les résultats suggèrent même un léger effet bénéfique de la consommation d’œufs sur la mémoire sémantique chez les femmes. "Nous avons constaté que la consommation d'œufs à l'âge moyen était associée à une fonction cognitive légèrement meilleure à un âge plus avancé, dit la Pre Donna Kritz-Silverstein, auteure de cette étude. Il s'agit d'une nouvelle découverte qui suggère un impact potentiel à long terme de la consommation d'œufs sur la santé cognitive."

    1. L’épinard

    Les épinards sont riches en de nombreux composés bénéfiques comme les vitamines A, B9 (acide folique), C et K mais aussi en pigments antioxydants comme la lutéine et la zéaxanthine. Des études ont montré que ce légume pouvait limiter le déclin cognitif.

    Vous n’aimez par les épinards ? Pas de problème, ce sont tous les légumes verts à feuilles comme les salades, les choux ou encore les blettes qui ont cette propriété.

    Dans une étude de cohorte portant sur 3700 personnes de plus de 65 ans, les chercheurs ont trouvé que par rapport aux personnes mangeant le moins de légumes (médiane de 0,9 portion/jour), celles qui en mangeaient environ 2,8 portions/jour diminuaient de 40 % leur risque de déclin cognitif, Quand les chercheurs ont étudié le déclin cognitif en fonction de la consommation de certains types de légumes, ils ont trouvé que tous les types de légumes, à l'exception des légumineuses, étaient inversement associés au déclin cognitif et que les légumes à feuilles vertes présentaient l'association linéaire la plus forte (3).

    1. Le chocolat noir, un super aliment pour le cerveau

    Les propriétés santé du chocolat sont dues à des substances antioxydantes, nommées flavonoïdes, présentes en quantité importante dans les fèves de cacao. Consommés en quantité importante, les flavanols du cacao boosteraient les performances visuelles et cognitives d'après une étude sur des jeunes adultes (4). Seul le chocolat noir très concentré en cacao contient suffisamment de flavanols pour avoir un effet sur le cerveau. Les autres n'en renferment pas assez et sont aussi trop sucrés pour être profitables.

    conseil : consommer 1 à 2 carrés de chocolat à plus de 90 % de cacao chaque jour.

    1. Les noix

    La noix de Grenoble a la forme d'un cerveau... et cela tombe bien, elle serait bénéfique pour lui. Outre ses oméga-3, ce serait grâce à sa vitamine E et ses antioxydants.

     

    La vitamine E contenue dans les noix, amandes et noisettes (mais aussi l’avocat, les épinards, les cacahuètes, l'asperge et les huiles d’olive et de colza) permettrait en effet de prévenir le déclin cognitif. La consommation de noix (toutes formes confondues) est ainsi associée à de meilleures fonctions cognitives chez les personnes âgées (5). Plus elles mangent de noix et plus le cerveau fonctionne bien. Chez les plus jeunes la consommation de noix de Grenoble n'a pas d'effet sur la mémoire mais en aurait un sur certaines formes de raisonnement logique (6).

    1. L’ail

    L’ail est parfois considéré comme un « super-aliment » à cause des composés organosulfurés qu’il contient, comme l’allicine, qui ont des effets antioxydants et anti-inflammatoires. L'ail est traditionnellement utilisé pour ses effets sur le système cardiovasculaire mais il pourrait aussi être bénéfique au cerveau. Des expériences in vivo et in vitro ont montré que l'ail possède des propriétés neuroprotectrices significatives et qu'il agit principalement sur l'hippocampe. Il a été démontré que les composés organiques soufrés jouent un rôle majeur dans la neuroprotection.

    1. Le brocoli

    Le brocoli, comme d’autres crucifères (choux de Bruxelles, chou rouge, chou frisé, radis, chou kale...) contiennent du sulforaphane, un composé qui se forme pendant la mastication et offre de nombreux bienfaits pour la santé. Récemment, les effets protecteurs du sulforaphane sur la santé du cerveau ont fait l'objet d'études dans plusieurs maladies neurologiques, dont la maladie d'Alzheimer, la maladie de Parkinson, les troubles du spectre autistique et la schizophrénie

    1. Le thé vert

    Le thé vert contient des catéchines, dont la principale est l’EGCG. L’épigallocatéchine gallate est un polyphénol antioxydant très puissant, capable de neutraliser les radicaux libres impliqués dans le vieillissement et la diminution des capacités cognitives. En plus de protéger le cerveau des lésions neuronales, il améliore le flux sanguin cérébral.

    1. Le café

    Le café contient des polyphénols, mais surtout de la caféine. Les effets stimulants de la caféine tiennent à sa capacité à augmenter la production de glutamate tout en réduisant celle du GABA, qui est un calmant du cerveau. Toutefois, il ne faut pas en abuser, comme l'explique Max Lugavere dans La nutrition du cerveau: "Bien que le café contienne de nombreux composés qui protègent le cerveau et que les études récentes lui soient plutôt favorables, il n’en reste pas moins un stimulant du système nerveux central et peut à ce titre perturber l’équilibre naturel entre le système nerveux sympathique (celui qui va intervenir dans les réactions de lutte ou fuite) et parasympathique (celui qui intervient dans les phases de repos et de digestion)."  Évitez de boire de café après 14 heures pour ne pas nuire à votre sommeil.