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blog - Page 40

  • Niacine

    Le poulet apporte à votre organisme différentes sortes de vitamines, toutes essentielles au bon fonctionnement de votre organisme. Le poulet est une source importante de vitamine B3 (niacine). Celle-ci permet, entre autre, de conserver une peau saine. Il apporte également de la vitamine B6, ou pyridoxine, qui entre dans le processus de régulation et de construction des tissus, à partir des protéines. Enfin, le poulet apporte de la vitamine B5 (acide pantothénique). Celle-ci est notamment utile pour le renouvellement de la peau et des cheveux et pour le fonctionnement du système immunitaire. Elle permet également de lutter contre le stress et intervient dans la transformation des sucres et des graisses dans les cellules de l’organisme.

    Ces vitamines sont donc indispensables à la dégradation des glucides, des lipides et des protéines. Les vitamines du groupe B sont des cofacteurs de différentes enzymes qui régulent le métabolisme des glucides, des lipides et des protéines.

    Génère de l’énergie dont à besoin l’organisme

    Le poulet est une excellente source de vitamine B3. Appelée aussi niacine, la vitamine B3 participe à de nombreuses réactions métaboliques et contribue particulièrement à la production d'énergie à partir des glucides, des lipides, des protéines et de l'alcool que nous ingérons. La vitamine B3 est le précurseur de deux coenzymes : le nicotine adénine dinucléotide, ou NAD, et le nicotine adénine dinucléotide phosphate, ou NADP, qui sont impliqués dans toutes les réactions antioxydantes de l’organisme. Le NAD est surtout utilisé pour les réactions d’oxydation et le NADP pour celles de réduction.

    Le NAD se trouve essentiellement dans les mitochondries alors que le NADP est essentiellement présent dans le liquide intracellulaire. La vitamine B3 est nécessaire au bon fonctionnement de plus de 50 enzymes. Sans elle, notre corps ne serait pas capable de générer de l’énergie ou de fabriquer des graisses à partir des glucides. La vitamine B3 est également employée par l’organisme pour fabriquer des hormones sexuelles ainsi que d’autres signaux chimiques importants.

    Niacine contre le déclin cognitif

    Des chercheurs ont suivi 3 718 patients sur une période de six ans dans le cadre du projet de Chicago vieillissement et santé. Au début de l’étude, tous les sujets étaient âgés de 65 ans et plus et n’étaient pas atteints de la maladie d’Alzheimer. Un questionnaire alimentaire complété par les sujets a fourni des informations concernant les quantités de niacine provenant de l’alimentation ou de suppléments nutritionnels qu’ils consommaient. Leurs fonctions cognitives ont été testées tous les trois ans.

    Au bout de trois ans, un échantillon de 815 participants constitué de façon aléatoire a été évalué et l’on a diagnostiqué la maladie d’Alzheimer chez 131 d’entre eux. Dans ce groupe, ceux dont la consommation de niacine, que ce soit dans l’alimentation ou par des suppléments nutritionnels, se situait dans le quintile supérieur ainsi que ceux dont la consommation était dans les deuxième et troisième quintiles les plus élevés avaient 70% moins de risque de développer une maladie d’Alzheimer que ceux dont la consommation de niacine était dans le quintile inférieur.

     

    Lorsque l’effet de la niacine sur le déclin cognitif a été étudié sur la totalité de la population de l’étude, on a constaté qu’elle le ralentissait et que cette association était encore plus forte lorsque l’on excluait de l’analyse les sujets atteints de maladies cardiovasculaires, avec des scores cognitifs initiaux faibles ou ayant fait moins de douze années d’études. Le déclin cognitif de ceux qui avaient la plus forte consommation de niacine était 44 % moins important. Les résultats de cette première étude suggèrent que la niacine est impliquée dans la synthèse et la réparation de l’ADN et dans la signalisation des cellules neuronales. Elle agit également dans les cellules cérébrales comme un puissant antioxydant.

    Participe au maintien du bon état de la peau

    La vitamine B3 participe au maintien du bon état de la peau. La carence en vitamine B3 se manifeste par la pellagre. Les signes cutanés constituent la manifestation la plus typique de la maladie. On observe des érythèmes symétriques apparaissant sur les parties découvertes : tête, cou et extrémités des membres. Ils sont douloureux et provoquent une sensation de cuisson. La lésion est d’abord œdémateuse puis elle desquame en laissant une peau brunâtre, sèche, rugueuse et atrophique. Elle est associée à des signes digestifs, psychiques et hématologiques.

