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  • Mon millas préféré

    J'achète mon millas chez “Pilou“, le meilleur boucher du Nord de Toulouse. Si vous passez dans le coin, allez le voir: toutes ses viandes sont de très haut niveau et de plus, beaucoup moins chères qu'au Géant Casino de Fenouillet. Adresse? à Gagnac sur Garonne. Mais, attention, il faut faire une sacrée queue dans la boutique...

    Son millas, c'est une anthologie gustative. Il est juste parfumé avec un arrière petit-goût d'alcool. Comme je n'ai pas le palais goûteur (sauf pour le cassoulet!) je dirais qu'il est arrosé d'Armagnac. Il se présente en plaquette et vous commandez la largeur qu'il vous faut. Comme à la fin d'un bon repas il peut être bourratif, la plaquette que j'ai achetée, je l'ai coupée en deux puis encore en deux; cela nous a fait deux délectables desserts.

    Le premier “passage“ à clôt mon confit aux lentilles (confit qui vient de chez Pilou, of course comme disent les angliches) et l'autre, c'était hier soir, un mignon de porc (de chez Pilou, bien évidemment, hé, vous suivez ce que je raconte?) grillé avec des pommes sarladaises que j'ai faites sauter à la graisse de canard, of course et bis répétita.

    Hier soir, dans une poêle inox que j'utilise uniquement pour mon millas, j'ai fais fondre 40 g de beurre et j'ai saupoudré ce dernier de sucre cassonade, chauffer à feu moyen.

    J'y ai déposé mes deux plaquettes de millas en saupoudrant également de cassonade, j'ai fait rôtir 3 mn de chaque côté en arrosant du beurre fondu sur chaque pavé; puis, avant d'éteindre, j'ai arrosé d'un demi-verre de crème fraîche liquide (à la bisto de naz“ comme on dit à Toulouse. J'ai remonté le feu et quand la crème à bouillu, j'ai arrêté tout et servi sur assiette chaude. Déposé en premier chaque morceau de millas que j'ai arrosé de la sauce crémeuse.

    Je me suis retenue de parsemer de copeaux de chocolat à 81% dont la plaquette me faisait de l'œil sur la table. En effet, tous les soirs, vers les 8h30, nous dégustons un carré de ce chocolat (il vient de chez Lidl et il est soyeusement délectable!). C'est pour tous les bienfaits du chocolat très noir: j'en ai mis des tas de notes ici; à trouver avec la boîte à outils "recherche".

    Mais, bon, comme j'ai décidé d'entamer mon super régime “calorie-base“ à partir de la première semaine de janvier, quand j'aurais finis les restes de fin d'année, je me prépare mentalement à faire “moins“.

    Ce régime que j'ai inventé il y a plus de dix ans, nous a fait perdre respectivement 21,5 kg à ma fille et 19 à moi-même en quatre mois, tous en allant au restaurant deux fois par semaine et en mangeant notre folie habituelle: des glaces à la chantilly.

    Quand je me décide à faire ce régime convenablement, je perds rapidement 6 à 8 kilos. C'est ainsi qu'il y a deux ans, sans me casser la tête et en ne le faisant qu'une partie de la journée, j'ai perdu 10 kg en 8 mois.

    J'avais déjà mis ce régime en notes sur d'autres blogs: il a fait le tour du net et, bien sûr, personne ne sait que c'est moi qui l'ai inventé… cependant, il fonctionne bien. En fait, ce n'est pas un régime... une façon de manger.

    Sauf, qu'il vaut mieux être en vacances quand on le fait.

    Ou être sédentaire comme moi.

     

  • Gâteau d'hiver aux pruneaux et potiron

    Ingrédients (pour 6/8 personnes)

    1 kg de potiron; 6 cuillères à soupe de Maïzena; 1 cuillère à soupe de farine de froment ou de maïs; 2 v erres de lait; 1 verre de crème fraîche liquide

    3 œufs; 120 g de sucre; 30 g de beurre fondu, 3 cuillères à soupe de rhum

    Vanille en bâton ou autre; 1 grosse pomme et 12 pruneaux d'Agen dénoyautés

    Préchauffez le four à Th 7 pendant 15 mn.

