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sante - Page 8

  • Comment empêcher le brunissement de certains fruits?

    Pour cela, vous pouvez par exemple ajouter du jus de citron. Cela permet de garder un aspect "normal" aux morceaux de fruits coupés. Le citron contient de la vitamine C qui est un antioxydant et qui empêche cette réaction d’oxydation des phénols. C’est pourquoi le citron, le kiwi ou l’orange riches en antioxydants ne brunissent pas.

    Les entreprises agroalimentaires utilisent des antioxydants synthétiques (additifs alimentaires E300 à E321 – Règlement (CE) no 1333/2008 ). De plus, la PPO est inhibée par l’acidité. RÉSULTAT: de la mer chimique

    Chauffer le fruit à une température supérieure à 70°C inactive les enzymes, ce qui explique que votre tarte ou compote de pommes ne finissent pas, toutes, marron. Les industriels parlent de blanchiment. Inversement, les morceaux de pomme peuvent être mis au réfrigérateur. Le froid va ralentir l’action des enzymes de brunissement.

    Pourquoi la peau des bananes brunit-elle au frigo?

    Tout simplement, parce que la banane est un fruit tropical et que le froid endommage les membranes des cellules qui perdent leur étanchéité. Le froid favorise la libération de composés phénolique qui réagissent avec la PPO.

    Mettre les fruits dans l’eau ralentit également le brunissement, à cause de la faible diffusion de l’oxygène dans l’eau.

    Ce brunissement est retrouvé chez le thé dont sa couleur dépend du degré d’oxydation.

    Les thés contiennent ces 3 principaux polyphénols: catéchines, théaflavines et théarubigines. Selon la teneur de ces 3 composés, la couleur du thé varie du vert au noir, en passant par le blanc et rouge.

    Sources: cours de biochimie d’AgroParisTech, de l’Université de Lille 1,

    Source

  • Hé! mangez plus de fromage!

    Le fromage est un aliment nutritif et délicieux… j'adore le Roquefort! mais il est aussi -hélas- riche en gras saturés pas bons pour la santé.

    Mais très bonne nouvelle! Il n'est pas aussi nocif qu'on le croit pour la santé. Il a même des effets bénéfiques.

    D'une part, le fromage est une excellente source de minéraux comme le calcium et le magnésium, et de vitamines comme la vitamine A, la B2 et la B12, en plus d'être une protéine complète.

    OUI MAIS, le fromage est également une source importante de gras saturés et de sodium dans notre alimentation. Pour réduire l'apport en gras saturés et diminuer les risques de maladies cardiovasculaires (MCV), il est parfois recommandé de consommer du fromage à faible teneur en gras.

    Paradoxalement, plusieurs études ont prouvé que les gens qui mangent beaucoup de fromage (comme moi) ne risquent pas plus que les autres de développer des maladies cardiovasculaires, y compris le diabète de type 2.

    Réduction de la résistance à l'insuline

    Une équipe de recherche de l'Université de l'Alberta a examiné l'impact du fromage faible en gras et du fromage régulier sur la résistance à l'insuline dans le corps de rats pré-diabétiques. Elle a constaté que les deux types de fromage réduisaient la résistance à l'insuline, ce qui est important pour maintenir une glycémie normale.

    Bon nombre des études menées antérieurement sur l'impact du fromage sur les maladies cardiovasculaires ont été des études d'observation. En d'autres mots, les chercheurs ont étudié pendant des années le comportement alimentaire de grands groupes d'individus pour vérifier le lien entre la quantité de fromage (et d'autres produits laitiers) consommée et les facteurs de risques de MCV, comme un taux élevé de cholestérol ou une maladie coronarienne.

    Une méta analyse de ces études d'observation, menée en 2016, a révélé que le fromage avait un effet neutre ou bénéfique sur plusieurs facteurs de risque de MCV.

    Ces études sont très utiles pour établir les tendances associées aux habitudes alimentaires, mais elles ne permettent pas de conclure qu'un aliment précis cause ou prévient une maladie en particulier.

