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Cuisine Toulousaine et Occitane - Page 8

  • Gâteau aux figues sans cuisson

    8 personnes

    Pour la base:

    200 g de biscuits type petit-beurre; 80 g de beurre fondu

    Pour la crème:

    400 g de fromage frais type Philadelphia

    200 g de mascarpone;  100 g de sucre glace; 3 feuilles de gélatine

    200 ml de crème liquide entière; 1 c. à café d'extrait de vanille

    Pour la décoration: 6 figues fraiches;  2 c. à soupe de miel liquide

    pistaches concassées (facultatif)

    Pour la base : réduire les biscuits en miettes puis mélanger avec le beurre fondu. Tasser la préparation dans un moule à charnière de 22 cm. Réserver au frais.

    Faire tremper les feuilles de gélatine dans de l'eau froide pendant 5 minutes. Les faire fondre ensuite dans 3 cuillères à soupe de crème liquide chaude (fouetter vivement).

    Battre le fromage frais avec le mascarpone et le sucre glace. Incorporer la gélatine fondue dans la crème et l'extrait de vanille.

    Monter le reste de crème liquide en chantilly bien ferme puis l'ajouter délicatement dans la préparation précédente à l'aide d'une spatule.

    Verser la crème sur les biscuits et bien lisser la surface. Réfrigérer pendant au moins 4 heures (idéalement une nuit).

    Avant de servir, disposer les figues coupées en lamelles et arroser de miel. Parsemer de pistaches concassées

  • Quiche au jambon et fromage

    Pour 6 personnes

    1 pâte feuilletée au beurre; 30cl de crème fraîche; 2 œufs

    60g de fromage râpé; 3 tranches de jambon

    Déroulez la pâte feuilletée dans le plat et répartissez le jambon, ainsi que le fromage.

    Fouettez la crème et les œufs, salez. Versez sur le plat.

    Faites cuire à 210°C pendant 20 minutes.

  • Le vin sans alcool est-il vraiment du vin?

    Selon la loi française, un produit est considéré comme du vin s’il présente un titre alcoométrique supérieur à 8,5% en volume.

    Selon une étude récente menée dans 11 grands pays de l’OCDE, 36% des sondés déclarent avoir augmenté leur consommation d’alcool pendant les confinements. Plus particulièrement, ce sont "les femmes, les parents de jeunes enfants et les personnes à revenu élevé" qui ont vu leur consommation d’alcool le plus augmenter.

    Pour contrecarrer ces dérives, l’organisation internationale prône certaines solutions, comme "limiter la promotion de l’alcool auprès des jeunes publics", "renforcer les contrôles de police pour prévenir les accidents de la route dus à l’alcool" ou encore "fixer des politiques de prix pour limiter l’accessibilité financière de l’alcool".

    Une autre piste pourrait être envisagée: promouvoir le vin à faible teneur en alcool, voire du vin sans alcool (ou dés-alcoolisé), comme cela est déjà le cas avec la bière et certains spiritueux sans alcool (le whisky et le gin par exemple), qui connaissent un succès grandissant, surtout auprès des millennials.

    Les vins dés-alcoolisés s’obtiennent pas une élimination progressive, voire totale, de l’alcool qui s’effectue grâce à des techniques diverses, comme l’évaporation, l’osmose inverse ou l’arrêt de la fermentation alcoolique, le souci étant d’éliminer l’alcool du vin sans trop en altérer son goût. De grands progrès ont été réalisés dans ce sens, mais beaucoup reste encore à faire car, il faut l’admettre, un vin dés-alcoolisé n’a pas le même goût d’un vin traditionnel.

    DEFICIT DE LEGITIMITE

    C’est là toute la difficulté et l’enjeu de ces nouveaux vins. Peut-on encore appeler vin un produit partiellement ou totalement dés-alcoolisé? L’enjeu est de taille. En effet, comme nous l’avions montré en 2019 dans un article de recherche, la modification de la teneur en alcool impacte la catégorisation, car peu de répondants identifient aujourd’hui le vin allégé en alcool comme un vin.

