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La recette d'une copine, quand j'avais 16 ans mais que j'ai réalisé peu de fois... trop long!
Ingrédients
200 g de sucre; 120 ml de sirop de maïs ou de miel liquide toutes fleurs
20 ml de crème épaisse; 115 g de beurre
1 cuillère à café d’extrait de vanille; une pincée de sel (facultatif)
Préparation des ingrédients
Mesurez tous les ingrédients et placez-les à portée de main avant de commencer la cuisson, car la préparation du caramel peut aller assez rapidement.
Cuisson du sucre
Dans une casserole à fond épais à feu moyen, faites fondre le sucre en remuant constamment avec une spatule en bois. Continuez à remuer jusqu’à ce que le sucre soit complètement fondu et prenne une couleur dorée.
Ajoutez le sirop de maïs à la casserole tout en continuant à remuer. Le mélange devrait devenir plus liquide.
Ajoutez le beurre en morceaux et la crème à la casserole. Continuez à remuer constamment jusqu’à ce que le mélange soit bien homogène.
Cuisson du caramel
Laissez cuire le mélange à feu moyen, en remuant régulièrement, jusqu’à ce qu’il atteigne une température d’environ 120°C (utilisez un thermomètre à bonbons pour mesurer la température). Cela devrait prendre environ 10-15 minutes.
Retirez la casserole du feu et ajoutez l’extrait de vanille et une pincée de sel (si vous le souhaitez). Remuez bien pour incorporer les ingrédients.
Laissez le caramel refroidir légèrement, mais assurez-vous qu’il est encore assez malléable. Ensuite, formez des bâtonnets en utilisant des moules ou en coupant des bandes avec des ciseaux beurrés
Le magret a été inventé à l'hôtel de France à Auch par le grand chef Daguerre et en vérité, il lui avait donné le nom de "maigret" ou maigre de canard. C'est devenu un grand classique du sud-ouest et perso, nous en consommons au moins une fois par mois, ou plus.
Un jour, dans un coquetel, une parisienne me disait: nous sommes étonnées de voir du magret dans le menu car, chez nous, c'est le met de fêtes –de fin d'année…
Je lui ai indiqué que les Toulousains en consommaint beaucoup et que de plus (et elle a été suffoquée et sans voix) on en trouvait souvent dans les cafétérias toulousaines!
Pour 4 personnes
2 beaux magrets; 1 oignon jaune coupé en cubes
1 dl de porto ou madère; 2 dl de fond lié de canard ou de veau
1.5 dl de crème fraîche liquide entière
2 cuillères à café de poivre vert; Sel
Pelez le magret et retirer sa graisse comme je vous ai expliqué des tas de fois! Puis, tailladez le magret pour qu'il cuise très vite.
Saisir dans une poêle chaude et sèche avec la couenne de graisse pour graisser votre poêle (bien sûr vous utilisez une poêle en fer bien culottée!)
Lorsque la graisse commence à trop rendre de gras, retirez-là et faites colorez, retournez et cuire comme une viande rouge. Lorsque la cuisson rosée est atteinte, réserver les magrets au four entre 55 et 60°C le temps de réaliser la sauce.
Faites brunir les cubes d'oignons dans dans la graisse de canard résiduelle sans coloration; déglacez avec le porto. Vous obtenez un fond brun
Décollez les sucs avec une spatule plate tout en maintenant la température basse pour éviter le dessèchement trop rapide du liquide
Versez le fond de canard ou de veau et laissez réduire à petits bouillons.
Ajoutez les deux cuillers de poivre vert. Ajoutez la crème fraîche et faire réduire jusqu'à obtenir une consistance onctueuse et ajoutez quelques tours de moulin à poivre.
Découpez le magret en aiguillettes, chevalez -mettre droites les tranches pour la présentation et servir chaud avec la sauce.
PS et bis-repetita:
je n'ai jamais compris cette histoire de "faire suer" les oignons... ils n'ont aucun goût et sont désagréables aux enfants! Perso, je fais cuire des cubes d'oignons longtemps, afin qu'ils deviennent bien bruns: ainsi, ils colorent le bouillon ou la sauce... et d'ailleurs, ils "reprochent" moins... ceux qui ont l'estomac fragile
Laissez les oignons à peine cuits pour les salades!
