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Cuisine Toulousaine et Occitane - Page 146

  • Riz épicé à la mode espagnole

    Je vous rappelle que ces recettes sont réalisées régulièrement chez moi!

    Pour 6 personnes

    250 g de riz long grain

    2 cubes de bouillon de volaille ou 50 cl de bouillon maison; 1 filet d'huile

    2 blancs de poulet à couper en morceaux, 100 g de chorizo à couper en rondelles

    100 g de jambon blanc coupés en dés; 2 oignons finement hachés

    3 gousses d'ail finement hachées, 1 poivron vert coupé en cubes

    1 branche de céleri coupée en bâtonnets

    3 pincées de thym; 2 clous de girofle

    5 pincées de piment de cayenne ou d'Espelette

    15 grosses crevettes roses cuites décortiquées

     Des brins de persil plat coupés finement, Sel, poivre

    Portez à ébullition 1 litre d'eau dans une casserole et ajoutez les cubes ou le bouillon. . Dans une poêle en tôle noire, faites chauffer un filet d’huile et ajoutez le poulet et le faire revenir 5 minutes. Ensuite, ajoutez le chorizo et le jambon et poursuivre la cuisson 2 minutes Réservez.

    Dans une cocotte et à feu doux, faites chauffer un filet d'huile, ajoutez les oignons, l'ail, le poivron et le céleri. Laissez cuire 4 minutes en mélangeant puis, versez le riz et le faire cuire minutes en remuant.

    Ajoutez ensuite le mélange de jambon, chorizo, et poulet et verser le bouillon de volaille chaud, l'origan, le thym, les clous de girofle et le piment. Assaisonnez, couvrir et laissez mijoter 20 à 25 minutes en mélangeant régulièrement.

    Ajoutez les crevettes et parsemer de persil plat.

     

  • Des aliments à consommer pour perdre du poids -1

    J'ai fouillé dans toute ma documentation sur mon disque dur et j'ai pensé vous indiquer ces infos intéressantes avant l'été

     

    Quelques infos (à suivre) sur les meilleurs aliments brûle-graisses pour perdre du poids, calment votre faim, augmentent votre métabolisme et haussent votre niveau d’énergie!

    La perte de poids peut parfois être un processus lent et frustrant. Heureusement, il existe des moyens efficaces portée de main: nos choix alimentaires.

    Veillez à inclure dans votre assiette des aliments peu caloriques. Cela sera -de plus- bénéfique pour votre santé.

    Ces aliments brûleurs de graisse sont notamment faibles en calories, augmentent le métabolisme, sont riches en fibres ou calment la faim. Suivez aussi ces astuces pour accélérer votre métabolisme et maigrir au repos. Parmi les nombreux aliments brûle-graisses, plusieurs d’entre eux partagent également une caractéristique commune: ils sont remplis de vitamine C.

    En plus de combattre le rhume, la vitamine C aide à produire du collagène, contribue à la santé de la peau, peut protéger le cœur et aide à détruire les radicaux libres associés à certains cancers. Les nouvelles données disponibles sur les propriétés de la vitamine C qui aide à brûler les graisses et à maigrir sont tellement prometteuses qu'elle est classée parmi les nutriments qui libèrent les graisses

    La papaye: l’un des meilleurs aliments brûle-graisses

    Teneur en vitamine C: 188 mg

    Portion: 1 fruit

    Riche en fibres, en calcium, en phosphore, en fer, en thiamine, en niacine et en vitamines, la papaye est un fruit délicieux et peu calorique qui favorise le bon fonctionnement des intestins et du système immunitaire. En ce sens, il est considéré parmi les meilleurs aliments brûle-graisses.

    Originaire du Mexique, ce fruit contient surtout de la papaïne, redoutable contre le collagène se trouvant dans la cellulite. Cette enzyme fractionne les pectines, mais aussi certains sucres et lipides.

    Elle absorbe l’excès de gras et de sucre, et fonctionne comme un brûleur de graisses pour notre organisme. Possédant des bienfaits anti-inflammatoires, la papaye permet donc d’éliminer la peau d’orange et les capitons disgracieux. De plus, ses fibres alimentaires augmentent la sensation de satiété tout en englobant le cholestérol et les cellules cancéreuses du colon.