    Dans une nouvelle étude (à paraître), nous identifions les limites de l’acceptabilité de ce nouveau produit. Certains consommateurs potentiels considèrent que l’alcool reste un attribut central et que cette innovation n’appartient pas à la catégorie de "vin", conduisant ainsi à la création d’une "nouvelle catégorie de produit".

    De manière générale, le vin dés-alcoolisé souffre autant d’un déficit de légitimité de marché (le marché reste marginal), et de légitimité émotionnelle (les consommateurs manifestent moins d’intérêt). La définition de la catégorie d’appartenance d’un nouveau produit est donc primordiale pour renforcer la légitimité des nouveaux "vins" dés-alcoolisés.

    La réglementation française pèse également sur cette légitimité. En effet, les textes considèrent que le vin est "exclusivement la boisson résultant de la fermentation alcoolique complète ou partielle du raisin frais foulé ou non ou du moût de raisin", avec un titre alcoométrique devant être supérieur à 8,5% en volume. Ainsi, la réglementation a précisément fixé le degré d’alcool comme un élément constituant de ce produit.

    Plusieurs éléments pourraient toutefois venir modifier cette perception.

    Tout d’abord, bien qu’encore marginale, la consommation de boissons issues de la dés-alcoolisation représente une tendance émergente dans les pratiques de consommation. En 2018, le segment des vins sans alcool a représenté un chiffre d’affaires de 23,3 millions d’euros en France, ce qui représente une croissance de 12,7% en valeur et de 10% en volume par rapport à 2017.

    DEBAT A BRUXELLES

    De plus en plus de producteurs, grands et petits, ont commencé à produire des produits dés-alcoolisés. Ils réclament aujourd’hui le droit d’utiliser le terme "vin" pour ces nouvelles boissons.

    Le débat fait en ce moment rage à Bruxelles, où la Commission européenne est en train de discuter la réforme de la politique agricole commune (PAC) et l’harmonisation des règles communautaires, dont la réforme de l’article 180 relative aux vins sans alcool ou à faible teneur en alcool.

    Le cours des négociations semble indiquer que la décision d’appliquer le terme vin aux produits dés-alcoolisés devrait être rendue opérationnelle dans un futur proche, bien que strictement encadrée et réglementée dans le respect de la production vinicole et des consommateurs.

    L’application d’une réglementation qui rattache ces produits à l’univers du vin, probablement sous la forme d’une sous-catégorie, devrait permettre aux consommateurs de mieux identifier ces boissons et les bénéfices rattachés. Le fait de pouvoir utiliser encore le mot "vin" pour indiquer une boisson issue de la dés-alcoolisation faciliterait en effet cette identification et permettrait ainsi aux produits de bénéficier d’un positionnement clairement perçu.

    En parallèle de ces éléments de contexte favorables, des efforts en matière d’information et de communication sont requis de la part des producteurs et distributeurs de vin pour légitimer le vin dés-alcoolisé. Une telle légitimité œuvrerait à rendre la teneur d’alcool des vins, un critère déterminant dans le processus d’achat et de consommation de vins des individus.

    Dans la mesure où les professionnels travailleront sur cette légitimité, le vin désalcoolisé pourra connaître une consommation plus diffuse, venant ainsi réduire les barrières psychologiques liées à son adoption.

    Parallèlement, le défi principal reste l’amélioration du goût des vins dés-alcoolisés. Il est possible que, dans un futur proche, le progrès des techniques de dés-alcoolisation réduise la différence gustative entre un vin traditionnel et un vin dé-alcoolisé, comme c’est actuellement le cas avec la bière et les spiritueux sans alcool. Les producteurs de vins parviendront-ils à réduire ce gap gustatif? Le futur de ces nouveaux produits se jouera également à ce niveau.

    Auteurs: Sylvaine Castellano, Directrice de la recherche, EM Normandie

    Insaf Khelladi, Professeur Associé en Marketing, Pôle Léonard de Vinci

    Rossella Sorio, Professeure Associée, Département Marketing ICN BS, ICN Business School

    The Conversation - CC BY ND

  • Françaises, Français,

    Sauvons la France: exigeons un référendum sur l’immigration

    Nous sommes à l’heure de l’urgence vitale. L’immigration n’est plus un problème parmi d’autres: c’est la question centrale, celle qui commande toutes les autres. Nous sommes en train de changer de peuplement. Nous sommes en train de changer d’art de vivre. Nous sommes en train de changer de civilisation. Si nous ne faisons rien, c’est la fin de la France.

