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occitanie - Page 225

  • Votre sac en coton

    Allez-vous vraiment réutiliser votre sac en coton bio 20 000 fois?

    L’interdiction des sacs en plastique pourrait bien déboucher sur l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre: car un sac en coton bio doit être utilisé 20 000 fois pour laisser une empreinte inférieure à celle des sacs en plastique à usage unique.

    Un article de Being Libertarian

    Récemment, la Nouvelle-Zélande a suivi le mouvement général dans la croisade contre les déchets en plastique. Le ministère de l’Environnement a publié les termes de sa consultation publique sur l’interdiction progressive des sacs plastiques à usage unique.

    De son côté, le Premier ministre britannique Theresa May affirmait avant le sommet sur le changement climatique qui s’est tenu à Paris l’an dernier qu’il y avait un "impératif moral" à s’attaquer au changement climatique et à ses effets sur les pays pauvres. Depuis, elle a annoncé une interdiction de tous les sacs en plastique à usage unique, mesure qui permet au parti conservateur de se donner un petit coup bienvenu de greenwashing.

    Néanmoins, l’interdiction des sacs en plastique pourrait bien déboucher sur l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre et produire des effets globalement indésirables sur l’environnement au sens large. Si vous devez acheter un sac en coton bio, vous devrez l’utiliser 20 000 fois pour laisser une empreinte inférieure à celle des sacs en plastique à usage unique.

    Dans un paragraphe particulièrement déprimant des nouvelles dispositions, on pouvait lire que:

    Les commerçants trouveront profit à ne plus être obligés de fournir des sacs gratuits et à vendre des emballages alternatifs. Ils sont de plus en excellente situation pour aider leurs clients à franchir le pas de cette transition écologique.

    On ne voit guère de réflexion économique dans ces propos. Si le ministère a raison, les clients choisiront leurs fournisseurs en fonction de la possibilité d’obtenir des sacs ou non. Si cela est vrai, le préjudice causé aux commerçants par l’interdiction sera substantiel.

    Cette mesure constitue manifestement encore un exemple d’une politique publique poussée par les Conservateurs britanniques pour se donner bonne conscience bien qu’elle rende finalement les choses pires qu’elles ne sont.

    Traduction pour Contrepoints par Nathalie MP de: "Plastic Bag Alternatives, Will You Reuse Them 20,000 Times?"

     

    Blablabla... incompétente!

    Le mieux encore est de le fabriquer soi-même avec de la récupération de drap usagé. Si vous souhaitez un sac “isotherme“, cousez le tissu avec un morceau de plastique d'une vieille nappe ou un rideau de douche. Demandez autour de vous, il y a beaucoup de ménagères qui possèdent une machine  coudre et vous réaliserez en réunion entre copines.

    Té: si vous faites un sac “isotherme“ peu large, vous pourrez y mettre votre pain quotidien. Il faut que le plastique soit à l'extérieur, bien sûr.

    D'autres astuces couture?

     

     

     

     

     

     

  • Café: bon pour la santé!

    Un anti-inflammatoire naturel dans votre petit noir

    La caféine de votre café agirait contre l'inflammation et lutterait contre de nombreuses maladies chroniques (diabète, maladies cardiovasculaires…).

    Dans une nouvelle étude parue dans Nature Medicine des chercheurs ont montré que les personnes âgées présentant de faibles niveaux d’inflammation ont un point commun : elles consomment toutes de la caféine. Les chercheurs ont en effet trouvé une connexion entre le vieillissement, l’inflammation systémique, les maladies cardiovasculaires et le….café !

    Les maladies chroniques comme le diabète, l’hypertension, les problèmes cardiaques, les troubles articulaires et la maladie d’Alzheimer ont toutes le phénomène d’inflammation en commun.

    Dans cette étude, les chercheurs ont analysé des échantillons de sang de 100 participants jeunes (20-30 ans) et plus âgés (plus de 60 ans) ainsi que des données sur les antécédents médicaux et familiaux. Les chercheurs ont regardé quels gènes avaient tendance à être plus activés chez les personnes plus âgées. Ils se sont notamment concentrés sur deux groupes de gènes dont l’activité est associée à la production d’une puissante protéine inflammatoire (IL-1-beta).