    C’est pourquoi la papaye est fréquemment utilisée lors de cures d’amincissement avec état cellulitique associé.

    Une étude parue dans la revue Food Chemistry en 2009 a constaté que la papaïne démontrait les mêmes effets que les enzymes pancréatiques naturelles ayant pour rôle de décomposer les graisses.

    Pierre Mantello et Luc Montagnier, auteurs de l’ouvrage “Vivre longtemps en bonne santé: une alliée extraordinaire, la papaye fermentée“, ont d’ailleurs mis en lumière les nombreux bienfaits de la papaye. Ils avancent que la papaye fermentée serait aussi intéressante pour l’organisme que les vitamines C et E, le bêtacarotène ou le sélénium.

  • Pelures de fruit et légumes -6

    A ne jamais jeter à la poubelle: les cœurs d’ananas

    Si vous considérez automatiquement comme déchets alimentaires les parties de fruits et de légumes que vous ne mangez pas, vous vous privez peut-être des puissants nutriments qu’elles renferment.

    Bien évidemment, vous lavez soigneusement le fruit avant d'utiliser la pelure, avec bicarbonate à raison d'une cuillère à soupe pour deux litres d'eau. MÊME SI VOS FRUITS SONT BIO!

    Après avoir ôté le cœur de l’ananas, ne le jetez pas à la poubelle. Non seulement il peut être utilisé dans une foule de recettes, mais il renferme de précieuses vitamines et sels minéraux.

    L’ananas contient de la broméline, une enzyme qui digère les protéines. Grâce à ses propriétés anti-inflammatoires, elle peut réduire l’inflammation du nez et des sinus et atténuer l’arthrite et la douleur musculaire.

    Quelques bonnes façons d’employer le cœur d’ananas: haché finement et ajouté à une salade de fruit, une salade de chou, un chutney ou une sauce, mélangé à un smoothie, découpé en cubes et congelé pour être utilisé plus tard, ou simplement ajouté à de l’eau, à une tisane ou à une sangria pour en relever le goût.

    Avec les feuilles, faire bouillir longtemps et boire comme une tisane, bien sûr à condition que l'ananas soit bio

    Vous pouvez déposer l'ensemble des feuilles sur un pot rempli d'eau... un peu comme les jacinthes....vous verrez des radicelles, cela peut être une décoration florale pour un diner entre amis.

     

  • Félicitation au Stade!

     

    La vraie histoire du foie gras!

  • Gratin de pommes de terre et brie

    Si vous aimez l'ail, pensez à en utiliser dans le mélange laiteux. Vous pouvez aussi oindre le plat à l'aide d'une gousse d'ail écrasée et pelée, bien sûr.

    Préchauffer le four à 150°.

    Pour 4 personnes

    600 g de pommes de terre; 100 g de brie

    30 cl de lait,  20 cl de crème liquide

    Sel, poivre et persil haché

    Pelez, lavez et coupez les pommes de terre en très fines rondelles. Les ranger dans un plat à gratin préalablement beurré.

    Coupez le brie en tranches. Versez le lait et la crème dans une casserole, ajoutez les tranches de brie. Faites fondre doucement en remuant à l'aide d'une cuillère en bois. Assaisonner. Versez la préparation sur les pommes de terre.

    Enfournez et faites cuire environ 50 minutes. Enfin, saupoudrez de persil haché au moment de servir.

  • Bon à savoir!

    Quelques points à méditer :

    un commentaire

    En France, il y a un sérieux problème avec les dentistes, les médecins généralistes, les médecins spécialisés etc qui refusent de consulter de nouveaux clients-patients en dévoyant le code de la santé publique, notamment en ses articles R.4127-211 R.4127-232 L. 1110-3 alinéa 7…

    Autres repères: l’article L 110-3 du code de la santé publique (qui renvoie à l’article 225-1 du code pénal).

    Le coronavirus a de plus servi les intérêts des professionnels les moins soucieux de la santé de clients-patients. Autant de pratiques qui actent un refus de soins et des discriminations manifestes. Devant ces graves aberrations de Santé publique, il est urgent politiquement et judiciairement de s’emparer de cette situation.