Vivant dans sa voiture et épuisé par la faim, il meurt à 67 ans sur un parking!
Si pendant des décennies chaque hiver voyait quelques SDF trépasser, faute de n’avoir trouvé que quelques cartons pour se loger… non seulement le scandale n’a pas été éradiqué, mais en 2024 les chiffres ne sont pas près de baisser, puisque désormais, les nouveaux arrivants (suivez mon regard) sont toujours prioritaires pour obtenir un logement, y compris dans des endroits somptueux… qui seront quittés ensuite, sans un merci mais avec moult frais de remise en état, nécessaires pour accueillir les suivants… pendant que les sdf nationaux continueront de crever dans la rue… sans que cela n’écorche l’incessante et extravagante autosatisfaction de nos vaniteux dirigeants, parfaitement incapables mais toujours satisfaits d’eux-mêmes !
C’est ainsi que ce vendredi 15 mars 2024, vers 11 h 45, les secours ont été appelés par des passants ayant découvert un homme gisant au sol, sur le parking du Complexe Sportif-Le Marasquer, d’Argelès-sur-Mer (Pyrénées-Orientales)
Des gens ont relevé l’homme et l’ont aidé à marcher, avant qu’il ne rechute. Il leur indique sa voiture et les témoins tentent de l’aider à la regagner, mais en y arrivant celui-ci s’écroule.
Avant de perdre connaissance, ce dernier aurait déclaré ne pas avoir mangé depuis plusieurs jours. L’homme vivait en fait dans son véhicule, qui était aménagé avec un matelas.
Pompiers et SAMU ont tenté une réanimation, mais le malheureux, âgé de 67 ans, a été déclaré décédé sur les lieux, juste avant 12 h 45. Il était originaire du nord-est de la France et de nationalité française. Les gendarmes de la brigade territoriale de Port-Vendres ont procédé dans l’après-midi à l’audition des témoins et tentaient de joindre la famille du défunt. Enfin, le parquet de Perpignan a ordonné un examen du corps afin d’éliminer toute piste de mort suspecte.
Homme blanc, âgé, français d’origine… le pauvre homme cochait toutes les cases du désintérêt teinté de mépris, de la part de tous ceux qui à des postes divers, se targuent d’une humanité s’avérant « à géométrie variable », puisque s’adressant toujours exclusivement aux mêmes profils… ceux convenant aux goûts atypiques du fou furieux qui dirige la France.
Un commentaire à la suite de l’article de l’Indépendant résume en quelques mots la vraie saloperie de nos dirigeants… et de tous ceux qui se gavent de subventions, prétendument pour venir en aide aux démunis, au nom d’une humanité mensongère et hypocrite puisqu’elle cible uniquement ceux venus d’ailleurs, et que l’intolérable misère de leurs concitoyens les laisse de marbre !
Dangvs66
"Trop d’associations subventionnées pour s’occuper de migrants (économiques) en situation irrégulière… Sans se soucier de la misère qui concerne nos concitoyens"…
Ne rangez toutefois pas vos mouchoirs tout de suite, car vous en aurez besoin
quand vous saurez comment vivait Jeanine, 74 ans, dans le village de Maule (Yvelines), et dans quelles conditions épouvantables elle a été retrouvée morte !
La victime vivait depuis des années dans un cabanon de jardin complètement insalubre, sans eau courante ni chauffage, avec sept chats et au milieu des rats. Le toit menaçait de s’effondrer.
Jeanine a été retrouvée morte près de son lit, une partie du corps rongé par les rats.
Elle était en rupture avec ses deux enfants, mais des bénévoles l’aidaient à se nourrir et à réaliser des démarches administratives. Elle avait failli obtenir un logement social de haute lutte ces derniers mois, mais il avait finalement été attribué à quelqu’un d’autre. Jeanine avait atterri dans ce cabanon suite à la mort de son mari et des difficultés à faire valoir ses droits administratifs.
Une dernière info avant de vous laisser digérer la décadence humaine dans laquelle Macron a précipité ce pays depuis qu’il a accepté le deal de le massacrer ; mon vœu serait que cette vidéo-reportage sur l’enfer vécu par les femmes SDF dans la rue, parvienne à toutes les pseudo-féministes qui, comme Sandrine Rousseau, s’imaginent stupidement œuvrer pour la condition féminine en ciblant uniquement l’homme blanc… tout en accueillant à bras ouverts les hordes de violeurs congénitaux que nous imposent les potes à Macron !