    Leurs résultats ont révélé un mécanisme inflammatoire fondamental associé au vieillissement humain et aux maladies chroniques qui l’accompagnent. Les personnes âgées ont tendance à avoir une activité de certains gènes liés à l’inflammation plus importante que les personnes plus jeunes, ce qui n’est pas surprenant car le vieillissement s’accompagne d’une augmentation de l’inflammation dans tout le corps. Plus ces gènes sont actifs, plus les personnes sont susceptibles de souffrir d’hypertension et d’athérosclérose. Cependant, toutes les personnes âgées ne présentent pas un niveau d’inflammation élevé. Selon les résultats de l'étude, cela dépend de leur consommation de café.

    Plus de café, moins d'inflammation

    Les personnes qui consomment le plus de caféine sont en effet protégées de l’inflammation. Les résultats montrent notamment que les participants qui consomment plus de 5 tasses de café par jour présentent des niveaux d’inflammation extrêmement bas. " La caféine inhibe la voie inflammatoire " disent les chercheurs. En fait, l’étude montre que des métabolites des acides nucléiques – les entités de construction de nos gènes- qui circulent dans le sang peuvent déclencher le processus inflammatoire. Et la caféine et ses propres métabolites sont capables de contrer l’action des métabolites des acides nucléiques.

    " Nos résultats montrent qu’un processus inflammatoire sous-jacent n’est pas seulement la cause de maladies cardiovasculaires mais est lui-même provoqué par des processus moléculaires que nous pouvons cibler et combattre ".

    " Le but n’est pas de faire disparaitre toute trace d’inflammation " soulignent les chercheurs. L’inflammation est une fonction nécessaire du système immunitaire qui l’utilise pour combattre les infections et éliminer les composés potentiellement toxiques. Mais avec le vieillissement, ce processus n’est plus aussi bien régulé que dans un organisme plus jeune. " Il serait intéressant de déterminer quand la réponse inflammatoire devient hors de contrôle ". C’est ce que les chercheurs souhaitent déterminer dans une prochaine étude afin d’identifier les personnes à risque de développer une pathologie chronique impliquant l’inflammation.

    D'autres études ont trouvé des résultats contrastés

    Les études conduites à ce jour sur café et marqueurs de l'inflammation ont donné des résultats contrastés. Dans certains cas, la consommation de café était associée à plus d'inflammation, ou était neutre, ou, comme dans ce cas, était liée à moins d'inflammation. Cela pourrait indiquer que les effets du café sur l'inflammation dépendent d'autres facteurs : sexe, âge, mode de vie, peut-être hérédité.

    En attendant, il ne paraît pas risqué de consommer une ou deux tasses de café par jour, et des bénéfices sont possibles. La consommation de thé vert a été associée à des taux bas de protéine C-réactive, un marqueur inflammatoire.

    Source

    Furman D, Chang J, Lartigue L, Bolen CR, Haddad F, Gaudilliere B, Ganio EA, Fragiadakis GK, Spitzer MH, Douchet I, Daburon S, Moreau JF, Nolan GP, Blanco P, Déchanet-Merville J, Dekker CL, Jojic V, Kuo CJ, Davis MM, Faustin B. Expression of specific inflammasome gene modules stratifies older individuals into two extreme clinical and immunological states. Nat Med. 2017 Jan 16. doi: 10.1038/nm.4267. [Epub ahead of print]

     

    Cela fait 27 ans maintenant que je fais mon café (et mes soupes) avec de l'eau en bouteille. Vous feriez bien d'en faire autant si vous ne voulez pas avaler les molécules pharmaceutiques de l'eau du robinet….

    Cela fait 12 ans maintenant que je fais mon café à la verseuse: je fais chauffer mon eau minérale dans une casserole et je passe mon café au fur et à mesure sur ma cafetière en émail: j'évite ainsi que l'eau chaude des machines à café ne relargue des molécules plastiques dans mon café. Hé oui!

    Et cela fait perlimpinpin que je ne bois par de café décaféiné ou soluble: ils sont travaillés avec des solvants chimiques….

