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société - Page 27

  • Le maraîcher se pend

    Le maraîcher se pend et les gendarmes verbalisent tout le village…

    Cela lève le cœur. Cela donne des envies de révolution.

    La personne qui témoigne, digne, dit tout.  Cela se passe à côté de Rennes, dans un village, dont nous ne saurons pas le nom. Le maire a demandé de ne pas exposer sa commune à l’ire du préfet… Je ne vois pas, quant à moi, l’intérêt d’un tel silence. Il est évident que le préfet est au courant et connaît les sentiments dudit maire… qui aurait été, ainsi que sa commune, bien plus protégé si on avait su le nom du village.

    On a honte. Honte d’être dans la France de Macron. Honte qu’il y ait eu tant de traîtres pour voter pour ce dictateur impitoyable qui déteste les Français de souche.

    Jamais une scène pareille ne se serait passée à la sortie d’une mosquée. Les nôtres sont de plus en plus méprisés, haïs, humiliés… traités comme des délinquants pendant que les véritables délinquants sont, eux, épargnés, relâchés… On se souviendra que ce sont peut-être les mêmes gendarmes, d’ailleurs, qui ont laissé la rave-partie à côté de Rennes se dérouler tranquillement tout le week-end…  Courageux avec les faibles, avec ceux qui respectent la loi, mais lâches avec les meutes islamisées ou d’antifas…

    La colère monte, monte…

    Christine Tasin

     

    Source

  • La vérité sur le squat de la maison de Roland

    Squat Toulouse : les classes populaires ont viré la racaille gauchiste

    Tout d’abord, on ne va pas cacher notre joie d’avoir vu la maison de Roland libérée et le droit de propriété rétabli. Toutefois, au-delà du concert de réjouissances, certains éléments de cette affaire doivent être décryptés car ils révèlent une nouvelle fois le jeu pervers des instances de pouvoir et de l’ultra-gauche.

    Par ailleurs, et c’est là le plus important, la réaction spontanée des supporters de Roland et leur victoire révèlent que l’idéologie gauchiste ne viendra jamais à bout de ce qu’il y a de plus profond dans la nature humaine; en particulier l’idéal d’accession à la propriété et le droit à la propriété privée.

    Enfin, le précédent est créé. Privés de la protection policière, les nervis de gauche ont été obligés de décamper face à la rébellion des couches populaires. C’est une digue de protection des élites qui vient de sauter, les nervis de gauche ne terrifient plus personne. Désormais, antifas et autres casseurs  vont devoir y regarder à deux fois avant de chercher à soumettre les classes populaires.

    Le squat vecteur de déconstruction du droit de propriété. Depuis les années 60, nos adversaires procèdent méthodiquement à la déconstruction, élément par élément, de tous les murs porteurs de notre civilisation. Tout y passe, et donc avec le reste, le droit de propriété. Cela se fait sur le long terme, pour aboutir à l’objectif final des mondialistes qui est l’abolition du droit de propriété. Dans ce sens, les pouvoirs publics successifs et les juges alliés à l’ultra-gauche ont institué un droit au squat et à l’appropriation du bien d’autrui.

    Il existe même un site dédié au squat et un manuel du parfait squatter édité par l’ultra-gauche; tout cela en parfaite transparence.

    La ville de Toulouse en pointe depuis 25 ans. Depuis l’occupation des locaux de l’usine Myrys en 1995, celle ensuite du Grand Hôtel et Tivolier propriété de la préfecture de 2001 à 2005 et le relogement du collectif Mix’art Myrys sur une vaste friche industrielle aux Ponts Jumeaux, Toulouse a été, avec la complicité des pouvoirs publics, un lieu d’expansion et d’expérimentation de la doctrine du squat comme moyen de déconstruction du droit de propriété. 

    http://mixart-myrys.org/presentation/historique/

    Jean-Luc Moudenc transige depuis toujours avec l’ultra-gauche pour acheter la paix sociale. C’est ainsi que la ville est piquetée de locaux associatifs que la municipalité a concédés à l’ultra-gauche après une période d’occupation illicite. J’avais déjà commenté le fait et dénoncé la duplicité de Jean-Luc Moudenc dans ces affaires.

