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  • Ne pas mettre au frigo

    Au fil du temps, et avec un peu de jugeote, on comprends

    Ne jamais mettre le basilic dans votre réfrigérateur

    Conservez le basilic sur le comptoir

    Lorsque cette plante tropicale est conservée sous les 4 degrés Celsius, la température moyenne d’un réfrigérateur, elle devient noire plus rapidement. Il est donc préférable de conserver le basilic sur le comptoir de la cuisine, à un endroit sombre, en mettant les tiges de la plante dans l’eau. Pour une conservation maximale, placez un sac de plastique sur les feuilles pour lui permettre de respirer et de demeurer humide.

    Les fines herbes ne servent pas qu’à embellir vos plats. Découvrez leurs propriétés bienfaitrices.

    Ne jamais mettre les pommes de terre au réfrigérateur.

    Conservez les pommes de terre dans votre garde-manger

    Les températures fraiches transforment les pommes de terre en sucre. Il en résulte une texture granuleuse et une saveur différente. Pour conserver les pommes de terre plus longtemps, la température idéale est de 7 ou 8 degrés Celsius.

    Conservez-les dans un sac en papier dans un endroit frais comme le garde-manger. Évitez le contact direct avec le soleil. Ses rayons directs favoriseraient la production de chlorophylle, ce qui risque de faire verdir les pommes de terre et les rendre amères.

    Ne pas conserver les oignons au réfrigérateur.

    Ces légumes ont besoin d’une circulation d’air pour rester frais. Conservez-les donc entiers dans un sac en papier troué dans le garde-manger. Essayez de les tenir loin des pommes de terre. Les oignons produisent en effet du gaz et de l’humidité qui pourrait faire pourrir les pommes de terre. Lorsque l’oignon est coupé, conservez-le au réfrigérateur.

    Ne pas mettre les tomates dans le frigo.

    Les tomates à la température pièce

    L’air frais modifie la circulation de l’air à travers la peau des tomates. Les attributs qui contribuent à leur fournir sa saveur douce et sucrée sont donc ralentis, laissant la place à l’amertume. Laissez donc les tomates entières sur le comptoir pour en conserver toute la fraicheur.

    Ne mettez pas au réfrigérateur votre café.

    L’humidité dans votre réfrigérateur détériore les fèves, ce qui signifie que vous n’obtiendrez pas le bon goût frais et intense – tant attendu! – de votre café du matin. De plus, la température de votre réfrigérateur fluctue chaque fois que vous ouvrez la porte, ce qui crée de la condensation et donc encore plus d’humidité.

    Rangez plutôt vos grains de café dans un contenant hermétique dans le garde-manger.

    Ne rangez pas au réfrigérateur l'ail.

    Les gousses d’ail se conservent mieux entre 15º et 18º C.

    Placez vos bulbes dans un contenant ventilé laissant passer l’humidité et rangez-les dans un endroit frais.

    Le réfrigérateur n'est pas le meilleur endroit pour la sauce piquante.

    Le vinaigre et les conservateurs dans la sauce piquante l’empêcheront de se gâter dans le garde-manger.

    Dans le réfrigérateur, les poivrons épicés risquent de perdre un peu de leur piquant.

    Le réfrigérateur risque de cristalliser le sucre du miel.

    Ce produit onctueux et sucré ne devrait pas aller au frigo. On sait en effet que le miel se fige et cristallise dans le froid. La température ambiante est idéale pour ce produit.

     

     

  • A bas Halloween

    Contre Halloween

    Saint-Raphaël (France): chasse aux sorcières d’ Halloween

    Article de Var Matin malgré son ton ironique pour l'information qu'il contient contre Halloween

    Défiant squelettes, sorcières et vilains fantômes, de jeunes paroissiens, conduits par le père Marc Aillet partent en "croisade" contre Halloween

    Halloween a aussi ses détracteurs. Dont le père Marc Aillet, curé de Saint-Raphaël, qui compte rallier à sa croisade, "contre ce défilé macabre de squelettes, de sorcières et de fantômes", bon nombre de jeunes paroissiens, demain mercredi (14 heures) devant l'église Notre-Dame de la Victoire.

    "Souhaitant marquer leur différence, explique le prêtre, à l'heure où tout le monde fête Halloween à grands frais et tapage publicitaire, les paroisses de Saint-Raphaël lancent une campagne de sensibilisation sur la vraie signification de cette fête religieuse et sur ses enjeux".

