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actualité - Page 7

  • Quelle catastrophe, ces juges rouges  

    Toulouse (31): un squatteur de piscine se blesse gravement et devient tétraplégique. Il attaque en justice la copropriété pour négligence, qui devra prouver que l’entretien de la piscine était aux normes…

    Les propriétaires de piscines ont de quoi avoir des sueurs froides.(…) Même si votre logement est squatté, vous devez le rénover, s’il est mal entretenu, selon une décision du Conseil constitutionnel qui avait fait grand bruit jusque dans les couloirs de l’Assemblée nationale, il y a un peu plus d’un an. (…)

    Chaque été, des individus n’hésitent pas à squatter [des piscines] (…). Ils en profitent «de manière bruyante», se plaignent les voisins scandalisés. Le squat peut durer le temps d’une simple baignade mais il peut virer au cauchemar pour la copropriété. C’est arrivé à Toulouse (31) où un individu s’est blessé gravement après avoir squatté une piscine. Aujourd’hui, il est tétraplégique et a attaqué en justice la copropriété…pour négligence.

    Le Figaro Immobilier

    … ou comment se faire du fric grâce à des avocats pourris…

  • Mousse de framboises

    J'adore ce dessert, N'oubliez pas la chantilly!

    Pour 6 personnes

    Temps de repos : 2 heures

    200 g de biscuits spéculoos. 80 g de beurre fondu

    500 g de framboises fraîches ou congelées. 50 g de sucre glace

    500 ml de crème liquide entière 30 % MG bien froide

    8 g d'agar-agar ou equivalant en feuilles de gélatine

    Mixez les biscuits spéculoos avec le beurre fondu. Tassez cette préparation au fond des verrines ou des verres de présentation puis réserver.

    Mixez les framboises avec le sucre glace jusqu'à l'obtention d'un coulis. Passez au tamis ou au chinois pour retirer les grains (optionnel).

    Faites bouillir dans une casserole la moitié du coulis avec l'agar-agar. Quand le mélange arrive à ébullition, retirez du feu et versez l'autre partie du coulis. Mélangez et réserver.

    Montez la crème liquide en chantilly bien ferme. Versez doucement dans le coulis refroidi et ajoutez dans les verrines. Laissez prendre au moins 2 heures au frais.

  • Vieux truc de nos grands-mères!

    Heu.. d'une voisine très "ancienne"

    Réaliser une glace maison sans sorbetière ni congélateur

    Astuce pour créer de la glace maison en seulement 10 minutes, sans congélateur ni sorbetière: vous servir de sacs de congélation, de glaçons et de sel de mer. Voici la recette!

     Ingrédients:

            2 sacs de congélation (un petit et un grand)

            Des glaçons

            100 g de sel de mer

            3 cuillères à café d’extrait de vanille

            100 g de sucre glace

            30 cl de lait

            20 cl de crème fraîche entière

    Durée: 10 à 15 min de préparation

    Recette de la glace maison à la vanille

    Dans le petit sac de congélation : mélangez le sucre, le lait, l’extrait de vanille et la crème fraîche. Fermez hermétiquement le sac en veillant à expulser un maximum d’air.

    Dans le plus grand sac de congélation: déposez les glaçons, le sel ainsi que le plus petit sac de congélation rempli.

    Fermez bien le grand sac, puis secouez-le pendant environ 10 à 15 min, jusqu’à ce que le mélange présent dans le petit sac de congélation épaississe.

    Votre crème glacée sans sorbetière est prête!

    Vous pouvez remplacer l’extrait de vanille par le parfum de votre choix.

    Il s’agit d’une manière facile et rapide de préparer de la glace.

     

  • Bis répétita: Eliminer les pesticides des tomates de supermarché

    mon astuce efficace à connaître

    Vendues en supermarché, ces tomates proviennent ainsi majoritairement d’Andalousie, où elles sont cultivées en culture intensive, moyennant une importante utilisation de pesticides. Des pesticides dont les risques pour la santé sont avérés et qu’un simple rinçage à l’eau ne suffit pas à faire partir.

    Les risques pour la santé ne sont en effet pas à prendre à la légère : plusieurs études ont ainsi suggéré des liens entre l’exposition aux pesticides et d’importants problèmes de santé tels que des cancers, des troubles hormonaux, des maladies neurologiques, des problèmes de fertilité, des troubles du développement chez les enfants, des troubles du système immunitaire, etc.