    https://ripostelaique.com/toulouse-moudenc-protege-les-islamo-gauchistes.html

    Le squat progresse en tâche d’huile à partir des lieux d’implantation des collectifs d’ultra- gauche. Au vu des images de l’évacuation d’hier soir, les crétins crasseux qu’on a vus filer sous la protection de la police étaient manifestement venus en voisin depuis Mix’art Myrys. Ils y sont immédiatement retournés en attente de prochaines récidives. Car soyons-en certains, ils n’en resteront pas là. Le squat se propage à partir des lieux déjà squattés et ensuite concédés à l’ultra-gauche par la municipalité. C’est un processus bien rôdé qu’aucune volonté politique n’envisage d’arrêter, bien au contraire.

    Jean-Luc Moudenc traite aussi avec les musulmans pour acheter la paix sociale. C’est ainsi que la construction de la mosquée d’Empalot a fait l’objet d’une manipulation immobilière douteuse générant une plus value de 840 000 € pour la communauté musulmane, à laquelle il faut ajouter la cession à vil prix de son terrain d’assise par la ville de Toulouse. Hamdoulilah.

    https://liguedumidi.com/enclave-algerienne-a-toulouse-grace-a-jean-luc-moudenc/

    Par son usage abusif du droit de l’urbanisme, Jean-Luc Moudenc crée les conditions du squat et de la ruine de certains propriétaires. Il y a ainsi de très nombreux précédents où des propriétaires ont été spoliés. Dans l’affaire de Roland, c’est encore une fois le même scénario qui se répète. Le propriétaire, souvent sans grands moyens de défense, soit parce qu’il est une personne physique de condition modeste ou fragile, soit parce qu’il s’agit d’une institution sur laquelle les pouvoirs publics peuvent mettre la pression (exemple, l’évêché dans l’affaire du squat de la Chapelle…) se retrouve spolié par une décision d’urbanisme abusive et manifestement délibérée.

    C’est typiquement le cas de la maison de Roland, vraiment sans aucun intérêt architectural, coincée en dent creuse entre d’autres unités foncières, en retrait par rapport à l’alignement sur la voirie, sans cœur d’îlot à préserver à l’arrière et située dans un tissu faubourien en cours de requalification et de réhabilitation urbaines. Franchement, malgré les fausses raisons invoquées par la mairie, la maison de Roland ne justifie en aucun cas d’être préservée. D’ailleurs, dans le voisinage, il y en a déjà eu de nombreuses rasées pour édifier des immeubles neufs et redonner à cette avenue un semblant de cohérence urbanistique. C’est très simple, soit cette maison justifiait d’être préservée et alors il fallait l’identifier comme telle au PLU et détourer son terrain d’assise, soit son terrain d’assise est classé constructible au PLU et dans ce cas, cela veut dire qu’elle ne présente aucun intérêt ; sans possibilité d’invoquer de manière arbitraire le sursis à statuer pour refuser un permis de construire.

    Nous sommes manifestement là face un usage abusif, arbitraire et scandaleux du droit de l’urbanisme. Aujourd’hui, toute la ville de Toulouse est cartographiée, chaque parcelle est identifiée, toutes les maisons ont été repérées et identifiées. Il est donc tout à fait possible de mettre fin à l’arbitraire et de clairement définir au PLU celles qui doivent être conservées et celles qui peuvent être rasées. Si le statu quo est maintenu, ce n’est que parce que les élus souhaitent conserver une latitude et la possibilité de faire jouer l’arbitraire et donc l’injustice. Alors pourquoi et pour quelles mauvaises raisons?

    Qu’est ce qui anime les pouvoirs publics pour un tel usage abusif? Connerie ambiante? Démagogie par rapport à certains comités de quartier qui ne représentent personne mais s’arrogent le droit de bloquer toutes les opérations? Délires d’instructeurs ou de chefs de services à l’urbanisme qui n’ont jamais rien dessiné ni construit de leur vie? Délires de ratés de l’architecture marqués par l’idéologie qui ne peuvent exister que par leur pouvoir d’entrave? Corruption de certains? Cela s’est déjà vu.

