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cuisine - Page 231

  • Le clafoutis

    Ben en cherchant sur le web, j'ai découvert qu'il n'était pas du Sud-Ouest. Cela m'épate! car, chez moi, on en faisait tout l'été! mais, puisque c'était bon pour nous, cela sera bon à vous.

    Il faut garder les noyaux, c'est bien meilleur ainsi. Et donc, des enfant qui mangent un clafoutis, ça donne quoi?

    Moi, j'aimais le faire car il n'est pas utile d'y mettre les doigts pour le malaxer. N'essayez même pas, vous auriez à perdre un temps four pour vous nettoyer les mains!

     

    Ce gâteau simplissime est idéal pour mettre en valeur les fruits de saison, y compris après le temps des cerises.

    Une origine limousine

    Le clafoutis est un dessert originaire du Limousin, que l’on retrouve en Auvergne dans une variante très proche généralement appelée "milliard" ou "millard". On le prépare traditionnellement avec des cerises noires, que l’on répartit dans un plat à four beurré avant de les couvrir d’une sorte pâte à crêpes épaisse (farine, lait, œufs et sucre en poudre). Après un passage au four, il se sert tiède, saupoudré de sucre.

    Son nom viendrait du patois clafir qui signifie farcir, garnir ou remplir. Il pourrait aussi être issu du vieux français claufir, lui-même venu du latin clavo figere qui signifie fixer avec un clou, les cerises faisant ici office de clous. Pour la petite histoire, quand l’Académie française voulut, dans les années 1960, définir le clafoutis comme une « sorte de flan aux fruits », elle dut faire face aux protestations outrées des Limousins. Ceux-ci réussirent finalement à imposer la définition de « gâteau aux cerises noires » !

    Le clafoutis sucré

    Le clafoutis classique se prépare avec des cerises non dénoyautées, d’une part pour éviter que le jus des fruits ne détrempe et colore la pâte, d’autre part parce que les noyaux apportent une touche aromatique supplémentaire. Si vous avez peur pour les dents de vos enfants ou de vos convives, retirez les noyaux et ajoutez quelques gouttes d’essence d’amande à la pâte. Mais le clafoutis est délicieux avec de nombreux autres fruits de saison (prunes, pêches, abricots, fraises, framboises, raisins, poires, bananes, fruits exotiques…) ou même des fruits au sirop égouttés.

    La recette de base

    Pâte à clafoutis sucré pour 600 g de fruits environ

    4 œufs, 100 à 150 g de sucre en poudre en fonction de l’acidité des fruits, 100 g de farine, 300 ml de lait, 1 pincée de sel, beurre pour graisser le plat. Vous pouvez aussi ajouter, comme dans la pâte à crêpes, une lichette d’un alcool aromatique pour réveiller la saveur (armagnac, kirsch, rhum, calvados, pastis…).

    Préchauffez le four à 180 °C.

    Mélangez la farine, le sucre et le sel dans un saladier. Creusez un puits au centre, cassez-y les œufs et mélangez avec une spatule. Versez le lait petit à petit (et éventuellement l’alcool) tout en continuant à mélanger pour obtenir une pâte lisse.
    Elle n'est pas épaisse, donc ne paniquez pas si vous la voyez couler.

    Répartissez les fruits au fond d’un moule à manqué généreusement beurré, versez la pâte et enfournez pendant 40 minutes.

     

    Le clafoutis salé

    Facile à vivre, le clafoutis se déguste aussi en mode salé, idéal en cubes pour l’apéritif ou avec une salade en guise de repas sur le pouce. La garniture se choisit en fonction de la saison et du contenu des placards: tomates cerises pour rappeler les traditionnelles cerises, légumes précuits, tomates séchées, olives, lardons, dés de jambon, poissons fumés…

    Le secret pour donner du goût: des dés ou des lamelles de fromage (comté, fromage fondu, munster, bleu…), ainsi que des épices et des herbes fraîches à volonté. En manque d’inspiration? Piochez des idées dans vos recettes de cakes salés.