    Faites cuire le potiron 10 mn à la cocotte minute coupé en cubes. Mélangez farine + lait + crème fraîche. Battre les 3 œufs et les ajouter à la préparation avec le sucre, le beurre fondu, le rhum (ou Armagnac) et la vanille.

    Pelez la pomme et la couper en fine lamelles. Mélanger le tout avec les pommes et les pruneaux.

    Beurrez et farinez un plat à tarte (en terre si possible) et versez la pâte.

    Mettre au four et cuire environ 45 à 60 mn.

    Peut se manger tiède ou froid. 

  • Légumineuses: pourquoi et comment en manger

    Peu coûteux, nourrissants, bons pour la santé, les légumes secs. Les légumineuses sont les plantes de la famille des Leguminosae ou fabacées. Elles sont en général cultivées pour leurs graines.

    En nutrition et en alimentation, les légumineuses sont les fèves et graines de soja, les haricots blancs (lingot, mogette), rouges (azuki), mungo, pinto; les lentilles brunes, vertes, vertes du Puy, blondes ou corail ; le lupin et les pois (cajan, cassés, chiches, secs). En botanique, entrent dans cette famille les flageolets, les petits pois et les haricots verts qui sont souvent considérés à tort comme des légumes.

    Pourquoi consommer des légumineuses

    Elles sont riches en protéines

    Les légumineuses constituent une excellente source de protéines: 100 g de légumineuses apportent autant de protéines que 100 g de viande, de poisson ou d’abats  sans apporter de graisses saturées.

    Mais, ces protéines ne sont pas toujours idéalement équilibrées puisqu’elles manquent souvent d’acides aminés soufrés comme la méthionine. C’est la raison pour laquelle, afin de se procurer des protéines végétales de bonne qualité, les végétariens les associent aux céréales, qui, elles, contiennent ces acides aminés, comme on le fait dans d’autres cultures (haricots et maïs en Amérique centrale et Amérique du Sud, couscous/pois chiches en Afrique du Nord). Malgré tout, le soja renferme 25 % de protéines plutôt bien équilibrées et il faut rappeler que les légumes verts à feuilles apportent des protéines d’excellente qualité.

    Elles regorgent de minéraux et vitamines

    Toutefois, la densité nutritionnelle des légumineuses ne se résume pas seulement à leur forte teneur en protéines puisque par définition, les légumineuses sont des graines dans lesquelles les éléments de réserve de la future plante ont été concentrés. On retrouve donc en quantité appréciable des vitamines du groupe B, des minéraux comme le magnésium (30 à 50 mg pour 100 g) ou encore le fer (2 à 3 mg pour 100 g). Ce dernier est moins absorbé que le fer des aliments d’origine animale, mais il est un peu mieux assimilé que celui des céréales complètes.

    Les légumineuses sont aussi les championnes du potassium. La teneur en potassium des légumes secs est supérieure à celle des fruits et des légumes. Tout comme les fruits secs, 100 g de légumes secs apportent environ 1 g de potassium, un minéral dont presque tout le monde manque.

    Elles aident à faire le plein de fibres

    Les légumineuses sont riches en fibres (jusqu’à 25 % de leur poids), plus ou moins solubles (cellulose, hémicellulose, pectines), intéressantes dans la prévention de la constipation mais également pour la régulation du taux de sucre sanguin.

    Elles ne contiennent pas de gluten

    Si vous présentez une intolérance au gluten (maladie coeliaque) ou une sensibilité au gluten, les légumineuses sont des alliées de choix pour remplacer les céréales, en flocons, en farine ou entières.

    Tout n'est pas bon dans le légume sec

    Les légumes secs contiennent des facteurs antinutritionnels qui font partie de l’arsenal de défense de la plante contre les insectes et les parasites. Ainsi, les légumes secs renferment-ils des inhibiteurs de protéases qui neutralisent les enzymes chargées de dégrader les protéines de l’alimentation.