    Pour mieux comprendre les liens de causalité, les études qui examinent les effets des aliments dans un milieu contrôlé sont plus utiles. Ces études peuvent être menées chez l'humain, mais elles comportent des limites. Ainsi, les études sur des animaux de laboratoire peuvent également être utiles, en particulier pour comprendre les mécanismes biochimiques expliquant les effets observés.

    L'apport des protéines et du calcium

    La résistance à l'insuline est une condition qui se développe généralement avec l'âge et l'obésité. Elle entraîne une glycémie élevée, qui est un facteur de risque de MCV et de diabète de type 2.

    L'objectif de l'étude était de comparer comment la consommation de fromage faible en gras par rapport au fromage ordinaire affectait la résistance à l'insuline et d'explorer les mécanismes biochimiques pouvant expliquer tout effet observé.

    Le résultat le plus intéressant de la recherche est que le cheddar faible en gras et le cheddar régulier ont réduit la résistance à l'insuline chez les rats. Cela suggère que les effets bénéfiques du fromage pourraient ne pas être liés à la quantité de gras, mais à un autre composant, comme les protéines ou le calcium.

    Beurre contre fromage

    De nouvelles études chez l'humain sont apparues dans la littérature depuis le début de la nôtre. Un groupe de l'Université Laval et de l'Université du Manitoba a comparé les effets de la consommation de gras de différentes sources chez les hommes et les femmes souffrant d'obésité abdominale.

     

    Une autre étude a testé le beurre, le fromage, l'huile d'olive et l'huile de maïs et n'a constaté aucun impact sur les niveaux d'insuline.

    La durée du régime alimentaire était de quatre semaines et chaque régime a été évalué chez tous les participants. Le beurre, le fromage, l'huile d'olive et l'huile de maïs (32% de calories provenant des matières grasses) ont été comparés à un régime plus riche en glucides (25% de calories provenant des matières grasses).

    Les chercheurs ont examiné la glycémie et les taux d'insuline (qui sont des indicateurs indirects de la résistance à l'insuline) et n'ont constaté aucun effet des graisses. Cependant, les échantillons de sang ont été prélevés après le jeûne, de sorte que l'information sur la glycémie était incomplète.

    Une autre étude comparant le fromage faible en matières grasses et le fromage régulier n'a révélé aucune différence globale sur les caractéristiques du cholestérol LDL, ou « mauvais cholestérol », chez les personnes présentant des facteurs de risque de maladie cardiovasculaire, mais n'a pas examiné les résultats liés à la glycémie.

    Modification des métabolites sanguins

    Dans l'étude en question, il a été également observé comment les métabolites dans le sang changeaient après l'alimentation au fromage et il a été trouvé des effets similaires dans le fromage faible en gras et dans le fromage ordinaire.

    Les changements sont liés à un type spécifique de molécule appelé phospholipides, qui ont de nombreuses fonctions dans l'organisme. Il est intéressant de noter que les phospholipides à faible circulation sont liés au diabète et à la résistance à l'insuline chez les humains.

    Les rats nourris avec du saindoux avaient des niveaux de phospholipides plus bas, alors que les taux étaient normaux chez les rats qui mangeaient du fromage.

    Les recherches se poursuivent actuellement afin de comprendre comment le fromage régule le métabolisme des phospholipides et comment celui-ci est lié à la résistance à l'insuline.

    Avec l'aide d'un article de theconversation

  • Economie: ne jettez pas les tiges de brocoli

    Elles ne ne doivent pas être considérées comme des déchets alimentaires.

    Vous avez sans doute l’habitude de manger les fleurons de brocoli, mais ne négligez pas les tiges.

    "La tige contient du sulforaphane, un antioxydant qui a des propriétés anti-inflammatoires, qui désactive les carcinogènes et inhibe la formation de tumeurs dans les vaisseaux sanguins".

