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  • Faites du pop-corn comme un chef!

    Des idées précises pour bien réussir…. suite à mes expériences! Faites sauter vos grains dans une poêle: Mais, surveillez!

    On peut s’éloigner un instant d’un plat qui mijote, mais délaisser un maïs en train de souffler est très risqué. Il peut brûler facilement s’il n’est pas surveillé de près; Utilisez un couvercle vitré pour mieux superviser la cuisson.

    Commencez à feu élevé, que vous baisserez à moyen lorsque le maïs commencera à éclater. Ceci permettra d’obtenir une explosion finale de saveur.

    Il est très difficile de faire éclater tous les grains de maïs la première fois. Vous risquez plutôt de faire un dégât. Les vrais amateurs acceptent de sacrifier quelques grains pour le succès de l’ensemble.

    Tenter de faire sauter tous les grains à la fois sans appliquer la bonne méthode pourrait faire calciner ceux qui ont ouvert les premiers. Pour commencer, mettez peu de maïs à la fois et, ne pas mettre trop d’huile.

    On ne parle pas ici de calories, mais trop d’huile dans la poêle peut mener au désastre. Les grains de maïs qui en sont imbibés ne pourront pas gonfler correctement. En éclatant, ils risquent tout simplement de provoquer un dégât d’huile et de ramollir complètement.

    Le bon dosage d’huile est la clé du succès pour le popcorn. Versez-en juste assez pour couvrir le fond de la poêle, environ 30 ml (2 c. à soupe) par verre (pas trop rempli) de grains. Le popcorn donne une des collations les plus saines de presque tous les régimes alimentaires. Il est fait de grains entiers et déborde de fibres.

    Et on peut en prendre une grosse portion. L’huile de cuisson augmente le niveau de calories et de gras, mais est essentielle pour faire éclater les grains. La remplacer par de l’eau, comme disent certains site de “maigritude“ risque de calciner les grains et même de les empêcher d’éclater.

    Utilisez juste assez d’huile pour préparer les grains et partagez votre grosse portion avec quelqu’un d’autre (voir ci-dessus).

    Ayez la bonne huile: Le maïs éclate à haute température dans l’huile appropriée. Plutôt que de l’huile d’olive ou du beurre, qui ont tous deux des points de fumée bas et peuvent brûler, préférez les huiles de soja, de maïs, de pépins de raisin ou de tournesol.

    Elles peuvent tolérer de fortes chaleurs dans le micro-ondes ou sur le dessus de la cuisinière sans altérer les saveurs. Si vous aimez le goût du beurre, aspergez-en le maïs soufflé seulement lorsqu’il sera prêt.

    Une autre erreur que tout le monde fait en cuisant du popcorn: utiliser de vieux grains.

    Des grains pas frais, périmés ou tout simplement de mauvaise qualité ne donneront jamais un bon maïs soufflé. On peut trouver en ligne ou dans la plupart des supermarchés un vaste choix de bonnes marques. Mais attention, une fois ouvert, le paquet va rapidement se dégrader à l’air et à l’humidité ambiante.

    Conservez les grains restants dans un contenant scellé sous vide pour pouvoir les utiliser plus tard.

    Pensez à ne pas utiliser du sel trop gros.

    Le sel destiné au maïs soufflé n’est pas le même que le sel courant. Une erreur courante dans la préparation du popcorn maison est l’emploi d’un sel aux cristaux trop volumineux pour enrober les grains soufflés.

    Vous n’avez pas à acheter le sel spécial pour maïs soufflé. Broyez votre gros sel au mortier jusqu’à ce qu’il soit assez fin pour recouvrir les grains. C’est une méthode qui s’applique à toutes les sortes de sel, qu’il s’agisse de sel marin, cachère, rose ou fumé.

    Le goût naturel du maïs soufflé rappelle la noisette légèrement salée. Trop d’assaisonnements risquent d’effacer ce goût et d’ôter au popcorn ses bienfaits pour la santé.

    Rien n’altère autant la légèreté et la fraîcheur du maïs soufflé qu’un excès de sel, de beurre ou de tout autre assaisonnement. Le maïs soufflé de bonne qualité possède un goût délicat et une texture aérée. Les puristes n’ajouteront que des assaisonnements nuancés pour ne pas masquer ce goût naturel.

    Si vous n'utilisez pas de poêle, sachez que le bouton du micro-ondes n’est pas toujours fiable. Perso, je n'ai pas de micro-ondes mais, j'ai vu chez des personnes des tas de ratages: La durée programmée dépasse souvent celle qui est requise, ce qui produit des grains calcinés ou, pire encore, des flammes.

