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actualité - Page 24

  • Danger pour bébé

    L'Organisation mondiale de la santé alerte sur les aliments trop sucrés qui sont proposés aux bébés. Il y aurait, selon elle, trop d'étiquettes trompeuses.

    Quelques semaines après que l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses) a publié des recommandations avisant de ne pas introduire trop tôt des "aliments riches en sucres" dans l'alimentation des tout-petits, c'est au tour de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) d'alerter sur l'alimentation trop sucrée des bébés. Le lundi 15 juillet, elle a publié un rapport après avoir étudié près de 8000 produits dans plus de 500 magasins de sa zone Europe, entre novembre 2017 et janvier 2018.

     

    IDEES

    Evitez les mixer: cela fait “bouillir“ le contenu; utilisez les bons vieux moulins à légumes d'autre fois. (moulinette inox, bien sûr)

    LEGUMES

    Faire bouillir dans une casserole une pomme de terre petite coupée en cubes et une carotte pelée. Les écraser avec un peu de beurre et une goutte de sel

    Dans la purée, rajoutez un peu de fromage râpé. Attention, cela sale la purée. N'habituez pas votre enfant au goût salé.

    Ouvrir un pot en verre de haricots blancs cuits à la tomate ou pois chiches ou petits pois-carottes; rincez trois cuillères à soupe sous l'eau courante, mettre dans une casserole avec un verre d'eau minérale (bouchon rose) faites chauffer doucement, retirez, écrasez. Pas la peine de trop saler, les légumes mis en pots de verre sont cuits en saumure (eau salée). N'habituez pas votre enfant au goût salé.

    VIANDE:

    Achetez de la viande hachée en vrac, faites la revenir 10 minutes dans la poêle avec un peu de beurre; salez et défaites-là bien à la fourchette pour faire manger à bébé

    Passez à la moulinette du poulet cuit pour la famille: un poulet label rouge, ou fermier… un que vous avez cuit vous-même.

    Pomme de terre écrasée en purée avec un œuf dur passé à la moulinette-râpe à fromage (un vieil objet que vous pouvez encore trouver dans des quincailleries de village

    Pomme de terre écrasée en purée avec jambon d'York passé à la moulinette-râpe à fromage…

    Les légumes du repas de la famille dont vous avez mis de côté une petite quantité avant de mettre des sauces bizarroïdes, vendues sous platique

    POISSON

    Faites cuire un filet de poisson blanc au court-bouillon, défaites-le à la fourchette, servez avec les légumes écrasés ci-dessus.

    DESSERTS

    Pomme cuite au four avec une toute petite pointe de cannelle en poudre

    Marmelades maison: pelez un fruit, coupez-le en petits cubes, rajouter un demi-verre d'eau, une pointe de vanille ou cannelle en poudre selon le fruit, faites cuire jusqu'à ce que les morceaux soit transparents, feu moyen, en remuant souvent, fouet inox, dans les 6 à 8 mn de cuisson; mixez.

    Rajoutez une ou deux cuillères de votre compote maison dans du yaourt NATURE, du fromage blanc NATURE, de la faisselle NATURE, des petits suisses NATURE, du caillé de brebis NATURE et sans sucrer bien sûr: n'habituez pas votre enfant au goût du sucre.

    Une banane écrasée avec une fourchette dans un bol EN VERRE, avec du fromage blanc NATURE, des petits suisses NATURE, etc…

    Cela ne va pas demander des heures et des heures de préparation…

    Je n'ai JAMAIS nourri ma fille avec des petits pots … merdiques. Oui, les petits pots existent depuis les années 68-69… j'aurais pu en acheter si je voulais. Mais, c'est de la m… et c'est trop cher. Si vous vous soignez le “corgnolon“, pourquoi ne pas soigner celui de vos enfants?

     

  • Intoxication à la salmonelle dans des lots de coppa

    Photo: cansalade plate

     

    Deux nouveaux cas en Haute-Garonne, 15 dans le Gers

    Dans le Gers, une quinzaine de personnes ont été victimes d'une intoxication alimentaire liée à la salmonelle, après avoir mangé de la coppa. Deux personnes ont été hospitalisées à Bouloc en Haute-Garonne.

    Dans le Gers, les personnes intoxiquées sont adhérentes de la fédération nationale des anciens combattants en Algérie, Maroc et Tunisie (FNACA). Après un repas collectif, elles ont été prises de diarrhées et de vomissements, elles ont passé la semaine au lit, certaines ont dû être hospitalisées. Une personne est toujours sous surveillance à l'hôpital.

    Selon les derniers éléments de l'enquête, les convives avaient mangé de la coppa contaminée par des salmonelles.