    Voici quelques idées culinaires pour vous inspirer: pelez, tranchez ou râpez les tiges et mangez-les crues, mélangées à des salades ou à des trempettes. Si vous ne raffolez pas des crudités, faites-les cuire à la vapeur, rôtir ou sauter à la poêle.

    Ma recette de brocolis très rapide

    Pelez, ou retirez les bouquets abîmés, passez à l'eau bicarbonatée durant 10 mn.

    Cuire à la vapeur dans la cocotte-minute, 3 mn après rotation de la soupape mais, à la place d'eau, utiliser de la crème fleurette liquide.

    Salez, poivrez et une cuillère à café de curcuma.

    Vous pouvez mixer en soupe et servir avec des croûtons de pain sautés à la poêle.

  • L’usage régulier de solutions hydro-alcooliques est-il dangereux?

    L’utilisation des solutions hydro-alcooliques s’est très largement répandue depuis le début de l’épidémie à coronavirus. Certaines personnes ont exprimé leur inquiétude concernant d’éventuels effets délétères qui pourraient résulter de l’emploi répété de ces produits.

    Cependant, même après des applications répétées, l’absorption d’alcool par la peau ou par inhalation des vapeurs est extrêmement faible voire indétectable. Actuellement, ces solutions sont considérées comme bien tolérées, y compris chez les enfants. Il faut en revanche éviter que ceux-ci ne portent leurs mains à la bouche après application de la solution. Il est conseillé de leur laver les mains au savon dès que possible.

    En ce qui concerne les femmes enceintes, la sécurité d’emploi des gels hydroalcooliques n’a pas été évaluée spécifiquement. Néanmoins, les études disponibles, réalisées sur des populations de professionnels dans des conditions d’utilisation intensive, montrent que la présence d’éthanol est extrêmement faible, voire quasi nulle.

    Quoi qu’il en soit, le lavage des mains est préconisé en première intention dès lors qu’un point d’eau potable est disponible, réalisé avec un savon (les savons liquides sont à privilégier). Il faut alors respecter un temps de lavage minimum de trente secondes, bien rincer puis sécher les mains avec des essuie-mains ou serviettes propres.

    Personnellement, comme je me lave les mains plus de 20 fois par jour (on est cuisinière ou pas!) je passe sur mes mains régulièrement, de l'huile sèche: elle n'est pas poisseuse...

    Vous pouvez en trouver qui n'ont pas de parfum: il ne s'agit pas d'empester telle ou telle fragrance quand vous devez goûter votre préparation!

     

     

  • On se pose des questions

    1) Pourquoi ne nous communique-t-on pas les vrais chiffres des décès dus au seul coronavirus?

    2) Pourquoi ne "mettons-nous pas le paquet" sur la recherche de soins adaptés à la maladie à son origine? Pourquoi ne parle-t-on jamais des solutions existantes et expérimentées qui ont donné ou peuvent donner des résultats: antibiotiques, corticoïdes, cortisone, interféron, artemisia etc.? Pourquoi la mise en œuvre du protocole hydroxychloroquine associée à un antibiotique (qui a fait ses preuves pour enrayer l’attaque virale de la covid-19, avant déclaration de son infection) a-t-elle été écartée au profit d’un remdésivir, seul remède reconnu officiellement mais qui n’apporte rien?

    3) Pourquoi nous parle-t-on sans arrêt des tests et de vaccin en se détournant des traitements avant mise sous respirateur par intubation?

    4) Pourquoi les circulaires sur l’administration du procédé euthanasique du Rivotril ont-elles été publiées au détriment de l’utilisation des places vides dans les hôtels pour aménagement des respirateurs artificiels avec rappel du ban et de l’arrière-ban de tous les soignants possibles, y compris les médecins libéraux et militaires?

    5) Pourquoi le plan de prévention et de lutte contre le risque de pandémie, proposé par l’ex-ministre de la santé de M. Douste-Blazy, le 13 octobre 2004, a-t-il été abandonné, sans raison valable?

    6) Pourquoi nous fait-on miroiter l’apport d’un vaccin contre la covid dans les mois qui viennent alors que l’on sait que la mise au point définitive d’un vaccin opérationnel et agréé demande entre 3 et 9 ans?