    La recette de base de la pâte à clafoutis salé : 4 œufs, 100 g de farine, 250 ml de lait, 100 g de fromage râpé (gruyère, emmental, comté, mimolette…), 1 pincée de sel, beurre pour graisser le plat, environ 400 g de garniture au choix.

    Préchauffez le four à 180 °C.

    Mélangez la farine et le sel dans un saladier. Creusez un puits au centre, cassez-y les œufs et mélangez avec une spatule. Versez le lait petit à petit tout en continuant à mélanger pour obtenir une pâte lisse. Elle n'est pas épaisse, donc ne paniquez pas si vous la voyez couler.

    Répartissez la garniture au fond d’un moule à manqué généreusement beurré, versez la pâte et enfournez pendant 40 minutes.

    Astuce: que le clafoutis soit sucré ou salé, remplacez le lait par du lait concentré non sucré ou de la crème liquide pour un résultat encore plus moelleux.

  • RAGOUT

    Un ragoût, ou ragout depuis 1990, désigne un type de préparation culinaire dont le nom vient de l'ancien français "ragoûter", de raviver le goût. On désigne généralement par ragoût un mélange de viande, de légumes et de pommes de terre ou de légumineuses cuit à feu doux dans une sauce, cette dernière étant ce qui distingue le ragoût de la potée, cuite dans le bouillon. En outre, la potée utilise souvent des salaisons (lard, jambon, saucisses…), tandis que le ragoût utilise plus souvent de la viande fraîche, ce qui conditionne sa cuisson.

    Le ragoût suppose souvent de faire rissoler la viande par exemple avec des oignons avant de la mettre dans la casserole ou la cocotte avec les légumes et les pommes de terre, ce qui permet de constituer la base de la sauce qui sera ensuite complétée par adjonction d'eau ou d'une boisson locale typique, telle que du vin ou de la bière, dans laquelle fondront certains des ingrédients (telle que la tomate) et éventuellement d'un épaississant tel que le pain ou de la farine.

    Le plat est traditionnellement longuement cuit à feu doux et servi en plat unique. C'est un plat ancien et populaire et que l'on trouve avec diverses variations locales dans toutes les régions d'Europe. Bien sûr, il change de nom selon le parlé local. Chez nous, on disait quelquefois: le “rata“, nom donné par les militaires pour parler de la cuisine des armées.

    La viande utilisée peut être du porc, du bœuf ou du veau, du mouton ou de l'agneau. Les légumes utilisés sont par exemple les carottes, navets, céleris, oignons, pommes de terre. On trouve aussi des légumineuses tels que les haricots, les pois chiche ou des fèves.

    Par ailleurs, la préparation en ragoût peut également s'appliquer à des recettes végétariennes telle que le Ragoût de soja. Mais, ce n'est pas du tout mon truc.

    Bien sûr, la longue cuisson suppose d'avoir choisi des viandes peu nobles. Mais, c'est économique. Le ragoût, le plus souvent est meilleur réchauffé.

    Même si vous travaillez et rentrez tard, vous pouvez faire du ragoût. J'ai travaillé des dizaines d'années en entreprise: je faisais mon ragoût ou tout autre plat mijoté, la veille, à la cocotte-minute, tandis que je me détendais en regardant la télévision. Avant d'aller au lit, je l'entreposais sur la fenêtre, en hiver et s'il ne gelait pas ou déposé dans le réfrigérateur. Bien sûr, pour l'installer sur la fenêtre, il vaut mieux habiter au minimum au 1er étage. De même, si la journée devenait plus chaude que 10°, je sortais mon plat pour l'entreposer au réfrigérateur, voire sur le comptoir. On n'est pas obligé de toujours tout mettre au réfrigérateur: cela dépend de la température de la pièce mais un ragoût peut se conserver au moins un jour dans la cuisine mais, dans un plat de céramique, porcelaine ou inox. Vous n'agissait ainsi que si vous n'avez qu'une seule portion; sinon, vous devez le mettre au réfrigérateur si vous le consommait en plus de 24 h.