    L’astuce pour supprimer efficacement les pesticides des tomates

    Pour vous débarrasser des pesticides sur les tomates et de manière générale, sur les fruits et légumes, l’eau seule ne suffit donc pas, même en utilisant du savon.

    Pour laver vos tomates achetées en supermarché, préférez mélanger dans une bassine 90% d’eau fraîche et 10% de vinaigre ou de jus de citron, puis faire tremper vos tomates pendant une bonne trentaine de minutes. Pour un nettoyage encore plus efficace, ajoutez 3 cuillères à soupe de gros sel ou de bicarbonate de soude par litre d’eau.

    Rincez ensuite les tomates à l’eau claire, puis séchez-les délicatement.

    Faire partir les pesticides des tomates

    Bien sûr, mieux vaut acheter des tomates bio et produites en France, où les normes sont plus strictes en termes d’utilisation de pesticides.

    Il est également vivement recommandé de privilégier les circuits courts tels que les marchés de producteurs locaux ou bien les paniers de légumes des fermes biologiques.

  • Vive la France!

    Tour de France : il est interdit d’embrasser sa femme

    L’histoire prêterait à sourire et même rire. Mais voilà, l’absurde a déjà de loin dépassé toute logique et, accompagné de la démagogie la plus folle, poursuit ses ravages dans notre société.

    La dernière expression en date de la déliquescence insensée de notre civilisation à laquelle de mauvais génies nous contraignent résume à elle seule l’idiotie permanente qui nous entoure.

    Pour bon nombre de nos compatriotes et moi-même, heureux et fiers franchouillards que nous sommes, piaffant d’impatience à l’approche de cette compétition plus que centenaire incarnée au sens premier du terme, véritable morceau de bravoure virile, anthologie de la souffrance physique, la Grande Boucle, puisque tel est son nom, renvoie à une certaine histoire de la France.

    Je me souviens de mon grand-père installé devant son poste de télévision, journal du jour sur la table, ouvert à la page sport cycliste, stylo à la main et notant les classements d’étape, général, etc. Pour rien au monde, cet homme n’aurait manqué une étape du Tour de France, seule distraction qu’il s’accordait pendant trois semaines d’une année remplie à travailler dans les champs puis plus tard à faire son jardin jusqu’au soir de sa vie.

    À l’heure où les technologies nous apportent de façon instantanée culture, divertissement, voyage, il est difficile d’imaginer l’importance de cette épreuve dépassant largement le cadre sportif en invitant quotidiennement au voyage dans toute la France ceux qui ne pouvaient pas se déplacer, ceux pour qui les vacances restaient une utopie. Les paysages de notre beau pays se succédaient, la montagne et ses cols impossibles, les bords de mer bretons, aquitains, méditerranéens, les bocages vendéens, normands et puis Paris, sa Tour Eiffel, ses Champs-Élysées consacrant tous ces champions, ces forçats de la route, dixit Albert Londres.

    Le Tour, c’est aussi une ambiance. Folle. Il n’est qu’à voir et prendre peur pour ces damnés du bitume, dans les cols, se frayant péniblement un chemin, cernés par la masse joyeuse, criarde, rougie par le soleil et le pinard saucisson, encourageant ces héros… ses héros.

    En famille… Eh oui, toute la famille est conviée au spectacle éphémère de ces quelques instants de coups de pédale, de cet effort suintant la sueur et le courage. Enfants et grands, frères, sœurs, épouses et maris se retrouvent en communion pour accueillir cette caravane du Tour distribuant petits cadeaux et préparant l’arrivée d’un peloton multicolore sur des machines rutilantes aux guidons à cornes et autres cintres route. Une ambiance quoi…

    Alors comment ne pas exprimer notre tristesse la plus profonde en apprenant par quelle imbécillité crasse des organisateurs peu soucieux de cette histoire, de cet héritage laissé par des anciens, ont cru indispensable de sanctionner un coureur, Julien Bernard, qui, croyant certainement encore à cette petite magie, celle qui fait briller les yeux des enfants, a cru bon de s’arrêter pour embrasser sa femme et son enfant, de se laisser aller à cette communion entre un public et ses acteurs authentiques.