    Sentiment de toute-puissance qui grise les élus? Interstices laissés en attente permettant toutes les magouilles? Sans doute un peu de tout cela. Toujours est-il que les pouvoirs publics ne font rien pour assainir cette situation génératrice d’injustices et de conflits d’intérêts, donc cela crée un climat détestable.

    Roland spolié par Jean-Luc Moudenc. Alors pourquoi un refus de permis de construire qui stérilise l’affaire et empêche Roland de réaliser son bien aux meilleures conditions avec un promoteur? Pourquoi avoir invoqué un faux prétexte pour refuser le permis de construire puisque la maison de Roland n’est même pas une vraie Toulousaine à préserver? Ou alors, si c’en est une, toutes les maisons individuelles de Toulouse sont des Toulousaines et il faut toutes les protéger. Quelles mauvaises raisons, quelles combinaisons se cachent derrière cette décision totalement arbitraire?

    Tous les doutes sont permis et avec eux toutes les suspicions.

    Comment les squatters ont-ils eu connaissance du dossier de Roland? On pourra toujours dire qu’ils rôdaillent en permanence dans la ville, qu’ils observent les allées et venues des uns et des autres à la recherche d’opportunités. En tout cas, là, ils n’auront pas pu voir de permis de construire affiché puisqu’il n’y en a pas eu… Personnellement, je pense plutôt qu’ils ont des relais au sein même des services d’urbanisme où nidifient de nombreux parasites gauchistes qui leur signalent les bons coups. Car ce n’est pas n’importe quelle maison vide qui a été occupée. Celle de Roland avait été promise à un promoteur et le permis de construire refusé; arguments justifiant la lutte contre les bétonneurs et donc le squat. On voit donc très bien pourquoi la maison vide de Roland a été choisie par idéologie plutôt qu’une autre et comment elle justifiait le squat par un habillage fallacieux.

    Des salopards qui accusent Roland d’avoir instrumentalisé son cas. La mauvaise foi de ces hyènes est sans limite. Dans un de leurs communiqués, ils se sont autorisés à accuser Roland d’instrumentaliser son cas et d’avoir créé les conditions d’une soi-disant violence contre eux. Bande de salauds, venir à une trentaine cagoulés pour lui piquer sa baraque, le conchier sur les réseaux sociaux ; et en plus ils osent se présenter comme les défenseurs des opprimés. Vous êtes vraiment des sous-merdes, des couilles molles parties comme des lopes, de peur de prendre la branlée où vous n’auriez eu aucun scrupule à vous mettre à plusieurs contre un adversaire isolé, comme vous l’avez si souvent fait.

    Voici ce qu’on lit sur leur site :

    ‘’La Dépêche et Roland le proprio ont choisi d’instrumentaliser la situation de cette maison peu de temps après l’annonce du prolongement de deux mois de la trève hivernale, créant un mouvement de défense de la propriété privée et un déferlement de haine et de violence. Depuis dimanche, une cohorte de harceleur.euse.s, mélant les protagonistes habituel.les que sont les keufs, les fachos et les médias auxquel.les se rajoutent des “citoyen.nes vigilant.es”, menacent, tabassent et tentent d’expulser les habitant.es.’’

    Une saine réaction du voisinage. Il faut ici préciser la sociologie du quartier. Il s’agit d’un tissu faubourien ancien au-delà des barrières ; en l’occurrence celle de Paris. Quartier traditionnellement populaire mélangeant classe moyenne de souche en cours de paupérisation, populations immigrées de deuxième et troisième générations et récemment immigrées d’Afrique de l’Est, du Moyen-Orient et d’Asie Centrale. Le quartier est clairement en voie de submersion migratoire, dans le cadre plus vaste du Scot qui  prévoit l’implantation de  300 000 (trois-cent-mille) nouveaux venus d’ici 2030.

    Proche des Isards et de Borderouge, le quartier comporte de très nombreux logements locatifs de construction récente. Disons que c’est traditionnellement un quartier pauvre, un quartier de la mixité invasive que les Blancs, qui en ont les moyens, sont progressivement en train de fuir. C’est donc à partir de ces populations mixées, souvent précaires que s’est déclenché un mouvement spontané de soutien à Roland et, en fait, de défense de la propriété privée.