  • Le burger, on le voit partout…. Et alors???

    Je n'ai été que deux fois au Macdo (et jamais dans les autres)

    Une fois, quand ma fille était ado, et pour savoir ce que c'était vraiment cette cuisine amerloque. Mais devinez quoi??? J'ai pas aimé du tout!

    La 2e fois, parce que j'étais à Paris (invitée par une amie de F.2 et que ma fille sous cortisone avait une faim de loup et que je ne connaissais aucun resto.. du coup, je me suis dit, bof!

    Mais, ces amerloques, ils n'ont pas inventé la viande dans la pain… ce serait plus tôt,Lord Sandwich, un an angliche par bête….et d'ailleurs, autrefois au Moyen-Age, il n'y avait pas d'assiette: les plats étaient servis avec ou sur une énorme tranche de pain plat, qui était consommée après les aliments…

    Nous avons inventé le pain… et qui donc peut affirmer qu'aucun Français au cours siècles n'avait eu cette idée? Hein, je vous demande!

    Vous pouvez aussi remplacer le pain par des alternatives comme de grandes feuilles de laitue ou des feuilles de chou qui peuvent envelopper les ingrédients du "burger", ajoutant croquant et fraîcheur tout en réduisant les calories.

    Des tranches épaisses de tomates peuvent être utilisées comme buns pour un "burger"estival léger, particulièrement bon avec des burgers de poulet ou de dinde.

    Pour une touche croustillante, les galettes de riz peuvent remplacer le pain. Elles sont légères, mais supportent bien les garnitures si on les mange rapidement. Mais, attention ne pas utiliser trop souvent: elles font monter la glycémie d'un pic énorme.

    Enfin, tranchées et rôties, les patates douces comme sur notre illustration peuvent servir de base sucrée pour compléter les saveurs riches de la viande et des garnitures.

    "Burger" d’aubergine grillée au fromage de chèvre

    Le "burger" d’aubergine est une délicieuse alternative végétarienne au "burger" traditionnel. Ingrédients

    1 grosse aubergine, coupée en rondelles épaisses; 150g de fromage de chèvre frais

    2 tomates, tranchées; Feuilles de basilic frais

    Huile d’olive; Sel et poivre

  • Saucisse de Toulouse aux lentilles

    Plat par cher et roboratif (pour les travailleurs de force)

    Pour 4:

    250g de lentilles vertes; 400g saucisse de Toulouse (la vraie!)

    2 ou 3 carottes; 1 oignon,  4 ou 6 pommes de terre moyennes

    Quelques feuilles de laurier; huile d'olive ou graisse de canard

    Poivre et sel

    Dans une cocotte, dans la graisse de canard, faire cuire à bien brun l'oignon coupé en cubes et rajoutez la saucisse de Toulouse coupée en 4 morceaux

    Remplissez votre cocotte d'eau (ou de bouillon) plongez-y vos carottes en rondelles et vos pommes de terres coupées en morceaux. Salez et poivrez au goût

    Mettez les feuilles de laurier, émincez l'ail et ajoutez-le à la préparation. Vous pouvez mettre les lentilles.

    Faites cuire feu moyen et à couvert au moins 30 minutes. Au service, vous pourrez rajouter du persil haché

  • Sur le net... les cassoulets bidon

    Une recette de cassoulet  qui m'a fait tomber de la chaise! Je n'ose même pas la déposer dans la rubrique "cassoulet"!

    Cassoulet au bacon

    Catastrophe: du porc fumé?? Ha non, alors!

    Bon,d'accord, on peut mettre des viandes de porc différentes pas surtout pas de viande fumée: JAMAIS!

    Une recette que j'ai trouvée sur le net…. Rien à voir avec la mienne, croyez-moi… et puis, c'est quoi cette histoire de bacon? Chez nous, on appelle cela la cansalade: poitrine salée!

    Pour 4

    500 g de haricots blancs;1 oignon; 2 gousses d'ail

    1 boîte de concentré de tomates; 5 tranches de bacon

     sel, poivre; 200 g de saucisses de Toulouse; 100 g de porc fumé

    Feuilles de laurier; thym

    Plongez vos haricots blancs dans l’eau froide toute une nuit. Le lendemain, faites-les cuire dans une cocotte remplie d’eau. Ajoutez le thym et les feuilles de laurier à feu doux. Salez, poivrez.