    Ils peuvent aussi contenir des lectines qui réduisent les capacités digestives et entraînent des troubles gastro-intestinaux (diarrhées, nausées), voire selon des chercheurs, inflammation et auto-immunité (lire plus loin). Leurs tanins réduisent la disponibilité des protéines et inhibent certains systèmes enzymatiques. Les phytates limitent l’absorption de fer, calcium, manganèse, cuivre et zinc. Inhibiteurs de protéases et lectines sont en grande partie éliminés à la chaleur.

    Malgré tout, ces facteurs antinutritionnels pourraient posséder des propriétés bénéfiques. Les inhibiteurs de protéases et les phytates pourraient protéger de certains cancers, tandis que les tanins font partie d’une classe d’antioxydants qui s’opposent aux radicaux libres.

    Elles ont un index glycémique (IG) bas

    Contrairement à une idée reçue, les légumes secs n’augmentent pas sensiblement le taux de sucre sanguin. Dans les légumes secs, l’amidon est le principal responsable de l’élévation du taux de sucre dans le sang. Mais, l’amidon des légumineuses est surtout présent sous forme d’amylose, une forme que le corps digère lentement. Les légumineuses ont donc un index glycémique bas.

    De plus, une part non négligeable de l’amidon (20 %) n’est pas du tout digestible. Ainsi, les glucides des légumes secs sont absorbés lentement: la montée de la glycémie est lente, étalée dans le temps, d’autant que les fibres solubles freinent l’augmentation du taux de glucose dans le sang.

    Comment les consommer ?

    Conseils et astuces

    Ajoutez-les à vos salades (pois chiches, haricots verts, haricots rouges), à vos soupes. Utilisez-les en accompagnement des plats principaux.

    Vous pouvez les mixer comme on le fait des pois chiches en Orient pour obtenir du houmos, ou simplement des purées de haricots verts ou de lentilles.

    N’hésitez pas à avoir recours aux légumineuses en boîte, en bocal ou en Doypack. Elles vous permettront de varier les plaisirs sans passer des heures devant vos fourneaux.

    Si vous consommez pas, ou peu, de viande, accompagnez-les de céréales (pâtes, riz) pour avoir un apport en protéines végétales équilibré. En ce qui concerne les cassoulets et les petits salés en boîte, attention, ils sont très salés et contiennent souvent de la viande de mauvaise qualité.

    C'est pour cela qu'on doit se cuire soi-même son cassoulet! En boîte? mais quelle profonde horreur!

    L'idéal est d'en consommer une à deux fois par semaine minimum.

    Précautions

    Certains chercheurs comme le Pr Loren Cordain (université du Colorado), un pionnier du régime paléo, mettent en garde contre le rôle que pourraient jouer les lectines dans le déclenchement ou le développement de maladies auto-immunes telles la polyarthrite rhumatoïde et la sclérose en plaques. Selon eux, les lectines de certains aliments (légumineuses: soja, cacahuètes - mais aussi blé ou tomates) favorisent le passage de fragments de protéines à travers la barrière intestinale, en s'attachant à un récepteur particulier (EGF) à la manière d'un cheval de Troie. Ces fragments de protéines (de lait, de céréales) peuvent ensuite déclencher ou exacerber de l'auto-immunité. Cette mise en garde est surtout basée sur des travaux expérimentaux. Les études d'observation n'ont jusqu'ici pas trouvé que les personnes qui consomment beaucoup de soja, pour prendre cet exemple, ont un risque plus élevé de maladie auto-immune. Néanmoins, en Amérique du Nord, certaines associations de malades atteints de sclérose en plaques déconseillent par prudence légumes secs, blé et tomates.

    Astuces pour améliorer leur digestibilité

    Les faire tremper une nuit pour ramollir la coque et amorcer la germination. Les faire cuire ensuite à petit feu, à l’étouffée ou à la vapeur douce (la cuisson est plus rapide).

    Pour diminuer les gaz (fermentation liée aux sucres prisonniers dans l’enveloppe), vous pouvez les broyer (soupe), les faire tremper et, mieux, les faire germer.

    Le mieux est de faire cuire avec de la sauge ou du romarin.