    Selon France Bleu Occitanie, deux autres personnes, originaires de Bouloc en haute-Garonne, auraient été hospitalisées. Elles ont participé à un repas dans une école où deux autres personnes ont eut les mêmes symptômes sans pour autant être hospitalisées.

    Les lots retirés de la vente

     

    Et oui: la coppa, c'est pas de chez nous…. et en plus, c'est plus cher!

    Chez nous, on fait nos lardons avec la cansalade…. et, en plus, c'est moins cher!

    De plus, vous avez le choix: cansalade roulée (en forme de très gros saucissons) cansalade plate (dont on peu se servir de garnissage de cassole… mais bon, je n'ai jamais fais cela… chez nous, tout est cuit ensemble… l'entoilage à la cansalade, c'est un truc des toqués de la toque!

    La cansalade me sert de... sel pour mes plats... en effet, ayant été piquouzée durant des années à doses importantes de cortisone (ma fille aussi, a du l'avaler en quantité importantes en 91) nous avions -peine perdue pour le tour de taille- été obligée de supprimer le sel... ce qui fait que je ne sale pratiquement pas mes plats et donc, la cansalade me rend ce bon service.

    Si vous êtes comme nous, parfois, offrez-vous des œufs au plat avec du bacon (c'est britich) et c'est presque pareil que la cansalade, en moins salé!

     

  • Attention, danger!

    Photo: ail des ours

    Après la mort d'un sexagénaire, l'Anses alerte sur les risques d'intoxication aux plantes

    L'Anses met en garde contre les dangers, potentiellement mortels, de la cueillette. Avec les beaux jours, attention à ce que vous cueillez dans la nature et mangez, recommande l'agence sanitaire.

    Au mois de mai, les centres antipoison du Grand Est ont recensé vingt cas d’intoxication par du colchique, que des promeneurs avaient pris pour de l’ail des ours ou du poireau sauvage.

    Au mois de mai, les centres antipoison du Grand Est ont recensé vingt cas d’intoxication par du colchique, que des promeneurs avaient pris pour de l’ail des ours ou du poireau sauvage.

    L'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation (Anses) a recensé plusieurs cas d'intoxication grave ces dernières semaines en France. L'agence alerte donc, lundi 1er juillet sur les risques de cueillir et de manger des plantes non comestibles. Récemment encore, un homme est mort à cause d'une erreur de jugement : un sexagénaire qui croyait ramasser du persil tubéreux dans son jardin, l'a mangé. Il s'agissait en fait d'une plante toxique, l'oenanthe safrané, qui ressemble beaucoup au persil tubéreux. La confusion est courante.

    Plus de 250 cas d'intoxication par an

    Se tromper de plante provoque souvent des douleurs bénignes, abdominales, des vomissements, des diarrhées. Mais des symptômes plus graves peuvent également être constatés. Au mois de mai 2019, les centres antipoison du Grand-Est ont recensé vingt cas d’intoxication par du colchique, que des promeneurs avaient pris pour de l’ail des ours ou du poireau sauvage. Là le risque est plus grand : vertiges, perte de cheveux, arrêt cardiaque ou même coma.

    Au total, les pouvoirs publics recensent plus de 250 cas d'intoxication par an à cause de telles méprises. Les confusions les plus fréquentes sont les suivantes : manger des bulbes de narcisses que l'on a pris pour un oignon, des feuilles d'arum confondues avec de l'oseille ou des épinards, de la vérâtre consommée à la place de gentiane, ou de la belladone au lieu de raisin.

    L'Anses conseille donc de ne surtout pas ramasser et consommer une plante, une fleur ou un bulbe si vous n'êtes pas sûr de vous.

    Le mieux encore est d'aller sur mon site de plantes bio

     

     

    par exemple: acheter des fleurs de plantes, ici "fleurs de sureau"

     

  • Glace de framboises, rapide

    Pour 6 personnes :

    500 g de framboises surgelées ou du jardin à surgeler la veille (Vous pouvez garder fraîches quelques framboises pour la déco)

    80 g de sucre en poudre ou moins

    1 verre d’eau, 1 blanc d’œuf; Jus de 1 citron

    Mixer les framboises surgelées jusqu’à ce qu’elles soient bien réduites. Dans un bol, dissoudre le sucre dans l’eau, puis ajouter ce sirop aux framboises, mélanger avec le mixeur.

    Ajouter le jus de citron et le blanc d’œuf, mixer 3 minutes. Placer la préparation au congélateur pendant 1 heure minimum.

    Si vous en avez gardé, mettre des framboises fraîche en déco.

    Faites pareil avec des myrtilles.