    Un fait saillant, un rayon de lumière qui doit être remarqué. Il s’agit d’une très bonne nouvelle, les catégories les plus pauvres n’adhèrent pas à l’idéologie gauchiste d’abolition de la propriété privée ; ni à aucune idéologie gauchiste d’ailleurs. Au contraire, cette histoire le démontre, l’accession à la propriété, même si elle est hors de portée de la plupart de ces catégories, reste un idéal et un élément important de la construction personnelle et de l’insertion sociale.

    Oui, la propriété privée est un droit sacré de la personne humaine, un idéal pour toutes les catégories sociales. C’est ce qu’ont affirmé haut et fort les supporters de Roland dont la plupart ne sont probablement pas propriétaires, et probablement sans espoir de jamais le devenir.  Sacrée déconvenue pour les gauchistes promoteurs de l’abolition du droit de propriété. C’est l’un des rayons de lumière de cette affaire.

    Quand les catégories populaires se rebellent contre les nervis gauchistes, le préfet est obligé de les lâcher. À Toulouse, comme dans toutes les métropoles de France, ce sont les antifas et les nervis de gauche qui se sont alliés au pouvoir pour éteindre la poussée révolutionnaire venue de la France périphérique lors du soulèvement des Gilets jaunes.

    L’éviction d’hier peut être considérée comme un précédent et comme un raté majeur dans le jeu de rôle que jouent les pouvoirs publics et les agitateurs d’ultra-gauche contre les catégories populaires.

    À Toulouse, le peuple excédé s’est invité dans la partie et il a mis en échec cette alliance perverse. Sous la pression, le préfet qui avait refusé l’éviction accordée par le juge et accordé le maintien jusqu’à la fin de la période hivernale reportée au 1er juin, a finalement dû laisser filer et envoyer sa police protéger les gauchistes de la vindicte des supporters de Roland.

    Le précédent fera sûrement date et les élus de tous bords feraient bien de faire très attention. Il se pourrait bien que désormais les gens ne se laissent plus duper et qu’ils se dressent contre les gauchistes instrumentalisés par les élites. Cette digue derrière laquelle ils se protégeaient vient de céder, et c’est tant mieux

    Jamais l’idéologie gauchiste ne viendra à bout de ce qu’il y a de plus profond dans l’âme humaine. 

    Jamais l’idéologie gauchiste n’aura le dernier mot.

    À Toulouse hier soir, face aux couches populaires, antifas, zadistes, squatters et nervis de gauche sont partis la queue entre les jambes sous protection policière.

    SOURCE:

     

     

  • France indigne et dégueu  …

    Âgé de 88 ans, Roland comptait vendre sa maison pour rejoindre son épouse dans un Ehpad. En attendant, il louait depuis deux ans un appartement qui le rapprochait de celle qu’il souhaite rejoindre. L’heure venue de passer à l’action et de mettre en vente le pavillon dans lequel il a passé sa vie entière… Trop tard ! Des marginaux ont forcé les portes et changé les serrures. Passées 48 heures, ils sont inexpulsables.

    Outre ce problème de froidure qui risque de les enrhumer, les squatteurs doivent avoir le temps de saccager toutes les pièces du pavillon. Les membres du tribunal d’instance à l’origine de la décision savent que les travaux ne peuvent être effectués en quelques jours. Cuisine, salle de bains, salon, chambres. Compter deux bons mois. Roland doit enfin comprendre qu’il n’est qu’un odieux propriétaire recroquevillé sur son patrimoine.

    Source:

     

     

  • Vaccin à ARn?

    Important à savoir!

    http://demaincestaujourdhui.hautetfort.com/archive/2021/01/26/une-specialiste-de-l-arn-parle-6293309.html

    Et aussi:

    https://youtu.be/fqL8nbzk2cQ

     

  • Sécurité alimentaire et Covid-19

    Bien-sûr, l’une des premières préoccupations fut d’abord de limiter le risque de contracter la Covid-19 au travers des aliments et/ou de leurs emballages. Une inquiétude qui reste de mise. Que sait-on des possibilités de contamination?