    Le lendemain, je n'avais plus qu'à faire réchauffer et me délecter.

  • Nature vivante: une éthique philosophique de la nourriture

    Nous avons souvent du mal à imaginer les plantes comme des êtres intelligents car on relie généralement l'intelligence à la présence d’un cerveau et d’un système nerveux, dont les plantes sont dépourvues. Pourtant, pour le philosophe, les plantes sont des êtres intelligents, sociaux et complexes. La preuve en est qu’elles communiquent entre elles.

    Par exemple, Michael Marder cite une recherche parue en 2014 (3) qui montre que les plantes "peuvent repousser ou accélérer leur propre floraison en fonction des informations qu’elles ont reçues de leurs voisines via des molécules émises par les racines. Si, dans des conditions de laboratoire, une plante est exposée plus longtemps à la lumière, non seulement elle fleurira plus vite, mais elle transmettra aussi par les racines l’information sur ces circonstances favorables à une autre plante qui n’en profite pas directement". Conséquence : la plante destinataire de l’information fleurira aussi plus tôt que prévu.

    Mais le système agricole actuel, qui ne se préoccupe pas forcément du "bien-être végétal, considère plutôt les plantes comme des machines organiques servant à produire nourriture, bois ou carburant. De plus, les pratiques agricoles agissent sur le patrimoine génétique des plantes, dans l’objectif de générer plus de profits. 

    Concernant notre alimentation proprement dite, le philosophe signale qu’ "il faut savoir que nous pouvons nous nourrir de certaines de leurs parties, comme les fruits, sans tuer l’organisme entier. Dans les cultures non-occidentales, c’était vraiment un critère important pour un régime acceptable: le jaïnisme, par exemple, bannit la consommation de végétaux racines, comme les carottes ou les betteraves. "En effet, dans cette religion, on considère que les racines hébergent les âmes des plantes.

    Globalement, le philosophe pense que nous accordons trop d’importance aux choix personnels dans les comportements alimentaires, en oubliant les végétaux et les animaux qui nous entourent. En définitive, "manger n’est pas une activité très éthique" en soi car celui qui mange détruit ce qu’il mange ! Mais il admet aussi que "La façon la plus éthique de manger est de se nourrir de fruits et légumes qui ont poussé localement."

    Enfin, au lieu de penser uniquement à ce qui est dans notre assiette, le philosophe aimerait que l’on pense aussi à la manière dont on reçoit et respecte cette nourriture, par exemple en remerciant pour ce don qui nous est fait.

    (1) Plant-Thinking: A Philosophy of Vegetal Life, Michael Marder, 2013, Paperback.

    (2) The Philosopher's Plant: An Intellectual Herbarium, Michael Marder, 2014, Paperback.

     (3) Falik O, Hoffmann I, Novoplansky A. Say it with flowers: flowering acceleration by root communication. Plant Signal Behav. 2014;9:e28258.

  • Donc, vous avez compris....

    que toutes les notes de ce blog doivent être lues

    OUI, TOUTES!

    depuis l'ouverture du blog!

    sinon vous perdrez des tas d'informations importantes à savoir sur la cuisine ancienne et traditionnelle!

     

    Post scriptum: cette note reviendra régulièrement sur le blog et j'espère que vous ne m'en voudrez pas trop du rabâchage... mais, les nouveaux doivent être informés....

    BONNE LECTURE!

