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OCCITANIE - Page 153

  • Lasagnes au poulet et aux champignons

    Ingrédients pour 4

    12 Feuilles de lasagnes; 300 g de champignons sauvage ou de Paris

    350 g de blancs de poulet; 50 cl de crème fraîche

    50 g de beurre; 1 l de lait; 2 cuillères à soupe d'huile d'olive

    5 cuillères à soupe de farine, 200g de gruyère râpé

    Un peu de noix de muscade, sel, poivre

    Préchauffez votre four à 180°. Commencez par faire revenir vos champignons et le poulet coupé en petits morceaux dans une poêle avec l'huile d'olive, puis, une fois bien bruns, rajoutez la crème fraiche.

    Faites fondre le beurre. Dans la même casserole, ajoutez au beurre fondu, d'abord la farine, remuez bien et ajoutez le lait tout en remuant fortement pour former votre béchamel, puis ajoutez des pelures de la noix de muscade.

    Beurrez un plat en verre, de préférence carré et disposez en couches les feuilles de pâtes de lasagnes.

    Mettez ensuite le poulet les champignons, puis votre béchamel par dessus. Renouvelez le processus avec les feuilles de pâtes, puis le poulet et les champignons et ensuite la béchamel. En touche finale, parsemez de gruyère sur la surface du plat.

    Enfournez pendant 40 minutes. Vous pouvez avant de glisser au four, saupoudrer de chapelure afin d'obtenir un craquant bien doré.

  • Grippe

    En France métropolitaine, la semaine dernière (2020s02), le taux d’incidence des cas de syndromes grippaux vus en consultation de médecine générale a été estimé à 85 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [74 ; 96]).

    Au niveau régional, les taux d’incidence les plus élevés ont été observés en : Provence-Alpes-Côte d’Azur (134 [69 ; 199]), Ile-de-France (102 [72 ; 132]) et Occitanie (100 [65 ; 135]).

    Conclusion du groupe de travail pour la surveillance de la grippe en France métropolitaine :

    - Augmentation des indicateurs de l’activité grippale en métropole

    - Passage en phase épidémique en Ile-de-France et en Provence-Alpes-Côte d’Azur

    - Phase pré-épidémique pour les 11 autres régions métropolitaines

     

  • Quels sont nos besoins en protéines?

    Les apports recommandés sont estimés à 10 à 15% de la ration calorique totale avec un minimum de 70 g par jour pour un homme et de 60 g par jour pour une femme, sachant que la moitié doit être apportée par des protéines animales.

    Les signes cliniques d'un apport insuffisant de protéines sont:

    - une fonte de la masse musculaire,

    - une diminution de la résistance aux infections,

     - une grande fatigue physique, psychique et sexuelle,

     - une modification du comportement social,

    - un blocage de la synthèse des anticorps et un arrêt du processus de la cicatrisation.

    Mais attention à la consommation excessive de protéines qui favorise la production de déchets organiques tels que l'urée et l'acide urique (responsable des crises de goutte). Ceci pourrait engendrer sur le long terme, une fatigue des reins.

     De plus, les protéines animales étant pour la plupart souvent accompagnées de graisses animales et de cholestérol (ex: viande, œuf, fromage…). Une consommation abusive de ces produits pourrait également augmenter les risques de maladies cardio-vasculaires.

    Cependant, sachez qu'une consommation quasi exclusive en protéines (ex: diète protéinée sans suivi médical ou trop longtemps suivie) entraîne un déséquilibre alimentaire (manque de glucides, d'acides gras essentiels, de minéraux, vitamines…) à l'origine de certains effets secondaires graves tels que:

    - troubles digestifs (nausées, vomissement, douleurs abdominales, diarrhées, constipation…),

    - taux d'acide urique élevé, crise de goutte,

    - malaise hypoglycémique,

    - perte de cheveux, sécheresse de la peau,

    - difficultés de concentration, maux de tête,

     - crampes musculaires.

     

  • C'est being vrai, ça!

    Hauts-de-Seine: le patron d'un restaurant propose un “stage de pénibilité” aux cheminots

    Par Auteur valeursactuelles.com

    Excédé par le mouvement social qui lui fait perdre de l’argent, cet entrepreneur cherche également à échanger son établissement contre un poste à la RATP.

    Il a dit tout haut ce que tout le monde pense tout bas.

    Sur Le Bon Coin et son compte Facebook, un restaurateur de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) a passé une annonce pour le moins particulière à l’attention des grévistes, rapporte notamment Ouest-France. Excédé par le mouvement social qui lui fait perdre de l’argent, il leur propose ironiquement de venir effectuer un "stage rémunéré de sensibilisation à la pénibilité".