    Le trempage (jeter l’eau ensuite) et mieux encore la germination améliorent aussi l’absorption du calcium et magnésium ainsi que le taux de vitamines

     

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    Mon cassoulet!

     

  • Très, très bon à savoir pour une vaisselle à la main économique et très propre...

    Comment faire une vaisselle à la main hyper économique

    Je suis stupéfaite de voir qu'aucune aide à la personne n'est capable de faire une vaisselle dans les règles de l'art économique! je n'arrive pas à croire que ce simple geste du quotidien est devenue une aberration totale de dépenses d'eau et de produit vaisselle...

    Bon sang, mais c'est si compliqué que cela de comprendre que mettre son liquide vaisselle sur l'éponge et faire couler advertam aeternam le robinet cela dépense autant qu'une baignoire pleine?

    Je n'ai pas de lave vaisselle.... nous ne sommes pas nombreux à table....

    mais, cela veut dire quoi? de faire une petite vaisselle dans le lave-vaisselle?

    Non, ce n'est pas économique!

    Si vous suivez mes indications en bas de page vous saurez que vous économiserez énormément d'eau avec une bassine d'eau savonneuse et pas du tout du liquide à vaisselle dans un bol!!!!

    Quant à ceux qui utilisent un lave-vaisselle pour deux ou trois assiettes: comment lavez-vous vos casseroles, votre plat à four, votre poêle en fer, votre lèche-fritte du four?

    Si vous faites comme j'imagine, non, non, ne m'invitez pas à manger chez vous!!!....

    J'ai un four pyrolyse  neuf depuis deux ans et demi: je n'ai pas utilisé la pyrolyse une seule fois et mon four est hyper propre!

     

    Pour ceux et celles que cela intéresse, voici une recette de fabrication de son produit vaisselle

    Pour 1 L. de produit

    1 savon de Marseille / Alep (sans huile de palme) – 100 g.*

    entre 0.8 et 1 L. d’eau

    2 C. à soupe de vinaigre blanc

    2 C. à soupe de cristaux de soude – à ne pas confondre avec la soude caustique vous risquez de vous brûler gravement (ou, à défaut, de produit vaisselle biologique)*

    Une vingtaine de gouttes d’huiles essentielles, au choix: teatree, citron, eucalyptus, thym, orange…

    (optionnel) 1 C. à soupe de lécithine de soja ou tournesol *

    Attention!

    Pas de savon glycériné (faut de quoi, vous aurez un dépôt gras sur votre vaisselle). Vous pouvez utiliser également du savon noir, pour un résultat plus liquide, mais veillez à mettre moins d’eau au préalable, le savon noir n’ayant pas les propriétés solides du savon d’Alep ou de Marseille.

    Si l’eau de votre région est particulièrement calcaire, mettez davantage de vinaigre dans la recette ou bien ajoutez un peu de vinaigre dans votre eau de rinçage.

    La lécithine est optionnelle, mais elle permet d’éviter que le produit biphase (séparation de la phase aqueuse et de la phase solide), ce qui arrive parfois selon les ingrédients utilisés. A défaut de lécithine, si votre produit se sépare, il suffit soit de repasser un petit coup de mixer, soit de bien secouer la bouteille avant de l’utiliser. Dans tous les cas, cela n’entraîne pas de perte de qualité du produit.

    Râpez votre savon (étape non nécessaire si vous utilisez du savon noir) :

    1. Mettez-le dans une casserole, couvrez-le d’eau et faites-le fondre à feu doux-moyen, en touillant très régulièrement, jusqu’à obtenir un mélange homogène :
    2. Ôtez la casserole du feu et ajoutez ensuite, en mélangeant à chaque fois, les autres ingrédients. D’abord, le vinaigre blanc :
    3. Puis la soude en cristaux :
    4. Et enfin, les huiles essentielles (10 teatree, 10 citron, 5 eucalyptus chez moi) :
    5. Mélangez bien le tout et mettez en bouteille une fois le mélange stable :

    Se conserve extrêmement bien malgré l’absence de conservateurs de synthèse, mais libre à vous de diviser les doses par deux pour un premier essai. Ce produit maison est un excellent dégraissant et un formidable anti-bactérien (au potentiel boosté selon les huiles essentielles utilisées).