    S’ils sont présents sur des aliments entreposés dans le réfrigérateur à 4 °C, les coronavirus peuvent rester infectieux pendant un laps de temps de 72h.

    Dans l’eau, ces virus sont capables de survivre jusqu’à 10 jours à 23 °C, et plus d’un an à 4 °C. Et sur des surfaces comme le verre, le métal ou le plastique, ils peuvent rester infectieux pendant 9 jours. Enfin, on sait que le SARS-CoV-2 est inactivé aux températures de cuisson habituelles (70 °C), et qu’il est également très sensible aux détergents et désinfectants : le sel, le poivre, le vinaigre et le jus de citron n’ont en revanche aucun effet.

    Pour l’heure, aucune donnée scientifique ne suggère que le SARS-CoV-2 puisse nous infecter par voie digestive. Mais on ne peut pas totalement exclure la possibilité d’une contamination des voies respiratoires lors de la mastication d’un aliment infecté. Et par principe de précaution, les autorités de santé ont donc émis un certain nombre de recommandations.

    Ainsi, l’OMS et l’ANSES recommandent de se laver les mains régulièrement, notamment après avoir fait ses courses, avant de cuisiner et de se mettre à table. Il est également conseillé de rincer les fruits et les légumes à l’eau, de retirer les emballages inutiles, et de nettoyer plus fréquemment le réfrigérateur.

    A l’inverse, il est contre-indiqué de désinfecter aliments et emballages avec de l’eau de javel ou un détergent: faute d’un rinçage suffisant, on s’expose alors au risque d’intoxication. Enfin, à ces conseils, devraient enfin s’ajouter ceux visant à limiter les risques de toxi-infection alimentaire: il s’agit de veiller aux dates de péremption et aux conditions de conservation des aliments, ou encore à leur température de cuisson. Quid des moyens de renforcer ses défenses contre le SARS-CoV-2 en s’appuyant sur l’alimentation ?

    Le meilleur régime à adopter…

    Beaucoup se sont posé et se posent toujours la question du meilleur régime à adopter pour renforcer ses défenses immunitaires. Or si des études ont bel et bien établi l’existence de liens entre alimentation, nutriments, et immunité, il n’existe pas à ce jour de "régime revitalisant de l’immunité".

    À ce sujet, notons que les vitamines jouent un rôle de premier plan dans l’inconscient collectif. On les considère souvent comme l’exemple même de micronutriments aptes à nous prémunir contre la fatigue et les infections. Et les vitamines D, C ou A sont d’ailleurs souvent proposées sous forme de compléments alimentaires. Doit-on pour autant les recommander pour lutter contre la Covid-19 ?

    Vitamine D : la plus médiatisée

    La vitamine D est depuis le début de la pandémie la plus médiatisée de ces micronutriments, et la question de l’intérêt d’une complémentation systématique de la population reste posée.

    Cette vitamine a pour partie une origine alimentaire et se trouve principalement dans les poissons gras (hareng, saumon, sardine et maquereau) et les laitages enrichis. Mais elle est aussi synthétisée par l’organisme, sous l’influence de l’exposition au soleil.

    On sait, par des études épidémiologiques, qu’il existe une relation entre de faibles concentrations plasmatiques en vitamine D et le risque d’infections voire d’hospitalisation pour Covid-19. Cette vitamine s’est aussi révélée avoir un rôle immuno-modulateur lors de recherches menées sur des cultures cellulaires, en facilitant la réponse immunitaire innée. Et chez l’animal, une carence en vitamine D augmente le risque d’apparition de maladies auto-immunes, d’événements cardiovasculaires ou d’infections. Reste que chez l’homme, les études sont moins convaincantes.

    En pratique, il n’est donc pas recommandé de complémenter en vitamine D des patients présentant une infection, une maladie auto-immune ou une maladie cardiovasculaire. Mais il n’est pas irrationnel pour un médecin de le proposer à ses patients, en particulier en période hivernale et de confinement, lorsque l’exposition au soleil est réduite et notre synthèse naturelle de vitamine D diminuée.