    Depuis les accords de Schengen qui ont démantelé nos frontières, notre pays n’est plus qu’un hall de gare. Bruxelles a confisqué notre souveraineté, et les gouvernements successifs ont multiplié les pompes aspirantes: regroupement familial sans frein, aides sociales sans condition, régularisations massives. Ainsi s’organise la disparition d’un peuple.

    Ne comptez pas sur la classe politique pour enrayer cette mécanique infernale de l’effacement national. Elle ne fera rien. Elle est impuissante ou complice. Tant que nous resterons prisonniers de ces politiciens, rien ne changera.

    Il n’existe qu’une issue: rendre la parole au peuple. Quand les élites oublient la France, c’est au peuple de rappeler les élites à l’ordre. Il n’y a qu’un seul chemin pour affronter le problème majeur de notre temps — l’immigration, qui nous submerge et nous transforme: le référendum. L’enjeu n’est rien de moins que la survie de la France.

    Mais ce référendum, le président ne l’accordera pas de lui-même. Il faudra l’y contraindre. Par la pression populaire. Comme pour la loi Duplomb: une pétition a voulu sauver les abeilles, les oiseaux, les sols. Aujourd’hui, ce sont les Français qu’il faut sauver. Les derniers Français. Avant qu’il ne soit trop tard.

    Voilà pourquoi je lance cette pétition. Pour exiger un référendum sur l’immigration. Pour dire haut et fort:

    "RENDEZ LA PAROLE AU PEUPLE!"

    Signez, faites signer, multipliez vos voix. Que ce cri soit si puissant qu’il devienne impossible à étouffer. L’heure n’est plus aux commentaires. L’heure est venue d’agir.

    Pour nos enfants.

    Pour nos morts qui nous regardent.

    Pour la France éternelle.

    Philippe de Villiers

     

    https://referendum-immigration.com

     

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  • Les œufs ukrainiens, toxiques pour la santé et la souveraineté

    Multiplication des alertes sanitaires dans les supermarchés (Leclerc, Carrefour, Aldi), conditions d'élevage en deçà des normes européennes, explosion des importations : les œufs ukrainiens inquiètent professionnels et consommateurs.

    Par Marie de Greef-Madelin

    C’est un code obligatoire inscrit sur tous les œufs et leurs emballages qui est longtemps passé inaperçu: 0 ou 1 indique des œufs de poules élevées en plein air, 2 élevées au sol, et 3 issus d’élevages en cage. ON SAIT MAINTENANT QUE PARMI CES DERNIERS, CERTAINS NE RESPECTENT NI LES NORMES FRANÇAISES NI LES NORMES EUROPEENNES.

    Jeudi 28 août, un magasin de l’enseigne E.Leclerc a retiré de ses rayons un lot de 300 000 œufs importés d’Ukraine susceptible de contenir des antibiotiques interdits. Le phénomène se multiplie partout en France.

    En juin, la Coordination rurale avait déjà dénoncé la présence d’œufs ukrainiens interdits dans un magasin Carrefour, après Aldi, alors même que ces grandes enseignes se sont engagées à réduire la commercialisation d’œufs de code 3.

    DES CONDITIONS D’ÉLEVAGE INACCEPTABLES

    Inquiète, l’interprofession des œufs, regroupée dans le Comité national pour la promotion de l’œuf (CNPO), tire la sonnette d’alarme sur le "non-respect des normes européennes ainsi que les alertes sanitaires répétées".

    En Ukraine, où 100% des élevages de poules pondeuses sont en cage, il n’existe aucun équipement obligatoire et la surface dépasse rarement les 500 centimètres carrés (0,05 mètre carré), là où la réglementation européenne impose cinq équipements obligatoires (nid, perchoir, litière, mangeoire, abreuvoir) et une surface minimale des cages de 2.000 centimètres carrés.