    Quand j'ai besoin d'extrait de café pour mes gâteaux ou entremets, je le fais moi-même

    Il faut ½ paquet de café en poudre, un demi-litre d'eau de bouteille, du sucre au goût mais, perso, je ne rajoute pas de sucre (que j'ai supprimé en 1972)… je n'avale que le minimum du minimum….

    Faites bouillir votre eau avec la moitié de la poudre; versez sur un papier filtre (non blanchi car plus le papier est blanc, plus il est rincé avec des solvants chimiques); verser cette eau au café sur un filtre qui contre l'autre moitié de poudre… bien sûr, cela va durer un bon moment tant le mélange est épais… laissez faire, il finira par passer. Mettre dans un flacon bouché et au réfrigérateur… se conserve au moins deux mois.

    Si vous rajoutez du sucre, mettez le avec la première moitié du café, dans l'eau à bouillir. Cela devrait permettre de conserver l'extrait réalisé quelques jours de plus, au réfrigérateur, bien sûr.

  • A la mode

    Infusion hibiscus-gingembre

    • 1 L d’eau bouillante
    • 10-15 fleurs d’hibiscus
    • 3 cm de gingembre frais
    • ½ jus de citron
    • 3-4 c. à s. de sucre
    • Quelques feuilles de menthe

     Faire bouillir l’eau, la verser dans une carafe avec les fleurs et le gingembre frais préalablement râpé.

    Laisser tiédir, ajouter le jus de citron, la menthe et le sucre, puis laisser reposer au frais au minimum 2 h et mieux encore 6 h.

    Filtré la boisson puis déguster avec quelques glaçons.

     

     

    Fleurs, graines, tisanes, thé bio de chez bio?

    c'est ici:

     

     

     

     

  • Les eaux aromatisées

    N'achetez pas ces cochonneries en bouteilles qui abondent depuis quelques années dans les rayons de supermarchés: faite-les vous-même!

    Pour réaliser une eau aromatisée, il faut une grande carafe et un réfrigérateur, ainsi qu’un temps de pause de minimum 3 à 4 h pour que les arômes se diffusent. Pour ce type de recettes, il est préférable de se tourner vers des produits bio. Prenez aussi de l'eau en bouteille si vous ne voulez pas avaler des molécules pharmaceutiques que les usines de traitements des eaux ne savent pas supprimer…

     

    Laver les fruits ou les légumes, les couper en lamelles ou en morceaux, puis les introduire dans la carafe pour les laisser se diffuser dans l’eau.

    Voici quelques idées de mélanges :

    • Citron vert & menthe (2 citrons verts, 20 feuilles de menthe)
    • Pêche & basilic (3 pêches et une quinzaine de feuilles)
    • Orange & myrtilles (1 orange et 200 g de myrtille)
    • Concombre & gingembre (1/2 concombre et 1,5 cm de gingembre frais)
    • Pamplemousse & romarin (1 pamplemousse et un bouquet de romarin)
    • Ananas & sauge (1 ananas et un bouquet)
    • Fraises & framboises (250 g de fraises et 250 g de framboises)
    • Pastèque & mûres (1/4 de pastèque et 200 g de mûres)

    •Et bien  sûr, ma recette TGV: de l'eau pétillante, une grosse cuillère à soupe de citron liquide bio. Froissez des feuilles de menthe si vous en aimez le goût.

     

  • Les glaces sucettes ou glaçons à la pâte au chocolat

    vous pouvez utilisez la fameuse pâte à tartiner qu'on trouve partout et pour laquelle les gens se battent; vous pouvez utiliser une bien moins chère ou bien celle que vous avez-vous-même fabriqué. Il me semble avoir mis une recette ici: cherchez avec la boîte outils.

    Il vous faut: 250 ml de lait entier. (si vous n'avez pas de verres doseurs, correspond à environs deux verres et demi de verre “moutarde“); 100 g de pâte à tartiner de votre choix.

    Mélangez le lait et le chocolat dans un Blender.

    Lorsque la texture de votre mélange est homogène, versez le tout dans des moules à glaces ou dans des gobelets.

    Plongez des bâtonnets bois si vous voulez genre sucette, dans les moules, et mettez le tout au congélateur pendant quelques heures.