    Vitamine C : des données à confirmer

    Les effets bénéfiques de la vitamine C sur les infections respiratoires ont longtemps été débattus. Quelques études suggèrent qu’elle pourrait réduire leur survenue, leur durée et leur sévérité en étant ingérée sous forme de compléments alimentaires. Mais ces données n’ont pas été confirmées, et il n’est donc pas recommandé de supplémenter la population générale pour prévenir ou traiter une infection.

    Ceci étant, pour la majorité de la population, les apports en vitamine C sont inférieurs aux recommandations. Et cela justifie de promouvoir la consommation d’aliments qui en renferment d’importantes quantités : certains fruits (agrumes, fruits rouges) et légumes (choux, poivron, radis noir) constituent à cet égard des sources d’apports à privilégier.

    Vitamine A: recommandée dans certains cas

    Des compléments de vitamine A peuvent s’avérer bénéfiques chez les enfants. D’abord, en potentialisant l’effet de certains vaccins contre le tétanos et la rougeole, comme semble le montrer une étude. Ensuite, en étant associés à un risque moindre de morbidités et de mortalité en cas de rougeole, de diarrhées sévères, d’infection par le VIH ou de paludisme.

    L’OMS préconise donc d’en apporter aux enfants âgés de 6 mois à cinq ans, dans les pays où la carence en vitamine A constitue un problème de santé publique. Mais la France ne fait pas partie de ces pays à risque : il n’y a donc pas lieu de donner systématiquement de la vitamine A aux enfants. Et de manière générale il n’y a aucun argument pour la proposer en dehors de situations de carences objectivées, d’autant qu’elle peut se révéler délétère chez la femme enceinte.

    Notons en revanche qu’une alimentation équilibrée comporte en principe des aliments riches en caroténoïdes tels que les carottes, épinards ou le potimarron, dont la consommation mérite d’être encouragée dès qu’il s’agit de légumes de saison.

    Quid d’autres micronutriments ?

    D’autres vitamines et oligo-éléments semblent avoir un lien avec l’immunité, en particulier les vitamines B, mais aussi le zinc, le fer, le magnésium et le sélénium. Mais il n’a jamais été démontré que l’apport de ces micronutriments par le biais de compléments réduit le risque infectieux.

    Les acides aminés, que l’on trouve dans les viandes, poissons, œufs, produits céréaliers et légumineuses, semblent aussi moduler le système immunitaire via divers mécanismes lorsqu’ils sont apportés sous forme de compléments protéiques. Par exemple, une étude conduite en 2011 a montré qu’une complémentation en acides aminés est associée à un moindre risque d’infections chez les personnes âgées.

    Des aliments pour renforcer l’immunité?

    D’après des études menées in vitro (sur des cultures cellulaires) et in vivo (sur un organisme vivant) chez l’animal, le poisson, riche en acides gras de la famille oméga-3 et en sélénium, aurait des propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes. À ce titre, il pourrait s’avérer bénéfique dans les infections et dans la réponse aux vaccins. Mais pour l’heure, on ne dispose d’aucune preuve quant à l’impact d’une consommation importante de poisson sur le système immunitaire d’un être humain.

    Le lait de vache présente également des propriétés anti-inflammatoires in vitro. Et il semble que les anticorps bovins qu’il renferme, restant actifs après qu’on les ait digérés, puissent aider à lutter contre certaines infections – notamment les otites et les rhinopharyngites chez l’enfant.

    Enfin, il est possible que les fruits et légumes riches en vitamines et en oligo-éléments puissent avoir un effet protecteur contre les infections respiratoires : il fut par exemple décrit une association entre une moindre fréquence d’infections et une consommation importante en fruits et légumes chez les femmes enceintes.

    Gare aux surdosages

     

    Au bilan, si certains aliments sont potentiellement bénéfiques pour les défenses immunitaires, on ne sait rien de l’intérêt des uns par rapport aux autres en termes quantitatifs. Et de fait, les recommandations nutritionnelles édictées par l’ANSES pour l’ensemble de la population semblent parfaitement adaptées pour profiter au mieux des effets anti-infectieux des aliments.