    Un tract d'information rappelant "les quatre vérités" sur Halloween a été abondamment distribué. Et tous les enfants sont invités au grand rassemblement festif de ce 25 Octobre contre Halloween. On y distribuera des foulards aux couleurs joyeuses, des autocollants de la Toussaint et des bonbons aux passants. Et on y participera, en outre, à un concours récompensé par une promenade en... Ferrari et en calèche !

    S'interrogeant "sur les véritables bénéficiaires de l'opération Halloween, qui excite la propension à la laideur, la vulgarité et le côté démon des enfants", Don Marc voudra ainsi rendre son sens social à la Toussaint, "que notre République laïque a conservée comme jour de fête à son calendrier".

    Halloween et Inculture

    Plus incisif et polémique, il argumente: "Comme l'a affirmé Mgr Hippolyte Simon, évêque de Clermont-Ferrant, les Français, dans leur majorité, ne savent plus reconnaître aujourd'hui le sens religieux de ces rites, qu'ils prennent simplement pour du folklore". En regrettant encore "qu'au nom de la laïcité, alors qu'on n'imagine pas qu'une institutrice conduise sa classe dans une église pour lui faire découvrir un vitrail relatif à la Toussaint, de nombreuses écoles se sont mises à fêter Halloween".

    "Le pasteur Jean-Arnold de Clermont, président de la Fédération protestante de France, renchérit en disant: je ne pense pas que les enseignants aient l'intention de développer le paganisme, mais je les soupçonne d'inculture: ce qui est aussi grave".

    Dans un monde qu'il estime désenchanté et une société qu'il juge dépressive, le curé de Saint-Raphaël conclut: "Les enfants ont davantage besoin de la beauté, de l'espérance que donne cette foule immense des saints qui nous ont précédés dans la lumière et la joie de la Vie éternelle dont seul le Christ ressuscité, vainqueur de la mort, peut nous libérer".

    J.-G. M.

    Var Matin

    Mardi 24 Octobre 2000

    Source:

    http://www.info-sectes.org/haloween/croisade.htm

  • Uniquement des conserves de légumes en verre!

    Vous avez déjà remarqué que je vous signale chaque fois d'acheter des aliments en pots de verre. Voici pourquoi:

    Même si les aliments qu’elles contiennent sont sains le plus souvent, les boîtes de conserve pourraient rendre certains de ces aliments cancérigènes. Beaucoup de ces boîtes métalliques sont tapissées de bisphénol A.

    Cet agent de conservation s’est révélé cancérigène chez les animaux et on a extrapolé sur les humains sans peine. Puisque dans le doute, dit le proverbe…

    Le bisphénol A, aussi appelé BPA, est associé aux cancers du sein et de la prostate.

    Une récente étude de Environmental Defense Canada a analysé 200 boîtes d’aliments en conserve aux États-Unis et découvert que près des deux tiers de ces boîtes révélaient la présence de BPA.

    De même, le vernis qui est disposé sur l'acier est de fabrication chimique et il est plutôt dangereux.

    Faites vos propres bocaux de conserves ou achetez des bocaux en verre.

    Vous pouvez voir facilement à travers le verre les l'état des légumes. Préférez les légumes non cuisinés.

    Perso, je rince longuement les légumes en bocaux de verre; faites-le toujours même si certains toqués de la toque (chefs) disent de conserver le liquide de cuisson pour faire une sauce. Aberrant!

    Poêlée haricots verts, flageolets

    Par exemple, il m'arrive d'acheter des bocaux de  375 ml de haricots verts et de flageolets; je rince bien les légumes.

    Je met une cuillère de graisse de canard dans une poêle noire

    (bien culottée, depuis le temps que je l'ai, diamètre 28)

    et 50 à 80 g d'oignons en cubes que je fais bien roussir (STOP: en Occitanie, on fait bien brunir les oignons (je n'ai pas dis: charbonnés) car ils vont colorer le bouillon ou le plat, être moins forts que simplement fondus (vos jeunes enfants vous diront merci)

    Quand ils commencent à prendre des couleurs, rajouter 80 g de lardons de cansalade; sur feu moyen, en remuant toujours. Versez dans la poêle vos haricots verts et flageolets, un verre de bouillon maison et laisser cuire environ 10 mn à feu moyen, en surveillant le tout.