    Malgré cela, les œufs issus d’élevages ukrainiens sont autorisés à la commercialisation dans l’Union européenne dès lors qu’il est inscrit sur la boîte "non conforme aux règles de l’UE". En revanche, ce qui est interdit, c’est l’importation d’œufs qui ne respectent pas les normes phytosanitaires imposées dans l’Union européenne.

    En particulier, en cas de dépassement d’un seuil de résidus d’antibiotiques (métabolites de nitrofuranes, métronidazole) jugés toxiques pour la santé humaine. Des contrôles sanitaires sont censés vérifier régulièrement le respect de la réglementation européenne. Cet été, deux alertes ont été données concernant des résidus de nitrofuranes trouvés dans des lots importés d’Ukraine.

    UNE EXPLOSION DES IMPORTATIONS

    Depuis le début de la guerre en Ukraine, les chiffres d’œufs importés donnent le vertige: l’an dernier, 75 tonnes d’œufs ukrainiens ont passé les frontières, soit dix fois plus qu’en 2022. Et sur les quatre premiers mois de l’année, selon les données Eurostat, les importations ont progressé de 68%.

    Lors de sa conférence de presse de rentrée, mardi 3 septembre, le président de la FNSEA Arnaud Rousseau rappelait que l’élevage français de poules pondeuses n’est pas un élevage industriel et que la priorité doit être donnée à la souveraineté alimentaire. Depuis le Salon de l’Agriculture, il attend un "discours clair sur la souveraineté" que lui a promis le président de la République…

    ATTENTION ON CACHE BIEN SOUVENT LA PROVENANCE D’UN PRODUIT ALIMENTAIRE EN SIGNALANT: PRODUIT TRANSFORME EN FRANCE

    La liste des codes barres internationaux. Je sais bien que nous avons ouvert nos frontières à la communauté européenne, mais notre choix de consommateurs est de connaitre la provenance de la matière première du produit et non pas le pays de transformation.

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  • La terrine de volaille maison

    Pour 8 personnes:

    1kg de volaille en escalopes très fines; 1kg de chair à saucisse de Toulouse

    200g de lardons de cansalade (jamais fumée!!!)

    1 oignon jaune, 1 œuf

    5cl d'Armagnac + 3cl (pour arroser)

    Sel, poivre, thym et laurier, 1 branche de persil

    Dans un saladier, mélangez: la chair à saucisse, l'oignon préalablement râpé, un œuf, et le persil haché. Versez les 5cl de Cognac. Salez et poivrez. Bien mélanger.

    Dans un plat à terrine, mettez une couche de chair, une couche d'escalopes, une couche de lard. Répétez l'opération.

    Versez le reste du Cognac, les 3cl.

    Posez délicatement sur la terrine le laurier et le thym. Couvrez le plat et mettre au four pendant 1h30, à thermostat 6/7 (200°C).

  • Madame la Ministre: notre École est en péril

    Ces derniers mois une vaste enquête intitulée La Grande Enquête sur l’École. 13 379 répondants, citoyens engagés, parents concernés, enseignants ou simples observateurs, ont livré leur jugement.

    Et ce jugement est sans appel.

        80,3% considèrent que le niveau en lecture, écriture et mathématiques est insuffisant.

        91,7% réclament un retour massif aux savoirs fondamentaux.

        92,9% estiment que les sanctions à l’égard des élèves perturbateurs ne sont pas assez sévères.

        72,1% jugent que les enfants ne sont pas en sécurité à l’école.

        76,5% dénoncent l’insuffisance de la prévention et du traitement du harcèlement scolaire.

        75,7% considèrent que l’école oriente idéologiquement les élèves.

        86,6% souhaitent une orientation possible en voie professionnelle dès la 4e.

        76,5% rejettent la réforme du lycée, notamment la suppression des filières.

        72,7% sont favorables aux classes de niveau au collège.

        Et 91% ne sont pas satisfaits du niveau actuel du baccalauréat, qu’ils jugent dévalorisé.

     

    Madame la Ministre, ces résultats traduisent un désaveu populaire massif, mais aussi un appel au courage. Ce que demandent les Français, ce n’est pas un énième "ajustement" bureaucratique, mais un changement de cap total:

    ■ Le retour de l’autorité dans les classes,

    ■ La restauration de la transmission du savoir,

    ■ L’affirmation d’un cadre national exigeant,

    ■ Et la réhabilitation de notre héritage culturel et de la méritocratie républicaine.