    Sur le même sujet SNCF: pour les cheminots, une salle de détente “accessible au mérite”

    "Viens faire un stage chez moi, tu pourras parler de pénibilité"

    Dans un message publié sur le compte Facebook de son restaurant, le dénommé Mathias Danjou donne sa vision de la pénibilité aux cheminots qui la revendiquent tous les jours.

    Pour lui, la pénibilité, c’est "une perte de 20 000 euros de chiffre d’affaires à cause de personnes qui paralysent un pays", c’est aussi "lorsque tes salariés dorment sur leur lieu de travail" ou qu’ils "se lèvent à 4h30 du matin pour ne pas être en retard", mais aussi "lorsque tes salariés, qui font déjà un bon 50 heures par semaine (chose que toi ami cheminot ne vivra jamais) continuent de perdre leur temps par ta faute".

    "Donc viens faire un stage chez moi, tu pourras alors parler de pénibilité cher ami cheminot", conclut le restaurateur qui indique qu’il "[le] paierait".

    Dans le même temps, Mathias Danjou a publié cette annonce, sur le même ton, sur la plateforme Le Bon Coin: "Recherche des cheminots grévistes pour stage rémunéré de sensibilisation à la pénibilité".

    Interrogé par le site Actu.fr, l’homme se dit, plus sérieusement, "révolté" par un mouvement qu’il ne juge "pas légitime".

    A la suite de la chute de son chiffre d’affaires, il a d’ailleurs dû cesser de se verser son salaire et retarder le règlement de ses fournisseurs afin de pouvoir continuer à payer ses salariés.

     

  • Votre santé: bon à savoir

    C’est le nerf vague qui permet la communication entre nos deux cerveaux, et donc certains effets du microbiote. C’est aussi lui qui explique les effets des techniques corps-esprit.

    Le nerf vague est le plus long des nerfs crâniens, il s’étend du tronc cérébral jusqu’au système digestif en passant par tous les organes viscéraux, d’où son nom dérivé du mot latin « errant, vagabond ». Il est responsable de la régulation du cœur, des poumons, des muscles de la gorge et des voies respiratoires, du foie, de l’estomac, du pancréas, de la vésicule biliaire, de la rate, des reins, de l’intestin grêle et d’une partie du gros intestin, pas moins. Plus de 80% des informations qui circulent par le nerf vague vont des organes jusqu’au cerveau.

    On connaît le nerf vague via le bien connu malaise vagal qui survient lorsque le nerf est trop actif. A contrario, lorsqu’il est peu actif, cela entraîne divers désagréments qui n’ont pu être reliés à ce nerf que récemment. Voici 7 choses à connaître sur ce nerf encore peu connu mais qui est de plus en plus étudié par les scientifiques.

    Il permet au cerveau et à l’intestin de communiquer

    Est-ce vraiment notre cerveau ou notre manque de volonté qui nous pousse à grignoter certains aliments ? En réalité, c’est le microbiote intestinal qui régit la prise alimentaire via le nerf vague (NV).

     Le Dr Navaz Habib, auteur du livre Activez votre nerf vague explique : « Une fois que l’on a compris que les fringales liées aux aliments qu’exigent nos bactéries intestinales sont en réalité des signaux relayés par le nerf vague à travers le système sanguin, il devient possible de reprendre la main et de modifier notre alimentation pour obtenir un effet bénéfique, non seulement sur notre microbiote, mais aussi sur notre santé globale. »

    La stimulation du nerf vague, notamment sa branche intestinale supérieure droite pourrait être liée à la motivation et au plaisir. En effet une étude publiée dans le journal Cell, a révélé l’existence d’une population de neurones de récompense à cet endroit. Ces neurones fonctionneraient de la même manière que ceux de la récompense du système nerveux central. Leur stimulation induirait la libération de dopamine.

    Sans le nerf vague, pas de faim ni de satiété

    Les personnes qui ne ressentent pas ces sensations et chez qui se développent des troubles du comportement alimentaire souffrent probablement d’un dysfonctionnement du NV. En effet, durant le repas, ce dernier informe le cerveau sur la quantité et la composition du repas, signal qui permettra d’induire une sensation de satiété. Selon le Dr Habib, “un nerf vague insuffisamment actif peut ne pas être en mesure d’envoyer efficacement ce signal. Conséquence : une sensation continuelle de faim, une absence de perception de la satiété, et une suralimentation au cours des repas. Lorsque le nerf vague fonctionne normalement, il faut moins de 15 à 20 minutes pour se sentir rassasié après un repas“.

