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Histoire - Page 6

  • Petits pâtés à la moelle

    Une recette de chez nous.

    Le Saviez-vous? La moelle, un des meilleurs aliments anti-rides! De plus, elle contient tous les sels minéraux essentiels

    Nos ancêtres, même quand ils n'avaient pas trouvé le feu, cassaient les os des animaux pour se régaler de la moelle

    Pour 4 personnes

    250 g de pâte brisée; 8 gros os à moelle

    3 œufs durs; Cumin, sel, poivre

    Enveloppez chaque os dans du papier alu, mettre au four chaud th8 (240°C) pendant 10 mn et enlevez la moelle avec une cuillère en bois

    Étalez la pâte et découpez avec un emporte pièce (ou un verre large de circonférence) plusieurs rondelles

    Sur chaque rondelle, mettre une rondelle de moelle de l'épaisseur d'un doigt. Saupoudrez avec les œufs durs hachés, le cumin, sel et poivre. Humectez les bords et repliez la pate en deux.

    La faire adhérer avec le dos des dents d'une fourchette

    Faites dorer au four chaud th7 (210°C) sur une tôle embeurrée jusqu'à ce qu'ils soient bien dorés sur les 2 faces

    Sur chaque rondelle, mettre une rondelle de moelle de l'épaisseur d'un doigt. Saupoudrer avec les oeufs durs hachés, le cumin, sel et poivre. Humecter les bords et replier la pâte en deux.

    Servir très chaud. En effet, la moelle froide est infecte

  • Mon Podium

    J'étais employée à l'imprimerie Loubet à Toulouse de fin 1970 à mars 1973. J'ai occupé plusieurs postes mais, à l'origine, secrétaire aide-comptable, j'ai été embauchée pour travailler sur la composeuse 72, l'ancêtre des claviers numériques qui n'existent plus.

    Fin 1971, un trio de Toulousains se sont présentés à la direction pour imprimer un magazine intitulé Podium; S'ensuivent six autres mensuels vendus à l'époque 2,50 francs pour un tirage d'environ 60 000 exemplaires; le tout premier numéro parlait d'un chanteur, inconnu à l'époque mais qui démarrait fort avec "the fol", Gilbert Montagné

    Le second numéro parlait de la tournée de Johnny. Je dois dire que le magazine de l'époque montrait en majesté la vie des stars: Sheila, Fugain, Led Zeppelin ou Polnareff... Je dis en majesté parce que le papier était du 130 g, les photos étaient vraiment artistiques, les articles bien léchés… on agrafait même au milieu un poster mais il n'était pas aussi immense que ceux que Claude François a ensuite installé dans son Podium, plus de couleurs et papier magazine (115g).

    Le trio se composait de Claude Bernadini, un journaliste de Sud-Radio, Jean-Patrick Subervielle (Sentimental Trumpet) et Michel Lafon (futur éditeur) et l'illustrateur Christian Goux, (que j'ai connu sous son vrai nom). Il faisait également les mots croisés: j'en ai fait moi-même grâce à lui, et un certain mois, c'est ma grille qui est passée. J'étais fière.

    C'est Bernadini qui rencontra Claude Francois dans la boîte l'Ubu: il était venu chanter pour un gala à Revel. Cloclo a racheté la moitié des parts des deux autres et faisait fifty-fifty avec Bernardini. Les ventes explosent. Mais l'aventure s'arrête 4 ans plus tard pour Claude Bernardini qui quitte Podium car le Chanteur en avait fait un magazine un peu "bling-bling" et ce n'était ce que Bernadini voulait.

    Dans l'imprimerie de l'époque, il n'y avait qu'une offset un seul passage et l'impression était interminable: 60 000 tirages, vous imaginez. Dès le 3e numéro, le patron a acheté une offset deux tirages mais c'était encore beaucoup trop long: tous les ouvriers devaient mettre la main à la pâte; on travaillait de 7 h du matin à 2 ou 3 heures, 6 jours sur 7! Mais, certains travaillaient encore plus. Perso, cela m'arrangeait de faire toutes ces heures supplémentaires, j'avais ma fille à élever seule.