    Avis aux non-initiés: ce produit vaisselle mousse moins qu’un produit classique du commerce. Je sais, psychologiquement, c’est dur, mais ça ne change pas grand chose à son efficacité.

    Ce ‘produit vaisselle maison n’est également pas un ‘liquide’ vaisselle: sa consistance est davantage proche d’une crème dense, parfois solide selon le savon utilisé, ce qui en fait un produit plus concentré que ses compagnons du commerce. Libre à vous de le diluer davantage pour en faire un ‘liquide’ vaisselle, quitte à perdre un peu de son pouvoir dégraissant.

    Dans ce cas, pour un résultat plus facile à utiliser, mettez-le en pot à large couvercle plutôt que dans un flacon à bec verseur et prélevez à chaque utilisation un peu de produit à l’aide de l’éponge ou d’une spatule.

    Maintenant: comment faire une vaisselle à la main économique

    Pour obtenir la sacro-sainte mousse et faire des économies de produit et d'eau ne faites pas comme une majorité de Français incultes et mal éduqués par leur mère, à savoir : verser le produit à même les assiettes et couverts sales, robinet grand ouvert pendant toute la vaisselle.

    Saviez-vous que, de la sorte, le débit est d’environ 15 L. d’eau par minute? En 15 minutes, vous aurez utilisé 225 L. d’eau. Au prix ou elle coûte….

    Le mieux est de prévoir deux bacs différents (ou une bassine) Dans le premier, vous aurez rempli d’eau au préalable et  versé le liquide vaisselle. En ayant prévu une eau assez chaude qui dégraisse bien pour commencer et faciliter votre nettoyage à l'éponge. De plus, cela mousse bien. Il faut très peu de ces produits vaisselle qui sont hyper-concentrés.

    Si, lorsque vous videz la bassine à la fin de votre travail il y a trop de mousse à faire partir, surtout ne faites pas couler l'eau des heures: prenez du savon de Marseille, lavez-vous les mains au-dessus de la mousse; cette dernière va disparaître en un clair d’œil.

    Vous avez auparavant déposé dans votre bac, ou mieux une bassine: les assiettes, les couverts et les verres. Les autres ustensiles à laver sont en attente sur le côté de la bassine.

    Lavez d'abord les verres et posez-les dans l'autre bac: robinet d'eau claire fermé pour commencer.

    Lavez soigneusement les couverts et non pas en les passant de l'eau savonneuse à l'eau claire: il peut rester de la nourriture entre les dents des fourchettes par exemple. Posez les couverts dans le bac, toujours robinet fermé.

    Lavez ensuite les assiettes avec l'éponge et passez-les dans le bac de rinçage: alors, là, maintenant seulement ouvrez le robinet d'eau claire courante pour rincer rapidement les pièces de vaisselle déjà lavées.

    Trempez ensuite et au fur et à mesure toutes les autres pièces de la vaisselle en procédant de la même façon: on ne rince jamais à l'eau claire que plusieurs pièces. Pendant que vous tournez et retournez par exemple un bol sous l'eau claire, l'eau qui continue de couler va faire un pré-rinçage des autres pièces du bac.

    Rincez votre vaisselle à l'eau un peu chaude: elle sèchera plus vite et finira de dégraisser.

    Si vous ne lavez pas votre vaisselle immédiatement, plongez-là dans suffisamment d'eau pour éviter que les aliments ne sèchent et soit difficiles à ôter ensuite. De plus, les odeurs de cuisine seront amorties.

    Pour faciliter le nettoyage des plats ou casseroles, vous pouvez verser une cuillerée à café de bicarbonate de soude dans l'eau de trempage. Ce n'est pas mal non plus pour les plaques du four.

    Si votre porcelaine blanche est jaunie, prévoyez, après lavage, un trempage dans de l'eau javellisée pendant une à deux heures puis faites un bon rinçage pour éliminer la Javel.

     

     

     

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