    Le nerf vague protège de l’inflammation

    L’inflammation est l’un des mécanismes de défense qui a permis la survie de l’humanité contre un vaste nombre d’agents pathogènes. Mais le corps réagit par l’inflammation à n’importe quelle attaque, y compris les stress mentaux et émotionnels. Résultat : une inflammation chronique qui participe à la survenue de nombreuses maladies de civilisation: maladies auto-immunes, cancers, maladies dégénératives et cardio-métaboliques, etc.

    Le nerf vague, s’il est correctement activé, participe à la régulation de l’inflammation. Via un messager chimique nommé acétylcholine, il envoie aux cellules immunitaires (surtout celles présentes au niveau de l’intestin) le signal de réduire l’inflammation quand celle-ci n’est pas nécessaire.

    Moins il est stimulé, moins notre mémoire est bonne

     

    Une mauvaise composition du microbiote intestinal et un dysfonctionnement du NV pourraient porter atteinte à notre capacité de créer des souvenirs. En cause : une mauvaise transmission des informations par le nerf vague du cerveau au microbiote.

    Une étude de l'Université de Virginie sur des rats a montré que la stimulation de leurs NV renforçait leur mémoire. D’autres études ont été effectuées chez les humains et elles laissent entrevoir des traitements prometteurs pour des maladies touchant la mémoire comme la maladie d'Alzheimer.

    Sans le nerf vague, nous devrions penser à respirer

    Le neurotransmetteur acétylcholine, dont la sécrétion est induite par le nerf vague, ordonne aux poumons de respirer. Le NV innerve la trachée et les bronches et donne ainsi au cerveau les informations concernant le taux d’O2 et de CO2.

    Un faible tonus vagal serait à l’origine des maladies pulmonaires, notamment la bronchite obstructive chronique (BPCO) et le syndrome d’apnée obstructive du sommeil.

    Il explique pourquoi les techniques de relaxation marchent

    Les respirations lentes et profondes stimulent le NV qui active à son tour un état de relaxation.

    Le nerf vague participe ainsi à gérer la variation du rythme cardiaque (VRC) c’est-à-dire la variation de la durée de l'intervalle de temps séparant 2 battements de cœur consécutifs. Des variations importantes de la fréquence cardiaque sont synonymes de l’équilibre et de l’adaptabilité du système nerveux autonome et notamment des systèmes sympathiques (dont le rôle est de préparer l’organisme à répondre à un stress) et parasympathiques (dont le rôle est de ralentir les fonctions de l’organisme pour favoriser la relaxation).

    Le NV explique donc pourquoi une méthode comme la cohérence cardiaque (qui augmente la VRC) fonctionne.

    À l’inverse, une mauvaise respiration provoque une mauvaise gestion du stress et peut être aussi le synonyme d’un dysfonctionnement vagal. Selon le Dr Habib, “l’un des signes de ce dysfonctionnement est qu’après un évènement stressant la fréquence cardiaque ne se normalise que lentement et la respiration reste longtemps superficielle. La personne capable de se calmer et ralentir son rythme cardiaque a un nerf vague qui fonctionne très bien“.

    La stimulation du nerf vague est déjà utilisée par les médecins

    Vous entendez peut-être parler du NV pour la première fois mais la bioélectronique s’en sert déjà. En utilisant des implants qui fournissent des impulsions électriques à diverses parties du corps, elle permet de stimuler avec succès le NV pour traiter l'inflammation et l'épilepsie. La bio-électronique, un domaine d'études médicales en plein essor, pourrait représenter l'avenir de la médecine. Surtout si les études sur le nerf vague continuent d’être conduites.

    D'après la  nutrition-santé

     

  • Gratin de pommes de terre aux oignons

    Ingrédients pour 6

    2 kg de pommes de terre; 4 oignons paille ou dit oignons jaunes

    1 pot de crème fraîche entière épaisse; 30 cl de lait entier

    150g gruyère râpé, noix de muscade; beurre

    Persil, sel, poivre, chapelure

    Épluchez les pommes de terre et coupez-les en rondelles d’environ 5 millimètres d'épaisseur. Laissez-tremper dans l'eau si vous ne voulez pas qu'elles noircissent.

    Émincez les oignons et déposez-les dans un saladier et ajoutez les pommes de terre essuyées.

    Dans un autre saladier en verre, mélangez le lait, la crème fraîche, le persil et la noix de muscade. Salez, poivrez.

    Beurrez le plat de cuisson en verre épais et placez-y le mélange pommes de terre et oignons. Versez la préparation au lait régulièrement.

    Parsemez de gruyère râpé et saupoudrez de chapelure et enfournez environ 30 minutes à 180°