    Accompagnez de saucisse de Toulouse bien grillée, de côtes d'échine, (autrefois, à Toulouse, on les appelait: “baticol“) de poulet, steaks, etc.

    Avant de servir, saupoudrez de persil haché frais.

    Mettre quelques tiges courtes de persil dans un verre, et cisaillez avec des ciseaux à lames fines (propres, bien sûr). Perso, j'ai une paire de ciseau "lithographe" réservée à cela.

    Je possède également une balancelle mais je ne l'utilise que lorsque j'ai réussi à faire pousser du persil dans le jardin (je n'y arrive pas souvent!)

  • Les jeux traditionnels qui ont marqué l’histoire de l’Occitanie

    En Occitanie, perpétuer les traditions et être fier de l’histoire du pays comme de la région, c’est une priorité au quotidien pour tous les locaux. Sans aucun doute, ce qui fait en grande partie la popularité de l’Occitanie aujourd’hui, c’est son goût pour les fêtes et les célébrations en tout genre, comme l’illustrent bien le feu d’artifice et le bal des pompiers organisés à Montpellier le 14 juillet dernier. Au-delà des nombreux événements festifs organisés toute l’année, la région a une autre façon de s’imposer comme LA région française où il fait bon vivre : elle dispose de nombreux sports et jeux traditionnels qui permettent aux plus jeunes comme aux plus âgés de se divertir et de trouver un peu de légèreté dans un quotidien qui peut vite devenir oppressant. Oubliez le football, le basket et le poker (enfin pas complètement) et découvrez ce qui fait tout le charme du sud en matière de loisirs.

    La pétanque, un sport né dans le sud

    Le jeu de boules existe depuis très (très) longtemps. On estime ainsi que les civilisations égyptiennes, grecques, romaines et même gauloises se sont, chacune à leur tour, amusées avec des boules, qu’elles soient en argile, en bois ou encore en acier. C’est ensuite à la période de la Renaissance que les boules sont devenues un véritable jeu populaire, en séduisant le plus grand nombre avec ses règles requérant à la fois de la technique, de l’adresse et de la maîtrise de soi.

    Mais si la pétanque a aujourd’hui une place de choix dans le cœur de tous les Occitans, c’est surtout parce que le jeu de boules moderne serait né en 1908 sous l’impulsion d’un certain Jules Hugues dit "Lenoir", lors d’une partie jouée à La Ciotat. Selon la légende, ce dernier, ne pouvant plus s’adonner au jeu provençal (qui voyait les tireurs de boules faire trois pas de course avant de lancer leur projectile), décida de tracer un rond au sol tout en envoyant ce qui allait par la suite s’appeler le cochonnet à 5 ou 6 mètres de distance. Le but était ensuite de se rapprocher au maximum de ce cochonnet avec les boules, depuis le cercle dessiné, en position de "pieds tanqués" (pieds joints). Et comme ça, en un instant, ou presque, la pétanque était née.

    Coup de poker plus que gagnant pour ce passionné de boules qui voulait simplement trouver une manière de continuer à s’amuser avec son jeu préféré en le réinventant quelque peu ! En connaissant cette histoire, on comprend mieux l’amour des sudistes pour la pétanque et on comprend aussi mieux l’engouement autour du Mondial la Marseillaise à Pétanque, qui réunit plus de 10 000 amateurs de pétanque chaque année à Marseille.

    Le jeu de quilles de neuf, un sport qui se pratique dans le Sud-Ouest

    Tout comme pour la pétanque, il est difficile de déterminer quand est exactement né le jeu des quilles de neuf. Vraisemblablement apparu au cours du XVe siècle, ce jeu de quille a évolué au fil des siècles pour finalement exister réellement à partir de 1832, sous l’impulsion de M. Montestruc, un Chalossais du Tursan. À l’aube du XXe siècle, la première compétition de quilles de neuf a eu lieu à Dax, avec des participants venant de tout le Béarn, du sud des Landes ou encore du Gers et de la Bigorre. Depuis 1945, il existe même une Fédération française de quilles.

    Le principe de ce jeu est simple: alors que 9 quilles sont disposées en carré, il convient de lancer une boule sur les quilles énoncées dans la figure imposée au tireur afin de les faire tomber. Au total, pour remporter la partie, il faut réaliser une série de 12 figures de tir imposées. Autant vous dire que les joueurs sont occupés pour un bon moment lorsqu’ils se lancent dans une partie !