    On était livré de plus de 60 tonnes de papier toutes les trois semaines et je participais au transvasement du camion à l'atelier.. que les rames pesaient lourd! De plus, elles étaient énormes et il fallait les porter les bras complétement écartés et le poids sur le ventre sur un longueur de 25 mètres tout de même. J'avais 21 ans, j'étais jeune, j'étais costaude, j'ai eu des muscles en béton… le bon temps, quoi.

  • Comment Toulouse est devenue la Cité des Violettes?

    Au Second Empire, les parigots venaient "prendre les bains" à Biarritz à la suite de la Reine Eugénie de Montijo, épouse de Napoléon III

    L'impératrice était jeune, merveilleusement belle dans ses magnifiques robes à crinolines. Un jour, alors qu'elle était à Biarritz, fantaisie lui vient de venir à Toulouse.

    C'était un événement extraordinaire, exceptionnel pour les Toulousains d'alors. Ils se massèrent tout le long du chemin du cortège impérial… on voyageait en calèche et autres engins à cheval et bien sûr, le trajet n'en finissait pas.

    On a eu besoin de centaines de bouquets de fleurs pour décorer la mairie et tous les bâtiments où l'impératrice viendrait… et les vendeurs de fleurs voulaient absolument voir l'impératrice… ils avaient gagné beaucoup d'argent, bien sûr…. Et ils regardèrent passer le convoi impérial et, dans la calèche l'impératrice était si adorable, si belle, si jeune qu'ils en furent très, très émus… en fait, elle arborait une robe à crinoline, toute blanche parsemées de petits bouquets de violettes.

    C'était si magnifique, si beau, si extraordinairement romantique que…. Les jardiniers se dirent: on va planter des violettes. Et c'est ainsi que des centaines de jardiniers (à l'époque on ne disait pas horticulteur) ont cultivé des violettes et il y avait tant et tant de champs de ces fleurettes que l'on appela Toulouse, cité des Violettes… (marketting pub)

    Mais, paraît-il il n'y avait pas de violettes par ici et ils se sont fait envoyer des violettes de Parme… sauf que…

    Un jour, en nous promenant au bord du Canal du Midi, du côté de Rangueil, j'ai dû me

    baisser pour déterrer une petite motte de terre: des violettes sauvages!… sur le bord du Canal du Midi, et donc, très loin du Nord de Toulouse où elles étaient cultivées!

    J'ai planté la motte, au 4e étage de l'appartement qu'on occupait alors et qui, sur la terrasse avait un énorme bloc de béton, une jardinière, qui barrait la terrasse du vide… en moins de 3 ans, nous avons eu un "beau jardin" tapissé de violettes au printemps… elles étaient drôlement tenaces!

    Elles se sont replantées d'années en années, jusqu'à ce que l'on quitte l'appartement

     

  • Pour faire des chocolatines

    vite fait mais, c'est vous le chef (avec 1 ou 2 barres de choc!)

    Une pâte feuilletée; des barres de chocolat,

    1 œuf pour la dorure, un peu de lait

    Préchauffez le four 180°C.

    Étalez pâte et découpez selon la convenance et la taille souhaitée. Une bande de 10 cm pour des chocolatines copieuses, 7 cm pour des chocolatines plus raisonnables.

    Disposez le chocolat en long en haut de la bande de pâte puis roulez.

    Disposez les chocolatines sur une plaque huilée et sucrée

    Laissez reposer 1 h dans un endroit tiède, ou au four légèrement chaud.

    Battez un œuf avec du lait et un peu de sucre puis enduire au pinceau.

    Laissez cuire env. 20 min, jusqu'à obtenir un doré parfait.

     

    Calories dans une Chocolatine

    100g de Chocolatine: Calories : 414 Kcal plus si 2 barres

  • JOURNEES DU PATRIMOINE

    Ma fille a visité le palais Niel, ses photos

    Le palais Niel est la plus prestigieuse demeure construite à Toulouse au cours du XIXe siècle. Elle fut construite pour le maréchal de France Adolphe Niel entre 1863 et 1868. Il est situé rue Montoulieu-Saint-Jacques, en bordure des allées Forain-François-Verdier et du square Boulingrin (le Grand-Rond).