    Ressortez vos glaces et trempez vos moules dans un peu d’eau afin de faciliter le démoulage.

    Date maximum de conservation: avant les autres!

  • Petits roulés de fromage à l'ancienne

    C'est pour l'apéritif!

    Les ingrédients valent, à peu près pour 6 feuilles de lasagne. Vous les achetez toutes prêtes fraîches ou dures, ou vous les faites vous-même avec farine et eau… étalez au rouleau le plus fin possible où à la machine à pâte. Faites-en environ 6 feuilles

    Prenez du fromage frais de brebis ou de chèvre ou carré frais Gervais nature ou aux herbes et vous pouvez ajouter 1 cuillère à café d’herbes de Provence si vous avez succombé flashion victim en prenant 150 g de ricotta.

    Faites un pesto (ou autre sauces que vous aimez, mais attention, les roulés sont "roulées" à la poêle!) et prenez en 5 cuillères à café et ajoutez 45 g de parmesan ou râpé, à votre liste ingrédient plus 1 filet d’huile d’olive.

    Dans une casserole remplie d’eau à ébullition, faites cuire vos feuilles de lasagnes sèches ou fraîches. Une fois cuites (3mn si elles sont fraiches), retirez-les de la casserole et réservez-les -à plat- sur un torchon propre qui va absorber le maximum d'eau.

    Dans un saladier, mélangez le fromage frais avec le pesto, le parmesan (et les herbes de Provence si selon) jusqu’à l’obtention d’un mélange homogène.

    Facultatif: ajoutez des rondelles d'olives vertes (dénoyautées, bien sûr!) ou des bouts de pistache ou noix pour du croquant.

    Étalez votre préparation sur toute la surface de vos feuilles de lasagnes et enroulez-les sur elle-même. Coupez les rouleaux en deux avant de les placer au congélateur pendant 1h.

    Faites revenir vos roulés dans une poêle avec un filet d’huile d’olive.

    Une fois cuits, fixez-les avec des piques en bois avant de les servir.

     

  • Concombre (pépino, pour ceux qui savent!)

    Le concombre favorise la satiété

    Avec 95 % de son poids en eau, le concombre est idéal pour les personnes qui surveillent leur ligne. Il contient en effet très peu de calories et présente un indice de satiété très élevé. Barbara Rolls, une chercheuse américaine spécialiste des comportements alimentaires et de la gestion du poids, a en effet mis en évidence qu’en adoptant un régime " volumétrique ", basé sur les aliments à faible densité énergétique (riches en eau, en fibre, et pauvres en graisses), on agissait positivement sur les mécanismes naturels de la satiété et on perdait du poids. Avec ses collaborateurs, la scientifique a démontré par exemple qu’en mangeant des crudités 15 minutes avant le repas, on réduisait de 12 % en moyenne le nombre de calories consommés au cours du repas (1) (2) . En 2007, elle a comparé l’efficacité du régime volumétrique à un régime pauvre en graisses et mis en évidence que le premier permet de perdre un peu plus de poids mais surtout d’avoir moins faim.

    Il aide à perdre du poids

    La mastication des aliments favorise la libération d’histamine, ce qui induit la satiété mais permet aussi de déstocker des graisses abdominales selon des travaux récents. Des chercheurs japonais ont analysé l’index masticatoire (IM) de plus de 100 aliments courants. Verdict : avec un IM de 3327, le concombre est l’un des aliments qui nécessite le plus de mastication. "Cette étude montre aussi que les femmes qui consomment souvent des aliments à index masticatoire élevé comme le concombre sont plus minces que celles qui mangent surtout des aliments mous" dit le Dr Arnaud Cocaul, auteur du Régime Mastication.

    Il est bon pour le cœur et les vaisseaux

    La peau du concombre contient une protéine appelée peroxydase, présente également dans d’autres légumes comme le raifort. Or cette peroxydase pourrait réduire le cholestérol et les triglycérides et donc diminuer le risque de maladies cardiovasculaires (2). Elle aurait également des vertus anti-diabète par diminution du glucose sanguin et serait capable de protéger certains tissus de l’oxydation.