    Vous pouvez arroser le mélange, avant re-congélation, d'une lichette d'Armagnac.

    Si vous voulez du croquant, rajoutez -dans le mélange et avant congélation- des fruits secs: amandes, noix de cajou, de macadamia, pistaches, etc.

  • Le temps des cerises....

    Clafoutis de cerises

    350 g de cerises dénoyautées, 4 œufs

    20 cl de lait écrémé ou lait végétal (d’amande par exemple)

    60 g de fécule de maïs; 50 g de sucre de canne; de la vanille nature

    1 pincée de sel

    Préchauffer le four à 210°C.

    Dans un grand récipient, mettre les œufs, le lait, le sucre de canne et la pincée de sel, qeulques gouttes de vanille bourbon liquide, mélanger le tout.

    Ajouter la fécule de maïs, mélanger à nouveau jusqu’à l’obtention d’un mélange homogène.

    Dans un plat en verre bien beurré et recouvert de sucre, mettre les cerises dénoyautées, puis verser le mélange dessus.

    Mettre au four 45 minutes. Attendre deux minutes avant de démouler. Une astuce ancienne: retournez sur un plat “plat“ le moule avec un chiffon mouillé qui entoure le moule.

    Vous pouvez remplacer les cerises par des myrtilles (photo)

     

  • ... et bien, dansez maintenant!

    Cocanha

    Trois voix, ancrées, timbrées, touchantes, aux percussions sonnantes et trébuchantes. Avec Toulouse comme point de rencontre, le trio chante haut et fort cette langue occitane du quotidien, véritable terrain de jeu vocal.

    Mains et pieds claquent les rythmes de la danse. Les tambourins à cordes pyrénéens installent le bourdon percussif, brut et enveloppant, apportant au chant une pulsation vitale.

    Forte de son ancrage, Cocanha chante une musique "locale" dans la continuité de la création populaire.

    Photo: les filles sont au bord de la Garonne.... on aperçoit le Pont Neuf (qui est le pont le plus ancien de Toulouse... malgré son nom!

     

     

     

     

     

  • Mangez du riz français!

    Le riz rond, c'est pour les desserts et le risotto

    Le riz long, pour la blanquette et autres salades

    Inutile d'acheter du riz venant d'ailleurs…. on ne sait pas comment il est produit, d'une part et, d'autres part, vous ferez augmenter la production du riz Camarguais (qui, à cause des importations d'autres pays ne vont pas tarder à faire faillite) et aux riziéristes de par chez nous! vous avez vu le boulot que ça demande? vous n'en feriez jamais autant…

    On s'en fout des autres paysans d'autres pays! Protégeons les nôtres!

    D'ailleurs, autrefois, on n'avait que ce riz Camarguais en France… berkkk les riz parfumés qui empestent la cuisine! Non mais, du riz qui pue dans notre blanquette nationale….

    Surtout, pas de sachet cuisson, le pire du pire!

     

    Protectionnisme européen: le riz va-t-il devenir un produit de luxe?

    L’Union européenne, en taxant le riz en provenance d’Asie, risque fort de faire grimper les prix, au détriment du consommateur européen.

    Le protectionnisme est une politique économique qui vise à protéger les producteurs, au sein d’un même État, pays ou groupe de pays, afin qu’ils ne subissent pas la concurrence des producteurs et importateurs étrangers. À cette fin, plusieurs mesures peuvent être prises, mais la plus commune est de freiner l’importation du ou des produit(s) visé(s) par des normes contraignantes, des frais douaniers, des démarches plus longues ou difficiles ou toute autre chose pouvant décourager les producteurs et importateurs visés. Cette mesure est souvent invoquée afin de protéger l’agriculture bio, mais aussi l’ensemble de l’agriculture, dans certains cas.

    En Europe, suite à une plainte de l’Italie et de l’Espagne, cette politique a été sollicitée auprès de l’Union européenne. La raison de la plainte? Les deux pays affirment fermement que l’importation du riz en provenance du Cambodge et de la Birmanie affecte dangereusement tous les agriculteurs européens.

    Cette affirmation se fonde sur les statistiques suivantes, recueillies récemment: l’importation des deux pays a augmenté de 89% sur les 5 dernières récoltes uniquement, encore bien plus sur les dernières années, ce qui a entraîné une diminution de 29 à 61% du marché du riz européen dans les différents pays de l’Union, rendant ainsi la vie difficile aux agriculteurs des différents pays producteurs européens.

