http://saga-mandarine.hautetfort.com/archive/2025/05/31/famine-a-gaza-l-intox-de-macron-6550074.html
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Cuisses de lapin à la basquaise
4 cuisses de lapin; 2 poivrons rouges; 4 tomates bien mûres
1 cuillère à soupe de concentré de tomates, 2 cuillères soupe à soupe d'eau
Huile d'olive; Sel; 1 cuillère à café rase de piment d'Espelette
Retirez le chapeau des poivrons, coupez-les en deux, retirez les graines et les parties blanches puis coupez la chair en lanières. Retirez le pédoncule des tomates et coupez-les en 8. Faites chauffer 1 cuillère à soupe d’huile d’olive dans une sauteuse.
Ajoutez les poivrons, 2 pincées de sel et faites-les revenir pendant 3 minutes sur feu vif. Versez-les dans un bol. Ajoutez 1 cuillère à soupe d’huile d’olive dans la sauteuse, les cuisses de lapin et faites-les dorer de chaque côté, sur feu entre moyen et vif.
Quand elles sont bien dorées, ajoutez les poivrons, les tomates, le concentré de tomates, un peu de sel et l’eau. Portez à ébullition, baissez le feu et faites cuire en couvrant, pendant 40 minutes. Servez avec le piment d’Espelette.
Bon à savoir : le piment d’Espelette, tout comme le poivre est bien meilleur ajouté en fin de cuisson.
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URGENCE
3 h 47 du matin. Votre téléphone vibre.
La voix de votre mère tremble au bout du fil:" Mon chéri... j'ai… mal à la poitrine... je ne sais pas… quoi faire... "
Vous vous redressez d'un coup dans vos draps. Votre cœur s'emballe.
Elle habite à 200 kilomètres. Seule.– Maman, appelle ton médecin tout de suite!
– Il n'y en a plus... Docteur Mercier a fermé… le mois dernier...
Le vertige vous prend. Votre mère, 73 ans, au milieu de la nuit, avec cette douleur qui lui coupe le souffle. Et vous, à des centaines de kilomètres, incapable de l'aider.
Qui appeler? Où l'envoyer? Les urgences les plus proches sont à 50 kilomètres, avec 6 heures d'attente...
L'angoisse. Ne pas pouvoir sauver quelqu'un qu'on aime.
Dans le pays de Pasteur.
Dans le pays où la Sécurité sociale est née pour que chacun puisse se soigner sans mendier.
Dans le pays qui s’est relevé des ruines de la guerre en garantissant des soins gratuits pour tous.Cette menace pèse sur des millions de Français, 6 millions de Français n'ont plus même de médecin traitant.
Dans les déserts médicaux, il faut parcourir 250 kilomètres pour enfin voir un dentiste qui accepte de nouveaux patients… Plus de deux mois d'attente pour un cardiologue… Et même 9 mois ou un an pour un dermatologue, quand c’est encore possible… La moitié des maternités, fermées en 30 ans… Des urgences bondées… Nos anciens, abandonnés…
Nos grands-parents trouvaient un médecin au coin de la rue.
Nos enfants doivent traverser trois départements.
Nos campagnes sont même contraintes de faire appel à des "médicobus" pour remplacer les médecins absents, comme en brousse africaine…Aujourd’hui en France, le système de santé est-il devenu celui d’un pays sous-développé?
L’HOPITAL PUBLIC EST A L’AGONIE
En région parisienne, l’AP-HP a perdu 627 infirmiers, rien qu’en une seule année (2022). Et l’hémorragie continue.
De plus en plus de services doivent fermer la nuit, faute de personnel.
" Il y a des nuits où une seule sage-femme est présente, contre quatre normalement ", témoigne l'Ordre des sages-femmes.
Imaginez cette soignante, seule, face à tous les accouchements de la nuit, à travailler pour 4, sans pause. On se croirait en temps de guerre.
La quasi-totalité des soignants (96 %) souffrent de fatigue intense au travail. 57 % ont connu la dépression ou le burn-out!
Le résultat fait froid dans le dos.
CHAQUE JOUR, AU MOINS UN PATIENT MEURT DANS LE COULOIR DE L’HOPITAL, PARCE QU’IL NE PEUT ETRE PRIS A TEMPS!
Et attention: ces décès concernent des patients ne présentant initialement aucun signe de gravité ou dont l’état aurait pu évoluer rapidement.