    Histoire

    Lorsque, sous le Second Empire, on décida d'organiser les grands commandements et de placer à leur tête un maréchal de France, Toulouse fut désignée pour recevoir le chef de l'armée régionale du sud (sixième grand commandement militaire). Le maréchal Adolphe Niel inaugura ce commandement en 1859, au retour de la campagne d'Italie. L'hôtel Duranti était alors le siège du quartier général et le maréchal Niel s'y installa. Très vite, on admit la nécessité de lui trouver une installation plus en rapport avec sa fonction et son prestige. La décision de lui construire un palais fut alors prise.

    Dans le quartier des Jardins, conçu par Louis de Mondran au XVIIIe siècle, une longue bande de terre dénommée le Foirail s'étendait entre le jardin Royal et la porte Saint-Étienne. Le , le maire céda à l'État les deux tiers de ce Foirail, soit 10 000 m2, pour la construction du palais. L'État acheta par ailleurs les terrains et immeubles bordant la rue Montoulieu Saint-Jacques et la rue Escoussières-Montoulieu, ces derniers s'appuyant sur l'ancienne muraille romaine. Le palais Niel a donc été construit sur les anciennes fortifications de Toulouse. Une partie des habitations classées insalubres ont été détruites pour la construction du palais et l'aménagement de la place Saint-Jacques.

    Les travaux furent exécutés de 1863 à 1868, et le , le comte de Goyon, nouveau commandant du 6e corps d'armée, prit possession de la demeure car, ironie du sort, le maréchal Niel, devenu entretemps ministre de la Guerre en 1867, ne résidera jamais dans le palais qui porte son nom et mourra un an plus tard en 1869.

    Sur les plans de la ville de Toulouse, le palais Niel porte le nom de « grand quartier général ». En effet, depuis sa construction, le palais a toujours accueilli un haut commandement militaire et son état-major. Aujourd'hui, et ce depuis 1999, le palais Niel est le quartier général opérationnel du général commandant la 11e brigade parachutiste : on y trouve son cabinet, ainsi que la délégation militaire départementale et le centre d'information et de recrutement des forces armées (CIRFA). Haute autorité militaire, le général exerce également les fonctions de délégué militaire départemental et est à ce titre l'interlocuteur privilégié du préfet pour toutes les questions de défense. Il est aussi le commandant d'armes et de la garnison interarmées de Toulouse, c'est-à-dire qu'il a autorité sur les trois différentes armées.

    Description

    Le cadre extérieur

    Parmi les projets proposés, celui du capitaine du Génie Bonnal est celui retenu. Ce Capitaine, d'origine toulousaine, fournit les plans d'ensemble du bâtiment, dont la construction démarre sous le règne de Napoléon III, juste après la construction de l'aile Rivoli du Louvre et de l'Opéra Garnier. Sa particularité demeure dans ses diverses influences architecturales.

    Bâti sur trois niveaux, le bâtiment principal sera critiqué, notamment pour son entrée, jugée trop petite par rapport à l'ensemble, ce qui peut paraître excessif car il est osé de prétendre qu'une entrée plus grande aurait donné plus d'harmonie à la façade. Fait rare dans la région, la toiture mansardée est en ardoise, ce qui n'est pas sans rappeler l'influence de l'architecture parisienne.

    Suite de l'article: sur vikipédia, bien sûr

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  • Les Français, en toutouriste…

    LE FRANÇAIS EST CHAUVIN

    Mer, montagne, gastronomie de haute voltige, beaux paysages, histoire... Notre territoire est riche d’un patrimoine culturel et naturel. Une source de curiosité pour les touristes et... d’orgueil pour ses habitants. Ce dernier trait de caractère nous rend parfois peu populaires. Car on érige notre pays au-dessus de tout, en même temps qu’on le critique. Mais si l’on est fier de nos origines, nous sommes également friands de découvrir d’autres cultures.