    Suivez plutôt le temps recommandé sur le paquet et faites la cuisson à l’oreille: votre maïs sera prêt lorsqu’il éclatera aux deux ou trois secondes.

    Vous risquez d’être déçu si vous laissez reposer trop longtemps votre maïs soufflé avant de l’assaisonner et de le manger. Question de température ambiante et/ou l’humidité je pense, nuisent au maïs fraîchement préparé. Mangez-le rapidement, car le popcorn parfait ne peut attendre!

    Donc les sachets tout prêts....

    Pour une saveur et une texture exceptionnelles, mangez-le immédiatement après la cuisson. Conservez sa chaleur en recouvrant son pot de verre d’une serviette épaisse. Et pas de plastique!

    Lorsque vous faites sauter votre maïs à la poêle, n’oubliez pas de le secouer sans arrêt. Si vous le laissez reposer sur la surface chaude de la poêle, il pourrait calciner. Et même si ce ne sont que quelques grains qui brûlent, leur fumée et leur odeur risquent de gâcher l’ensemble.

    Quand les grains commencent à éclater, secouez la poêle toutes les deux secondes, et augmentez la cadence en fonction de l’accélération des éclatements.

    Le popcorn assimile mieux les assaisonnements quand il est chaud, qu’à la température de la pièce. Une poêle chaude va cependant anéantir le goût. Les sels, les poudres et les autres assaisonnements vont se coller à l’huile du fond de la poêle au lieu de se répartir sur les grains.

    Donc, on assaisonne plutôt les grains -et vite- lorsqu’ils sont dans le saladier et secouez-les pour bien répartir les saveurs.

  • Ce Saint qui protège des épidémies...

    Roch de Montpellier, ce Saint qui protège des épidémies

    Alors que l’Europe est aujourd’hui au centre de l’épidémie de Coronavirus, Lengadoc Info a demandé à l’abbé Berthe du prieuré Saint-François-de-Sales de Fabrègues, de revenir sur la vie de saint Roch.

    C’est pendant la grande peste noire (1347 – 1352), qui décima un tiers de la population occidentale, que naquit, à Montpellier, saint Roch. Il est le fils d’un dignitaire de la ville, devenu premier consul en 1363 (Montpellier, rattaché à la couronne de France depuis 1349, est une république marchande). Désiré et longtemps attendu par ses parents, il fut baptisé au sanctuaire Notre-Dame des Tables et passa son enfance dans un milieu profondément chrétien. Il fit probablement ses études chez les pères dominicains, avant d’étudier à la très réputée université de médecine.

    Le pèlerinage pour Rome

    Orphelin à 17 ans, riche et instruit, il distribua sa fortune aux pauvres et rejoignit le tiers-ordre franciscain. Après avoir revêtu l’habit de pèlerin, il reçut la bénédiction de l’évêque de Maguelone et prit la route pour Rome. Il arriva à Acquapendente, à quelques jours de marche de la Ville éternelle, en juillet 1367. Il y resta trois mois, car la peste y sévissait. Il mit en pratique l’enseignement médical qu’il avait reçu et obtint de nombreuses guérisons par le simple signe de croix qu’il faisait sur les victimes.

    Ce n’est qu’au début de l’année 1368, qu’il arriva à Rome. Il s’occupa sans doute des malades à l’hôpital du Saint-Esprit, ordre fondé par son compatriote, Gui de Montpellier, avec le même succès, qu’à Acquapendente. Un prélat, guéri par ses soins ou témoin de guérisons miraculeuses, lui fit rencontrer le pape Urbain V, qui s’écria, en le voyant : « Il me semble que tu viens du Paradis » !

    Près de Plaisance, le chien de Roch

    Roch quitta Rome, en 1370, pour s’en retourner vers sa patrie. Au mois de juillet 1371, Il était à Plaisance, où il assista, guérit et réconforta les malades. Mais bientôt atteint par la peste, Roch se rendit péniblement jusqu’à un bois pour y mourir. A cet endroit, une source jaillit et un chien lui apporta chaque jour un pain. Ayant recouvré la santé il retourna à Plaisance, auprès des pestiférés, faisant preuve d’un courage et d’une charité exceptionnelle.