    À l’exception peut-être de la vitamine D, notamment en période hivernale, le recours aux compléments alimentaires ne parait donc pas justifié. De plus, il convient de rappeler que n’étant pas considérés comme des médicaments, ces compléments délivrés sans ordonnance ne sont pas soumis aux mêmes réglementations et exposent ceux qui en usent à des risques d’intoxication et de complications.

    Ainsi, la prise quotidienne de 100 000 UI de vitamine D pendant 1 mois (1 µg équivaut à 40 UI) expose à un risque d’hypercalcémie et d’insuffisance rénale. De même, une surconsommation de vitamine A (avec plus de 10 000 UI/jour) peut exposer à un risque d’ostéoporose et de fractures, mais aussi de malformations fœtales en cas de grossesse.

    Pareillement, de hautes doses de vitamine C (1 000 mg/jour et plus) semblent être toxiques chez les sportifs, entraînant une réductionde leurs performances physiques, et des calculs rénaux chez les personnesprédisposées. Enfin, la toxicité de deux acides aminés pris en excès a été rapportée par la littérature : une prise chronique d’arginine accentue la mortalité chez les patients ayant subit un infarctus du myocarde ; une complémentation en méthioninepeut exacerber les symptômes des patients schizophrènes, augmenter le risque d’accident cardiovasculaire et entraîner un retard de croissance chez les enfants.

    Pour aller plus loin :

    - NUTRIcovid , une application pour mieux se nourrir

    Dans le contexte de la pandémie, l’AP-HP, en partenariat avec PuMS, la chaine santé de l’Université de Paris/AP-HP, ont mis en place NUTRIcovid, un programme national d’information, de prévention et d’accompagnement nutritionnel accessible sur Internet. Les utilisateurs ont accès à une médiathèque mise à jour quotidiennement. Ils peuvent également suivre pendant 10 semaines un programme d’e-coaching fondé sur la notion de " nutrition positive ", plutôt que sur des principes de restriction. Des vidéos interactives et en direct sont également proposées avec des scientifiques, des médecins ou des diététiciens de l’AP-HP, de l’Université de Paris et de l’Inserm.

    Pour y participer, inscrivez-vous sur nutri-covid.fr.

    Cet article a été écrit en partenariat avec le site de la chaîne santé de l’université de Paris pums.fr.

  • Tine et Catinou

    Chapelle de l'hôpital St Joseph de la Grave

    Et bé, dis donc Tine, quel monde au supermarché

    Boudu, ça m'en fait tourner la tête, je t'ai plein de bimbarolles, qui dansent dans les yeux.

    Catinou, on devait y aller ce matin, mais tu t'es levée trop tard...

    Je sais bien Tine, mais que veux tu, hier impossiple de dormir, j'étais trop inquiète

    Je me suis fait une tisane, je crois que j'ai forcé sur le tilleul...

    Oui, ah, ah, ah, c'est ça, le tilleul !!!

    Catinou, tu n'aurais pas un peu, amélioré le tilleul, par hasard???

    Juste un peu, Tine je me suis rajouté une goutte de rhum

    Et bé macaniche, c'est pas une goutte, c'est une averse que tu t'es fait tombé dans le bol, à 11h du matin, tu dormais comme une souche..

    J'avais pas mis les cluques, Tine, j'ai pas fait attention

    Raï, va Catinou, tu es rassurée, maintenant, tu vois, je te l'avais dit, que Lucas venait...

    Tu pouvais pas, me le dire hier, bestiasse, tout le monde savait, sauf moi, je me suis fait un sang d'encre..

    Mais, enfin, quand-même, Lucas t'aurait averti, s'il n'avait pas pu venir

    Ahhh celui là quand il va venir, le 24, je vais te lui dire ma façon de penser, ce grand couillon, qui m'a laissée mariner, et que du coup, j'ai braillé, toute la soirée, et mon fils celui là aussi, il va m'entendre, et l'autre ma belle fille elle, va me dire bonjour, je vais te lui dire le reste!!!

    Allez Catinou, quand tu vas le voir, tu seras tellement contente, que tu vas pas pouvoir l'enguirlander, y t'a espliqué ton fils..