Est-ce acceptable, au 21ème siècle, dans ce pays que tant de grands hommes et femmes ont fait rayonner pendant des siècles ; ce pays qui a enfanté les droits de l’homme et du citoyen… que les gougnafiers d’aujourd’hui piétinent allégrement, même s’ils en ont plein la bouche mais uniquement pour les détourner avec perfidie… de constater à quel point les citoyens d’origine sont méprisés, manipulés, et réduits uniquement au statut de "cochons de payants" juste bons à régler l’addition surtout sans moufter, pour la réalisation des délires des précités?
500.000 immigrés accueillis tous les ans, et on laisse crever les Français comme des chiens, puisque tous nos impôts et taxes vont toujours « aux autres avant les nôtres » !
Je rajoute souvent des rubans de carotte à mes salades estivale; cette recette est pleine de vitamines bonne mine!
Pour 4 personnes
500 g de carottes; 2 oranges; 1 citron (ou 1 c à s de vinaigre de Xéres)
1 pincée de sel; 2 c à s d’huile d’olive
Pelez les carottes, les rincer puis les sécher.
Réalisez à l’aide d’un rasoir à légumes ou d’un couteau économe des rubans de carotte en entaillant le légume sur toute sa longueur (il restera un "coeur" qui ne pourra pas être taillé, le conserver au frais pour l’ajouter à une soupe ou en garniture aromatique pour un plat cuisiné).
Pressez les oranges et le citron. Dans un saladier, versez les jus d’agrumes et le sel. Ajoutez l’huile d’olive et mélangez.
Ajoutez les tagliatelles de carotte et remuez délicatement pour éviter de casser les rubans de carotte.
800 g de épaule de veau; 300 g de champignons de Paris
1 bouquet de persil; 3 oignons jaune
2 c. à soupe de farine; 20 cl de vin blanc
2 carottes; 1 boite de tomates pelées; 1 c. à soupe de concentré de tomates
1 bouquet garni; sel, poivre, 2 c. à soupe de huile d'olive
Faites chauffer l'huile d'olive dans une cocotte. Coupez l'épaule de veau en morceaux, les saler et poivrer. Les faire ensuite saisir dans la cocotte sur toutes les faces. Ajoutez la cuillère defarine et remuez durant deux minutes à feu vif
Pendant ce temps, hachez finement le persil, deux oignons. Ajoutez ce hachis dans la cocotte ainsi que la farine et bien mélanger.
Versez le vin blanc pour déglacer. Ajoutez le dernier oignon émincé, les carottes pelées et coupées en petits dés, les champignons lavés et coupés en dés et faire cuire 5 minutes en mélangeant de temps en temps.
Ajoutez enfin les tomates pelées, le concentré de tomates et le bouquet garni. Assaisonnez de sel et poivrer; versez de l'eau jusqu'à ce que la viande soit recouverte.
Mélangez, couvrir et laissez mijoter à feu doux pendant 1 heure.
Rectifiez l'assaisonnement si besoin et servir avec des pâtes ou des pommes de terre.
AVEC L'AUTOCUISEUR: faire cuire d'abord la viande; coupez l'épaule de veau en morceaux, les saler et poivrer. Les faire ensuite saisir dans la cocotte sur toutes les faces.
Ajoutez la cuillère de farine et remuez durant deux minutes à feu vif. Ajouter de l'eau ou du bouillon de bœuf récupéré lors d'une précédente préparation de pot-au-feu. Fermez le couvercle et mettre en cuisson 30 mn: la soupape doit chuchoter doucement.
Ouvrez la cocotte et continuez la recette comme si dessus, les légumes à part dans une poêle et conservé en attendant de les rajouter à la cocotte minute. Fermez la cocotte et laissez tourner la soupape encore 10 mn'.
Pour maintenir au chaud, arrêtez le feu SANS retirer la soupape, le plat va cuire encore 6 bonnes minutes et la chaleur se conservera intacte au moins 1/4 heure à vingt minutes