    Moralité: ne vous inscrivez jamais sur cette plate-forme

     

    Source:

    Perso: mon médecin de famille part en retraite. J'appelle un de ses confrères qui accepte ma clientèle (j'ai droit au déplacement à domicile)

    Après un an environ, j'appelle pour qu'il vienne à domicile, rendez-vous pris au secrétariat. J'attends. Il ne vient pas. Je rappelle. Il va passer mais en fait, il ne vient pas. J'appelle, je rapelle, je re-re-rappelle… Il n'est jamais venu et je n'ai jamais eu d'explication.

    Je cherche un autre médecin qui se déplace. Je téléphone à 14 médecins, avant d'en trouver un. C'est le seul médecin à 50 km à la ronde qui se déplace…. il est asphyxié de rendez-vous mais il ne montre pas sa fatigue… quel courage! mais, surtout, quel humanisme!

  • Ces aliments rois de la politique

    Des dîners en ville en pleine pandémie aux banquets républicains, l’alimentation entretient un lien étroit avec la politique.

    La table est un espace de pouvoir qui sert à mobiliser des réseaux, afficher sa puissance et porter un discours politique à travers ce que l’on mange et ce que l’on boit.

    Pour le célèbre gastronome Anthelme Brillat-Savarin

    “Les repas sont devenus un moyen de gouvernement, et le sort des peuples s’est décidé dans un banquet. Ceci n’est ni un paradoxe, ni même une nouveauté, mais une simple observation des faits. Qu’on ouvre tous les historiens, depuis Hérodote jusqu’à nos jours, et on verra que, sans même en excepter les conspirations, il ne s’est jamais passé un grand événement qui n’ai été conçu, préparé et ordonné dans les festins".

    Dès lors, au fil des siècles et des régimes politiques, des aliments et des plats ont été revêtus d’un sens politique fort dont les évolutions s’inscrivent tout à la fois dans les transformations de la gastronomie française et de l’histoire politique de la France.

    Afficher son pouvoir

    La profusion des mets est considérée pendant des siècles comme un signe évident de puissance. Sur les tables royales au Moyen-Âge, l’abondance et la prodigalité permettent au roi de montrer qu’il est le premier des seigneurs. La profusion de nourriture impose une hiérarchie. Mais, la rareté des aliments servis participe aussi du prestige de la table pour les différents pouvoirs, notamment à travers l’emploi d’épices en nombre (girofle, cannelle, muscade).

    Il s’agit d’avoir ce que les autres n’ont pas. Lorsque Louis XIV réclame des petits pois en primeurs cultivés dans le potager du roi à Versailles, il montre ainsi qu’il peut tout contrôler, même la nature. Pendant longtemps, le luxe fut une caractéristique majeure des tables des politiques.

    Les mets les plus recherchés, les plus rares, les plus prisés se devaient d’y figurer. Au Moyen-Âge, paons, hérons, cygnes ou marsouins sont présentés comme des mets d’exception, véritables spectacles, lors des banquets princiers comme ceux donnés au milieu du XVe siècle à la cour de Bourgogne par Philippe le Bon puis Charles le Téméraire pour éblouir leurs invités.

    Toutes les institutions politiques assoient leur prestige sur des repas d’apparat. Dans la France du XVIIIe siècle, les corps de ville donnent des banquets où sont présentés les plats à la mode du temps comme des poulardes aux huîtres, des tourtes de pigeons garnies de truffes et de champignons ou des pâtés chauds de bécasses.

    Ils affichent ainsi leur pouvoir et le prestige de la cité. Au moment de la Révolution, ces fastes culinaires suscitent néanmoins des critiques. Les caricatures de Louis XVI le présentent ainsi comme un affameur du peuple contraint de lui fournir les nourritures les plus précieuses (vins de Bordeaux, Champagne, pâtés de canards d’Amiens, etc.).

    Le Ci devant Grand Couvert de Gargantua Moderne en Famille vers 1791. parismuseescollections.paris.fr, CC BY

    Se distinguer

    Les aliments ont une dimension symbolique forte dans une société d’ordres marquée par les hiérarchies. La consommation de gibiers à plumes représente ainsi un trait distinctif des tables des élites politiques de l’Ancien Régime. Les perdrix, les grives ou les cailles sont placées au sommet d’une hiérarchie des aliments fondée, dans une perspective religieuse, sur la proximité avec le ciel. Dictée par un principe d’incorporation et d’élévation spirituelle, leur consommation, comme celle des fruits, est jugée plus raffinée que celle des nourritures qui poussent dans la terre (légumes, tubercules).