    Versez ensuite le concentré de tomates. Hachez l’ail et ajoutez-le.

    A part, faites revenir dans une poêle l’oignon haché, le bacon (sic) et le porc fumé en morceaux, ainsi que les saucisses de Toulouse.

    Versez les viandes dans la cocotte. Faites cuire 1h30.

    Ben, 1h30, c'est pas bézeff!

  • Journée mondiale

    Hier, c'était la journée mondiale de la sclérose en plaques…. M6 nous a parlé de la journée nationale de la pomme de terre!


    Contente de savoir que 115 000 Français et plus de 2 millions de gens dans le monde sont aussi respectables que des sacs de patates!

  • Soupe froide de betterave au chèvre frais

     

    Pour 4 personnes

    2 betteraves cuites, 1 gousse d'ail; 1 citron, 4 cuillères à soupe de chèvre frais

    250 ml de crème liquide allégée,  Sel, poivre

    Coupez es betteraves en petits cubes et les placer dans un mixeur. Ajoutez la gousse d'ail pelée et dégermée ainsi que le jus de citron.

    Commencer à mixer tout en versant la crème liquide jusqu'à l'obtention d'une soupe lisse. Salez et poivrez à convenance.

    Servir dans des bols avec une cuillère à soupe de chèvre frais.

  • Sucre: dangers

    La maltodextrine, ce nouveau danger, figurant parmi les sucres cachés dans l’alimentation ultra-transformée

    Dans un bilan publié par l’Agence nationale de sécurité sanitaire, de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) et intitulé Bilan de l’utilisation des sucres et édulcorants dans les aliments transformés, l’agence publique donne de nouvelles clefs de compréhension sur ces aliments cachés qui nous veulent rarement du bien. 

    Certains aliments issus des produits agroalimentaires ultra-transformés, peuvent contenir un ingrédient qui n’était jusqu'alors pas classé parmi les sucres, mais dont on observe qu’il se comporte comme tel pour notre corps. En effet, la maltodextrine, est utilisée en tant qu’additif et principalement issue de l’amidon de maïs. 

    Afin d’enfoncer un peu plus le clou sur les dérives des produits ultra-transformés, le rapport de l’agence publique passe "en revue les listes des ingrédients sur plus de 54 000 produits présents sur le marché entre 2008 et 2020 et répertoriés par l’Observatoire de l’alimentation - Oqali. Ce bilan montre que la majorité des produits contient au moins un ingrédient sucrant ou vecteur de goût sucré, et ce, même dans des produits salés. Toutefois, l’Agence observe une baisse de l’utilisation des ingrédients sucrants au cours des 10 dernières années, notamment les sirops de sucre et les édulcorants".

    Ce sucre caché derrière d’obscurs intitulés représente trois-quarts des produits testés (77%). Les différents termes reconnus, annexes à la mention classique de "sucre", sont notamment le glucose, le saccharose ou encore le fructose. Cependant, un nouvel ingrédient pourrait bien intégrer cette liste qui ne fait que se rallonger. Les industriels ne manquent pas de ressources pour trouver de nouveaux agents sucrants à leurs recettes. 

    Présente dans de nombreux aliments comme le pain, les chips ou encore les préparations pour nourrissons, la maltodextrine serait un glucide bien plus dangereux que le sucre. Bien qu’aujourd’hui non classé comme étant du sucre et n’ayant pas de goût sucré, son indice glycémique serait bien plus élevé que ce dernier. Il atteindrait entre 116 et 136, contre 70 pour le sucre de table et 100 pour le glucose. D’autres études l’estiment à un indice glycémique de 96, minoré mais malgré tout bien trop conséquent. Selon le Dr. Berg, de tous les ingrédients alimentaires ultra transformés, celui-ci serait le pire. Il pourrait mener à la graisse abdominale, mais aussi au diabète, à l’inflammation intestinale ou encore à une dysbiose, venant favoriser la prolifération des mauvaises bactéries dans le microbiote. De quoi figurer comme un réel danger sanitaire dont il serait temps de se prémunir. 

    Cet ingrédient, utilisé notamment comme substitut de graisses ou de sucre, détient de nombreux avantages pour les industriels. Sans surprise, ces derniers ont un coût de fabrication peu onéreux et rapporteraient plus de 2,6 milliards d’euros par an. Une mine d’or sur laquelle il risque d’être compliqué de légiférer. Le rapport de l’Anses saura-t-il ouvrir la voie à l’action gouvernementale?