    Aujourd’hui, en France, quand on parle de jeu de cartes, on a tendance à penser au poker. Il faut dire que, actuellement on estime qu’il existerait plus de 3 millions de joueurs de poker dans l’Hexagone. Mais, qu’on se le dise, si, pour les Occitans, les parties de Texas Hold’em et d’Omaha Hi-Lo sont courantes, rien ne vaut une partie de bourre (ou Bourré en Occitan), un jeu de cartes d’origine occitane qui se joue avec 32 cartes. En fonction du département et des villes, plusieurs variantes existent.

    Pour jouer à la bourre, chaque joueur reçoit 5 cartes et mise dans un pot une somme définie à l’avance. En cela, on peut voir des points communs entre le poker et ce jeu typique du sud, avec des notions d’argent et de stratégie très présentes. Le but ici est de faire le plus de plis afin de gagner la cagnotte en jeu. Mais, souvent, la cagnotte est en réalité symbolique puisque nombreux sont ceux qui jouent avec des petites pièces. En somme, vous avez plus de chance de gagner gros en jouant au poker qu’à la bourre, jeu qui a beaucoup été pratiqué dans les tranchées lors de la Première Guerre Mondiale, selon les historiens.

    Toutes les régions françaises, ou presque, ont leur jeu traditionnel de balle ou de raquette. Dans le cas de l’Occitanie, c’est le jeu de balle au tambourin, déclinaison du jeu de paume, qui s’impose comme étant la grande référence incontournable. Créé dans l’Hérault au XIXe siècle, ce jeu oppose systématiquement deux équipes composées de 3 ou 5 personnes. Pour s’échanger la balle et marquer des points, les joueurs utilisent une raquette qui n’est autre qu’un tambourin.

    Au fil des siècles, le tambourin en question a beaucoup évolué: au départ constitué en peau de chèvre et en bois, il s’agit désormais la plupart du temps d’une toile synthétique fixée sur une armature de plastique. C’est au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale qu’il a été popularisé, grâce notamment à l’écrivain occitan Max Rouquette. Pratiqué à la fois par les plus petits et les plus grands, ce sport de raquette, connu au niveau international, peut se jouer aussi bien en intérieur qu’à l’extérieur.

    Les autres jeux à connaître

    Depuis la création de la région Occitanie, en 2015, qui regroupe désormais les régions "Midi-Pyrénées" et "Languedoc-Roussillon", le sud regroupe des terres proches sur le plan culturel mais très différentes à la fois. Dès lors, à l’instar du football et du rugby, très populaires dans le coin, il convient de signaler qu’il existe de nombreux jeux et sports traditionnels que nous n’avons pas eu l’occasion de vous présenter et qui font vibrer le grand public, comme la course landaise, la course camarguaise ou encore le pilou, la pelote basque et les jeux béarnais, qui sont spécifiques à certains coins de l’Occitanie. Pour les découvrir, rien de tel que de les tester directement.

     

    Source:

  • Faites du pop-corn comme un chef!

    Des idées précises pour bien réussir…. suite à mes expériences! Faites sauter vos grains dans une poêle: Mais, surveillez!

    On peut s’éloigner un instant d’un plat qui mijote, mais délaisser un maïs en train de souffler est très risqué. Il peut brûler facilement s’il n’est pas surveillé de près; Utilisez un couvercle vitré pour mieux superviser la cuisson.

    Commencez à feu élevé, que vous baisserez à moyen lorsque le maïs commencera à éclater. Ceci permettra d’obtenir une explosion finale de saveur.

    Il est très difficile de faire éclater tous les grains de maïs la première fois. Vous risquez plutôt de faire un dégât. Les vrais amateurs acceptent de sacrifier quelques grains pour le succès de l’ensemble.

    Tenter de faire sauter tous les grains à la fois sans appliquer la bonne méthode pourrait faire calciner ceux qui ont ouvert les premiers. Pour commencer, mettez peu de maïs à la fois et, ne pas mettre trop d’huile.

    On ne parle pas ici de calories, mais trop d’huile dans la poêle peut mener au désastre. Les grains de maïs qui en sont imbibés ne pourront pas gonfler correctement. En éclatant, ils risquent tout simplement de provoquer un dégât d’huile et de ramollir complètement.