    7) Pourquoi n’a-t-on pas publié les résultats des effets secondaires possibles (notamment infections bactériennes) de masques portés sur le visage pendant des heures, voire ré-utilisés pendant des jours?

    8) Pourquoi ces mesures de confinement incohérentes (un seul exemple: boucheries et boulangeries restent ouvertes alors que leur fréquentation est multipliée par 10 voire 100 par rapport aux magasins de vêtement ou aux librairies) ont-elles été prises? Pourquoi un gouvernement peut-il prétendre connaître quels sont les besoins essentiels à satisfaire de chacun d’entre nous?

    9) Pourquoi les frontières n’ont-elles pas été fermées pour au moins 6 mois?

    10) Pourquoi empêche-t-on les gens d’aller se promener en plein air (forêt, campagne, bord de mer, campagne) sans regroupement et en respectant les gestes, dit “barrières”, ou encore d’aller cultiver leur jardin?

    11) Dans l’examen de la balance coût/risque, pourquoi s’acharner à sauver coûte que coûte quelques dizaines de milliers de morts par un endettement colossal? Qui remboursera cette dette quand l’économie de la France sera exsangue (20% d’un PIB de 2 500 milliards = 500 milliards, soit pour 500 000 décès 1 000 000 d’euros ou pour 50 000 décès 10 000 000 d’euros le coût du décès !)?

    12) Enfin, si l’OMS indique que le masque permet de protéger le porteur en bonne santé (c’est ce qu’assure Véronique Merle, médecin hygiéniste au CHU de Rouen et professeure de santé publique, à actu.fr: "Je ne sais pas d’où vient cette rumeur du masque chirurgical qui ne protégerait que dans un sens. […] Le masque chirurgical, en papier ou en tissu, protège les autres… Mais aussi celui qui le porte!"), de deux choses l’une: ou cette affirmation de protection est exacte et alors il ne sert à rien de confiner l’ensemble de la population, dans la mesure même où chacun est désormais tenu de porter un masque dès qu’il sort de chez lui (transport, travail, magasin, air libre) ou elle est inexacte et il conviendrait dans ces conditions de mettre en place un confinement intégral, pourquoi ces demi-mesures ont-elles été prises?

    13) Pourquoi n’avons-nous jamais eu d’informations sur l’application du couvre-feu puis des confinements et re-confinements aux "territoires perdus de la République"?

    14) Pourquoi ne parle-t-on jamais des difficultés des personnes portant des lunettes à devoir supporter un masque étant donné l’embuage des verres qui gêne considérablement la vue?

    Voir plus bas, mon astuce*

    15) Pourquoi aucun député n’a-t-il posé aucune question prioritaire de constitutionnalité (QPC)  des inégalités de traitement, en matière de confinement, des différents types de commerce?

    Patrick Verro

    source:

    MON ASTUCE

    Lorsque je mets le masque, je tourne la bride sur elle-même avant de la poser derrière l'oreille d'un part et j'appuie bien le masque sur le visage pour bien l'appliquer (voir photo)

    Je n'oublie pas bien sûr AVANT de plier le barrette avant de poser le masque sur le nez sinon, chaque fois que vous parlez, le masque descend....

    On ne met pas son masque sur le menton (bactérie), on le laisse pendre sur une oreille et on attrape le cordonnet pour le remettre en place

    Vous éviterez ainsi de mettre des virus sur vos mains

    On passe ses mains au gel AVANT la pose et APRÈS avoir retiré le masque

  • Les remèdes naturels de la constipation

    Un stress, un manque de fibres, un voyage ou encore un manque d’exercice peuvent provoquer une constipation. Avant de prendre des médicaments, essayez ces solutions naturelles qui sont parfois plus efficaces.

    L’exercice

    Faire de la marche, du jogging, du vélo ou encore un sport défini permet de stimuler la partie inférieure du système digestif et donc l’expulsion des selles.