    Il peut être indigeste

    Si le concombre est parfois difficile à digérer, ce n’est probablement pas en raison de sa teneur en fibres (elle est faible) mais plutôt de la présence en son centre de graines d’autant plus coriaces qu’il est cueilli après maturité. Inutile donc de faire dégorger le concombre dans le sel pour améliorer sa digestibilité, cela ferait fuir une partie des minéraux. Retirez plutôt les graines centrales à l’aide d’une cuillère, ou mieux, choisissez les variétés hollandaises ou beit-alpha, qui eux, n’en contiennent pas.

    Un bon concombre est ferme avec les deux extrémités bien dures, une peau brillante, bien verte et lisse (sauf si variété grumeleuse évidemment).

    Plus votre concombre sera petit, plus il sera savoureux et moins il aura de graines.

    Comment le conserver ?

    C’est un légume très résistant, vous pouvez le conserver une semaine voire plus dans un endroit frais et humide tel une cave ou le bac à légumes de votre réfrigérateur (entre + 6°C et +8°C)

    Si vous l’avez entamé, enveloppez le bout entamé avec du film plastique et mettez-le dans le bac à légumes.

    Pour une meilleure conservation, il est préférable d’éviter de l’exposer à des températures inférieures à 6°C.

    Doit-on le dégorger ?

    Avant on faisait dégorger le concombre avec du gros sel car les variétés sur les étals étaient amères, et le fait de le dégorger supprimait l’amertume.

     Aujourd’hui, la variété la plus vendue en France n’est pas amère donc dégorger permet surtout de ne pas se retrouver avec trop d’eau dans le fond du saladier, et à garder le croquant du concombre.

    Cela fait bien plus de 40 ans que je ne dégorge plus le concombre. L'eau qu'il rejette contient une partie de ses vitamines. Et d'ailleurs, comme j'ai supprimé le sel (je ne sale que les glucides)….

    Si j'achète un bio, je le lave et laisse tremper quelques minutes à l'eau bicarbonatée. Je ne le pèle pas, je ne retire pas les graines. Je le coupe en gros cubes et je le mélange avec des tomates et maïs, des betteraves, ou nature, bien froid.

    On peut aussi faire des toasts apéritifs composés d’une tranche de concombre garnie d’un morceau de truite fumée et d’un peu de poivre noir au moulin

    Sources

    Mukherjee P. K. Phytochemical and therapeutic potential of cucumber. Fitoterapia 2013, 84: 227-236.

    Horie H. Cucurbitacin C—Bitter Principle in Cucumber Plants. JARQ 2007 ; 41 (1) : 65 – 68.

    Antiproliferative and antioxidant activities of common vegetables: A comparative study / Dominique Boivin. Simon Lord-Dufour. Jessica Jackson. Edith Beaulieu. Martine Côté. Albert Moghrabi. Stephane Barette. Denis Gingras. Sylvie Lamy. Richard Béliveau. / Food Chemistry Volume 112, Issue 2, 15 January 2009, Pages 374-380

    Chu YF, Antioxidant and antiproliferative activities of common vegetables. J Agric Food Chem 2002 November 6;50(23):6910-6.

    Stratil P, Determination of total content of phenolic compounds and their antioxidant activity in vegetables-evaluation of spectrophotometric methods. J Agric Food Chem 2006 February 8;54(3):607-16.

    Rolls BJ, Salad and satiety: energy density and portion size of a first-course salad affect energy intake at lunch. J Am Diet Assoc. 2004 Oct;104(10):1570-6.

    Rolls BJ, Reductions in dietary energy density are associated with weight loss in overweight and obese participants in the PREMIER trial. Ledikwe.Am J Clin Nutr. 2007 May;85(5):1212-21.

    Murakami K. Hardness (difficulty of chewing) of the habitual diet in relation to body mass index and waist circumference in free-living Japanese women aged 18-22 y. Am J Clin Nutr 2007;86:206-213.

    Battistuzzi G, Characterization of the solution reactivity of a basic heme peroxidase from Cucumis sativus. Arch Biochem Biophys 2004 March 15;423(2):317-31.

    Wang L, Effects of peroxidase on hyperlipidemia in mice. J Agric Food Chem 2002 February 13;50(4):868-70.