    Le bon dosage d’huile est la clé du succès pour le popcorn. Versez-en juste assez pour couvrir le fond de la poêle, environ 30 ml (2 c. à soupe) par verre (pas trop rempli) de grains. Le popcorn donne une des collations les plus saines de presque tous les régimes alimentaires. Il est fait de grains entiers et déborde de fibres.

    Et on peut en prendre une grosse portion. L’huile de cuisson augmente le niveau de calories et de gras, mais est essentielle pour faire éclater les grains. La remplacer par de l’eau, comme disent certains site de “maigritude“ risque de calciner les grains et même de les empêcher d’éclater.

    Utilisez juste assez d’huile pour préparer les grains et partagez votre grosse portion avec quelqu’un d’autre (voir ci-dessus).

    Ayez la bonne huile: Le maïs éclate à haute température dans l’huile appropriée. Plutôt que de l’huile d’olive ou du beurre, qui ont tous deux des points de fumée bas et peuvent brûler, préférez les huiles de soja, de maïs, de pépins de raisin ou de tournesol.

    Elles peuvent tolérer de fortes chaleurs dans le micro-ondes ou sur le dessus de la cuisinière sans altérer les saveurs. Si vous aimez le goût du beurre, aspergez-en le maïs soufflé seulement lorsqu’il sera prêt.

    Une autre erreur que tout le monde fait en cuisant du popcorn: utiliser de vieux grains.

    Des grains pas frais, périmés ou tout simplement de mauvaise qualité ne donneront jamais un bon maïs soufflé. On peut trouver en ligne ou dans la plupart des supermarchés un vaste choix de bonnes marques. Mais attention, une fois ouvert, le paquet va rapidement se dégrader à l’air et à l’humidité ambiante.

    Conservez les grains restants dans un contenant scellé sous vide pour pouvoir les utiliser plus tard.

    Pensez à ne pas utiliser du sel trop gros.

    Le sel destiné au maïs soufflé n’est pas le même que le sel courant. Une erreur courante dans la préparation du popcorn maison est l’emploi d’un sel aux cristaux trop volumineux pour enrober les grains soufflés.

    Vous n’avez pas à acheter le sel spécial pour maïs soufflé. Broyez votre gros sel au mortier jusqu’à ce qu’il soit assez fin pour recouvrir les grains. C’est une méthode qui s’applique à toutes les sortes de sel, qu’il s’agisse de sel marin, cachère, rose ou fumé.

    Le goût naturel du maïs soufflé rappelle la noisette légèrement salée. Trop d’assaisonnements risquent d’effacer ce goût et d’ôter au popcorn ses bienfaits pour la santé.

    Rien n’altère autant la légèreté et la fraîcheur du maïs soufflé qu’un excès de sel, de beurre ou de tout autre assaisonnement. Le maïs soufflé de bonne qualité possède un goût délicat et une texture aérée. Les puristes n’ajouteront que des assaisonnements nuancés pour ne pas masquer ce goût naturel.

    Si vous n'utilisez pas de poêle, sachez que le bouton du micro-ondes n’est pas toujours fiable. Perso, je n'ai pas de micro-ondes mais, j'ai vu chez des personnes des tas de ratages: La durée programmée dépasse souvent celle qui est requise, ce qui produit des grains calcinés ou, pire encore, des flammes.

    Suivez plutôt le temps recommandé sur le paquet et faites la cuisson à l’oreille: votre maïs sera prêt lorsqu’il éclatera aux deux ou trois secondes.

    Vous risquez d’être déçu si vous laissez reposer trop longtemps votre maïs soufflé avant de l’assaisonner et de le manger. Question de température ambiante et/ou l’humidité je pense, nuisent au maïs fraîchement préparé. Mangez-le rapidement, car le popcorn parfait ne peut attendre!

    Donc les sachets tout prêts....

    Pour une saveur et une texture exceptionnelles, mangez-le immédiatement après la cuisson. Conservez sa chaleur en recouvrant son pot de verre d’une serviette épaisse. Et pas de plastique!

    Lorsque vous faites sauter votre maïs à la poêle, n’oubliez pas de le secouer sans arrêt. Si vous le laissez reposer sur la surface chaude de la poêle, il pourrait calciner. Et même si ce ne sont que quelques grains qui brûlent, leur fumée et leur odeur risquent de gâcher l’ensemble.

    Quand les grains commencent à éclater, secouez la poêle toutes les deux secondes, et augmentez la cadence en fonction de l’accélération des éclatements.