    Les pruneaux

    Les pruneaux sont riches en fibres qui aident à stimuler le transit intestinal. Mais ils possèdent un autre atout: une substance nommée dihydroxyphénylisatine qui stimule la contraction musculaire.

    Le kiwi

    Riche en fibres, ce fruit a un effet laxatif naturel. Une étude de 2013 préconise le kiwi comme laxatif naturel, il améliorerait en effet la vidange gastrique.

    Le café

    Une étude de 2006 suggère que le café pourrait aider l’évacuation des selles. Une autre étude de 2015 suggère que le décaféiné permettrait de réduire le temps de défécation chez les personnes ayant subi une chirurgie de l’intestin.

    Le mécanisme n’est pas clair, mais boire une tasse de café peut aider les personnes ayant des problèmes pour aller aux toilettes.

    Les huiles de lin et d’olive

    Une petite étude a montré un effet de ces huiles dans le traitement de la constipation. Une cuillère à soupe en complément d’une alimentation adaptée aiderait à limiter la constipation.

    Les graines de lin trempées plusieurs heures dans l’eau ont aussi un effet intéressant contre la constipation, grâce à leurs mucilages.

    L’eau riche en magnésium

    Souvent la constipation est due à un manque de liquide dans l’organisme. Lorsque vous êtes constipé ou pour prévenir ce phénomène, il est conseillé de boire beaucoup, sous forme d’eau, de tisanes, de bouillon, de soupe.

    Au niveau des eaux, privilégiez celles riches en magnésium comme l’Hépar, qui aide à stimuler les muscles participant à l’évacuation des selles.

    En résumé: que manger quand est constipé?

    Lorsqu’on est constipé, la première chose à faire est de s’hydrater plus en favorisant les eaux riches en magnésium.

    Dans un second temps, il faut augmenter les fibres dans son alimentation: on consomme plus de fruits (kiwis et pruneaux de préférence), de légumes, des céréales complètes et des légumineuses.

    Puis il ne faut surtout pas se retenir lorsque vous avez envie (et que vous avez des WC disponibles pas loin).

    Augmenter un peu son activité physique, en faisant de l’exercice, pas forcément du sport: essayer de marcher un peu plus par exemple, pour que les muscles soient stimulés.

    Crème de pruneaux

    J'ai déjà mis cette recette dans le blog; j'ai trouvé cette recette par hasard…. en voulant préparer un gâteau aux pruneaux; j'en avais assez de tremper ceux-ci au thé. Je ne bois pas de thé et il me fallait en acheter spécialement pour ce faire… cela me “cassait les pieds“!

    Il fut une période où je faisais un gâteau tous les jours ou même deux (pour ma fifille). Bien sûr, j'avais déjà supprimé le sucre depuis presque 15 ans et je mettais à peine 15 % du sucre dans les recettes et, encore, souvent, je supprimais ce sucre si je faisait des gâteaux aux fruits.

    Donc, dans les années 70, on conseillait de faire gonfler les pruneaux avec du thé ou du rhum.

    Pour ma jeune fille, pas de rhum. Un jour, comme cela, m'est venu l'idée de faire tremper les pruneaux avec.. du lait demi-écrémé.

    Et même j'ai oublié le petit saladier au réfrigérateur. Trois jours après, j'ai constaté que le lait avait “tourné“: il était épais, sirupeux. Désolée de ma bêtise, j'ai mis un doigt dans le magma et goûté le liquide épais: miracle, c'était excellent!

    Depuis, je fais souvent des pruneaux au lait. J'ai constaté qu'il valait mieux mettre beaucoup de lait car celui-ci épaissi, d'accord, est peu sucré alors que les pruneaux le sont largement (sucrés).

    Bien sûr, le mieux est d'utiliser des pruneaux non dénoyautés, ils sont plus aromatiques. Parfois, je rajoute de la cannelle ou de la réglisse, ou de la vanille en poudre. Bien évidemment, de la vraie poudre naturelle et pas des produits chimique (je parle de la réglisse ou vanille).