    En Europe, la France, forte des cinq semaines de congé minimum par an, est considérée comme l’un des pays où les habitants voyagent le plus. Et il n’est pas rare de nous croiser à l’étranger, souvent dans un musée.

    LE FRANÇAIS MANGE A HEURES FIXES

    Les Français et la gastronomie, c’est l’histoire d’une passion dévorante. Mais aussi d’une obsession pour les arts de la table. On aime manger à heures fixes. Et quand à partir de 12h30, le ventre crie famine, nous devons nous mettre à table rapidement.

    En 2018, une étude de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) révélait que les Français passaient en moyenne plus de deux heures par jour à table, soit deux fois plus que les Américains, considérés comme les Speedy Gonzales des pauses repas. Mais nos habitudes tendent à évoluer: certains renoncent au traditionnel entrée-plat-dessert pour s’accoutumer aux nouveaux modes de consommation, dont la restauration rapide. Comme quoi, le Français, lui aussi, peut changer sans renoncer à son côté épicurien.

    LE FRANÇAIS CRITIQUE (TOUJOURS) LE PAIN

    Notre amour pour le pain semble dépasser tout entendement. Concevoir une baguette relève d’un art complexe, nourri par une passion immense pour la levure et le temps. Une conception parfois difficile à comprendre en dehors de l’hexagone. Pourtant, preuve de notre immense savoir-faire: la baguette a été inscrite en novembre 2022 sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’Unesco.

    Alors oui, on peut avoir la critique facile quand on goûte un autre pain que le nôtre. En réalité, notre réprobation se concentre surtout sur les réplicas de notre culture, pas sur les spécialités locales. Les professionnels du tourisme semblent tous s’accorder: le Français est curieux, et toujours prêt à découvrir ce que peut lui offrir le pays qu’il visite.

    Finalement, nous ne nous soucions peu du regard social: c’est aussi là que réside notre richesse.

     

  • 14 JUILLET: VIVE NOTRE FRANCE ÉTERNELLE!

    GLOIRE A CEUX QUI SONT MORTS POUR ELLE!

     

    VOYANCE de Josyane JOYCE: dans un peu moins de 5 ans, si les Français continuent à gémir et à ne rien faire, il sera beaucoup trop tard pour la France

    Nos hommes politiques baissent les yeux et courbent l'échine… Français, tout est dans les paroles de ton hymne national!

    LA MARSEILLAISE

    Premier couplet 

    Allons, enfants de la Patrie,

    Le jour de gloire est arrivé!

    Contre nous de la tyrannie

    L'étendard sanglant est levé, (bis)

    Entendez-vous dans les campagnes

    Mugir ces féroces soldats?

    Ils viennent jusque dans vos bras

    Égorger vos fils, vos compagnes!

    REFRAIN: 

    Aux armes, citoyens,

    Formez vos bataillons,

    Marchons, marchons!

    Qu'un sang impur

    Abreuve nos sillons!

    COUPLET 3 

    Quoi! des cohortes étrangères

    Feraient la loi dans nos foyers!

    Quoi! ces phalanges mercenaires

    Terrasseraient nos fiers guerriers! (bis)

    Grand Dieu ! par des mains enchaînées

    Nos fronts sous le joug se ploieraient!

    De vils despotes deviendraient

    Les maîtres de nos destinées!

    REFRAIN 

    COUPLET 4 

    Tremblez, tyrans, et vous, perfides,

    L'opprobre de tous les partis,

    Tremblez! vos projets parricides

    Vont enfin recevoir leurs prix! (bis)

    Tout est soldat pour vous combattre,

    S'ils tombent, nos jeunes héros,

    La terre en produit de nouveaux,

    Contre vous, tout prêts à se battre!

    COUPLET 6 

    Amour sacré de la Patrie,

    Conduis, soutiens nos bras vengeurs.

    Liberté, Liberté chérie,

    Combats avec tes défenseurs! (bis)

    Sous nos drapeaux que la victoire

    Accoure à tes mâles accents,

    Que tes ennemis expirants

    Voient ton triomphe et notre gloire!

    REFRAIN