    C'est le même constat sur l’école depuis trente ans.

    AUJOURD’HUI, 75.000 PARENTS, CONFIRMENT LEURS INQUIETUDES.

    Les résultats de l’enquête PISA 2022 l’ont démontré:

    nos élèves régressent, en mathématiques comme en compréhension écrite. La France se retrouve désormais en queue de peloton des pays de l’OCDE, alors même qu’elle consacre chaque année un budget plus important que l’écrasante majorité d’entre eux à son système éducatif.

    Les analyses nationales ne sont pas plus rassurantes. La Cour des comptes, dans son rapport de 2025, dénonce l’inefficacité de notre système et un niveau scolaire "inacceptable".

    Il est des constats que l’on ne peut plus éluder, des chiffres que l’on ne peut plus dissimuler, et des réalités que des millions de familles vivent dans la douleur.

    L’École française, autrefois fierté nationale, s’est effondrée sous nos yeux.

    Vous êtes en poste depuis désormais huit mois, et rien ne change. Vous êtes aujourd’hui responsable d’un ministère dont dépend l’avenir de notre pays.

    Il vous appartient de trancher: persister dans l’aveuglement ou choisir la refondation.

    Madame la Ministre, les Français vous appellent solennellement à entendre leurs voix, à prendre acte de l’état de délabrement de notre École, et à engager sans délai les réformes que la nation attend.

    L’heure n’est plus aux demi-mesures.

    L’avenir de la France passe par la reconquête de son École.

    ARTICLE ECRIT APRES LECTURE DE:

     

    ANNEXE – RÉSULTATS DE" LA GRANDE ENQUÊTE SUR L’ÉCOLE"

    Enquête menée par Reconquête! et le réseau des Parents Vigilants

    13 379 répondants – 2025

    Dans le cadre de ses travaux sur l’avenir de l’école, le mouvement Reconquête a lancé une consultation nationale inédite entre septembre 2024 et mai 2025. L’objectif était clair: redonner la parole aux Français sur l’état de l’Éducation nationale et recueillir leurs attentes concrètes. Les résultats de cette enquête révèlent une inquiétude massive et une volonté partagée de changement radical.

    ⊲ DES SAVOIRS FONDAMENTAUX EN RECUL

    ■ 80,3% des personnes interrogées jugent que le niveau enseigné en mathématiques, lecture et écriture est insuffisant.

    ■ 91,7% souhaitent que davantage de temps soit consacré aux savoirs fondamentaux à l’école primaire.

    ⊲ UN CLIMAT SCOLAIRE PREOCCUPANT

    ■ 72,1% estiment que les enfants ne sont pas en sécurité à l’école.

    ■ 76,5% considèrent que la prévention et le traitement du harcèlement scolaire sont insuffisants.

    ■ 92,9% jugent que les sanctions contre les élèves perturbateurs ne sont pas assez sévères.

    ⊲ UNE ECOLE ACCUSEE DE DERIVES IDEOLOGIQUES

    ■ 75,7% estiment que l’école oriente idéologiquement les élèves, au détriment de la neutralité et de l’objectivité.

    ⊲ UN SYSTEME D’ORIENTATION CRITIQUE

    ■ 86,6% des répondants souhaitent que l’orientation vers les filières professionnelles soit possible dès la classe de 4e.

    ■ 76,5% ne sont pas satisfaits de la réforme du lycée (disparition des filières, système de spécialités).

    ■ 72,7% se déclarent favorables aux classes de niveau au collège.

    ⊲ LE BACCALAUREAT, SYMBOLE D’UN DECLASSEMENT

    ■ 91% des répondants ne sont pas satisfaits du niveau actuel du baccalauréat, jugé dévalorisé et déconnecté des exigences réelles.

    CONCLUSION

    Cette enquête révèle un diagnostic sans appel:

    Les Français sont lucides sur l’effondrement de l’école et réclament un retour à l’exigence, à l’autorité et à la transmission.