Oui, aujourd’hui, les services d’urgences deviennent dangereux pour les patients!
Et quand ce n’est pas la mort, c’est l’humiliation.
À Langres, en Haute-Marne, en octobre 2024, Gérald, 53 ans, a été hospitalisé… dans le garage de l’hôpital, dans un bruit assourdissant!
Voilà où en est notre hôpital public. Il faut immédiatement sauver nos soignants et nos hôpitaux, c’est littéralement une question de vie ou de mort!
Les plus faibles d’entre nous sont les premiers touchés:
- Les maternités ferment: les femmes enceintes doivent accoucher toujours plus loin, au péril de leur vie et de celle de leur enfant. Alors qu’en Europe la mortalité infantile baisse, en France, elle augmente depuis une quinzaine d’années!
- Les soins palliatifs manquent partout: certains sont tentés par le choix terrible de l'euthanasie car ils ne peuvent pas être soulagés correctement.
- Le vieillissement explose, les structures manquent. Des cas de maltraitance se multiplient. Les services gériatriques s'effondrent. Les personnes âgées finissent oubliés dans des couloirs d'hôpital.
SOS HÔPITAL!
Ne laissons pas mourir notre système de santé!Chaque jour, au moins un patient meurt dans le couloir de l’hôpital!?
Prenons exemple sur la Suisse, l’un des systèmes de santé les plus performants du monde.
Aux Pays-Bas, des " maisons de santé " accueillent 24h/24 les patients non graves, désengorgeant les hôpitaux.
Ils ont relevé leur système de santé. Pourquoi pas nous?Notre souveraineté sanitaire est brisée
La France subit des ruptures de médicaments en cascade.
En 2023, l'Agence nationale de sécurité du médicament a enregistré 4 925 signalements de ruptures ou risques de rupture de stock, soit une augmentation de 31 % en un an.
Nous sommes donc en dépendance grave aux chaînes d'approvisionnement étrangères. Pendant le Covid, nous avons découvert avec effroi que la France ne savait même plus fabriquer des masques…
Résultat: en 2024, 39 % des Français ont été confrontés à une pénurie de médicaments, et 35 % d'entre eux n'ont pas trouvé d'alternative thérapeutique, selon une étude.
Il y a quelques jours, le Doliprane, médicament le plus prescrit en France, a même été vendu aux Américains…
Un pays qui ne maîtrise plus ses médicaments essentiels n'est plus souverain.
LA BUREAUCRATIE: LE CANCER QUI RONGE NOTRE SYSTEME DE SANTE
Asphyxiés par la paperasse, les soignants n’ont plus le temps de soigner! Ils passent des heures à remplir des dossiers, justifier chaque acte, répondre à des normes kafkaïennes… pendant que les patients attendent. Et c’est pareil pour les médecins généralistes.
L’hôpital est devenu une machine bureaucratique où les décisions se perdent dans la hiérarchie, où chaque innovation doit franchir une montagne de procédures, et où le temps de soin est grignoté chaque jour un peu plus.
Nous ne voulons pas d’un hôpital géré comme une entreprise de reporting. Nous voulons des médecins qui soignent, pas des infirmières croulant sous la paperasse.
LES VRAIS RESPONSABLES DE CE DESASTRE
Pendant des décennies, l'État a volontairement bridé la formation de médecins avec le numerus clausus. Les politiques savaient mais ont tardé à réagir. Une erreur criminelle dont nous payons le prix aujourd'hui. Pendant que nos facultés de médecine refusaient des milliers d'étudiants brillants, on savait déjà que les générations de médecins partiraient massivement à la retraite.
Résultat: nous importons aujourd'hui des médecins formés à l'étranger, exactement comme font les pays pauvres incapables de former leurs propres élites.
Les ARS – ces Agences Régionales de Santé – ferment nos hôpitaux de proximité depuis leurs bureaux, en totale déconnexion d'avec le terrain. La grande machine administrative décide du sort de nos maternités à coups de tableaux Excel.
Quarante ans de mauvais choix: fermetures d'hôpitaux ruraux, sous-financement chronique, bureaucratisation à outrance. L'hôpital français est étouffé par une administration pléthorique pendant que les vrais soignants craquent.
Et pour couronner cette gestion désastreuse: 1,2 milliard d'euros donnés chaque année pour soigner les clandestins par l’Aide Médicale d’État – sans parler de la fraude à la carte Vitale qui atteint des sommets –, pendant que les Français renoncent aux soins faute d'argent!
ILS ONT CASSE LE SYSTEME DE SANTE FRANÇAIS.
Maintenant, ils vous demandent de payer toujours plus cher pour des soins toujours plus rares, alors que des étrangers se font soigner à vos frais!
Il est temps de reconquérir notre santé
Cette spirale mortifère doit s'arrêter.
Il ne s’agit pas seulement de santé. Il s’agit de justice, de dignité.
Notre système de santé est en train de s’effondrer.
C’est pourquoi en signant cette pétition nous exigeons de tous les élus locaux et nationaux de se battre pour:
- Première urgence: mettre fin aux déserts médicaux. Recruter 1000 médecins salariés par l'État dans les déserts médicaux. Rouvrir des services hospitaliers de proximité: maternités, urgences, soins palliatifs. Que les femmes qui vont accoucher n'aient plus à faire 100 kilomètres, que nos grands-parents puissent finir leur vie dignement près de chez eux.
- Deuxième priorité: sauver l'hôpital public en recrutant 40 000 nouveaux personnels hospitaliers. Rendre le métier attractif en limitant l’administratif au maximum. Privilégier les soins plutôt que la rentabilité en modifiant la tarification à l’activité dans les hôpitaux.
- Troisième action: reconquérir notre souveraineté sanitaire. Plus jamais dépendre de pays étrangers pour le paracétamol de nos enfants. Relocaliser la production des médicaments essentiels sur notre sol. Mettons fin aux pénuries de médicaments dans nos pharmacies.
La France qui soigne plutôt que celle qui gère la pénurie
Imaginez: votre mère peut à nouveau voir un médecin dans l'heure. Votre fille accouche dans une vraie maternité, pas dans un couloir d'hôpital. Votre père âgé reçoit des soins palliatifs dignes, apaisé, entouré des siens.
Imaginez: nos étudiants en médecine n'émigrent plus au Canada faute de places. Nos infirmières ne craquent plus, épuisées par la surcharge. Nos pharmaciens ne vous disent plus " désolé, rupture de stock ".
Cette France-là est possible. À condition d’agir ensemble.
Signez cette pétition, pour dire: nous ne laisserons pas notre système de santé mourir en silence.
Signez pour vos proches. Signez pour vous. Signez pour tous ceux qu’on n’écoute plus.
La santé des Français d'abord. Toujours.
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Pizza à la raclette,
champignons, lardons de cansalade, pommes de terre
Pour 4 personnes
2 grosses pommes de terre, 1 oignon; 100 g de champignons de Paris
100 g de lardons de cansalade, 200 g de pâte à pizza
3 C A S de crème fraîche, 200 g de raclette
Sel, poivre
Lavez les pommes de terre et les faire cuire à l'eau salée. Les égoutter et les laisser refroidir quelques minutes avant de les couper en rondelles. Réserver.
Pelez et coupez l'oignon, émincer les champignons et les faire dorer quelques minutes dans une poêle avec les lardons. Réservez.
Étalez la pâte à pizza sur un plan de travail fariné à l'aide d'un rouleau à pâtisserie et la placer sur la plaque allant au four bien huilée.
Tartinez généreusement la pâte de crème épaisse et poivrez. Répartir les pommes de terre, le fromage à raclette, les oignons, les champignons et les lardons.
Enfournez la pizza à 200 °C pendant 15 à 20 minutes.
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Palets aux violettes de Toulouse
Préchauffez le four à 180°C (th. 6.).
Pour environ 25 palets
200 g de farine bio; 1 poignée de fleurs de violettes fraîches (à défaut séchées) ou tout autre fleur comestible
2 œuf, 40g de sucre fin; 30 g de sucre roux; 50g de beurre ramolli
1 cuillère à soupe de sirop de violette, 1 cuillère à café de levure sans phosphate
Lavez soigneusement les violettes, coupez les queues au ras et faire sécher les fleurs dans du papier absorbant (on peut aussi ne conserver que les pétales des violettes).
Battre les œufs entiers avec les deux sucres, ajoutez ensuite la levure et le sirop de violette. Mélangez le beurre fondu à la préparation, puis versez progressivement la farine jusqu’à l’obtention d’une pâte ferme.
Si besoin ajoutez de la farine pour avoir une pâte homogène qui ne colle pas.
Beurrez et farinez une plaque. Sur celle-ci, former des petits tas et les aplatir.
Enfournez et laissez cuire environ 5 min.
Retirez la plaque du four et délicatement, disposer sur chacun des palets une fleur de violette de Toulouse en l’enfonçant très légèrement.
Replacez au four une dizaine de minutes.
Décorez de quelques violettes que vous aurez réservées.
Vous trouverez facilement des violettes, sirop, etc... en visitant la bonne ville de Toulouse!
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ALERTE!
La "Grande Muette" prévient une nouvelle fois le gouvernement
Une vingtaine de généraux et une centaine de hauts-gradés s’expriment une fois encore.
Souvenons-nous, le 22 avril 2014 "Boulevard Voltaire" publiait un de mes articles: "La Grande muette grogne de plus en plus fort".
Au plus haut niveau de l’Etat on n’a pas voulu l’entendre grogner.
Les réactions ne se sont pas faites attendre: Les généraux chefs d’état-major des trois armées, Terre, Air et Mer, plus une vingtaine d’autres officiers généraux, avaient menacé de démissionner.
Même le Ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, ami de longue date de François Hollande, avait proposé de remettre son portefeuille au Président de la république.
Il s’agissait là de la goutte d’eau qui allait faire déborder la coupe.
**Nous envoyons allègrement nos jeunes soldats dans des pays étrangers risquer leur peau dans des guérillas sans fin prévisibles. Le but est de sauver des vies au nom de la liberté et de la lutte contre le terrorisme mais avec des armes désuètes et du matériel obsolète. Comme nous sommes les seuls à le faire alors pour le moins donnons-leur les moyens de se défendre face à un ennemi insaisissable.
Prenez bien garde de ne pas aller trop loin!
**Que l’on se souvienne que le 8 janvier 1961 le 1er REP (Régiment étranger de parachutistes) se mettait en grève et refusait de partir en opération après la mort de 11 paras en estimant qu’ils étaient morts pour rien. L’Algérie allait devenir indépendante selon la volonté de De gaulle, et ils obéissaient ainsi aux paroles de l’aumônier, le père Delarue: "Vous êtes tombés au moment où, s’il faut en croire les discours, nous ne savons plus, ici, pourquoi nous mourrons!".
EN 2014, L’EUROPE N’ÉTAIT PAS EN GUERRE… LA FRANCE NON PLUS.
Ce n’est plus le cas en 2025.
La "Grande muette" parle de nouveau alors prenez garde car le tonnerre gronde.
20 généraux et une centaine de hauts-gradés s’expriment une fois encore.
**L’heure est grave. La France est en péril, plusieurs dangers mortels la menacent.
Le constat est accablant: c’est la guerre raciale. Que veulent ces partisans haineux et fanatiques.
Ils méprisent notre pays, ses traditions, sa culture. Il ne peut, et ne doit, exister aucune ville, aucun quartier, où les lois de la République ne s’appliquent pas.
Des individus encagoulés saccagent des commerces et menacent les forces de l’ordre "qui ne font qu’appliquer les directives données, par vous, gouvernants.
Nous ne pouvons être, devant de tels agissants des spectateurs passifs. "Quand la prudence est partout, le courage n’est nulle part".
Nous sommes disposés à soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation.
Et cela provoquera, au final, une explosion et l’intervention de nos camarades d’active pour la sauvegarde de nos compatriotes sur le territoire national.
La guerre civile mettra un terme à ce chaos et les morts, dont vous porterez la responsabilité, se compteront par milliers ".
Le message est clair: l’extrême gauche veut le chaos et "si elle le provoque" elle pourrait comptabiliser ses pertes.
Manuel Gomez
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Galette patates fromage
3 pommes de terre (environ 500 g), Huile, 150 g de farine,100 g de dés de jambon
6 tranches de fromage (type emmental), 1 œuf; Sel;
Lavez les pommes de terre et les badigeonner d'huile. Les faire cuire 8 minutes au microondes (il est possible de les faire cuire dans de l'eau bouillante).
Râpez les pommes de terre puis incorporez la farine, l'œuf et une pincée de sel. Bien remuer.
Huilez une poêle et déposez la moitié de la préparation précédente.
Ajoutez les tranches de fromage et les dés de jambon puis refermez avec l'autre moitié des pommes de terre.
Appuyez sur les bords pour refermer la galette et laissez cuire 7 à 8 minutes à couvert.
Retournez la galette et refaire cuire 7 à 8 minutes avec le couvercle.
Déguster bien chaud