    Oui je sais Tine, Lucas est allé voir la mère de l'autre de ma belle fille, dans le Gers

    Ohh Catinou, c'est aussi sa grand mère

    Je m'en carre, il avait qu'à m'avertir, pasqu'il savait qu'il partirait plus tôt de l'Angleterre, à cause de ce nouveau virus..

    C'est pasqu'il voulait te faire une surprise, vieille mule que tu es!!!

    Non mais dis donc, Tine tu vas pas t'y mettre toi aussi !!!

    Bon, alors Catinou, je vais te dire le secret, mais tu me jure, que tu ne diras rien, et tu me le jure sur la tombe de ton Marcel...

    Dis moi d'abord ce que c'est

    Non tu jures d'abord

    Ba pla, je jure

    Et bé le petit il sera là demain soir, ici chez toi

    Quoi!!!!!! Lucas sera là demain ???

    Oui Catinou, comme je te le dis

    Boudu, boudu, et j'ai rien de prêt, oh milodits, mais y faut que je fasse la chambre, que je fasse le manger

    Il viendra juste, te faire une petite visite, avec Jède

    Comment ça juste une petite visite, et y va où donc, après, ils resteront dormir chez ses parents, ils vont être fatigués avec la route, aller voir les uns et les autres

    Ah évidemment, là je comprends mieux

    Catinou, quand ils vont venir tu fais comme si tu savais rien, hein promis???

    Je serai aussi étonnée que le poussin qui sort de l'oeuf

    Ahhh Tine que je suis contente, boudu j'en ai envie de pleurer

    Tine demain matin, tu me fais réviser l'anglais, je veux pas avoir l'air pègue devant Jède..

    Mais oui, Catinou, je te ferai réviser

    Ahhh et bé, ça va mieux, té on va se boire un petit verre, pour fêter ça, c'est émotionnant

    Hil de puto quelle journée, n'empêche qu'on a fait de bonnes commissions, on va se régaler..

    Tu les a fait tourner en bourrique à la poissonnerie, boudu!!!

    Et quoi, Tine, je voulais être sûre de ce qu'on va manger

    Oui j'ai senti, les crevettes, les langoustines, c'est comme la culotte d'une fenno, si ça sent pas le frais, faut pas y toucher

    Et le homard je voulais voir s'il avait l'oeil vif dans son aquarium

    Alors, il t'a regardé comme y faut ???

    Je suis pas barjaque, je suis méfiante

    Ahhh ça tu peux le dire, Catinou, on est restées un bon peu, ça commençait à buffer derrière nous

    Et quesque tu crois, Tine, que j'ai pas entendu, l'autre pigasse de Marie, roumeguer dans sa barbe, té d'ailleurs elle ferait bien de s'enlever les poils du menton, on dirait le croupion d'une clouque mal plumée..

    En attendant, nous sur la taple on va t'avoir, une bien beau plateau de fruits de mer

    Eh ,Tine t'as vu les huîtres que j'ai commandé..

    Biétaze, oui j'ai vu, j'ai même cru, que tu allais mesurer les coquilles, pour les avoir toutes pareilles

    C'est mon Marcel, qui m'a enseigné à bien les choisir, il savait lui té, pauvret...

    Bon, entre demain et après demain y faut tout terminer

    Le gaffet qui nous a porté le sapin, nous livrera les fruits de mer, jeudi matin, y nous manque plus rien???

    Bé non Catinou, ma fille et mon gendre portent le champagne et le vin, et tu m'as dit que c'était ton fils qui irait chercher la bûche

    Oui, et bé alors ba pla

    Et le poudinje tu l'ouplies pas Tine, pour Jède

    Mais non, il sera prêt le 24

    Boudu en parlant de bûches, té je vais en rentrer, pasque le temps va changer, on va te leur faire une bonne flambée..

    Et bé tu vois Catinou, ce réveillon de Noël va être formidaple

    Allez tchin tchin, ma vieille amie

    Et après, je me rentre, j'ai des choses à faire moi aussi..

    Catinou, pas de tilleul ce soir.....

    Patricia JULIA