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Savez-vous qui se trouve entre Gaillac et Rabastens?
Quelqu'un qui a trop bu!
Désolée pour les habitants du coin!!!
Ce sont tous mes préférés... j'adore le Cahors, Madiran, Buzet, Corbières, Gaillac...
Rouge seulement et uniquement!
Connaissez-vous le rikiki?
Le Grenache à disparu depuis trois ou quatre ans.... il ne reste que le vin de Thuilié... 1 tuerie! si vous le manquez, je ne peux rien faire pour vous.
Moi, je bois le même vin tout au long du repas... mais, je ne bois qu'au restaurant: bonne chère, bon vin! à la maison, je bois de la Salvetat. Et le rikiki... au moins deux fois par semaine. Le vin, c'est l'antioxydant qui nous protège de l'Alzheimer... donc, té, comme vous, j'en bois!
Au fait: le vin de Fronton, je vous le laisse... Mais, vous aussi, laissez-le... ça vaut mieux
On nous oblige à dire qu'il faut boire avec modération. Donc, acte.
Forts ou légers, tanniques ou fruités, les vins de Midi-Pyrénées sont aussi variés que les régions qui les ont vu naître. Cahors, gaillac, fronton, madiran et pacherenc du Vic Bilh, marcillac, etc. pour les plus prestigieux des vins AOC, mais aussi côtes de St-Mont, côtes de Brulhois, vins d'Entraygues et du Fel, etc. pour les VDQS ; pour les apéritifs, bien entendu l'armagnac, l’hypocras en Ariège, le pousse-rapière et floc de Gascogne dans le Gers.
Le vignoble de Buzet, 1800 ha, donne une gamme assez étendue de vins, blancs, rouges et rosés, agréables, légers, charnus et fruités, traités de façon traditionnelle, dont 11 châteaux et domaines.
À côté, sur la même rive de la Garonne, s’étend le vignoble des côtes du Brulhois (200 ha), "vins noirs " qui se marient fort bien avec truffes, cèpes, civets et cassoulets du pays.
Le vignoble de fronton AOC (les " côtes-du-frontonnais ") s’étend sur 1 850 ha, sur la rive gauche du Tarn. La caractéristique de ces crus est la prédominance de la négrette. Nommé ainsi en raison de la peau noire du raisin et la couleur rouge foncé de son vin, ce cépage fut rapporté de l’île de Chypre par les Chevaliers de St-Jean-de-Jérusalem. Le reste est constitué de Gamay, Cabernet, Cot, Syrah, Fer-Servadou. Tel encépagement donne des vins très typés, caractérisés par une large palette d'arômes (cassis, violette, framboise, épices, réglisse).
Le vignoble de gaillac AOC s’étend sur 2 500 ha, dans le Tarn, au nord-est de Toulouse. La viticulture florissait dans cette région dès la fin du Ier s. av. J.-C. On a découvert à Montans l’atelier qui fabriquait les amphores vinaires. Au Moyen Âge, Gaillac et son vignoble se développent sous l’influence des moines bénédictins. Transporté sur le Tarn jusqu’à Bordeaux, le gaillac devient l’un des vins de prédilection de la cour d’Angleterre. Henri IV fait don de cinquante barriques à Henri VIII lors de leur rencontre au Camp d’Or. Dans ses Mémoires (XVIIe siècle), Catel en vante la renommée et la qualité : " Ce vin est grandement propre à l’estomach et n’est point fumeux, tellement qu’il va plus tost aux veines qu’à la teste. " Les vins rouges, encépagés en duras, sont des vins colorés, souples, les blancs, encépagés en mauzac, sont secs, doux et un peu effervescents.
En remontant le Tarn vers le nord-est, ce sont les Côtes de Millau (VDQS), avec ses blancs, rouges et rosés, puis au nord, sur le Lot, les vins de Marcillac, puis les VDQS du Fel, d'Entraygues et d'Estaing.
Enfin, le Cahors, vignoble étalé sur les deux rives du Lot, dont le cépage principal est l'auxerrois (ou malbec, ou cot, pressac), à raison de 70 % du Merlot à 20 % et du Tannat à 2 %. La vigne est déjà cultivée dans la vallée du Lot à l’époque romaine. Le vignoble de cahors AOC s’étend aujourd’hui sur 4 000 ha. Au XIIe siècle, Aliénor d’Aquitaine, épouse du roi Henri II, exporte le cahors en Angleterre, où sa renommée ne cesse de croître. Au XIVe siècle, le vin, exporté en Scandinavie, aux Pays-Bas, en Russie, a l’honneur d’enivrer le tsar Pierre le Grand et les popes, qui le recommandent comme vin de messe... Le pape d’Avignon Jean XXII, natif de Cahors, implante le cépage auxerrois dans le vignoble papal de la vallée du Rhône. Ainsi naît un vin béni : le Châteauneuf du pape.