  • Votre horoscope insolite et déjanté

    Amour, Travail est en ligne

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  • Piperade jambon

    Plat léger d'été

    pour 4 personnes :

    4 tranches généreuses de Jambon de Bayonne

    8 œufs; 1 kilo de poivrons verts

    1 kilo de tomates; du persil haché

    1 piment, 1 oignon, 1 tête d’ail

    Huile, sucre, sel

    1 cuillère de graisse d’oie ou de canard

    Commencez par éplucher, épépiner les poivrons verts, les tailler en lanières, les faire étuver dans deux cuillerées à soupe d’huile avec l’oignon émincé, l’ail, les tomates épluchées, le piment taillé en rondelles; ajoutez une pincée de sucre.

    Faites cuire doucement jusqu’à évaporation complète. Battre  ensuite les huit œufs en omelette, salez légèrement.

    Passes, pendant deux minutes, quatre tranches de Jambon de Bayonne dans la graisse d’oie ou canard et réservez au chaud versez ensuite la graisse de cuisson dans les légumes.

    Hors du feu, incorporez les œufs au mélange de tomates et de poivrons.

    Brouillez, avec une fourchette,  l’ensemble qui doit être moelleux puis mettre sur feu doux pendant trois minutes.

     

  • Lauragais: mon pays de cocagne

    Un peu d'histoire: Selon les uns (Chapelet), le pays de Cocagne est la partie du Languedoc qui composait l'ancien duché de Lauraguais. C'est là que se fabriquaient des pains coniques formés avec la feuille écrasée du pastel, et désignés sous le nom de coques ou coquaignes de pastel. Los coquaignes qui servaient à la teinture ont été pendant longtemps une source de richesse pour le pays.

    On reparlera bientôt du Pastel...

    De là est venu l'usage de comparer les pays riches et heureux au pays où se fabriquaient les coquaignes, au pays de coquaignes. En répétant le mot, on a forcé l'idée, et pays de cocagne a fini par être synonyme de félicité parfaite.

    Suivant d'autres, c'est-à-dire suivant M. Génin, ce bienheureux pays de Cocagne est, ou plutôt était l'Italie. Autrefois, au XVIème et au XVIIème siècle, il y avait à Naples une montagne figurant un Vésuve d'où jaillissait a profusion du macaroni, de la viande et des saucisses que les gens du peuple se disputaient. Cette réjouissance s'appelait une cocagne, en italien coccagna, du vieux français cocquaigne, qui signifie contestation, dispute.

    Cette explication, si elle était la bonne, aurait le mérite de rappeler l'origine de notre Mât de cocagne (prochaine note) car, aujourd'hui que l'idée de lutte a disparu, et que le mot cocagne est devenu synonyme d'abondance et de plaisir, le nom de mât de cocagne est un peu ironique. Il y a bien là-haut, en effet, des richesses que l'on vous offre, mais il faut les aller chercher, et ce n'est jamais sans beaucoup de peine qu'on arrive à ce résultat.

    Le mot cocagne semble promettre des jouissances plus faciles; le mât savonné ne permet guère de citer le proverbe qui sert à caractériser l’abondance:

    "Il n’y a qu’à se baisser et en prendre."

    L’étymologie du nom a été très discutée

    Aux Pays-Bas, on a dit qu’il venait de celui de la ville de Kockengen dans la province d’Utrecht, ou bien de l’expression "het land van de honingkoeken:" le pays des gâteaux de miel».

    Le mot anglais "cockaigne" serait attesté dès 1305 environ, issu de l’ancien français"coquaigne». Lui-même est d’origine obscure : provient-il de mots hérités du latin"coquere","cuisiner"(par exemple l’anglais "to cook") ou bien d’autres mots germaniques désignant les gâteaux, comme l’anglais "cake", le wallon "couque", etc.?

    Mais les "coques" ou "coquaignes" désignent aussi des petits pains de pastel fabriqués dans le Lauragais en Languedoc à partir d'une plante appelée le pastel, dont était extraite une teinture bleue (d'où le bleu pastel). Elles firent la fortune de ce pays et lui donnèrent le surnom de Pays de cocagne. Cette couleur est aussi dite "bleu de Cocagne". L'expression remonterait au début du XIIIe siècle et évoque déjà toute la richesse symbolisée par le pastel dans l'économie du Lauragais et de l'Albigeois où la plante fut cultivée et sa teinture commercialisée.

    Le Pays de Cocagne est, dans l'imaginaire européen, une sorte de paradis terrestre, une contrée miraculeuse dont la nature déborde de générosité pour ses habitants et ses hôtes. Loin des famines et des guerres, Cocagne est une terre de fêtes et de bombances perpétuelles, d'inversion des valeurs et des lois naturelles, où l'on prône le jeu et la paresse, et où le travail est proscrit.

    Les frontières terrestres du Pays de Cocagne sont faites de montagnes de bouillie ou de gelée. Une fois arrivé dans cette contrée paradisiaque, on peut s’attendre à ce que les cailles nous tombent toutes rôties dans le gosier, comme le fait le soldat situé à gauche du tableau, bouche grande ouverte, et néanmoins protégé par un toit couvert de tartes. On y voit des oies qui viennent se jeter toutes cuites sur les plats, des cochons qui accourent vers nous lardés d’un couteau et des cactus formés de galettes, des œufs à la coque qui courent…

    Ici les soldats ont déposé leurs armes, les agriculteurs leur fléau, les étudiants se couchent sur leurs livres, pour une trêve perpétuelle sous les auspices d’une nature généreuse. Le pays de Cocagne peut être vu comme une expression de l’aspiration à la prospérité universelle, à la paix et à l’égalité, un paradis terrestre, une utopie

    Dans son livre La faim et l’abondance, Massimo Montanari situe la naissance du mythe de Cocagne entre le XIIe et le XIVe siècle. On trouverait une des plus anciennes références dans les Carmina Burana, ces chants de clercs vagabonds rebelles et défroqués qui célébraient le vin, l'amour libre, le jeu et la débauche (les Goliards).

    Un personnage s’y présente comme l’abbé de Cocagne: "Ego sum abbas cucaniensis". En 1250 environ, un texte en ancien français intitulé le Fabliau de Coquaigne décrit ce pays de fêtes continuelles, du luxe et d’oisiveté, où plus on dort et plus on gagne.

    Cocagne vient selon les uns du canton de Cuccagna en Italie, sur la route de Rome à Loreto; selon d'autres, du poète macaronique Teofilo Folengo, surnommé Merlin Coccaie, qui dans ses vers aurait décrit ce pays délicieux; ou enfin d'une fête instituée à Naples sous un nom analogue, dans laquelle on distribuait au peuple des comestibles et du vin.

    Notre pays de cocagne est universellement connu:

    Dans le film d'animation Disney Pocahontas, le héros John Smith parle du nouveau monde comme de "cette terre de cocagne".

    Georges Brassens, dans sa chanson “Auprès de mon arbre“, appelle son arbre “mon mât de cocagne“. Dans les fêtes de village, le mât de cocagne, attraction traditionnelle, était un poteau savonné en haut duquel on accrochait des jambons, des bouteilles et autres friandises que les jeunes montaient décrocher à leurs risques et périls et au grand amusement de la foule.

    Il a aussi écrit “Je bivouaque au pays de Cocagne“, texte mis en musique par Joël Favreau. En 1965, Jeanne Moreau chante également “Vie de Cocagne,“ sur un texte et une composition de Serge Rezvani.

    Jacques Brel, dans sa chanson Le Plat Pays nous dit “Avec des cathédrales pour uniques montagnes et de noirs clochers comme mâts de cocagne“

    Ne croyez surtout pas que les gens d'ici soient des fainéants et que tout leur est donné… le pays de Cocagne est un pays imaginaire. Un paradis que l'on voudrait bien connaître pour aller s'y nicher et ne plus jamais avoir de problèmes.

    Comme disait l'autre, la vie n'est pas un long fleuve tranquille. Chez nous comme là-bas; comme chez toi et chez les autres.

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    Symbolisme: le pastel