    La prison à Voghera

    Il reprit sa route, mais les terres milanaises étaient le théâtre d’une guerre, qui durera jusqu’en 1375. Pris pour un espion, Roch fut arrêté, et transféré à Voghera. Il pouvait certes être identifié, grâce à la marque en forme de croix qu’il avait depuis sa naissance sur sa poitrine, par son oncle, gouverneur de la ville. Mais, fidèle au vœu d’anonymat de tout pèlerin, Roch ne révéla pas son identité, et demanda à pouvoir reprendre son chemin, en tant qu’ « humble serviteur de Dieu ». Sa requête rejetée, il fut mis au cachot, et cela, durant cinq années. Selon la tradition, il ne dévoila son identité qu’à un prêtre, la veille de sa mort, survenue vraisemblablement le 16 août 1379. Des témoins assurèrent que le cachot s’illumina et que le dernier souhait de Roch, à l’ange venu l’assister, fut d’intercéder pour les gens en souffrance.

    Sa dépouille, gardée dans l’église de Voghera qui lui est toujours dédiée, a été plus tard transportée à Venise. La majeure partie de son corps est toujours à Venise en l’église de la Scuola Grande di San Rocco. Au XIXe siècle, un tibia fut remis solennellement au sanctuaire Saint-Roch de Montpellier, qui possède également son bâton de pèlerin. Honoré comme un saint, il est invoqué contre la peste et les maladies contagieuses.

    Abbé Berthe

    Source:

  • Petits suisses et autres laitages en cuisine

    Pour vos 1500 mg de calcium quotidien (ménopause, décalcification des os)

    Autrefois, les petits suisses étaient vraiment petits! Ils étaient entourés d'un papier pour ne pas qu'ils se défassent (le produit de conservation chimique, bien évidemment, était dans le papier. Comme ce papier était imprimé, le plomb de l'encre passait dans le petit suisse!).

    Puis, on a fait des “gros“ petits suisses qui n'ont plus l'entourage de papier mais donc le pot en plastique contient toute la chimie mauvaise pour la santé, ce qu'il faut savoir!

    Comment les consommer autrement qu’avec le traditionnel sucre en poudre/confiture/miel?

    En fait, chez nous, on consommait les petits-suisses en ajoutant du chocolat en poudre sucré... ou bien, on écrasait du sucre en morceaux avec le fond d'un verre retourné: cela nous faisait des pépites de sucre.

    - Dans les sauces: en effet, leur texture est idéale pour confectionner des sauces onctueuses et légères, aussi bien froides que chaudes.

    Pour l'anniversaire de ma fille, nous étions invitées par mes meilleurs amis et nous avons eu, entre-autre, chaque convive, un pigeon cuit au four fourrés de deux petits suisses avec de la cansalade en lardons… perso, j'aurai fais revenir la cansalade dans de la graisse de canard; mais pouvez aussi bien utiliser des dés de jambon blanc ou du jambon de pays qui servira de condiment aux pigeons.

    La mode étant aux apéro-dînatoires, vous pouvez assaisonner un fromage blanc ou un yaourt de sel, poivre et coriandre (ou ciboulette/basilic/menthe selon les goûts), ou encore d’une cuillère de ketchup pour une sauce "cocktail", ou de moutarde et cumin pour une sauce relevée, etc… dips qu'il faut dire mais bon, le mot sauce était indiqué il y a quelques années (c'est bizarre d'essayer de changer les noms des recettes de la gastronomie française) dans lesquelles vous pourrez tremper des bâtonnets de carottes/concombre/tomates cerises/bouquets de choux fleurs pour un apéritif sain et coloré.

    En tartinade, voici 3 recettes fraîches utilisant les laitages de façon originale pour un apéritif ou en entrée:

    - petit suisse agrémenté de saumon fumé en fins morceaux, de ciboulette et d’un jus de citron,

    - fromage blanc mélangé à du hareng fumé grossièrement haché, de l’échalote et des petits dés de concombre,

    - yaourt velouté, avec du maquereau émietté, de la moutarde, des câpres et des cornichons finement hachés.

    Dans un potage pour en faire un velouté (exemple: courgettes/petit suisse)

    Avec des fruits mixés, en coulis ou en morceaux pour un dessert vitaminé. Vous pouvez alors le proposer en verrines avec des couches superposées pour une jolie présentation.

    Un dessert pour bébé? un petit gâteau émietté et un petit-suisse ou un yaourt, ou du fromage blanc

    Une demi-banane très mûre écrasée et les produits laitiers ci-dessus

    ou bien des fraises très mûres écrasées ou des framboises....

    On n'ajoute JAMAIS du sucre en poudre, laissez le sucre naturel des fruits... n'habituez JAMAIS le goût du trop sucré à un enfant...

    plus tard, il pourrait devenir diabétique!