Il semblerait qu'après la ménopause, les femmes pourraient réduire leur risque d'AVC (accident vasculaire cérébral) en adoptant une alimentation riche en potassium, selon une étude menée à l'Albert Einstein College of Medicine du Bronx, aux Etats-Unis.
La directrice de l'étude, Sylvia Wassertheil-Smoller, a noté que des recherches précédentes avaient montré que le potassium pouvait faire baisser la tension, mais qu'elles n'avaient pas encore montré que ce minéral pouvait aussi prévenir les AVC.
"Nos résultats donnent une nouvelle bonne raison aux femmes de manger des fruits et légumes", explique le docteur Wassertheil-Smoller. Et d'ajouter, "les fruits et légumes sont une bonne source de potassium, et ils abaissent non seulement les risques d'AVC chez les femmes post-ménopausées, mais aussi leur mortalité".
Pendant 11 ans, les chercheurs ont analysé la consommation de potassium de plus de 90.000 femmes ménopausées âgées de 50 à 79 ans, et ont noté les incidences d'AVC sur ce panel.
En début d'étude, aucune participante n'avait subi d'accident vasculaire et l'apport moyen et quotidien de potassium par femme était de 2,611mg.
Les femmes qui affichaient les plus gros apports en potassium voyaient leur risque d'AVC baisser de 12% par rapport à celles qui consommaient très peu de ce minéral.
Les participantes qui présentaient une tension normale et qui ne suivaient pas de traitement contre l'hypertension voyaient leur risque décroître de 21%. En revanche, les femmes souffrant d'hypertension n'abaissaient pas leur risque d'attaque en augmentant leurs apports en potassium.
"Nos résultats montrent que les femmes doivent consommer plus d'aliments riches en potassium, conclue le Dr. Wassertheil-Smoller, "vous ne trouverez pas beaucoup de potassium dans la malbouffe". Elle a par ailleurs précisé quels aliments regorgeaient de ce minéral : les pommes de terre, les patates douces, les bananes et les haricots blancs.
Par contre, elle conseille aussi de vérifier avec son médecin traitant ses apports en potassium, soulignant au passage qu'une trop grande concentration de potassium dans le sang pouvait être néfaste pour la santé cardiaque.
A noter par ailleurs que cette étude n'a pas pris en compte les apports en sodium des sujets, or c'est bien l'équilibre entre les apports en sodium et potassium qui s'avère important. De plus amples recherches sont donc nécessaires à ce sujet, la chercheuse préconise aussi qu'il faudrait les ouvrir à un public plus jeune.
Cette étude est parue dans la revue Stroke de l'American Heart Association.
Voici une tarte tatin à la banane plus qu'express
NON: ce n'est pas une recette de la tradition toulousaine
Il vous faut 4 ou 5 bananes bien mûres, petites ou grosses... (explication plus bas)
du beurre: plus vous en mettez, plus c'est calorique!
du sucre: même réflexion que ci-dessus ou du miel (prévoir du miel de lavande si possible)
une pâte feuilleté enroulée... un peu de cannelle en poudre
Pelez les bananes; les laisser entières ou coupées en deux si ce sont des très petites bananes, ou coupez en rondelles.... inutile de citronner, vous les utilisez aussitôt!
Faites revenir dans une poêle avec une bonne cuillère à soupe de miel ou sucre en poudre qui, lui, est fondu dans un bon morceau de beurre.
Remuez délicatement et faire revenir de tous côtés à simple coloration;
saupoudrez de cannelle (possible rajouter des grains d'une gousse de vanille à la place de la cannelle)
Versez dans un moule bien beurré et recouvert de sucre
Toutes mes astuces de cuisine sont ici: www.tradi-cuisine.com
Déroulez la pâte feuilleté sur le moule à tarte ou "à manqué" et bloquez bien la pâte pour qu'elle cuise les rondelles de bananes bien closes.
Dans votre four, cuire à 180° th 7 pendant 20 mn maxi....
Si vous insistez, pour meilleure coloration, passez un jaune d’œuf ou, si vous ne voulez pas gaspiller, un peu de lait liquide: c'est, ENCORE, une de mes astuces de mon site!
Renversez sur un plat de service: c'est simple, non? vous dégustez un peu tiède... les gourmands posent une boule de glace sur le morceau de tarte... les bien enveloppées comme moi, s'abstiendront!
Bientôt ce blog va devenir
Vérifiez: il n'y a pas les 3 w devant....
La piperade est un plat de la région toulousaine, un de mes préférés que je cuisinais moi-même enfant et adolescente quand je vivais en famille. Bien sûr, ce plat était le plat de l'été puisque réalisé avec les légumes de saison.
Vraie piperade, méthode très lente–et je la fais ainsi presque 9 fois sur 10.