    Le popcorn assimile mieux les assaisonnements quand il est chaud, qu’à la température de la pièce. Une poêle chaude va cependant anéantir le goût. Les sels, les poudres et les autres assaisonnements vont se coller à l’huile du fond de la poêle au lieu de se répartir sur les grains.

    Donc, on assaisonne plutôt les grains -et vite- lorsqu’ils sont dans le saladier et secouez-les pour bien répartir les saveurs.

  • Ce Saint qui protège des épidémies...

    Roch de Montpellier, ce Saint qui protège des épidémies

    Alors que l’Europe est aujourd’hui au centre de l’épidémie de Coronavirus, Lengadoc Info a demandé à l’abbé Berthe du prieuré Saint-François-de-Sales de Fabrègues, de revenir sur la vie de saint Roch.

    C’est pendant la grande peste noire (1347 – 1352), qui décima un tiers de la population occidentale, que naquit, à Montpellier, saint Roch. Il est le fils d’un dignitaire de la ville, devenu premier consul en 1363 (Montpellier, rattaché à la couronne de France depuis 1349, est une république marchande). Désiré et longtemps attendu par ses parents, il fut baptisé au sanctuaire Notre-Dame des Tables et passa son enfance dans un milieu profondément chrétien. Il fit probablement ses études chez les pères dominicains, avant d’étudier à la très réputée université de médecine.

    Le pèlerinage pour Rome

    Orphelin à 17 ans, riche et instruit, il distribua sa fortune aux pauvres et rejoignit le tiers-ordre franciscain. Après avoir revêtu l’habit de pèlerin, il reçut la bénédiction de l’évêque de Maguelone et prit la route pour Rome. Il arriva à Acquapendente, à quelques jours de marche de la Ville éternelle, en juillet 1367. Il y resta trois mois, car la peste y sévissait. Il mit en pratique l’enseignement médical qu’il avait reçu et obtint de nombreuses guérisons par le simple signe de croix qu’il faisait sur les victimes.

    Ce n’est qu’au début de l’année 1368, qu’il arriva à Rome. Il s’occupa sans doute des malades à l’hôpital du Saint-Esprit, ordre fondé par son compatriote, Gui de Montpellier, avec le même succès, qu’à Acquapendente. Un prélat, guéri par ses soins ou témoin de guérisons miraculeuses, lui fit rencontrer le pape Urbain V, qui s’écria, en le voyant : « Il me semble que tu viens du Paradis » !

    Près de Plaisance, le chien de Roch

    Roch quitta Rome, en 1370, pour s’en retourner vers sa patrie. Au mois de juillet 1371, Il était à Plaisance, où il assista, guérit et réconforta les malades. Mais bientôt atteint par la peste, Roch se rendit péniblement jusqu’à un bois pour y mourir. A cet endroit, une source jaillit et un chien lui apporta chaque jour un pain. Ayant recouvré la santé il retourna à Plaisance, auprès des pestiférés, faisant preuve d’un courage et d’une charité exceptionnelle.

    La prison à Voghera

    Il reprit sa route, mais les terres milanaises étaient le théâtre d’une guerre, qui durera jusqu’en 1375. Pris pour un espion, Roch fut arrêté, et transféré à Voghera. Il pouvait certes être identifié, grâce à la marque en forme de croix qu’il avait depuis sa naissance sur sa poitrine, par son oncle, gouverneur de la ville. Mais, fidèle au vœu d’anonymat de tout pèlerin, Roch ne révéla pas son identité, et demanda à pouvoir reprendre son chemin, en tant qu’ « humble serviteur de Dieu ». Sa requête rejetée, il fut mis au cachot, et cela, durant cinq années. Selon la tradition, il ne dévoila son identité qu’à un prêtre, la veille de sa mort, survenue vraisemblablement le 16 août 1379. Des témoins assurèrent que le cachot s’illumina et que le dernier souhait de Roch, à l’ange venu l’assister, fut d’intercéder pour les gens en souffrance.

    Sa dépouille, gardée dans l’église de Voghera qui lui est toujours dédiée, a été plus tard transportée à Venise. La majeure partie de son corps est toujours à Venise en l’église de la Scuola Grande di San Rocco. Au XIXe siècle, un tibia fut remis solennellement au sanctuaire Saint-Roch de Montpellier, qui possède également son bâton de pèlerin. Honoré comme un saint, il est invoqué contre la peste et les maladies contagieuses.

    Abbé Berthe

    Source: