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Blog - Page 181

  • Un dessert d'après cassoulet?

    Comme vous le savez, le café liégeois est un dessert froid à base de café légèrement sucré, de crème glacée parfumée au café et de crème chantilly.

    Refroidissez un grand verre rempli de la valeur d'un café serré sucré au réfrigérateur, sans le glacer, avant d'y déposer juste avant de servir, les autres ingrédients (glace au café, glace à la vanille puis chantilly). On parsème fréquemment le dessus de la crème chantilly d'un grain de café concassé.

    Ma fille et moi préférons les desserts au café. Hélas, c'est assez difficile d'en trouver. Donc, nous sommes bien obligées de le fabriquer. Mais, nous n'ajoutons pas de glace à la vanille….

    Premièrement parce que ma fille n'en est pas du tout fan. Deuxièmement parce que si on fait un dessert au café, il faut qu'il soit tout café. Chez nous c'est comme cela.

    D'ailleurs, j'adapte la plupart de mes recettes à notre goût… ou celui de ma fille qui est difficile. Mais, ce n'est pas de ma faute.

    Comme nous avons supprimé le sucre depuis des lustres, très souvent, je ne mets pas du tout de sucre dans les recettes… nous contentant, en l'occurrence, du sucre de la glace au café.

    Nous avons également supprimé le sel depuis longtemps; depuis qu'elle a été obligée d'avaler de grandes quantités de cortisone. Je dirais même plus: d'énormes quantités de cortisone.

    Finalement, nous avons tellement supprimé le sucre et le sel que le plus souvent, nous consommons le produit cuit au naturel.

    Je prépare actuellement pour ma chaîne Youtube “Paranormal, c'est normal“ une vidéo pour expliquer comment une assiette (lourde = 551 gr) avec une énorme tranche de jambon de Bayonne s'est mise à bouger toute seule sur notre table.

    https://youtu.be/MulbBHls5Bs

    Désormais et à notre grand regret, nous ne pouvons plus consommer de ce jambon: il nous apparait beaucoup mais alors, là, beaucoup trop salé. Dès que nous consommons saucissons ou autres charcuteries, nous devons nous abreuver d'au moins un litre d'eau tant le sel nous donne la pépie.

    Quand je fais du cassoulet, je ne rajoute jamais de sel; le confit est un peu trop salé à notre goût. Mais, quand même, pour notre fameux plat toulousain, nous faisons un effort pas trop important; ça passe assez bien!

    Même si nous devons boire du Château Lapompe en grande quantité ensuite.

     

  • Ma madeleine de Proust: la mandarine

    Interrogez les plus de 60 ans autour de vous. Bien souvent, leur Noël consistait en une mandarine. Aussi, chaque fois que l'hiver revient et qu'ils en achètent sur le marché, la senteur les ramène aussitôt en prime enfance. Mais, il y a beaucoup de bonnes choses diététiques dans une mandarine, en plus du bonheur de l'enfance retrouvé.

    Novembre marque l'arrivée des clémentines sur le marché où elles seront en vedette jusqu'à la fin du mois de février. Ces petits agrumes bourrés de saveur sont aussi un véritable cadeau de la nature pour nous aider à maintenir un système immunitaire fort tout au long de l'hiver.

    Sur le plan nutritionnel, sa fiche est impressionnante: deux clémentines valent une portion de fruit, fournissent 50 calories, ce qui vient combler la moitié de nos besoins en précieuse vitamine C, réputée pour ses propriétés coup de fouet et anti-infections. La vitamine C contribue aussi à la formation du collagène, qui permet l'entretien des tissus conjonctifs pour des ligaments, des os et des nerfs solides. Elle favorise aussi l'absorption du fer.

    La clémentine est riche en fibres, tout comme sa cousine, l'orange, avec 1,8 mg pour deux fruits. Elle est une excellente source de calcium (26 mg par 100 g), de magnésium et de potassium (responsables d'un bon équilibre de toutes les interactions du corps) et de folate, qui protège contre les malformations du tube neuronal chez le fœtus tout en aidant à maintenir les fonctions cognitives des aînés.

    Mais grâce aux plus récentes recherches en biochimie alimentaire, on a pu découvrir que la clémentine possède des pouvoirs encore plus étendus. Elle partage en effet avec l'orange, le pamplemousse et la mandarine une formidable feuille de route relativement au contenu en éléments phyto-chimiques, qui ont une action importante sur le maintien d'une bonne santé. Les principaux s'appellent monoterpènes, limonoïdes, flavonoïdes, caroténoïdes et acide hydroxycinnamique.

    De bien grands mots pour décrire des molécules qui ont été isolées dans la clémentine, notamment, et qui sont hyper-efficaces pour lutter contre les radicaux libres, souvent responsables d'une division cellulaire anarchique à l'origine du cancer et d'autres maladies chroniques.

    Les chercheurs croient que c'est le cocktail très concentré de la vitamine C associée à ces substances anti-cancer qui expliquerait l'efficacité de la modeste clémentine et de ses confrères de la famille des agrumes à prévenir les principales maladies. Certaines études ont aussi démontré qu'une diète riche en fruits citrins aidait à réduire l'incidence de maladies respiratoires comme l'asthme.

    C'est sans compter sur leur efficace effet coupe-faim pour les personnes qui cherchent à perdre du poids et sur leur bon goût, leur texture juteuse et sucrée, qui en fait aussi un grand favori des tout-petits.

    Source: http://www.cyberpresse.ca/article/20.../6685/CPACTUEL

     

  • Nous et notre gastronomie: ce que les autres ne nous prendront jamais!

    La gourmandise est un vilain défaut…. mais pas trop.

    De tous les péchés capitaux que nous somme de respecter l’Église, la gourmandise est le plus toléré, le plus accepté. Normal, le Français, s'il ne connait pas son latin, sait dire: “carpe diem, mes amis! à la fortune du pot et qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse“. Même s'il faut toujours boire avec modération, cela s'oblige à être dit, la loi l'exige; il y a toujours une obligation quelque part….

    Si la goinfrerie a toujours suscité la réprobation générale (surtout de ceux qui ont déjà la panse et la bourse bien garnie), car signifiant pour ces grincheux un manque de maîtrise de soi, une incapacité à se tenir, la gourmandise, lorsqu’elle se lie aux arts de la table, rejoint le domaine de la civilité et du savoir-vivre. Bah, demandez à l'Unesco.

    La tolérance, complice de l’Église cela va s'en dire, a contribué à faire accepter les plaisirs de la table…. d’autant que de nombreux ordres religieux sont à l’origine de recettes et de friandises raffinées. Cela explique la dichotomie entre pays protestants et pays catholiques dans le rapport à la nourriture. La gastronomie s’inscrit ainsi dans la géographie et c’est une véritable géopolitique du goût qui se dessine.

    Cette géopolitique est tout autant sociale que territoriale. Les princes et les cours ont contribué au développement de la bonne chère, à la promotion des plats fins et des mets raffinés. Ce faisant, en étant prêts à payer cher pour avoir de bons cuisiniers et de bons produits, ils ont permis à la cuisine de poursuivre ses progrès.

    Jusqu’au XVIIIe siècle, gourmet désigne l’amateur de vin, et friand l’amateur de bonne chère. C’est au XVIIIe siècle que gourmet commence à désigner l’amateur de la chère, et qu’il va de pair avec la gourmandise. C’est le lent travail de civilisation de la table et des mœurs qui a permis de faire entrer la gourmandise parmi les arts libéraux, ce qui lui vaut le qualificatif d’art de la table. Autour de la gourmandise se codifient les manières de préparer les plats et les manières de les manger. De même qu’il y a des propos autorisés à table, et d’autres, prohibés. La gourmandise tisse ainsi des liens avec la littérature, l’esprit intellectuel, les bons propos. La table n’est plus uniquement le lieu où l’on mange et où l’on boit, mais aussi le lieu où l’on parle, et où les choses de l’esprit peuvent se développer; les boissons vineuses facilitant la commodité de la conversation.

    Mais c'est véritablement le XVIIe siècle qui connaîtra l'avènement de la "haute cuisine française", grâce à une révolution culinaire historique en Europe: l'abandon des épices médiévales et l'introduction dans la cuisine aristocratique des "épices des pauvres", ail, poireau et autres herbes et échalotes, ainsi que des graisses dites populaires, beurre et huile. Il n'est pas anodin de constater que cet anoblissement des goûts provinciaux coïncide avec l'ordonnancement des régions et la constitution d'une nation centralisée mise en œuvre par Colbert.

    Au milieu du XVIIIe siècle, le restaurant permettra la démocratisation de cette haute cuisine, vulgarisée dans de nombreux ouvrages culinaires publiés au XIXe siècle, qui verra l'apparition d'une nouvelle figure, véritable incarnation de la classe bourgeoise et de sa "folie" pour les arts de bouche, le gastronome.

    Sous l'Empire, après la disparition de la figure du Roi, quand il s'agira d'incarner la nation, les spécialités gastronomiques seront naturellement choisies. En 1804, un député à la Convention proposera de réaliser un "jardin patriotique"  où les provinces seraient symbolisées par leur production alimentaire. En 1808, une géographie gastronomique de la France sera, pour la première fois, réalisée: bouteilles, volailles, poissons, ruches ou terrines symboliseront différentes provinces françaises pour apprendre aux citoyens à identifier la République comme "entière, une et indivisible". Le terroir français est à la fois une construction culturelle, imaginaire et politique née d'un climat et d'une situation géographique particulière. Le terroir regroupe à la fois un lieu géographique et les caractéristiques humaines propres à son art de vivre (architecture, cuisine, us et coutumes).

    La gastronomie française possède des caractéristiques qui la rendent identifiable dans le monde entier. Une inscription dans la durée, tout d'abord, avec une hiérarchisation des plats construite comme une grammaire gustative où se succèdent entrée, plat principal, fromage et dessert. Le mariage des mets et des vins ensuite, mariage qui a donné naissance à la fonction spécifique de sommelier. Enfin, à table, les Français parlent de nourriture. Ce discours né de la convivialité donne un primat au goût et au plaisir plutôt qu'à la valeur nutritionnelle des plats et a engendré une abondante littérature qui lui est dédiée.

    Faire bonne chère consiste aussi à savoir parler de ce que l’on mange. Autour de la table se développe la littérature gastronomique. La langue est épurée afin de permettre de décrire ce que l’on mange et ce que l’on boit. Le métier de chroniqueur gastronomique apparaît et gagne ses galons de noblesse. De nos jours, il ne s’agit pas d’avoir uniquement un fin palais, mais aussi un esprit vif. Comme toujours, à travers l’histoire gastronomique et culinaire, ce ne sont pas seulement des mets et de la table que l’on parle, mais l’on étudie des thèmes fondamentaux et constructeurs du fonctionnement d’une société à travers sa façon de penser et de se comporter. En explorant son rapport à la table, on aborde frontalement son rapport au divin, à l’économie et à ses représentations culturelles et sociales.

    Un texte écrit avec un mélange d'autres trouvés sur le net. Je me suis beaucoup intéressée à l'histoire de la cuisine française. C'est également notre ROMAN NATIONAL

    que tout ceux et celles qui s'installent sur nos terres feraient bien de prendre en compte, de l'accepter et de le protéger comme nous-mêmes les protégeons, du simple fait qu'ils se sont senti obligés de venir ici se mettre à l'abri (quel que soit la ou les choses qu'ils ont voulu fuir!!!).

     

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    Le livre de Taillevent

     

  • C'est magique!

    Au Canada, dans le restaurant "Le Petit Chef", tenu par un français...Grâce à des rétroprojecteurs places au-dessus des tables, un montage vidéo est projeté sur votre table et vous permet d'attendre votre commande sans impatience.....

     

  • Un petit coup de rappel?

    O Moun Païs! O Toulouso!

    Poésie Languedocienne de Lucien MENGAUD (1844)

    Musique de  Louis Deffès (1845)

     

    Ô moun pays! ô moun pays! ô Toulouso, Toulouso!

    Qu'aymi tas flous, qu'aymi tas flous, toun cel, tôun soulel d'or!

    Al prep de tu, al prep de tu l'âmo sé sent hurouso,

    E tout ayssi é tout ayssi ayssi réjouis le cor

    E tout ayssi , é tout ayssi me réjouis le cor.

    Ô moun pays! ô moun pays! ô Toulouso, Toulouso!

    Qu 'aymi tas flous, toun cél, toun soulel d'or!

    Que you soun fiér de tas académios,

    Des mounumens qu'ornon nostro citat!

    Detoun renoum é dé tas pouésios

    E de toun cant despey loutens citat!

    Aymi tabès nostro lengo gascouno

    Que tant nous douno, que tant nous douno de gayetat!

    Oh! qu'aymi pla da tas brunos grisettos

    Lé tin flourit, lé souriré malin,

    Lour pel lusén, lours poulidos manétos

    Lours poulits pès é lour regard taquin!

    En las bésén moun cor se rebiscolo

    Etpey s'enbolo, Etpey s'enbolo tout moun chagrin.

    A tous entours l'herbo semblo pus fresquo

    Le parpaillol a maytos de coulous,

     

    Tous fruits y soun douces coumo la bresquo

    E tous pradèls soun claoufidis de flous ;

    Dé tous bousquéts you récerqui l'oumbratgé

    E lé ramatgé é lé ramatgé des aouselous

    De tous guerriés doun la noblo benjenco

    Fasquec courber plega le froun des argousis

     

    argousis" est une variante proposée à la place du texte obsolète de Lucien Mengaud => "sarrasis":
    en effet Toulouse souffrit bien plus de Simon de Montfort et des Croisés venus du Nord
    que des arabes venus d'Espagne

     

    De ta fiértat e de l'independenço

    Que de tout tens regnet dins le pays.

    Oh! soun pla fier de ma bilo tant belo

    Que tant rappélo que tant rappélo de soubenis

    Ô mon pays! ô mon pays! ô Toulouse, Toulouse!

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    J'aime tes fleurs, j'aime tes fleurs, ton climat enchanteur!

    Auprès de toi, auprès de toi l'âme se sent ravie,

    Tout en ces lieux, tout en ces lieux, nous réjouit le cœur,

    Tout en ces lieux, tout en ces lieux, nous réjouit le cœur.

    Ô mon pays! ô mon pays! ô Toulouse, Toulouse!

    J'aime tes fleurs, ton climat enchanteur

    Que je suis fier de tes académies,

    Des monuments ornant notre cité!

    De ton renom et de tes poésies,

    Et de ton chant depuis longtemps cité!

    Oh j'aime aussi notre langue gasconne

    Qui toujours donne qui toujours donne franche gaîté!

    J'aime surtout de tes brunes grisettes

    Le teint fleuri, le sourire malin

    Leurs beaux cheveux, leurs mains gentillettes

    Leurs pieds mignons, puis leur‑ regard

    Quand je les vois, mon âme se console

    Alors s'envoh alors s'envole tout mon chagrin.

    Sous ton beau ciel tes fleurs sont plus vermeilles

    Les papillons ont plus belles couleurs,

    Les fruits plus doux que le miel dès abeilles

    Et tous tes près sont émaillés de fleurs ;

    Dans tes bosquets on entend sous l'ombrage

    Tendre ramage, tendre ramage sons enchanteurs

    Gloire aux guerriers dont la noble vaillance

    Faisait courber le front des argousins

    Soyons jaloux de cette indépendance

    Que de tous temps aima le Toulousain

    Oui, je suis fier de ma ville si belle

    Qui me rappelle Qui me rappelle nos grands destins.

     

  • Foie gras: quand c'est moins cher, ça vient d'ailleurs!

    Le prix du foie gras augmentera de "40 centimes d'euros maximum par tranche" de 40 grammes par rapport au prix de 2015, a indiqué jeudi le Comité interprofessionnel des palmipèdes à foie gras (Cifog). Le prix final dépendra des enseignes de distribution.

    Cette hausse de prix est "structurelle", a souligné le Cifog.

    "C'est le prix de la qualité sanitaire" car au-delà de l'épizootie et du vide sanitaire qui l'a suivi, estimé à 500 millions d'euros, "les mesures de biosécurité imposent des investissements dans les exploitations agricoles, comme la construction de nouveaux bâtiments", a déclaré le président du Cifog, Christophe Barrailh lors d'une conférence de presse.

    Une garantie de qualité

    "Cette filière est en train de repartir dans des conditions sanitaires complètement repensées, renouvelées, et on aura à la fin de l'année un foie gras d'excellente qualité. Aujourd'hui, le foie gras français correspond aux toutes nouvelles normes en matière de biosécurité. Il sera un peu plus cher, mais c'est une garantie de qualité", a déclaré le ministre de l'agriculture Stéphane Le Foll.

    Mais la France ne retrouvera pas dès 2017, son niveau de production de 2015, qui était alors de 19,2 tonnes.

    Idem sur la balance commerciale. Après un excédent de 56,3 millions d'euros en 2015 sur l'ensemble de la filière, les exportations françaises ont déjà chuté de 7,8 millions d'euros au premier semestre 2016 en raison de la crise sanitaire.

    Dans le même temps, les importations venant de Hongrie et de Bulgarie ont augmenté de 10,9 millions d'euros, selon les professionnels.

    "Aujourd'hui, les professionnels français se mobilisent donc massivement pour que les pays ayant fermé leurs frontières au foie gras français, notamment en Asie, les rouvrent dès que possible", assure le Cifog.

    Un vide sanitaire de 5 semaines

    Pour endiguer l'épizootie de grippe aviaire déclarée en novembre 2015, un vide sanitaire de cinq semaines avait été imposé au printemps dans les élevages de 18 départements du sud-ouest de la France.

    L'élevage de canetons n'a pu reprendre qu'à la mi-mai après une complète désinfection des élevages et la mise en place de nouvelles mesures de biosécurité.

    L'ensemble de la filière attend maintenant le feu vert de l'Office international des épizooties (OIE), indispensable pour les exportations hors Union Européenne.

    *Épizootie : une maladie qui frappe, dans une région plus ou moins vaste, une espèce animale ou un groupe d'espèces dans son ensemble

     

  • La capitale de la France? TOULOUSE, bien sûr.... n'en déplaise aux parigots!

    Toulouse doit être la capitale de la France: les 10 raisons de Topito

    Dans un article publié dimanche 16 octobre, le site Topito explique, non sans humour, pourquoi Toulouse devrait être la nouvelle capitale de la France. Paris peut se rhabiller!

    C’est un article qui va faire plaisir aux Toulousains! Dimanche 16 octobre, le site internet Topito, dont le siège est à Paris rappelons-le, a dressé une liste (loin d’être exhaustive) des raisons qui devraient faire de la Ville rose la nouvelle capitale de la France. Et ce serait “top moumoute“, précisent nos confrères.

    La gastronomie arrive bien évidemment en tête de cette liste: “On y mange bien (et beaucoup)“.

    Ensuite, Toulouse n’est pas la “biatche“ des Qataris.

    Un pied de nez en bonne et due forme au PSG détenu par le Qatar Investment Authority, alors que nos clubs (TFC et Stade Toulousain) appartiennent à deux gars du cru.

    Meilleure ville du monde

    “À Toulouse, on est prêt de tout!"

    Eh oui, la station de ski la plus proche de Paris se trouve à plus de 400 bornes. Nous, nous mettons moins de deux heures pour aller surfer sur les pistes (et un peu plus pour surfer sur les vagues).

    La Ville rose est appréciée des étudiants, des salariés (meilleure ville du monde d’ailleurs), et les immeubles en brique rose, c’est quand même plus classe que les édifices gris et ternes haussmanniens.

    Topito ajoute que le soleil de l’Occitanie ferait du bien à la mine de François Hollande (bien que cet aspect là ne l’aiderait, sûrement pas, à remonter dans les sondages).

    Et enfin, un des Aristochats s’appelle Toulouse et non pas Montmartre, Elysée ou Père Lachaise.

    Alors, “Paris aux chiottes“? Vi, très beaucoup.

    Heu… le Flamby, gardez-le, on en veut pas!

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    Statue de Goudouli, notre poète toulousain

    (Place Wilson).

     

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    La Garonne, vue sur le dôme de La Grave

     

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    Hôtel d'Assézat

     

    Si c'est pas beau, tout ça! et encore, c'est de la bibine en comparaison de Toulouse vue d'hélico.... le long des berges de la Garonne... le soleil sur les toits roses...

    Une vision angélique....

    Tellement belle, Ma Ville Rose, que j'en avais les larmes aux yeux!

    Il a fallu que je me retienne pour ne pas pleurer...