    Mais ces oiseaux renvoient aussi aux privilèges nobiliaires et à l’exercice de droits seigneuriaux à travers la chasse, synonyme de pouvoir, qui différencie la noblesse du peuple.

    Cette valorisation gastronomique lorsqu’elle est associée au goût de l’interdit, comme, à la fin du XXe siècle, dans le cas de François Mitterrand et des ortolans (petits oiseaux interdits de chasse, engraissés, puis rôtis qu’il fallait manger en entier), devient l’illustration d’un pouvoir politique hors du droit commun.

    Entretenir ses réseaux d’influence

    Le choix des aliments par et pour les hommes de pouvoir intervient aussi dans l’entretien des réseaux d’influence. Durant l’Ancien Régime, il est ainsi d’usage pour les villes de province d’honorer la famille royale, le contrôleur général des finances, les ministres ou les intendants par des présents en début d’année ou lors de visites officielles.

    Pour les villes, ces dons auxquels sont consacrées parfois des sommes importantes, sont un moyen de s’assurer la protection et la bienveillance des puissants. Chacune offre alors des aliments jugés emblématiques de la gastronomie locale et dignes d’être envoyés à de grands personnages : Périgueux offre ainsi des pâtés de perdrix aux truffes, Bayonne des jambons, Amiens des pâtés de canards, Montélimar des nougats blancs, Reims des vins de Champagne, etc.

    Sous l’Ancien Régime, la ville de Bayonne envoyait ses emblématiques jambons aux puissants pour s’assurer leur protection. Gaizka Iroz/AFP

    La table peut également servir à montrer la cohésion politique de la nation comme lors du célèbre banquet des maires de France dans les jardins des Tuileries à l’occasion de l’Exposition universelle de 1900 en pleine période troublée de l’affaire de Dreyfus et de contestations de la République. Les plats servis aux 22 000 convives symbolisent une démarche fédératrice en rassemblant les plats emblématiques de la grande cuisine française de l’époque (darnes de saumon glacées parisiennes, filet de bœuf en Bellevue) et les aliments qui font la réputation des régions françaises (canetons de Rouen, poulardes de Bresse).

    Cuisine et communication politique

    L’alimentation sert de point d’appui à un discours politique ; elle peut être porteuse d’un message ou bien support de critiques comme contre Louis XVI.

    Les nombreux banquets organisés sous la IIIe République au lendemain de la défaite de 1870 et de la perte de l’Alsace-Lorraine témoignent souvent d’un choix politique des mets.

    Saumons du Rhin ou écrevisses de la Meuse figurent, par exemple, au menu du banquet offert par la ville de Cahors à Léon Gambetta, président de la Chambre des députés le 28 mai 1881. La dénomination des plats sert à ancrer malgré tout les provinces perdues dans la gastronomie nationale.

    Avec la Ve République et la médiatisation des chefs étoilés, les liens entre la cuisine et la politique demeurent toujours très étroits. Suivant les évolutions de l’art culinaire, le luxe et l’abondance ne sont plus seulement les fondements de la distinction. La dimension politique s’exprime surtout dans les valeurs associées aux nourritures choisies. En 1975, à l’occasion de la remise de sa Légion d’honneur par Valérie Giscard d’Estaing, le chef Paul Bocuse crée une soupe aux truffes noires qu’il baptise "Soupe aux truffes VGE" en l’honneur du président.

    Cet épisode montre que l’alimentation des présidents de la République devient un objet politique. Ceux-ci savent alors s’en emparer pour façonner leur image, soit du côté du raffinement et de l’excellence française, soit, à l’inverse, en affichant l’image plus populaire d’un amateur de tête de veau comme Jacques Chirac, promoteur de la cuisine de terroir, expression politique de l’ancrage et de la proximité.

    Aliments et spécialités culinaires deviennent alors support d’une communication politique, plus ou moins maîtrisée, que l’on retrouve des campagnes électorales aux visites médiatiques au salon de l’agriculture.