    Il y a plusieurs producteurs de riz en Europe; les principaux sont l’Espagne, la France, le Portugal, la Roumanie, la Bulgarie, la Grèce et la Hongrie. Cependant, la production totale de tous ces pays ne permet pas de combler la consommation annuelle européenne. Par conséquent, l’importation est nécessaire afin de fournir une quantité suffisante sur le marché dans toute l’Europe. Mais l’Italie et l’Espagne affirment que ce riz importé menace le commerce européen, notamment par ses prix relativement plus bas.

    La décision de l’Union européenne par rapport à cette plainte est tombée en ce mois de janvier 2019. Sans plus attendre, l’Union européenne va imposer une taxe d’importation sur le riz en provenance du Cambodge et de la Birmanie. Cette taxe, appliquée pour les 3 prochaines années au moins, s’élève à 175 euros par tonne de riz pour cette première année, puis s’élèvera à 150 euros la deuxième année et 125 euros lors de la troisième.

    Si cette décision est prise pour protéger les agriculteurs européens, qu’en est-il des agriculteurs asiatiques et de nous, les consommateurs?

    Pourra-t-on encore se permettre d’acheter du riz?

    De plus en plus de pays sont soumis à cette taxe d’importation, notamment le Vietnam ou encore la Thaïlande, et ce durcissement en matière d’importation aura forcément des conséquences, bien sûr sur les pays exportateurs et les agriculteurs, mais aussi sur nous, consommateurs.

    En France, le riz est l’un des féculents les plus achetés et consommés: en moyenne, un français consomme 5,38 kg de riz par an, et 90% de la population en mange. Tout comme les pâtes ou les pommes de terre, il s’agit donc d’une des bases de notre alimentation, et celle-ci a déjà subi une augmentation des prix, entre 2008 et 2009, de près de 22% au total des deux années.

     Alors que va-t-il se passer maintenant? Va-t-on à nouveau se retrouver avec des prix plus hauts encore qu’ils ne le sont déjà? Il est fort probable que cela se produise, puisque les cultivateurs hors de l’Europe devront compenser les pertes par des prix d’importation plus hauts, du moins s’ils ne veulent pas pâtir de cette décision.

    Par conséquent, le riz pourra-t-il toujours être considéré comme un produit que tout le monde pourra retrouver dans sa cuisine ou non? Déjà aujourd’hui, pour certaines marques ou pour le riz bio, les prix sont assez élevés et peuvent atteindre jusqu’à plus de 5 euros le kilo, alors que des marques premier prix ou importées peuvent parfois être trouvées à 1 euro du kilo, voire moins.

    Ce dernier cas ne se présentera plus avec l’application des frais de douane, et ce n’est pas pour rien: les prix en magasins sont plus élevés que le prix de l’achat avant import, ce qui veut signifie que si l’importateur augmente ses prix, les magasins font de même!

    Bien sûr, il n’est pas possible d’estimer l’ampleur exacte de cette nouvelle mesure économique, car elle est encore trop récente, mais on peut noter que la taxe s’élève à 17,5% du prix de vente d’un riz à 1 euros/kg, alors imaginez le pourcentage sur les revenus de ces importateurs.

    Si la statistique date, il faut savoir que la moyenne du prix par tonne de riz en 2014, selon la douane française, était de 330 euros. En retirant les 175 euros de taxes il ne reste que 155 euros par tonne pour les exportateurs, soit une baisse de revenus de plus de 50%.

    Une fois que les agriculteurs auront déduit les salaires, produits, outils, etc. auront-ils encore un quelconque bénéfice? Probablement pas. Pour cette raison ils devront probablement augmenter les prix de vente pour l’exportation, ce qui entraînera une hausse des prix plus ou moins conséquente pour nous aussi.

    L’Union européenne va-t-elle revoir sa décision et prendre en compte les cultivateurs de l’Asie du Sud et, surtout, les consommateurs? Ou va-t-elle conserver sa mesure, quitte à laisser le prix du riz exploser et devenir un produit de luxe? Les prochains mois nous le dirons très probablement.

    Et si …

    Et si cette mesure avait été prise en Amérique, serait-elle soutenue et bien vue comme ici en Europe par beaucoup, ou serait-elle plutôt contestée, critiquée et condamnée, comme souvent pour ce pays? Bien sûr, la réponse est dans la question…

    Par ailleurs, le ministère du Commerce a tout de même critiqué cette mesure en affirmant qu’elle était "une arme destinée à tuer les agriculteurs cambodgiens", car ceux qui vivent de ces importations risquent de voir leur bénéfice grandement diminuer et se retrouver ainsi en position de précarité. Il a donc invité l’Union européenne à revoir sa décision "sur base des règles de commerces internationales et de la bonne coopération traditionnelle entre les pays concernés".

    Théophile Gacogne