Par personne: ½ poivron et 1d'aubergine et 1 courgette, 2 tomates moyennes très mûres, 1 oignon, 1 œuf, et ½ bouquet de persil frais plus deux ou trois gousses d'ail qui ne doivent pas dorer dans l'huile mais être rajouté pendant la cuisson des tomates.
Quelques feuilles de laurier, thym, sarriette, sel, poivre fin et en grains; 1 ou 2 morceau de sucre
La piperade est réalisée en cuisant les légumes 1 par 1 et on les réserve à part, la tomate est cuite en dernier, qui va faire la sauce.
Laissez cuire à feu doux une quinzaine de minutes. Goûtez et rectifiez l'assaisonnement, retirez le laurier et le thym. Battez les œufs en omelette et rajoutez à la sauce, remuez. Laissez monter en bouillon 3 minutes.
Ciselez le persil et saupoudrez tout (environ 20 g) sur la piperade. Si par hasard la sauce vous semble trop liquide, épaississez avec de la mie de pain (picata) ou de la poudre de pignons ou de la semoule fine.
A consommer chaud-bouillant avec des tas de mouillettes de pain tchintché pour tremper comme on trempe la soupe!
Vous pouvez servir avec des rondelles de boudin noir, du saucisson à l'ail si votre palais est délicat ou du chorizo piquant, des tranches de jambon cru et du piment d'Espelette coupé en brunoise, mais ce rajout est pour les messieurs ou les dames qui n'ont pas une petite nature car bien sûr, c'est un rajout très piquant.
D'autres toulousains réalisent une très grosse omelette avec deux œufs par personne. L'omelette reste plate, on dispose les légumes sur le dessus à la manière d'une tarte.
Ce procédé est tout de même peu usité par les gens de ma famille.
L'histoire dit que l'armée de Charlemagne était aux portes de la Cité aux prises des Sarrasins. Une princesse était à la tête des chevaliers de la Cité après la mort de son mari. Il s'agit de la princesse Carcas. Le siège dura plus 5 ans.
Au début de la sixième année, la nourriture et l'eau se faisaient de plus en plus rares. Ils avaient tenus très longtemps pourtant… Le moral des villageois baissait de plusieurs crans. Donc, Dame Carcas voulut faire l'inventaire de toutes les réserves de nourriture qui restaient dans la cité. Les villageois lui amenèrent un porc et un sac de blé. Elle eut alors l'idée de nourrir le porc avec le sac de blé puis de le précipiter depuis la plus haute tour de la Cité au pied des remparts extérieurs.
Les assaillants, donc, Charlemagne et ses hommes, croyant que la Cité débordait encore de vivres au point de gaspiller un porc nourri au blé, levèrent le siège. Ils se dirent qu'ils n'en viendraient jamais à bout.
Voyant l'armée de Charlemagne quitter la plaine devant la Cité, Dame Carcas remplie de joie par la victoire de son stratagème, décida alors de faire sonner toutes les cloches de la ville. Un des hommes de Charlemagne s'écria alors “Carcas sonne !": d'où le nom de la Cité.
La légende de Dame Carcas serait purement imaginaire. La légende dérive de chansons de gestes médiévales aujourd'hui disparues. Elle fut recueillie d'après la tradition orale par divers auteurs notamment au XVIe par Jean Dupré et au XVIIe siècle par Guillaume Besse et Guillaume Catel.
Charlemagne n'a probablement pas fait le siège de Carcassonne, son père Pépin le Bref l'ayant déjà prise aux Sarrasins vers 759, date à laquelle Charlemagne avait 17 ans. Mais, franchement, “si ce n'est toi, c'est donc ton frère“ (répliqua le loup au chien – Fable de La Fontaine)… retirez Charlemagne de l'histoire… c'était peut-être un autre… dans ces temps barbares, il y en avait des tribus qui se disputaient le moindre coin où poussait une herbe verte…
À l'entrée du pont-levis, de la cité, le buste de Dame Carcas accueille les visiteurs. Il s'agit d'une réplique. L'original, datant du XVIe siècle, est conservé au château.
Pour la petite histoire, il existe une auberge de Dame Carcas dans la cité et, pour les gourmand(e)s, des sablés du nom de Friandises de Dame Carcas sont commercialisés par l'Épicerie de la cité.
Personnellement, j'aime à croire que Dame Carcas a inventé le cassoulet en balançant plus que des céréales, des tas de charcuteries… bref, tout pour faire notre emblème gastronomique du cassoulet…
Quand même, réfléchissez: un siège de 5 ans? ok la cité est grande mais, tout de même....!
Je parie pour à peine 6, 8 mois... et encore, je suis généreuse.
Où bien, il y avait trois pelés et un tondu qui vivaient entre les murs!
De toutes façons.... il n'y a que des femmes pour être aussi ingénieuses!