    Nous y voyons un amour, celui pour sa famille, celui pour son public. Ils y voient un comportement déplacé. La démagogie destructrice LGBT a encore frappé.

    Dans l’indifférence générale.

    Patrice MAGNERON - Président IDNF

  • Confiture de fraises

    Les fraises ne sont pas –soi-disant- chères… faites des confitures!

    6 pots environ

    1 kg de fraises équeutées; 1 kg de sucre blanc cristallisé

    1 citron

    Bien laver les fraises et les couper grossièrement.

    Dans un grand récipient, déposez les fraises et versez le sucre et le jus du citron puis bien mélanger et laisser macérer quelques heures.

    Transvasez le tout dans un confiturier (ou dans une grande casserole en inox) et portez à ébullition.

    Comptez une vingtaine de minutes à partir de l'ébullition et maintenir la cuisson à feu vif en remuant régulièrement. Penser à écumer.

    Déposez quelques gouttes de confiture dans une assiette et la pencher: si la confiture coule trop vite, remettre à cuire. Si elle coule lentement, elle est prête.

    Mettre la confiture dans des pots stérilisés et les retourner tout de suite. Laisser à l'envers quelques minutes puis remettre à l'endroit et laisser complètement refroidir.

     

  • Sucre: dangers

    La maltodextrine, ce nouveau danger, figurant parmi les sucres cachés dans l’alimentation ultra-transformée

    Dans un bilan publié par l’Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) et intitulé Bilan de l’utilisation des sucres et édulcorants dans les aliments transformés, l’agence publique donne de nouvelles clefs de compréhension sur ces aliments cachés qui nous veulent rarement du bien. 

    Certains aliments issus des produits agroalimentaires ultra-transformés, peuvent contenir un ingrédient qui n’était jusqu'alors pas classé parmi les sucres, mais dont on observe qu’il se comporte comme tel pour notre corps. En effet, la maltodextrine, est utilisée en tant qu’additif et principalement issue de l’amidon de maïs. 

    Afin d’enfoncer un peu plus le clou sur les dérives des produits ultra-transformés, le rapport de l’agence publique passe "en revue les listes des ingrédients sur plus de 54 000 produits présents sur le marché entre 2008 et 2020 et répertoriés par l’Observatoire de l’alimentation - Oqali. Ce bilan montre que la majorité des produits contient au moins un ingrédient sucrant ou vecteur de goût sucré, et ce, même dans des produits salés. Toutefois, l’Agence observe une baisse de l’utilisation des ingrédients sucrants au cours des 10 dernières années, notamment les sirops de sucre et les édulcorants".

    Ce sucre caché derrière d’obscurs intitulés représente trois-quarts des produits testés (77%). Les différents termes reconnus, annexes à la mention classique de "sucre", sont notamment le glucose, le saccharose ou encore le fructose. Cependant, un nouvel ingrédient pourrait bien intégrer cette liste qui ne fait que se rallonger. Les industriels ne manquent pas de ressources pour trouver de nouveaux agents sucrants à leurs recettes. 

    Présente dans de nombreux aliments comme le pain, les chips ou encore les préparations pour nourrissons, la maltodextrine serait un glucide bien plus dangereux que le sucre. Bien qu’aujourd’hui non classé comme étant du sucre et n’ayant pas de goût sucré, son indice glycémique serait bien plus élevé que ce dernier. Il atteindrait entre 116 et 136, contre 70 pour le sucre de table et 100 pour le glucose. D’autres études l’estiment à un indice glycémique de 96, minoré mais malgré tout bien trop conséquent. Selon le Dr. Berg, de tous les ingrédients alimentaires ultra transformés, celui-ci serait le pire. Il pourrait mener à la graisse abdominale, mais aussi au diabète, à l’inflammation intestinale ou encore à une dysbiose, venant favoriser la prolifération des mauvaises bactéries dans le microbiote. De quoi figurer comme un réel danger sanitaire dont il serait temps de se prémunir. 

    Cet ingrédient, utilisé notamment comme substitut de graisses ou de sucre, détient de nombreux avantages pour les industriels. Sans surprise, ces derniers ont un coût de fabrication peu onéreux et rapporteraient plus de 2,6 milliards d’euros par an. Une mine d’or sur laquelle il risque d’être compliqué de légiférer. Le rapport de l’Anses saura-t-il ouvrir la voie à l’action gouvernementale?